Doux, attentionné, vif, fidèle... Le chien a fait sa place dans la vie de l'homme il y a des centaines de milliers d'années pour ne plus jamais en sortir. Fidèle, joueur, protecteur... «Le meilleur ami de l'homme» a fait son entrée dans la vie domestique dans une société paléolithique. Comme une destinée, le chien a accompagné l'homme dès les premières heures de sa civilisation. Dès qu'il est devenu sédentaire, l'homme a ressenti le besoin de faire une place au chien. Animal de travail ou véritable membre de la famille, il est la première espèce animale à avoir été domestiqué par l'Homme. Un animal fidèle Peu à peu, le chien a alors quitté ses origines génétiques qui le reliaient au loup. Il y a 100 000 ans se sont ainsi dessinées les races. Du Bouledogue anglais ou français au Pitbull en passant par le Yorkshire ou encore le Spitz et le Dogue allemand, tous ont fini par s'identifier à une race précise. Selon celle-ci, le chien s'adapte plus ou moins à un climat et à un certain caractère. Certains préfèreront câliner leur maître tranquillement installés dans un canapé tandis que d'autres préfèreront courir à travers forêt pour attraper un lapin. Mais s'il y a une chose que tous les chiens partagent quelle que soit leur race c'est la fidélité à leur maître.
Cet été, vous pourrez vous promener pieds nus et mettre vos sandales de côté grâce à ces semelles nouveau genre: NakeFit. Créées en Italie, les semelles NakeFit à usage unique sont conçues pour vous permettre de vous déplacer sur tous les types de surfaces sans craindre les blessures, tout en profitant du plaisir d'avoir les pieds libérés de toutes chaussures.
Vous les collez sous vos pieds, puis pouvez vous balader sur le sable brûlant, les rochers glissants et même sur l'asphalte parsemées de cailloux. L'ambition des inventeurs est de remplacer les flips flops, rien de moins !
Des chercheurs ont fait la découverte d'une
certaine espèce de ver capable de manger et digérer le plastique. On
tient peut-être là une arme contre la pollution des objets en plastique.
Pour se débarrasser du plastique, on a tout essayé : en faire des pulls
(c'est pas dingue), le brûler (ça pollue), l'abandonner en forêt (ça
pollue), en faire cadeau aux poissons (ça pollue), le recycler de
diverses manières (mais c'est toujours du plastique).
Le ver de cire, un gourmand caché dans la ruche, a la capacité de manger le plastique, et surtout de
le digérer sans problème. Cette découverte faite récemment pourrait
bien permettre un bond en avant dans l'élimination des matières
plastiques qui polluent actuellement terres et océans.
La larve d'un insecte assez commun, le galleria mellonella (fausse teigne de la cire, en français), peut biodégrader un des plastiques les plus résistants qui existent : le polyéthylène.
Si on le met dans un sac en plastique, il en ressort en 20 minutes.
Habituellement, ce ver consomme de la cire, qui est, comme le plastique,
un polymère. Son estomac est donc habitué à traiter ce genre d'aliment.
Actuellement, la présence de plastique dans la nature pose d'énormes
problèmes. Les forêts, les océans, les montagnes regorgent de sacs,
bouteilles et autres objets qui dégagent des matières toxiques en se
décomposant, très lentement d'ailleurs. Un sac plastique, par exemple,
ne disparaît complètement qu'en 450 ans.
Il a été nommé mercredi prince héritier par un décret royal. Le fils préféré du roi Salmane remplace son cousin. Récit d'une ascension rapide.
Le roi Salmane d’Arabie saoudite a nommé mercredi par décret son fils Mohammed nouveau prince héritier, en remplacement de son cousin Mohammed ben Nayef, limogé. Le jeune prince âgé de 31 ans confirme ainsi son ascension fulgurante depuis qu’il a été nommé ministre de la Défense. L’expert américain Bruce Riedel, de la Brookings Institution, le qualifiait, en février 2015, de « prince à suivre », « agressif et ambitieux ». À 30 ans (il est né à Djeddah en 1985), Mohammed Ben Salmane avait alors été promu ministre de la Défense de l’Arabie Saoudite et n° 2 dans l’ordre de succession, derrière Mohammed Ben Nayef.
Pouvoir et influence
En 2016, c’était déjà l’heure de gloire pour le prince, coqueluche des médias, encensé sur Twitter par une jeunesse qu’il arrose via ses multiples fondations. On voyait « MBS » plastronner avec les généraux, devant des cartes d’état-major ou au chevet des premiers blessés. Le jeune ministre, qui se targue de « dix ans d’expérience dans le privé » - sans fournir de détails - volait aussi à Moscou, où Poutine le recevait avec égards, et traitait avec François Hollande et Jean-Yves Le Drian pour négocier des achats d’armes au profit des alliées des Saoudiens.
