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Quelques animaux les plus laids de la planète

La laideur est subjective et vous pourriez même les trouver très mignons. En outre, le rôle de chaque animal dans le monde naturel n’a pas une relation directe avec son aspect physique. Néanmoins, puisque vous voyez probablement passer plus de ‘chatons trop mignons’ que de ‘rats nus des sables’ ou autre, voici une galerie pour découvrir ces animaux méconnus.
Oiseaux, insectes, poissons, mammifères, tous les animaux passent dans cette galerie d’animaux laids. Sans poils ou au contraire hirsutes, difformes, monstrueux, des milliers d’espèces sont menacées d’extinction et jugées trop moches pour que les zoos et les scientifiques s’intéressent à elles. Pourtant, même les animaux hideux sont des acteurs essentiels à la biodiversité. Il est donc urgent de s’attaquer aux préjugés envers la faune et de protéger aussi les animaux qui ne sont pas mignons !

  • Le chlamydophore (tatou) tronqué rose

Le rose est généralement synonyme de distinction, mais le Pink Fairy Armadillo (Chlamyphorus truncatus) est lui absolument affreux. Ce petit tatou rose ressemble un peu à un petit oiseau sur la partie inférieure de son corps, avec son ventre doux et un nez en forme de bec. Cela ne l’empêche cependant pas de vivre sous la terre.
Il est capable de s’enterrer entièrement en quelques secondes lorsqu’il est effrayé. Son terrier est également souterrain et situé le plus souvent à proximité d’une fourmilière. L’Armadillo se nourrit de fourmis et de larves de fourmis, et on le rencontre dans le centre de l’Argentine.
  • Le rat-taupe nu
Pratiquement sans poils, le rat-taupe nu (nom scientifique : Heterocephalus glaber) possède de grandes incisives qui lui servent à creuser des galeries.


Végétarien, il vit sous terre dans des colonies organisées comme celles des insectes. Dans le groupe, une seule femelle, la reine, est reproductrice.
Le rat-taupe nu ressemble exactement à ce que son nom laisse présager : c’est un croisement entre une taupe et un rat, mais sans poils. Par dessus le marché, cette pauvre créature a la malchance d’être constamment assaillie par les parasites parce que son corps est dégarni. Il ne faut donc pas s’étonner du fait qu’elle n’ose sortir que de nuit. Cette petite bête vit en Afrique de l’Est, vous ne risquez donc pas d’en rencontrer dans votre jardin.

  • La rascasse barbue
Ce poisson doit son nom aux petites épines empoisonnées qui recouvrent son corps. Une piqûre de ces épines peut causer des blessures douloureuses. Heureusement, nous ne devons pas craindre que cette bête nous dévore : elle ne se nourrit que de crustacés et d’autres poissons.


La rascasse barbue vit surtout dans les mers tropicales, dans le Pacifique et la mer Morte. Ces animaux vivent sur le fond de la mer, où ils chassent leurs proies en leur tendant des pièges.
  • Le condor californien

Ce saprophage est le plus grand oiseau d’Amérique du Nord, mais aussi l’une des espères d’oiseaux les plus menacées au monde. Il est gracieux lorsqu’il fend les airs, mais de près, cet animal au cou et à la tête dénudés est un peu moins photogénique.
  • La Grenouille Pipa Pipa sans poumon
Cette grenouille Barbourula kalimantanensis sans poumon respire par la peau. Elle a été découverte en Indonésie, lors d’une expédition dans la province de Kalimantan sur l’île de Bornéo en août 2007.



Il s’agit de la première grenouille connue sans poumon, une caractéristique qu’elle partage notamment avec quelques espèces de salamandres.
« Cette grenouille est parmi les plus anciennes et bizarres que l’on puisse trouver » avec ses yeux proéminents, qui a tendance à s’aplatir en glissant sur l’eau. Le biologiste indonésien Djoko Iskandar l’avait aperçue pour la première fois il y a 30 ans et la cherchait depuis. Cinq expéditions précédentes ont été nécessaires pour la retrouver.
À noter que d’autres grenouilles respirent par la peau, comme la grenouille du lac Titicaca en Amérique du Sud, encore plus laide !


