Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez
Affichage des articles dont le libellé est russie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est russie. Afficher tous les articles

La Russie remporte de nouveau le Concours Eurovision de la chanson junior

Le Concours Eurovision de la chanson junior a été remporté cette année par la Russe Paulina Bogoussevitch.
C'est la Russe Paulina Bogoussevitch, 14 ans, qui a remporté l'édition 2017 du Concours Eurovision de la chanson junior à Tbilissi. Elle chantait sous le numéro 13 une chanson intitulée Les Ailes. Avec 188 points, elle a devancé de 3 points le représentant de la Géorgie, Grigol Kipchidze.
La troisième place est revenue à l'Australienne Isabella Clark qui a totalisé 172 points.


La vedette libérale Ksenia Sobtchak (Ксения Собчак) se présente aux élections russes

Ksenia Sobtchak, Ксения Собчак

La vedette de télévision russe Ksenia Sobtchak, proche du camp libéral, a annoncé mercredi son intention de se présenter à la présidentielle de mars prochain, divisant davantage les rangs de l'opposition face à une probable candidature de Vladimir Poutine.

« Comme tout citoyen de Russie, j’ai le droit de me présenter à la présidentielle. J’ai décidé d’utiliser ce droit, ne serait-ce que parce que je suis contre tous ceux qui utilisent ce droit d’habitude », déclare la jeune femme de 35 ans sur une vidéo.

Fille de l’ex-maire de Saint-Pétersbourg Anatoli Sobtchak, mentor politique de Vladimir Poutine, Ksenia Sobtchak, parfois surnommée la « Paris Hilton russe », a incarné pendant une décennie « la jeunesse dorée » de l’ère Poutine.




Vedette de plusieurs émissions de télévision et rédactrice en chef de la version russe du magazine de mode L’Officiel, elle a ensuite rejoint les rangs de l’opposition lors des manifestations contre Vladimir Poutine fin 2011.




Résultat de recherche d'images pour "Ksenia Sobtchak avec son mari"


Si elle compte se présenter en indépendante, il faut désormais que la jeune femme de 35 ans réunisse 300.000 signatures pour que sa candidature soit acceptée par la Commission électorale russe.




S’il ne s’est pas déclaré officiellement, le président russe Vladimir Poutine, 65 ans, devrait sauf énorme surprise briguer un quatrième mandat, courant jusqu’en 2024.





Avant même d’être annoncée officiellement, l’éventualité de la candidature de Mme Sobtchak avait provoqué la division au sein de l’opposition, dont la principale figure de proue, Alexeï Navalny, a été déclaré inéligible jusqu’en 2028 par la commission électorale.

 

 


Les sans-abris en Russie - Ces SDF Russes sont appelés des «BOMJi»

Dominique Derda nous parle des conditions climatiques extrêmes à Saint-Petersbourg et des difficultés pour les sans-abri.





Partout dans le monde il reste de l'humanité, ça fait vraiment plaisir



Un plongeon dans l'eau glacée pour ces Australiens et Néo-Zélandais vivant à Moscou. Une initiative pour lever des fonds pour les sans abris russes.


Le désœuvrement des gamins des rues :  La Russie compte environ 700 000 enfants des rues. Ils viennent pour une part d'anciennes républiques soviétiques et tentent de survivre dans les grandes villes comme Saint-Pétersbourg où ils sont souvent exploités.

Des ingénieurs russes créent un nouveau type de véhicule tout-terrain

En Russie, des ingénieurs ont restauré une camionnette soviétique en lui ajoutant une vis sans fin énorme en lieu et place des roues. Elle peut dorénavant progresser sur tout type de terrain et même traverser les rivières !