Aujourd’hui, à 32 ans, le fils préféré du roi Salmane, 80 ans, monté sur le trône en janvier 2015, vient d’être propulsé au rang de prince héritier, supplantant Mohammed Ben Nayef, qui a été pendant des années chargé des services du contre-terrorisme du pays et qui est relevé de toutes ses fonctions. Il a réussi à avoir un pouvoir et une influence extraordinaires en très peu de temps. Si la promotion de Mohammed Ben Salmane était attendue dans les cercles proches du pouvoir saoudien, la rapidité de son ascension et de la mise à l’écart de ses cousins plus en vue n’en a pas moins surpris. Elle intervient après deux années et demie de profonds changements dans le royaume.
Homme de changement et de pouvoir
Ainsi « MBS » a lancé Vision 2030, un vaste plan de réformes destiné selon ses propres termes, à mettre fin à « l’addiction au pétrole » du pays et à s’attaquer enfin aux défis de long terme que Riyad n’était pas parvenu à régler. Il a aussi la haute main sur Aramco, la première compagnie productrice de pétrole au monde dont il préside le conseil de surveillance. Ce qui en fait le premier membre de la famille royale à superviser directement la compagnie pétrolière nationale, longtemps chasse gardée de technocrates. Il dirige aussi le Conseil pour les affaires économiques et de développement, qui réunit chaque semaine les ministres en charge des questions économiques et sociales, touchant aussi bien à l’éducation qu’à la santé ou au logement.
Le risque yéménite
Ministre de la Défense depuis 2015 (portefeuille qu’il conserve), « MBS » supervise l’un des plus gros budgets militaires au monde. Le pays, qui consacre 10 % de son PIB à sa défense, arrive en 4e position derrière les USA (son principal fournisseur d’armement), la Chine et la Russie. Comme ministre de la Défense, il est surtout l’artisan de l’intervention saoudienne sans précédent lancée au Yémen en 2015. Une opération qui s’enlise, qui bute sur la détermination des combattants houtistes appuyés par Téhéran et qui est entachée de nombreuses bavures et de lourdes pertes civiles. Conséquences de ce possible fiasco : l’ambition saoudienne d’affirmer sa suprématie régionale est à la peine, tout comme la volonté de Ryad de contrecarrer les manœuvres iraniennes. Mohammed Ben Salmane sera tenu pour responsable en dernier ressort de l’issue de cette opération militaire un peu oubliée par la communauté internationale, toute à sa lutte contre Daech et les réseaux terroristes.
Tous les anciens jdidis ont le coeur brisé de voir cet hôtel riche de son histoire abriter aujourd'hui que des oiseaux "IBIS" comme seul occupant de cette memoire touristique merveilleuse...
C’est l’ex- hôtel Marhaba s’étendant sur près de 5 hectares. Un hôtel prestigieux, impérial et historique. Historique parce qu’il a été témoin de plusieurs événements historiques du temps du protectorat et à l’indépendance.
Historique parce qu’il a été la destination privilégié du Libérateur et du père de la Nation feu S.M le Roi Mohammed V.
Témoin, donc, de mille et un événements historiques et intimes, ce patrimoine demeure la fierté de toute une ville et de toute une région. Mais des mains criminelles s’en sont accaparées, un certain jour dans une transaction louche, et l’ont transformé, au grand dam des bonnes âmes et sans prendre compte de sa valeur historique, en un lieu de déperdition, de débauche et de consommation de la bière « périmée ». Sans aucune pudeur ni pour son glorieux ni pour prestigieux passé. Et encore moins à ce qu’il signifiait et représentait pour toute une communauté marocaine, française et juive. Sans respect, aussi, à la mémoire de ceux qui en ont fait un bijou.
Cet hôtel réalisé, dans la station balnéaire d’El Jadida, s’insère dans une zone plantée d’eucalyptus, comprenant un parc au tracé ancien adossé à la plage, et offrant, ainsi, un cadre de verdure en bordure de l’océan. L’architecte a voulu offrir deux vues à la fois. Une sur le parc Mohammed V et une autre sur la mer pour donner à l’occupant de chaque chambre l’impression qu’il a toute la vue pour lui. Ceci, enfin, pour briser la monotonie en échappant à la forme rectangulaire et ce, en suivant l’implantation les courbes des allées du parc. Aujourd’hui, il est dans un piteux état de délabrement avancé. Emmuré, il est abandonné à son propre sort et à des mains sans scrupules qui l’ont dilapidé et pillé de tous ses biens singuliers. Comme il est le refuge de SDF et de vagabonds.