  • Le marabout
Le marabout ne gagnera pas non plus des concours de beauté. Son cou est chauve et on ne trouve sur sa tête que quelques plumes rigides qui ressemblent à une brosse. Sa gorge en forme de sac est d’une importance vitale pour lui.


Ce chasseur féroce mange aussi bien des animaux vivants que des cadavres. Lorsqu’il a très faim, il est même capable de s’attaquer à un flamant rose.


  • La hyène

La hyène est sans doute l’animal le plus connu de cette liste, mais certainement pas le plus beau (quoique). Heureusement, les hyènes ont le sens de l’humour et sont connues pour leur rire, même s’il est un peu effrayant et énigmatique.

  • L’éléphant de mer

Cette espèce protégée impressionne par son poids, sa narine en forme de trompe et ses grands yeux. L’éléphant de mer est un des plus gros mammifères de la planète. Le mâle peut peser jusqu’à quatre tonnes et mesurer pas loin de six mètres ! La femelle, en revanche, ne pèse en moyenne que 500 kg, soit trois à quatre fois moins que le mâle.
  • Le nasique
Rendu célèbre par Tintin dans Vol 714 pour Sydney, où le méchant Rastapopoulos lui est comparé, ce singe de Bornéo doit son nom à la taille de son tarin, qui peut descendre sous le menton chez le mâle.


Contrairement aux apparences, son nez démesuré est un atout. Plus il est long, plus le mâle nasique est séduisant ! Ce primate d’Asie a un autre signe particulier : c’est un excellent nageur. Le nasique vit dans les forêts pluviales de Bornéo.
  • Le corydale cornu

Insecte d’eau douce de l’est du continent américain, le Dobsonfly (son nom anglais) est très utile. Comme il tolère très mal la pollution de l’eau, c’est un bon indicateur environnemental.
  • La lotte
Aussi appelée crapaud pêcheur ou par son nom anglais monkfish, la lotte est un poisson sans écaille et sans arête. Il est très apprécié des consommateurs car sa chair est très délicate. Pour la vente, cependant, on lui enlève souvent la tête, pas très esthétique…
La lotte vit dans les fonds sableux ou vaseux des côtes d’Europe et d’Amérique, notamment de Provence.


Avec son aspect monstrueux, la lotte de mer (ou baudroie) est avec le loup de mer l’une des espèces de poissons les plus affreuses qui soient. Mais aussi l’une des plus délicieuses ! Il n’y a pas si longtemps, la lotte de mer était encore rejetée par dessus bord par les pêcheurs, qui étaient convaincus que ce monstre portait malheur. Il semble tellement grotesque qu’il arrive qu’on le confonde avec l’ange de mer, un animal sorti tout droit de la mythologie.
Il s’agit en outre d’un animal particulier : il se camoufle si bien que les autres poissons ne le voient pas. Il attend sa proie sur le fond de la mer. Sur sa tête, il a une longue et fine épine qu’il agite pour attirer les autres animaux, qu’il suce alors à l’intérieur de son énorme bec.

  • Le aye-aye
De la famille des lémuriens, le aye-aye est un animal très particulier : il a des incisives identiques à celles des rongeurs, de grandes oreilles qui ressemblent à celles d’une chauve-souris et une queue touffue comme celles des écureuils ! Le aye-aye, solitaire, vit dans les arbres à Madagascar où il mange des insectes et des fruits.
Il est considéré comme un animal maléfique dans la culture locale. Il faut dire que son look, mi-rongeur mi-chauve-souris, n’est pas très avenant.
Dans le dessin animé Madagascar, le aye-aye est très mignon. La population locale n’apprécie pourtant pas trop cet animal aux allures de gremlin. Les habitants sont en effet convaincus que le fait de voir un aye-aye porte malheur. Selon les légendes, le petit animal serait une sorte de messager du diable. Cela pourrait aussi jouer en sa faveur, puisqu’à Madagascar, personn
e ne le chasse pour le manger. Le aye aye est cependant menacé d’extinction.

