Les courses de chameaux est un sportpopulaire auMoyen-Orientdepuis des années.
Vous serez surpris, mais ces animauxpeuvent courir jusqu'à40km/h. Les gagnants reçoiventdes prix en argent, des voitures et même despoignardsd'ornement.
Une tempête de sable assombrit la piste
de course de Dubai.
Les chameaux arrivent pour le début de la course.
Les chameaux et leur maître doivent parfois
traverser des tempêtes de sable pour
se rendre au Dubai Camel Racing Club.
De petit jockey-robot sont placés sur le dos
des chameaux. Ces appareils sont capables
d'absorber les chocs et sont équipés
de système de répérage GPS.
1, 2, 3, GO. Les chameaux se mettent à courir
rapidement, sous les cris de leur maître.
Un homme attend le début de la course à Dubai.
Des propriétaires de chameaux arrivent
avec leurs bêtes. Un bon chameau de
course peut valoir jusqu'à 1 million $.
Un jockey-robot fouette l'animal.
Avant, des enfants très jeunes montaient les
chameaux, mais cette pratique a été
abandonnée en 2002. Aujourd'hui,
des jockey-robot sont utilisés.
Ces hommes tentent de contrôler un chameau
qui court dans la mauvaise direction,
lors d'un entraînement avant la course.
Stationnement. Un chameau est attaché à un poteau
après une course au Dubai Camel Racing Club.
Les chameaux en pleine course dans une tempête de sable.
- Dans la rue, les transports en
commun, calme, propreté et « respect » sont de mise.
- Ne jamais faire perdre la face à
un Japonais, surtout en public.
- Ne jamais embrasser un Japonais ou
une Japonaise en public.
- On ne se parfume pas. C'est
considéré comme une volonté, un peu vulgaire, de s'individualiser par rapport
au groupe.
- Pour se désigner, nous avons
l'habitude d'indiquer notre poitrine d'un signe de la main. Les Japonais
préfèrent montrer le bout de leur nez avec leur index.
- On est propre vis-à-vis de soi,
tout d'abord. On est propre vis-à-vis des autres, ensuite.
- On ne dévisage pas les gens. Tous
les regards, y compris à la dérobée, sont monnaie courante, mais regarder dans
le blanc des yeux quelqu'un au Japon, c'est le provoquer.
- Au Japon, tous les looks sont
permis, du moment qu'ils sont propres.
- Vie de couple : au Japon, sauf
pour les enterrements, les mariages et les fêtes, un couple ne sort jamais
ensemble.
- Trois « bonjour » existent au
Japon : ohayô (matin), konnichiwa (après-midi), konbanwa (soirée). Un seul « au
revoir » : sayonara.
- Il est de coutume de se
présenter... et, avant cela, de s'annoncer au Japon. Les Japonais savent
parfaitement improviser, mais « entre copains et copines ». Ailleurs, ils
prévoient longtemps à l'avance.
- On acquiesce beaucoup lors d'une
conversation. C'est parfois un signe d'adhésion, mais beaucoup plus souvent une
marque d'intérêt.
- Les Japonais peuvent être
bruyants, mais « chez eux » ou « entre amis ».
- On se déchausse avant d'entrer
chez son hôte ou dans un ryokan. Vous laisserez vos chaussures à l'entrée.
- On balaie devant sa porte... et
aussi (un peu) devant celle de son voisin.
- On tient la tasse de thé avec les
deux mains (l'une en dessous, l'autre sur le côté).
- À table, ne pas planter les
baguettes dans le riz ! On ne plante les deux baguettes dans la céréale
nationale que lorsque quelqu'un est mort... Évitez aussi de transmettre de la
nourriture de baguettes à baguettes : cela fait également référence aux rites
funéraires bouddhiques.
- Le respect de l'« au-delà ». La
mort est l'« affaire » du bouddhisme au Japon.