Pourtant, une lueur d’espoir pour sa résurrection était apparue un certain jour. Un groupe français l’avait acheté, en 2006, au liquidateur du ministère des Finances, en charge de la gestion des biens qui étaient encore en suspens de la société « Renaissance » et qui avait été liquidés. Une convention, entre les deux parties, avait été paraphée dès lors. Marhaba aurait été cédé pour un prix de 32,2 millions de dirhams. 250 autres millions de DH avaient été prévus pour sa transformation. Les nouveaux propriétaires envisageaient de réaliser un ensemble résidentiel senior. El Jadida marhaba.
Selon le plan présenté par l’architecte, l’architecture de l’hôtel existant serait préservée. Sa rénovation permettrait l’aménagement de 41 chambres, des suites, d’un restaurant-bar et d’une salle de conférences et de spectacles. De plus, un autre restaurant panoramique avec terrasse donnant sur l’océan serait édifié. Sur les terrains de l’immense jardin, seraient construits 70 riads à étage sur des superficies variables. 1O « dars » de 300 m2, 30 « douirates » de 200 m2 et 30 « douiriyates » de 140 m2.
Autour des riads, les investisseurs comptaient installer 7 piscines, un SPA, deux courts de tennis et un club house pour les jeux d’animation. De l’autre côté de l’hôtel, un autre restaurant sur 500 m2 serait aménagé avec une entrée directe depuis l’extérieur. Selon le projet, les voitures ne pourraient accéder à l’intérieur pour préserver la quiétude des lieux et sauvegarder l’environnement. Un parking devait être aménagé à l’entrée avec une capacité de 120 places. Des voitures électriques permettraient l’accès aux résidences et à l’hôtel. Selon des sources proches du groupe acheteur, les investissements seraient de l’ordre de 23 millions d’euros (près de 250 millions de DH). Le projet engendrerait 200 emplois directs et plus de 400 autres indirects. Le démarrage des travaux de construction et d’aménagement était prévu pour le premier décembre 2006 pour des délais de 14 mois. L’hôtel and resort seraient opérationnels en février 2008.
Le festival qui fait scandale : à Yulin, des milliers
de chiens et de chats sont massacrés chaque année.
Chaque année, la ville de Yulin en Chine célèbre le solstice d’été au travers d’un festival bien particulier : les habitants, conformément à une coutume de l’ethnie Zhuang, consomment durant le week-end (cette année, celui du 21 juin) de la viande de chien et de chat. Sur internet, la colère monte alors que des associations de défense des animaux dénoncent des conditions d’abattage atroces.
40 000 chiens et 10 000 chats seraient ainsi parqués dans des cages chaque année avant d’être tués à coups de bâtons, étouffés ou égorgés, puis dépecés. Une véritable boucherie à ciel ouvert pour de nombreux internautes. Ces deux dernières années, des affrontements ont eu lieu à Yulin entre les participants et des militants de la protection animale. De leur côté, les autorités locales interdisent seulement aux fonctionnaires de prendre part aux festivités et conseillent aux restaurateurs de rester discrets sur la mention « viande de chien ».
Dans l’affaire des manifestations d’Al Hoceïma, l’Etat est clairement le 1er fautif. L’affaire remonte à octobre 2016, lorsque le marchand de poisson, Mohcine Fikri, est mort broyé par une benne à ordures, alors qu’il tentait de défendre sa marchandise achetée illégalement (espadon interdit de pêche en cette période) et saisie lors d’un contrôle. La 1ère contestation à Al Hoceïma avait eu lieu en solidarité avec ce poissonnier.