  • Le condylure étoilé
Si une taupe n’est déjà pas très sexy, le condylure étoilé est lui carrément ignoble avec son museau muni de 22 tentacules qui lui servent d’organes tactiles. Privilégiant les terrains humides peu propices à l’agriculture, il croise rarement la route de l’homme. Il vit dans les marécages et terrains humides d’Amérique du Nord. Son physique peu amène ne l’empêche pas de posséder des qualités très utiles. Ses tentacules lui servent à se repérer et à manger.


Contrairement à ce que l’on a toujours supposé, certains mammifères terrestres sont capables d’utiliser leur odorat sous l’eau. Selon le biologiste Kenneth Catania, deux animaux au moins reniflent leur proie lorsqu’ils chassent sous l’eau : la taupe au nez étoilé et la musaraigne palustre. Il est probable que d’autres mammifères amateurs de plongée aient la même aptitude, selon Catania.
À cause de sa mauvaise odeur, il a très peu d’ennemis naturels.
  • La chenille à queue fourchue



Si la chenille n’est pas un animal effrayant ou moche en soi, la Cerura vinula, chenille dite à queue fourchue, a de quoi faire frémir lorsqu’elle adopte sa position d’intimidation en présence d’un prédateur. Heureusement, elle ne mesure que six centimètres…
  • Le poisson-dragon
La plupart des poissons des abysses sont munis d’un appendice phosphorescent pour se repérer dans l’obscurité. Ils émettent pour la quasi-totalité des lumières bleues et vertes, les couleurs qu’ils peuvent voir.
Le nom de poisson-dragon désigne en réalité plusieurs sortes de poissons des abysses, de l’ordre des Stomiiformes, qui possèdent une grande bouche terrifiante.
Le poisson-dragon Malacosteus est l’un des seuls poissons à posséder une lumière rouge, ce qui lui permet de voir ses proies sans être vu. Un poisson maléfique !

  • La tortue alligator
Oubliez les tortues toutes mignonnes de vos aquariums. Cette bestiole-là pèse jusqu’à 100 kilos et peut infliger des morsures sévères. La sociabilité dans toute sa splendeur…


Une taille imposante mais sa carapace hors du commun, recouverte d’épines, ne l’empêche pas de se dissimuler. Omnivore, la tortue alligator se trouve à l’état sauvage dans le sud-est des États-Unis.
  • Le grandgousier
Encore un poisson dans notre liste des animaux les plus laids ! Celui-ci mériterait de figurer dans un film de science-fiction.


Ses grandes qualités ? Rien de particulier, à part peut-être de pouvoir descendre jusqu’à 2.000 mètres sous le niveau de la mer.
  • Le poisson-lanterne

Il habite dans les fonds reculés des océans, là où la lumière du soleil ne parvient jamais.
Le poisson-lanterne possède son propre système d’éclairage : il peut par exemple modifier l’intensité de sa lanterne ou même la faire clignoter ! Aujourd’hui, on connaît plus de 250 espèces de poissons-lanterne.
  • Le panope-du-pacifique
Difficile de faire plus moche ! Le Geoduck – ou panope du Pacifique – n’a rien à voir avec un canard. Il s’agit en fait d’une sorte de trompe coincée entre deux coquillages.


Ce mollusque, qui vit dans le nord de l’océan Pacifique, peut peser jusqu’à 5 kilos et mesurer jusqu’à 80 cm. Ces animaux vivent en moyenne 150 ans, ce qui en fait l’une des espèces animales à l’espérance de vie la plus longue.
  • Le Cochon des mers (Scotoplanes)


Mi-cochon, mi-limace et re-cochon derrière, cette élégante créature présentant de troublantes similitudes avec un gant Mappa rempli de morve, est en réalité une sous-espèce de concombre de mer… Des membres, des tentacules, des antennes : sûrement le chaînon manquant.
  • Le lézard tatou
Ce petit lézard atypique (Cordylus cataphractus de son nom scientifique) vit en Afrique du Sud. Il a un corps épineux et rocailleux.