Aussi, dans les temples
bouddhiques, soyez digne et au courant des quelques gestes qui peuvent
éviter... le ridicule. Si vous achetez un bâtonnet d'encens, ne vous promenez pas
avec ! Plantez-le dans la grande urne prévue à cet effet. Vous pouvez aussi
adresser une prière au dieu du temple : faites d'abord votre offrande,
généralement de la menue monnaie, puis frappez deux fois légèrement dans vos
mains et... vous êtes prêt pour la prière.
- Dans les sanctuaires shinto, les
conseils sont les mêmes ou presque.
- Un dos droit est synonyme de bonne
éducation, de bon maintien.
- Ne pas traverser les rues à tort
et à travers : les Japonais respectent les feux et les signalisations.
- Ne jamais arriver les mains vides
chez quelqu'un. Le cadeau représente un aspect essentiel de la culture
japonaise.
- Les photos, en général, sont autorisées
dans les temples comme dans les sanctuaires.
- D'innombrables superstitions
prévalent au Japon. Deux en particulier sont à retenir. On évite les chiffres 4
et 9.
Au moment où le soleil se couche et laisse place à la pénombre de la nuit, pendant un bref moment, les deux se touchent et créent des couleurs et des nuances à couper le souffle. Loin du coucher du soleil classique, qui avouons-le est tout aussi magnifique, certains endroits du monde offrent un spectacle que seule dame nature est capable de produire.
Tanah Lot Temple, Bali
Tanah Lot est une formation rocheuse située dans l’île indonésienne de Bali. Elle abrite un temple de pèlerinage appelé le Tanah Lot Temple. Au-delà du style architectural du temple, les couchers du soleil sont connus pour être éblouissants dans cette partie de l’île.
La Laponie (Finlande)
On pourrait dire que le coucher de soleil dure plusieurs mois en Laponie... et tant mieux, tant le spectacle des rayons sur la neige immaculée demeure une expérience unique pour le voyageur.
Le Connemara (Irlande)
Exposée plein ouest, cette région mythique de l'Irlande, encore sauvage et préservée, offre le décor idyllique pour des couchers de soleil mémorables... le dégradé ds nuages ajoute une touche au spectacle !
Le Sahara
L'expérience du grand désert est incomparable, et celle du soleil déclinant sur cette mer de dune vaut tous les couchers de soleil de l'océan !
Le Taj Mahal (Inde)
Le monument de marbre le plus célèbre d'Inde se décline sur tous les tons à mesure que le soleil rejoint l'horizon : le Taj Mahal offre alors un spectacle époustouflant !
Le Mont-Saint-Michel (France)
Pas la peine de partir au bout du monde pour un magnifique coucher de soleil : le Mont-saint-Michel et sa baie, quand vient le crépuscule, s'embrasent des rayons de l'astre solaire... sous son plus beau jour !
Agadir, Maroc
Agadir est connu pour sa longue plage de sable. Ici, le soleil brille abondamment, situation idéale pour de longues heures de farniente... jusqu'au bout, lorsque le soleil encore chaud décline sur l'Atlantique.
Ibiza (Baléares)
Les couchers de soleil d'Ibiza s'apprécient d'autant plus qu'ils marquent le début des festivités nocturnes, comme le coup d'envoi de tous les excès.
Istanbul (Turquie)
Prenez la peine de passer sur la rive asiatique du Bosphore ; au bord de l'eau, face à l'occident, le soleil se perd derrière les innombrables minarets... la ville affiche alors une beauté décuplée.
Moorea (Polynésie française)
Un coucher de soleil sur le Pacifique justifie à lui seul le long voyage qui mène à Moorea, à l'autre bout du monde et sous la chaleur des tropiques...
Santorin (Grèce)
Santorin dans les Cyclades, l'un des couchers de soleil les plus connus du monde... le contraste de couleurs entre le ciel, le rouge des falaises, le blanc des maisons et le bleu profond de la mer est sans commune mesure.