Comment donc, alors que le Roi –en déplacement en Afrique- avait immédiatement réagi en dépêchant une délégation ministérielle auprès de la famille de Fikri et de la population d’Al Hoceïma, le gouvernement a-t-il pu laisser ensuite cette affaire s’enliser à ce point ? Comment, malgré les mouvements de contestation qui se sont exprimés SEPT MOIS DURANT, on a pu faire montre d’une telle négligence… Sinon, d’une telle lenteur… Ou bien d’une telle inconscience ? Entre le moment où a éclaté la crise et aujourd’hui, le gouvernement a changé. Du moins, a-t-il changé quelques-unes de ses têtes… Oui. Mais, la majorité qui est aux commandes aujourd’hui a beau jeu de se laver les mains de toute responsabilité dans le pourrissement de la situation à Al Hoceïma, expliquant à qui veut bien la croire que les six mois de blocage qu’a connu la formation du nouveau gouvernement sont la cause du retard pris dans la mise en œuvre du Plan quinquennal de développement de la province d’Al-Hoceima «Al-Hoceima, Manarat Al Moutawassit»… Cela ne dédouane en rien l’Etat qui doit assurer une continuité des chantiers lancés. Notamment quand ces chantiers ont été lancés par le Roi, comme c’est le cas pour «Al-Hoceima, Manarat Al Moutawassit» ; et quand ils revêtent un caractère aussi sensible. S’il est une leçon que les Etats, de par le monde, ont retenue des «Printemps arabes», c’est bien celle de prendre au sérieux une revendication populaire, dès qu’elle apparaît, si l’on ne veut pas la voir dégénérer et prendre des proportions incontrôlables. Avoir laissé la contestation d’Al Hoceïma s’enliser est une faute. Aujourd’hui, non seulement cette contestation a grossi et s’est trouvé un chef auto-proclamé, Nacer Zafzafi, qui a le profil idéal pour ruer dans les brancards (jeune, issu d’une famille proche de Abdelkrim El Khattabi, ambitieux…),
mais en plus, le cahier des revendications a également grossi, dépassant les strictes doléances d’ordre socio-économique, pour englober des exigences de démilitarisation de la région et de dialogue direct avec le Roi !
Mieux encore, la contestation qui s’est aussi donné un nom «El Herrak» (la mouvance) a un planning d’actions qui, selon les déclarations de Zafzafi, doivent aller crescendo après le Ramadan, avec une «manifestation à un million de participants» prévue pour juillet, les MRE originaires de la région y étant d’ores et déjà sollicités… Puisque c’est à l’Etat qu’incombe la faute de l’enlisement, c’est donc à l’Etat de faire aujourd’hui preuve de self-control. Il y a bien des voix qui s’élèvent, ici et là, pour appeler à la fermeté, voire au recours à la force, pour mettre un terme à l’intransigeance du «Herrak» et de son chef. De l’avis de tous les observateurs sensés, ce serait une erreur. Certes, l’Etat est aujourd’hui piégé. Obtempérer devant toutes les doléances des contestataires d’Al Hoceïma, peut saper son autorité et ouvrir le champ à tous les mécontents des autres régions du Maroc qui seraient tentés de suivre leur exemple. Par ailleurs, choisir le bras de fer lui fait courir un risque d’embrasement général. Cependant, il existe une solution dans ce genre d’«affaires». C’est celle qui est utilisée dans les démocraties: la solution qui passe par la négociation. Il n’y en a pas d’autre qui garantisse à la fois l’autorité de l’Etat et le respect des droits du citoyen. Les ministres qui se sont rendus à Al Hoceïma ont parfois été mal accueillis.
Normal. Après les promesses faites et les longs mois d’oubli qui les ont suivies, le fossé de méfiance est abyssal. Notamment dans cette région où les représentants de l’Etat autant que les élus ont tous échoué à gagner la confiance des habitants. L’Etat est donc appelé à faire preuve de self control, quelles que soient les provocations. D’autant qu’il a de bonnes cartes en main… Il y a les projets du Plan «Al-Hoceima, Manarat Al Moutawassit» dont l’enveloppe globale atteint près de 6,5 milliards de dirhams (MMDH), en plus du programme portant sur la réduction des disparités territoriales auquel ont été affectés quelque 3,4 MMDH. Soit des projets d’un montant global s’élevant à près de 10 milliards de DH…
Voici les principaux projets d'infrastructure prévus à Al Hoceima
Un centre hospitalier régional
Un grand stade
Le centre culturel
Le conservatoire
Le théatre
Il faudra juste prouver que, non seulement cette fois-ci les promesses seront tenues, mais également que les retards (pris depuis 2015, date du lancement du Plan) seront rattrapés…
Une chose est sûre, le nouveau gouvernement doit absolument retrousser ses manches et s’attaquer aux problèmes des citoyens marocains, dans tout le Maroc. La majorité qui a été élue l’a été pour ça. Et la patience de ceux qui souffrent est à bout.
Elle peut être aigu ë quand une plaie est rouge, chaude et douloureuse. Ou chronique et être responsable d’une crise goutte, de maladies dégénératives (alzheimer, parkinson, cancers…), du vieillissement de la peau ou du surpoids. "L’inflammation est un mécanisme de défense indispensable à l’organisme pour lutter contre des agressions étrangères variées telles que des infections dues à des virus ou à des bactéries. C’est également un processus de réparation et de guérison après une plaie. Or, l’alimentation joue un rôle clé dans le processus anti-inflammatoire.