Russie: Malgré les tornades, un avion réussit son atterrissage à l'aéroport de Sotchi

Un avion a frôlé des trompes marines pour atterrir à Sotchi (Russie) 

 Une scène de fin du monde. Des touristes présents ce mardi sur une plage de Sotchi ont filmé un paysage apocalyptique… et un atterrissage spectaculaire. Alors que les environs de la ville  russe située sur les bords de la Mer noire sont balayés depuis plusieurs jours par des ouragans, un avion de ligne est passé à proximité d’au moins trois trompes marines… avant de réussir à atterrir à l’aéroport international de Sotchi.


 


 Sur une vidéo diffusée sur le réseau social russe VK, on voit l’appareil se diriger vers l’aéroport après avoir frôlé dangereusement ces tornades venues de la mer. Il a, selon les médias russes, ensuite réussi à se poser avec succès. Les passagers de l’appareil ont toutefois eu la peur de leur vie.

Regardez le marchand de kebab le plus rapide de Russie

Plus vite ! Plus vite ! Regardez le marchand de kebab le plus rapide de Russie
 Marchand de kebab le plus rapide de Russie
  Ce chef expert en kebab est devenu une célébrité sur la toile grâce au buzz provoqué par la vidéo «kebab préparé à la machette». Suivez en direct sa performance dans le sud du pays. 




Danse d’un ours dans un parc naturel de Russie

Un des 32 ours d’une réserve d'animaux sauvages de Krasnoïarsk a été surpris dans son intimité en train de se soulager d'une étrange façon. En effet, le plantigrade grattait son dos comme s'il dansait sur un air de musique. 




Superbombes : «mère et père de toutes les bombes».

Les États-Unis viennent, pour la première fois, d’utiliser leur plus puissante bombe non-nucléaire, surnommée la «mère de toutes les bombes». La Russie possède quant à elle une ogive qui pourrait bien prétendre au rôle du «père de toutes les bombes».

special forces
Image d'illustration, Afghanistan
Si Washington possède la «mère de toutes les bombes»,
                                        Moscou détient le «père de toutes les bombes».                                            
La bombe américaine GBU-43, larguée le 13 avril sur un complexe de fortifications de Daech (organisation interdite en Russie) en Afghanistan, a été surnommée la « mère de toutes les bombes » pour sa puissance explosive équivalente à 11 tonnes de TNT. Il s’agit de la première utilisation dans des conditions de combat de la bombe créée en 2003.


La bombe américaine GBU-43.
La bombe américaine GBU-43

 


Son équivalent russe a vu le jour quatre ans plus tard : il s’est avéré quatre fois plus puissant et a reçu le surnom, tout aussi ronflant, de « père de toutes les bombes ». Les militaires russes ont déclaré que la nouvelle bombe russe avait été construite pour combattre les terroristes et ont testé le nouvel engin à l’occasion du sixième anniversaire des attentats contre les États-Unis. 

La Russie compte de plus en plus de pauvres

La pauvreté est en hausse en Russie et risque de toucher plus d’un tiers de la population en 2016.


Un enfant donne de l’argent à une vieille dame en train de mendier. Parc Tsaritsino, Moscou. Crédits photo : Célia Mascré
 UN ENFANT DONNE DE L’ARGENT À UNE VIEILLE DAME
 EN TRAIN DE MENDIER.