A l’occasion de la fête de Noël, le temps est venu de chasser les chagrins,
les soucis et les douleurs et pour laisser place à l’amour, la joie et la bienveillance !
Je vous souhaite de merveilleuses fêtes de fin d’année,
en espérant que tous vos voeux soient exaucés.Joyeux Noël !
C’est Noël… Souriez, rêvez, donnez, partagez, faites des voeux ! Le temps est venu de croire en la magie des jours de fête ! Joyeux Noël à tous et à toutes !
Aujourd’hui, grâce à une application high tech, chaque enfant peut consulter en direct l'itinéraire suivi par le Père Noël et vérifier qu’il prendra bien la route de leur maison avant la fin des fêtes. Mais que de chemin parcouru avant d’en arriver là ! La date du 25 décembre remonterait à un culte perse tandis que le personnage viendrait de Turquie. L’histoire de ce gros bonhomme à la longue barbe blanche vêtu de fourrure rouge demeure un mystère. C’est un conte merveilleux de plus de 2000 ans…
Tout débute au IVe siècle avant la naissance de Jésus Christ, au sein d’une religion perse parmi des centaines d’autres : le mithriacisme. Ce culte mystérieux vénère le dieu Mithra, né d’une pierre près d’une source sacrée ; sous un arbre lui aussi sacré (notre futur arbre de Noël ?...). Mithra, représenté coiffé d’un bonnet phrygien et tuant un taureau, est un dieu bienveillant qui protège les justes.
Le 25 décembre - qui coïncide à peu près avec le solstice d’hiver -, les adeptes du mithriacisme fêtent la naissance de ce dieu. Le culte va se propager au sein de l’empire romain qui entend bien se l’approprier à sa convenance.
Mithra fait des envieux. Ou inquiète. L’empereur Aurélien, lucide quant à l’influence de Mithra sur son peuple, crée le culte du Soleil invaincu, Sol Invictus, pour supplanter les Perses. Il décrète en 274 que le 25 décembre serait jour de fête dans son empire.
En 354, pour contrer toutes les célébrations impies en Orient comme en Occident, c’est au tour du pape Libère d’exiger que le 25 décembre soit le jour de la naissance de Jésus. Depuis plusieurs siècles, personne ne s’est opposé à ce choix unilatéral et le 25 décembre, venue d’un enfant oblige, est depuis associé à la fête des enfants.
Le Brésil vient en effet de créer une nouvelle sorte de remise de peine. Les détenus des prisons fédérales pourront réduire la longueur de leur peine grâce à la lecture ou au pédalage. La décision du gouvernement prévoit quatre jours par livre lu avec un max de 48 jours par an ou trois jours de pédalage pour produire de l’électricité contre un jour de remise de peine.
Un livre lu vaut quatre jours de prison en moins
Outre ses avantages innombrables, la lecture pourra devenir plus bénéfique encore, surtout pour les détenus brésiliens. Au Brésil, en effet, certains détenus auront le droit d’être libérés de prison plus tôt… s’ils lisent un maximum de livres.
Le gouvernement brésilien a mis en place, dans 4 prisons fédérales, un projet intitulé «Rembolso a través de la lectura» [remboursement à travers la lecture]. Le programme prévoit de réduire de 4 jours la peine d’un détenu pour chaque livre lu.
Les règles sont simples. Les prisonniers disposeront de quatre semaines pour lire un livre. A l'issue de cette lecture, ils devront rédiger une petite dissertation "avec un usage correct des paragraphes, sans corrections, des marges et une écriture intelligible et compréhensible", a précisé une note publiée par le Journal officiel brésilien; rapportée par les médias.
Pour bénéficier de ce traitement de faveur, les détenus doivent avoir au préalable été sélectionnés par un jury composé de professionnels. Les détenus sélectionés auront le choix de lire un total douze œuvres allant de la philosophie, à la science en passant par les grands classiques de la littérature.
Faire du vélo pour réduire sa peine de prison.
