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Donald Trump : «Abou Bakr al-Baghdadi est mort».



Qui est Abou Bakr al-Baghdadi ? :
Abou Bakr al-Baghdadi, de son vrai nom Ibrahim Awad al-Badri serait né en 1971 dans une famille pauvre à Samarra, au nord de Bagdad en Irak. Faute de résultats scolaires suffisants, il échoue à devenir avocat puis militaire et devient imam dans la capitale irakienne. En 2003, lors de l’invasion américaine en Irak, Abou Bakr al-Baghdadi crée un groupuscule jihadiste avant d’être arrêté, emprisonné puis libéré faute de preuves. Il devient alors l’homme de confiance d’Abou Omar al Baghdadi, qui commandait l’Etat islamique en Irak. Avant de prendre lui-même la tête de l’organisation en 2010. C’est à Mossoul, en juillet 2014, que le chef de Daesh fait sa seule apparition publique connue. En turban et habits noirs, barbe grisonnante, il avait appelé tous les musulmans à lui prêter allégeance. Deux ans plus tard, en novembre 2016, il appelle dans un enregistrement audio ses hommes à lutter pour garder Mossoul, alors qu’une offensive est lancée par le gouvernement irakien pour reprendre la ville. Ce sera le dernier signe de vie donné par le chef de l’Etat islamique.



«Abou Bakr al-Baghdadi est mort», a confirmé Donald Trump, ce dimanche 27 octobre. Le chef de l'Etat islamique, visé par une opération militaire en Syrie, est, selon les propos du chef d'Etat américain, «mort comme un chien, comme un lâche». Selon les informations communiquées par le président américain, al-Baghdadi a trouvé la mort lors d'une opération de l'armée américaine dans le nord-est de la Syrie. Donald Trump a confirmé que le chef de Daesh a fait exploser sa veste chargée d'explosifs pour se suicider.


Le succès militaire est une victoire politique pour Donald Trump. L’élimination du chef du groupe État islamique Abou Bakr al-Baghdadi constitue une bouffée d’oxygène pour un président déstabilisé par une procédure de destitution et violemment critiqué pour le retrait des troupes américaines de Syrie.
L’annonce de Donald Trump a suscité plusieurs réactions internationales :
  • la France. La mort du chef de l’EI Abou Bakr al-Baghdadi est « un coup dur porté contre Daech, mais ce n’est qu’une étape », a estimé Emmanuel Macron, pour qui la défaite définitive du groupe terroriste reste « la priorité » de la France.
  • Boris Johnson, le Premier ministre britannique, a également réagi sur Twitter saluant un « moment important dans [la] bataille contre le fléau de Daesh ».
  • Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a quant à lui tenu à féliciter le président Trump. « Cette réussite est une étape importante, mais la bataille continue » a-t-il ajouté.
  • La Russie a, elle, émis des doutes. Moscou a déclaré dimanche ne pas avoir « d’informations fiables » sur une « énième mort » du chef du groupe Etat islamique (EI), Abou Bakr al-Baghdadi, faisant état de « détails contradictoires » qui soulèvent « des doutes (…) sur la réalité et le succès de l’opération américaine ».

Conférence de presse de Poutine, Erdogan et Rohani sur la Syrie depuis Sotchi

Les présidents russe, turc et iranien se réunissent ce 14 février dans la ville russe de Sotchi pour discuter de la résolution du conflit syrien après l'annonce du retrait des troupes américaines.


Il n'y a rien à dire, cette photo dit tout

 

Un papa serre sa famille dans ses bras en pleurant alors qu'il vient de débarquer sur la plage de Kos, en Grèce. Il vient de réussir l'avant-dernière étape de son dangereux voyage: la traversée de la Méditerrannée dans un canot gonflable. L'homme semble grand, fort, mais son visage est en larmes. Cette scène a touché beaucoup de gens puisque l'image a été partagée quelques milliers de fois sur les réseaux sociaux après sa publication.

Permalien de l'image intégrée

L'homme s'appelle Laith Majid, et son épouse est une ancienne professeure d'anglais. Ils sont accompagnés de leurs enfants: trois garçons et une fille. La famille, typique de la classe moyenne syrienne, vient de Deir Ezzor où elle a survécu plusieurs années sous les bombardements du gouvernement syrien, de l'Armée syrienne libre puis de Daesh.
 
Des larmes de joie
La ville est maintenant presque intégralement sous le contrôle des islamiste, il semble que Laith Majid ait choisi, début août, le tout dernier moment pour partir. L'homme a payé 6.500 dollars pour faire traverser la mer à sa famille dans ces conditions. Leur objectif est de parvenir jusqu'en Allemagne.
Conçue pour trois, cette embarcation transportait douze personnes. Onze étaient des syriens qui se connaissaient entre eux, le douzième était un Pakistanais.
Après plus de deux heures de navigation, le bateau a commencé à se dégonfler, l'eau a commencé à s'infiltrer, et les réfugiés étaient trempés lorsqu'ils sont parvenus au rivage. Ils étaient alors complètement soulagés d'être arrivés sains et saufs.

Jihad du sexe en Syrie.

