Le ministre de l'intérieur tunisien, Lotfi Ben Jeddou, a expliqué jeudi dernier devant les députés que des tunisiennes avaient réussies à quitter le territoire pour aller faire " le jihad du sexe" "la guerre sainte du sexe" en Syrie, en allant assouvir les besoins sexuels des combattants islamiques qui cherchent à faire tomber le régime syrien de Bachar Al-Assad.
Le ministre, qui n'a pas indiqué combien de femmes étaient concernées ni dans quelles conditions elles avaient été prises en charge, a préciser : "après ces rapports sexuels qu'elles ont au nom du jihad al-nikah, elles reviennent enceintes", a-t-il précisé.
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