Sa particularité : il met sa queue dans sa gueule et se roule en boule pour se protéger. Ainsi, il ne craint plus les prédateurs et son ventre mou est à l’abri.
  • Le matamata
Les Matamatas ont une apparence fascinante. La tête, plate et triangulaire, ne rentre pas dans la carapace. Le nez est étiré et forme une sorte de trompe que l’animal peut sortir de l’eau pour respirer pendant que le reste du corps reste immergé.


Sa tête plate et son large cou présentent de nombreuses pustules et des appendices. La carapace est rugueuse et noueuse, et souvent recouverte d’algues, ce qui donne à l’animal l’aspect d’une pierre qui nage. Cette horreur se retrouve dans le nord de l’Amérique du Sud, dans les affluents de l’Amazone et de l’Orénoque.
  • Le mille-pattes géant
Cet insecte est très apprécié en élevage. Il est très répandu en Afrique de l’Est.


Contrairement à son nom, le mille-pattes géant ne possède « que » 256 pattes.
  • Le ouakari chauve

Ce singe à tête rouge fait parfois peur mais il est surtout très timide. Il vit en groupe en Amérique du Sud.
  • Le pangolin de Temminck
Ce mammifère vit en Afrique sud-saharienne. C’est une espèce rare et difficile à rencontrer. L’animal a été chassé pour ses écailles, qu’on dit aphrodisiaques. Il est également victime des incendies sur son habitat naturel.


Son corps étrange se termine par une très grande langue, avec laquelle il se nourrit de fourmis et de termites. Il est en voie d’extinction.
  • La myxine

Dépourvue d’écailles, la myxine a pour habitude de s’enrouler en noeud. Elle dévore les poissons de l’intérieur.
  • Bébé panda
Beau et grand à l’âge adulte, le panda, lorsqu’il naît, est tout petit, rose avec un duvet blanc.


À la naissance, le bébé panda mesure environ 16 cm et pèse 100 g. En grandissant, il peut atteindre 1 m 50 et peser 160 kg ! Le panda est une espèce en voie d’extinction.
  • Le poisson-lézard
Appelé poisson-lézard en raison de ses faux airs de reptile, ce prédateur redoutable, heureusement pas bien grand (30 cm en moyenne), possède une dentition hors du commun. Même sa langue est recouverte de dents acérées.

  • Le blobfish,
C'est un poisson des abysses, a été nommé plusieurs fois l'animal le plus moche de la planète.

Ces 19 animaux sont les plus moches de la planète
  • Le poisson-grenouille strié 
Il  n'a rien à envier à personne, ce qui lui donne un aspect assez étrange.

  • Le phacochère du désert ou Phacochoerus aethiopicus
Avec ses poils éparses et ses cornes, il n'est pas le plus bel animal africain.



  • Le Vautour oricou
Entre sa tête dénudée, son cou fripé et ses pattes plumées, le Vautour oricou n'est pas le plus beaux des rapaces

  • Le desman des Pyrénées
Il possède un museau insolite qui lui vaut le surnom de rat-trompette.

  • L'uranoscope à bordure blanche
C'est un poisson qui a pour habitude de s'enterrer ne laissant dépasser que ses yeux globuleux et sa bouche.

Il porte un masque en or pour se protéger du coronavirus

Il porte un masque en or pour se protéger du coronavirus 
Un Indien porte un masque en or pour se protéger du coronavirus .

Un indien a décidé d'apporter une touche luxueuse à son équipement de protection contre le Covid-19 en achetant un masque en or pour un montant équivalent à 4.000 dollars USD, mais il n'est même pas sûr de son efficacité contre la pandémie.
Les photos de Shandar Kurade (48 ans) ont fait la Une des journaux en Inde et sont devenues virales sur les réseaux sociaux avec son masque métallique circulaire assorti d’un collier en or.
« C’est un masque mince avec des trous minuscules pour qu’il n’y ait aucune difficulté à respirer. Je ne sais pas si ce masque sera efficace », a tweeté M. Kurade.
Cependant, les internautes semblent ne pas apprécier son engin, différent mais surtout trop cher. « Goldmask, cela prouve que l’argent peut acheter tout sauf le bon sens! », écrit un internaute.
D’autres avaient des problèmes avec la conception du masque: « Si vous fabriquez un masque en or, le moins que vous puissiez faire est de le rendre élégant ».
M. Kurade n’est pas le premier à acheter des masques en métaux précieux. Récemment, un bijoutier basé au Karnataka (ouest) a ajouté des masques en argent en forme de feuille à sa collection de mariage. Une centaine de masques, qui pèsent entre 25 et 35 grammes, étaient déjà vendues, assure le bijoutier.
Le Covid-19 continue de faire ravage en Inde avec un dernier bilan de 650.000 cas confirmés, dont 394.000 rémissions et 18.655 décès.