Le développement durable est parait-il l'affaire de tous. Et cela arrange bien les prisonniers de Santa Rita do Sapucaí au Brésil, qui ont obtenu de pouvoir réduire leur peine en échange de coups de pédale écolos.
Pour trois journées d'exercice passées sur les vélos de la prison, reliés à des batteries qui se chargent grâce à des courroies, chaque volontaire est récompensé par une journée de détention en moins par rapport à sa peine prévue.
Les batteries en question, une fois chargées, servent à alimenter la dizaine de lampadaires placés autour de la prison. A terme, l'objectif est d'éclairer une avenue entière.
Tout le monde est content : les détenus, motivés par l'enjeu et qui se sentent "plus important et plus utiles", et le directeur de la prison, satisfait "qu'il fassent de l'exercice, perdent du poids".
Le Brésil vient en effet de créer une nouvelle sorte de remise de peine. Les détenus des prisons fédérales pourront réduire la longueur de leur peine grâce à la lecture ou au pédalage. La décision du gouvernement prévoit quatre jours par livre lu avec un max de 48 jours par an ou trois jours de pédalage pour produire de l’électricité contre un jour de remise de peine.
Les Berbères (en berbère : Imazighen, et au singulier Amazigh, sont un ensemble d'ethnies autochtones d'Afrique du Nord. Ils occupaient, à une certaine époque, un large territoire qui allait de l'Ouest de la vallée du Nil jusqu'à l'Atlantique et l'ensemble du Sahara et y fondèrent de puissants royaumes, formés de tribus confédérées. Connus dans l'Antiquité sous les noms de Libyens, Maures, Gétules, Garamantes ou encore Numides, ils connurent ensuite la conquête romaine, la christianisation, l'invasion vandale, la conquête arabe et la conversion à l'islam.
Le plus connu des royaumes berbères fut la Numidie avec ses rois tels que Gaïa, Syphax et Massinissa. On peut aussi parler de l'ancienne Libye ainsi que des tribus connues tels que les Libus, et les XXIIe et XXIIIe dynasties égyptiennes, qui en sont issues. Il y eut aussi des expansions berbères à travers le Sud du Sahara, la plus récente étant celle des Touaregs et la plus ancienne celle des Capsiens.
Plus réduites, les zones berbérophones d'aujourd'hui sont inégalement réparties, majoritairement au Maroc et en Algérie ainsi que dans une moindre mesure en Libye, Tunisie et Égypte. Les langues berbères forment une branche de la famille des langues afro-asiatiques. Autrefois, leur alphabet était le Tifinagh, encore utilisé par les Touaregs.
Les Berbères constituent donc une mosaïque de peuples de l'Égypte au Maroc, se caractérisant par des relations linguistiques, culturelles et ethniques. On distingue plusieurs formes de langues berbères : chaoui, chleuh, rifain, chenoui, kabyle, mzabi, zenati, tamasheq sont les plus importants composants du Tamazight (c'est-à-dire « langues des Imazighen »). À travers l'histoire, les Berbères et leurs langues ont connu des influences romaines, puniques, arabes, turques ou encore françaises, ce qui fait que de nos jours, sont appelés officiellement « berbères », les ethnies du Maghreb parlant, se considérant et se réclamant berbères.
Cependant le terme berbère est un exonyme qui n'est pas forcément reconnu par certains berbèrophones qui lui préfèrent les variantes du terme Amazigh (pl Imazighen).
Selon Charles-Robert Ageron, « dans l'usage courant, qui continue la tradition arabe, on appelle Berbères l'ensemble des populations du Maghreb »
À l'origine, le terme barbare — emprunté en 1308 au latin barbarus, lui-même issu du grec ancien βάρϐαρος bárbaros (« étranger ») — était un mot utilisé par les anciens Grecs pour désigner d'autres peuples n'appartenant pas à leur civilisation, dont ils ne parvenaient pas à comprendre la langue. Bárbaros n'a à l'origine, aucune nuance péjorative, il signifie simplement « non grec » ou plus largement toute personne dont les Grecs ne comprennent pas la langue, quelqu'un qui s'exprime par onomatopées : « bar-bar ».
