Enfance, les années scolaires, les vacances, temps de l’insouciance.
Adolescence, le temps de tous les doutes et de tous les rêves.
Fiançailles, le temps de beaucoup d’espoir.
Jeunes mariés, le temps d’adaptation, de découverte de l’autre, de la douceur de la présence.
Futurs parents, le temps d’attente heureuse, d’élaboration de projets.
Jeunes parents, le temps d’adaptation, d’émerveillement. Activités professionnelles, activités familiales, activités religieuses, le temps de l’engagement tous azimuts.
Parents mûrissants, le temps des examens et des choix professionnels des enfants, le temps de leur installation ailleurs.
Parents grisonnants, temps de la retraite -super active, comme il se doit-, des retrouvailles à deux -très plaisante, malgré le vide laissé par l’envol des enfants.
Parents aux forces qui diminuent, aux projets plus rares et aux souvenirs plus nombreux, le temps de la nostalgie, des regrets ?
Oui, je l’avoue, j’ai du mal avec le temps qui passe, …et qui passe trop vite.
Pourtant, j’ai profité pleinement de tous ces temps différents que Dieu dans sa bonté m’a accordés et je les ai vécus intensément.
Ils ont été enrichissants et épanouissant, parfois éprouvants, décevants, mais vécus dans la présence du Seigneur.