POURQUOI Y'A T-IL DES ARCS EN CIEL


Pourquoi la mer est-elle bleue ?


Si la Terre est appelée « la Planète bleue », ce n'est pas un hasard : elle est recouverte à 71 % d'eau d'une belle couleur bleue clairement visible depuis l'espace.


Réflexion de la lumière bleue du ciel sur la mer
D'où vient cette couleur bleue ? Il y a deux raisons. La première, qui semble la plus évidente mais qui n'est pas la plus importante, est la réflexion à la surface de la mer de la lumière diffuse du ciel, responsable de la couleur bleue de celui-ci.
C'est pourquoi la mer est plus bleue par beau temps, quand le ciel est lui-même bleu, et qu'elle est plutôt grise par mauvais temps, quand celui-ci est aussi gris.



Absorption des longueurs d'onde : il ne reste plus que le bleu !
Pourtant, les spéléologues ont constaté que même dans les grottes, protégées du ciel, l'eau est bleue si on l'éclaire avec une lumière blanche. En effet, lorsqu'une lumière blanche, autrement dit le rayonnement solaire, percute la surface de l'eau, une partie est réfléchie (première raison de la couleur bleue de la surface des eaux) et l'autre est réfractée et pénètre dans l'eau.
Or, la lumière blanche est en fait constituée de plusieurs longueurs d'onde, chacune responsable d'une couleur du spectre visible. C'est pourquoi la lumière réfractée par les gouttes de pluie forme un arc-en-ciel multicolore. Chaque longueur d'onde (couleur) n'est pas absorbée aussi vite par les molécules d’eau.
Ce sont les ondes rouges et jaunes qui disparaissent en premier, entre 10 et 30 mètres de profondeur. Vers 60 mètres, le vert disparaît à son tour et il ne reste plus que le bleu, qui finit d'être absorbé vers 90 mètres de profondeur. Par conséquent, la couleur qui est la plus réfractée par la mer est le bleu, ce qui explique sa couleur.
Parfois, lorsque les eaux sont riches en phytoplanctons photosynthétiques, les ondes bleues sont absorbées plus rapidement par la chlorophylle et la mer prend une nuance verte, car c'est la seule longueur d'onde visible qui subsiste.




Pourquoi le ciel est-il bleu ?

De nuit, le ciel est noir. De jour, il est bleu. C'est le cas uniquement sur la planète Terre, dont l'atmosphère, aux propriétés optiques particulières, diffuse la lumière solaire principalement dans le bleu.
Le ciel est bleu, il suffit de regarder par la fenêtre pour s’en convaincre... Mais d’où vient cette couleur alors que le Soleil diffuse de la lumière blanche ? Et pourquoi du bleu ? Unisciel et l’Université de Lille 1 nous expliquent, avec le programme Kézako, d’où vient la couleur du ciel.
Sur la Lune, le ciel est noir : ainsi, quelle que soit l'heure, on distingue très bien la Terre, le Soleil et les autres astres. Depuis notre planète, la vue est différente. Le ciel est bleu, ou blanc s'il y a des nuages, voire gris si l'orage n'est pas loin. Ces couleurs sont simplement dues à la présence de notre atmosphère, dont les molécules absorbent certaines longueurs d'onde du rayonnement solaire.