Le nom de Berbère apparaît pour la première fois explicitement après la fin de l'Empire romain. La pertinence de son usage pour la période précédente n'est pas admise par tous les historiens de l'antiquité.
L'usage du terme s'est répandu à la période suivant l'arrivée des Vandales lors des grandes invasions. Qualifiés de Barbares par les Romains d'Afrique romaine, les Vandales proviennent de la péninsule Ibérique. Sur les hauteurs à l'Est de la Numidie fut assemblée la coalition numido-vandale, qui prit Carthage et supprima l'influence de Rome dans toute l'Afrique. Le récit du consul romain en Afrique de l'époque utilisa pour la première fois le terme « barbare » pour décrire les Numides.
Les historiens arabes adopteront à leur tour plus tard le mot « barbares » (en arabe : بَربَر , prononcé [bærbær]). Les Européens nomment Barbarie la côte des Barbaresques
L'équivalent en berbère est Imazighen (Imaziγen), pluriel de amazigh, dont l'étymologie n'est pas connue avec certitude. Selon une version fréquente, il aurait le sens d'« Homme libre ». Cependant, l'utilisation actuelle du verbe "Zegh" (Se rebeller, Sévir) dans certains dialectes, Figuig par exemple, pourrait faire penser plutôt au mot rebelle. Une rébellion néanmoins organisée, vue le rattachement du préfixe /m/ au verbe, ce qui donnerait "mzegh" comme racine. Ce dernier radical est synonyme de se rebeller en compagnie de quelqu'un (En groupe). Il y a encore dans la même ville le verbe m-n-zegh formé du radical (Zegh) et de la combinaison de deux préfixes /m/ et /n/, qui, lui, veut dire rouspéter, être récalcitrant, et/ou ne pas se conformer aux ordres. Cependant, d'après Ibn Hazm et Ibn Khaldoun, le mot Amazigh désignerait le patriarche du peuple berbère, dans la généalogie établie par ces deux historiens.
Il est encore nécessaire de doter le Maroc ? Au cours des dernières années , ce pays est une destination touristique . A quelques heures de vol de l'Europe , le Maroc et présente de nombreux avantages : océan , mer, paysages de montagne et le désert sont incroyablement variés .
Carrefour des civilisations entre l'Europe et l'Afrique , le Maroc est connu pour la richesse de ses cultures andalouses et arabes aussi maures touchés architecturaux. Empire villes , villages berbères , des mosquées magnifiques, villes anciennes : le Maroc ne manque pas les installations sont incroyables .
Mystique a été trouvé , même dans les peintures et épicé , coloré et délicieux. Et a révélé de nouvelles saveurs à chaque fois que nous sommes allés à la table des négociations . Et chaque fois que nous redécouvrons Maroc.
Du nord au sud , d'est en ouest , surpris Maroc. Entre modernité et la pauvreté, entre le désert et les vallées verdoyantes , et le pays n'est pas prêt pour la variation. Mais au Maroc , c'est aussi et surtout la découverte de ses habitants , chaleureux et attachants.
Le 9 décembre dernier, une colombienne de 84 ans est arrivée à l’hôpital Tunjuelito à Bogota pour des douleurs abdominales. Les médecins ont tout d’abord pensé à des calculs biliaires ou à une gastro-entérite. Mais après avoir réalisé une radiographie de l’abdomen, ils ont trouvé une étrange tache blanche avant de constater la présence d’un fœtus de 32 semaines. Conçu il y a plus de 40 ans, celui-ci s’était fossilisé!
La dame âgée, en accord avec sa famille, va subir dans les jours qui suivent une intervention chirurgicale à haut risque pour lui extraire ce fœtus principalement constitué de tissus morts.