Le nombre de familles pauvres a presque doublé en Russie au cours de l’année passée. Les enquêtes publiées fin décembre par l’institut de sondage VTsIOM en témoignent : la part des familles ayant à peine assez de revenus pour se nourrir et de celles qui ne le peuvent même plus a atteint 39 % fin 2015, soit 17 % de plus qu’à la fin 2014.
Parallèlement, la part de la classe moyenne – les gens pouvant se permettre de gros achats, telle l’acquisition de meubles ou d’une voiture – s’est réduite de 27 à 16 %.
Enfin, l’image est complétée par une dernière donnée : la part des gens aisés, ceux qui peuvent se permettre presque tout, s’est accrue, passant de 3 à 4 % de la population russe. Ainsi, la pauvreté regagne du terrain dans le pays, phénomène qui s’accompagne toujours d’un accroissement de l’inégalité des revenus.
« Cette crise sera la première, depuis 1998, à se répercuter aussi fortement sur le quotidien des Russes, assure Dmitri Bielooussov, expert du Centre d’analyse macroéconomique, expliquant : Autant la crise de 2008 n’avait pas entamé la prospérité, autant nous allons connaître, en 2016 et 2017, une réelle chute des revenus et des salaires. Ce sera la première fois depuis vingt ans qu’une crise touchera autant de simples citoyens. » Les calculs préliminaires du Centre d’analyse macroéconomique prévoient une baisse de 9 % des salaires réels à la fin 2015, qui pourrait se poursuivre en 2016, à hauteur de 3,4-3,8 %. La population pourrait par conséquent voir ses revenus réels chuter de 2,5 à 3%.
Cette baisse des revenus est pour beaucoup liée à l’inflation. Cette dernière, dans son entêtement à ne pas suivre les prévisions optimistes de la Banque centrale, risque d’augmenter de nouveau en 2016. « On ne sait pas bien quelle sera la dynamique de l’inflation en 2016, admet Anton Stroutchenevski, économiste chez Sberbank CIB. Il y a encore un mois, on tablait sur une inflation à hauteur de 7 %. Mais la nouvelle chute du cours du pétrole en décembre-janvier a provoqué une nouvelle dévaluation du rouble, qui pourrait, à son tour, entraîner une inflation encore plus élevée. »
Selon l’analyste, si le prix du pétrole se stabilise au moins à 30 dollars le baril et que le taux de change du rouble se maintient dans une fourchette de 75 à 80 roubles pour un dollar, l’inflation ne devrait pas dépasser la barre des 10 %.
Pour autant, le fait que les Russes deviennent visiblement de plus en plus pauvres ne semble pas inquiéter outre mesure le gouvernement : les ministres des finances et du développement économique ont profité du forum économique Gaïdar, qui s’est tenu entre le 13 et le 15 janvier, pour annoncer des coupes budgétaires. De son côté, le Premier ministre Dmitri Medvedev a appelé à une évolution de l’aide sociale vers un système plus « ciblé ».
« Ce qu’on appelle l’aide ciblée est juste une façon de faire des économies sur le dos de la population, tout en proclamant que l’on continue de respecter les obligations sociales », dénonce Lioudmila Rjanytsina, économiste émérite de la Fédération de Russie et collaboratrice scientifique de l’Institut d’économie de l’Académie russe des sciences.
La spécialiste rappelle que l’aide sociale ciblée a été introduite en Russie dans les années 1990, sur les recommandations de la Banque mondiale. Constatant l’inefficacité de cette approche, le gouvernement y avait toutefois renoncé par la suite, recommençant d’aider non des individus isolés mais des catégories de citoyens (retraités, orphelins, handicapés, etc.). « Ce qui avait sauvé la population socialement faible », souligne l’économiste.
Mais dans les années 2005-2006, Moscou a transféré la charge de l’aide sociale à la population vers les régions, qui n’avaient, pour la plupart, pas les moyens de l’assumer. « Et aujourd’hui, les pouvoirs régionaux se retrouvent dans une situation particulièrement difficile, explique Lioudmila Rjanytsina : ils ont contracté des dettes considérables auprès du pouvoir fédéral et sont contraints de réduire leurs programmes d’aide. »
Faire des économies ne mènera pas au développement, martèle Lioudmila Rjanytsina, convaincue que le gouvernement doit recourir à d’autres méthodes.
« Pour l’heure, il faut absolument calmer les ardeurs du ministère des finances, insiste-t-elle. C’est le cerveau qui doit commander le porte-monnaie, et non l’inverse ! Le plus important, actuellement, est de ne pas accepter que les salaires soient revus à la baisse pour sortir de la crise. »
L’économiste rappelle que le salaire minimum a été relevé cette année jusqu’à 6 400 roubles mensuels, ce qui ne représente que la moitié du minimum vital (9 662 roubles, soit 112 euros au 25/01/16) « À quoi bon travailler pour un tel salaire ?, interroge-t-elle. Et quel intérêt les employeurs auraient-ils à moderniser leurs équipements et accroître le rendement du travail, alors qu’ils peuvent faire des bénéfices sur ce si faible coût de la main-d’œuvre ? »
Pour sortir de la crise, l’économiste propose l’introduction d’une taxe sur les très hauts revenus. « On pourrait augmenter de 2 % l’impôt sur les revenus des particuliers gagnant plus d’un million de roubles par mois. 70 % des actifs du pays sont aux mains d’1 % des citoyens russes ! », déplore-t-elle.
Pourtant, toutes ces mesures exigeraient que le gouvernement décide de lutter de façon coordonnée contre l’accroissement de la pauvreté – et aujourd’hui, celui-ci ne semble même pas estimer qu’une telle lutte soit nécessaire.