Le ministre de l'intérieur tunisien, Lotfi Ben Jeddou, a expliqué jeudi dernier devant les députés que des tunisiennes avaient réussies à quitter le territoire pour aller faire " le jihad du sexe" "la guerre sainte du sexe" en Syrie, en allant assouvir les besoins sexuels des combattants islamiques qui cherchent à faire tomber le régime syrien de Bachar Al-Assad.



 

Le ministre, qui n'a pas indiqué combien de femmes étaient concernées ni dans quelles conditions elles avaient été prises en charge, a préciser : "après ces rapports sexuels qu'elles ont au nom du jihad al-nikah, elles reviennent enceintes", a-t-il précisé.


 

Top 10 des plus vieilles villes du monde encore habitées.

Les villes sont présentes depuis plus longtemps que l’on ne pense. Elles passent des décennies, des siècles et même des millénaires, alors que le climat change, les populations varient. Relativement peu de villes antiques ont réussi à survivre à l’épreuve du temps.

·         Damas, Syrie.
La capitale actuelle de la Syrie a une longue histoire qui remonte à près de 12 000 ans. Damas a été la cible privilégiée de nombreux rois et conquérant. Cette ville a connu de nombreuses civilisations. Les Assyriens, Perses, Grecs, Séleucides, Romains et Arabes ont peuplé Damas, qui compte aujourd’hui 4 millions d’habitants dans son agglomération. Depuis 1979, la ville est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO
 

·         Jéricho, Cisjordanie.
On a retrouvé des pierres datant de près de 9 000 ans. Des fouilles archéologiques ont mis en évidence des traces d’habitations qui sont encore plus ancienne : 11 000 ans. Situé en Cisjordanie, actuellement, Jéricho est aussi la ville la plus basse du monde. Son altitude avoisine les – 240. Aujourd’hui, la commune compte environ 27 000 habitants.
 

·         Suse, Iran.
Suse date de 8000 avant-J-C. La cité s’est fait connaître grâce aux civilisations élamites, persanes, ou encore grecques. C’est dans cette commune que le Code d’Hammourabi (une stèle babylonienne de 2,25 mètres de haut, datant d’environ 1750 av. J.-C.) a été découvert. Aujourd’hui, c’est la petite ville iranienne de Shush qui a pris le relais. Elle compte 60 000 habitants.
 
 
·         Plovdiv, Bulgarie.
Plovdiv a eu beaucoup de noms. D’abord appelée Eumolpias, elle devinent Philippoupolis quand elle est conquise par Philippe II de Macédoine, en 342 avant J-C. Les siècles passent et Philippoupolis devient Trimontium, puis Philippoupolis, à nouveau. Après, elle se nommera Paldin, Filibe et enfin Plovdiv. Actuellement, la ville compte environ 580 000 habitants. La deuxième plus grande ville Bulgarie est habitée depuis près de 9 000 ans.
 
 
·         Jerusalem, Israël.
« Au cours de son histoire, Jérusalem aurait été détruite deux fois, assiégée 23 fois, 52 fois attaqué et capturé et repris 44 fois. » C’est ce que disent les manuels d’histoire. Mais ces chiffres ne sont pas vérifiables. Dans cette ville qui compte aujourd’hui 747 600 habitants, des fragments de céramiques ont été retrouvés de la période Chalcolithique, soit en 3 500 av. J.C.
 

·         Tyr, Liban.
Tyr était une véritable merveille dans le monde antique. La ville a réussi à déjouer tous les sièges jusqu’à Alexandre Le Grand. Dans la quatrième plus grande agglomération du Liban, on peut retrouver des signes d’habitations qui remontent à près de 6000 ans.
 
 
·         Athènes, Grèce.
La capitale de la Grèce a été habitée depuis environ 3 400 ans. La ville à connu des hauts et des bas et n’a pas toujours eu l’importance qu’elle à retrouvé aujourd’hui. En effet, après son âge d’or et durant de nombreux siècles, elle perdu de son aura au point de devenir une ville parmi tant d’autres. Ce n’est qu’à partir du XIXème siècle, lorsqu’elle devient la capitale de la Grèce et ensuite grâce aux J-O, qu’elle retrouvera sa place au sommet de l’Olympe.
 

·         Lisbonne, Portugal.
Depuis toujours, Lisbonne est un endroit militaire et commercial idéal grâce à son port. Les archéologues ont retrouvé des objets phéniciens datant de 1200 avant J-C. Comme pire année, on pourrait retenir celle de 1755, lorsque l’un des séismes les plus destructeurs, accompagné d’un tsunami massif et des feux de forêt, rasa une bonne partie de Lisbonne et tua des dizaines de milliers d’habitants.
 

·         Varanasi, Inde.
Anciennement connu comme Bénarès, Varanasi est un centre religieux et culturel depuis au moins 3000 ans. Plus d’un million de pèlerins hindous des quatre coins du monde se rendent à Varanasi chaque année pour participer à des cérémonies et nager dans le fleuve sacré du Gange.
 
 
·         Rome, Italie.
Les premiers habitants de Rome datent du VIIIe siècle avant J-C. Elle est surtout connue comme le centre de l’Empire romain, qui a dominé l’Europe, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient.
           rome