« lithopédion » ou « bébé pierre »
Ce phénomène très rare, connu sous le nom de « lithopédion » ou « bébé pierre », se produit lorsque le fœtus se développe dans l’abdomen au lieu de se développer dans l’utérus. Cette grossesse extra-utérine n’arrive évidemment pas à terme mais surtout le fœtus mort non expulsé n’est pas diagnostiqué. Par la suite le fœtus se calcifie dans le corps de la mère, c’est-à-dire qu’il se convertit en sels de calcium insolubles, puis se «fossilise».
290 cas recensés dans le monde
Seulement 290 cas ont été recensés dans le monde. Les derniers ont été recensés dans les années 2000 au Maroc, en Afrique du Sud et en Chine. La première, une Marocaine de 75 ans, avait un fœtus fossilisé de 46 ans ; la seconde, une sud-africaine de 80 ans en avait un de 40 ans. Enfin, plus incroyable, la chinoise âgée de 92 ans portait un fœtus depuis 61 ans.
Le Nigeria ou Nigéria, sous sa forme longue : République fédérale du Nigeria, en anglais Federal Republic of Nigeria, est un pays d'Afrique de l'Ouest situé dans le golfe de Guinée. Avec plus de 170 millions d'habitants en 2012, le Nigeria est le pays le plus peuplé d'Afrique et le 7e pays le plus peuplé au monde.
Le Nigeria est limité à l'ouest par le Bénin, au nord
par le Niger et le Tchad, à l'est par le Cameroun.
Le Nigeria est membre de
l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et du Commonwealth.
Le Nigeria est un État fédéral qui
se compose de 36 États (Abia, Adamawa, Akwa Ibom, Anambra, Bayelsa, Bauchi,
Benue, Borno, Cross River, Delta, Eboniyi, Edo, Ekiti, Enugu, Gombe, Imo,
Jigawa, Kaduna, Kano, Katsina, Kebbi, Kogi, Kwara, Lagos, Nassarawa, Niger,
Ogun, Ondo, Osun, Oyo, Plateau, Rivers, Sokoto, Taraba, Yobe et Zamfara),
auxquels s'ajoute le Territoire fédéral de la capitale.
Pays le plus peuplé d'Afrique, le
Nigeria est un État fédéral formé d'ethnies variées, avec trois grands groupes
dont les différences culturelles et religieuses suscitent des antagonismes
vivaces : les Haoussa et les Peuls dans le Nord, presque exclusivement
musulmans, les Yoruba dans le Sud-Ouest, chrétiens ou islamisés, et les Ibo
dans le Sud-Est, surtout chrétiens et animistes.
Le Nigeria s'étend de 4° à 14° de
latitude nord. Il en résulte une grande diversité des milieux naturels.
Malgré une production de pétrole importante, le Nigeria demeure un pays relativement pauvre, en raison notamment d'une très forte corruption. La valeur de son PIB total le place à la deuxième position en Afrique en 2008, derrière l'Afrique du Sud et devant l'Égypte. Les dernières élections qui se sont déroulées en avril 2011 ont été reconnues par la communauté nationale et internationale comme les plus libres, équitables et transparentes depuis l'indépendance du pays en 1960.
Depuis 1991, la capitale du Nigeria est la ville nouvelle d'Abuja. Le pays fait partie de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO). Ses habitants sont les Nigérians.
Armoiries du Nigeria.
Drapeau du Nigeria
Devise nationale : Unity and Faith, Peace and Progress
(en français : Unité et Foi, Paix et Progrès)
Hymne national : Arise Oh Compatriots, Nigeria's Call Obey
Langues officielles : Anglais
Langues nationales :
-Haoussa
-Igbo
-Yoruba
Capitale : Abuja, 9° 10′ N 7° 10′ E
Plus grande ville : Lagos
Superficie totale : 923 768 km2
Superficie en eau : 1,4 %
Fuseau horaire : UTC +1
Indépendance :Du Royaume-Uni, Date : 1er octobre 1960