Seule et perdue pendant 11 jours dans le désert de Sibérie, cette petite fille doit la vie à son adorable chiot...

Sibérie : perdue pendant 11 jours dans la forêt, une fillette de 3 ans survit en se blottissant contre son chien


Il paraît que le chien est le meilleur ami de l'homme. La petite Karina en a eu la preuve. Perdue pendant 11 jours dans la forêt, elle a été retrouvée saine et sauve grâce à son compagnon à quatre pattes. Tout a commencé le 29 juillet 2014, lorsque le père de la fillette quitte sa maison pour se rendre dans son village natal.  En voyant son père partir, la petite Karina, âgée de 3 ans et demi, s’est alors aventurée seule dans les herbes hautes de la Taiga où elle avait fini par se perdre. La mère de la fillette, la croyant en route avec son père et son petit chien, ne s'inquiète alors pas, selon un article paru dans le Siberian Times.
Sa ligne téléphonique ne fonctionnant pas, ce n’est que quatre jours plus tard que la mère s’est aperçue que sa fille avait disparu, après avoir pu joindre son mari.  Dans cette région très froide de la Sibérie, et habitée par des loups et des ours, les habitants du village avaient peu d’espoir de retrouver l'enfant vivant





"Les nuits sont très froides ici et dans certains endroits les températures sont descendues en dessous de zéro. En serrant son chien contre elle, nous pensions que cela lui laisserait une chance d’avoir chaud durant la nuit et de survivre. C’est pour cela que quand le chien est revenu, nous avons pensé: "C’est fini", a témoigné Afanasiy Nikolayev, le porte-parole des services de secours de la République de Sakha . Mais leur voeu a été exhaussé : "le chien nous a montré le chemin et le lendemain matin, Karina était retrouvée", a-t-il ajouté. La petite fille a survécu à la faim et à la soif en mangeant des baies sauvages et en buvant l’eau d’une rivière. 

Le puits le plus profond jamais foré sur terre.

Un peu plus de 12 kilomètres, c’est la profondeur du puits foré en Russie (En plein centre du désert de Karakoum) en 1970. Le but du projet était l’étude de la limite entre la croûte terrestre et le manteau de la Terre. Il était prévu d’atteindre 15 kilomètres de profondeur mais le projet a été arrêté pour des limites techniques du à la température élevé des roches. De nombreuses rumeurs sur ce puits ont circulé sur Internet, décrit comme le trou de l’enfer, des articles affirment des enregistrements étranges et des apparitions de créatures à la surface du forage.  Un groupe de géologue après avoir foré un trou d'environ 14.4 kilomètres de profondeur dirent qu'ils ont entendu des cris humains. Les cris perçants des âmes condamnées de l'enfer. Les scientifiques terrifiés ont eu peur d'avoir lâché les forces maléfiques de l'enfer jusqu'à la surface de la terre. Cette rumeur a circulé sur Internet, preuves sonores à l'appui...