Rayleigh pour le bleu du ciel
Chaque particule dans l'atmosphère est un obstacle pour le rayonnement solaire : la lumière est diffusée dans toutes les directions. Il existe deux mécanismes de diffusion : l'un est issu de la nature ondulatoire du rayonnement solaire, l'autre à la réfraction des rayons, liée à l'optique géométrique.
Si le ciel est bleu c'est en raison de la diffusion de Rayleigh. Elle caractérise la diffusion de la lumière par les particules dont le rayon est très petit par rapport à la longueur d'onde du rayonnement solaire. L'intensité diffusée est, d'après Rayleigh, inversement proportionnelle à la longueur d'onde (d'un facteur à la puissance quatre). Plus le rayonnement est de petite longueur d'onde, plus il est diffusé. Ainsi, comme la lumière incidente est blanche, le bleu (d'une longueur d'onde de 400 nm) sera beaucoup plus diffusé dans l'atmosphère que le rouge (d'une longueur d'onde de 800 nm).


Mie pour le blanc des nuages
Les molécules suffisamment petites pour permettre le mécanisme de Rayleigh sont les molécules de l’air. Majoritaires dans l'atmosphère, c'est donc à elles que l'on doit la dominance du bleu dans le ciel. Toutefois, en présence de gouttes d'eau ou d'aérosols, la diffusion de Rayleigh n'est plus valide. Dans ce cas, c'est la diffusion de Mie qui est valide. Celle-ci prouve que pour ces dimensions de molécules, la lumière diffusée conserve les caractéristiques spectrales de la lumière incidente. C'est la raison pour laquelle les nuages sont blancs.

Amérique latine : La pandémie entraînera la fermeture de 2,7 millions d'entreprises


Ces fermetures pourraient entraîner la perte de plus de 8,5 millions d'emplois dans la région.


La crise générée par la pandémie de coronavirus devrait entraîner la fermeture de plus de 2,7 millions d'entreprises et la perte de 8,5 millions d'emplois en Amérique latine, a prévenu ce jeudi la CEPALC, la commission économique de l'ONU pour la région.


Les secteurs du commerce et des hôtels et restaurants, qui comptent un grand nombre de petites et moyennes entreprises (PME), seront les plus touchés par l'impact de l'épidémie de Covid-19, a indiqué la CEPALC dans un rapport. Cet organisme prévoit une chute de l'économie de la région de 5,3% cette année, à cause des fermetures des commerces, de l'effondrement du tourisme et de la baisse des exportations vers la Chine. Cette crise, liée à la pandémie, souligne la nécessité d'avancer vers un nouveau modèle de développement, selon la CEPALC.

Le capybara, plus grand rongeur au monde

Il ressemble à un cochon d’Inde, fait la taille d’un mouton, a des pattes palmées comme un canard et aboie comme un chien… Ce curieux animal, c’est le capybara : le plus gros rongeur au monde. Originaire d’Amérique latine, il peut mesurer jusqu’à 1 m 35 de long et peser jusqu’à 70 kg. Son nom signifie « seigneur des herbes » dans la langue des Indiens guaranis.
On trouve ce mammifère semi-aquatique près des lacs et des fleuves dans lesquels il se reproduit, se nourrit et s’hydrate. .Il vit en groupe.




Un capybara en Argentine (photo d'illustration)




10 CHOSES ÉTRANGES QUI SONT TOMBÉES DU CIEL ET ONT ÉTÉ FILMÉES

Il est de coutume que la neige ou la pluie tombent du ciel sur la terre, et ce depuis la nuit des temps. Mais l’Homme a fait tellement de choses que, maintenant, presque tout peut lui tomber sur la tête, et ce n’est pas du tout une métaphore ! Des objets parfois très étranges tombent du ciel et il est souvent impossible d’en expliquer la nature. Il est arrivé que des choses complètement inattendues et très étranges tombent du ciel et aient pu être photographiées. Ainsi, nous vous présentons aujourd'hui 10 choses étranges qui sont tombées du ciel et ont été filmées.

Croisières : Le prix du rêve

Pour beaucoup, une croisière sur un paquebot signifie luxe et vacances inoubliables. Mais la réalité peut se révéler plus décevante.
Ce commerce lucratif, qui coûte parfois plus cher que prévu aux passagers, nuit aussi gravement à l'environnement.


Pourquoi c’est encore tôt de laisser tomber son masque !

Au Maroc,à l’heure du déconfinement, un relâchement se fait sentir auprès de certains citoyens quant au port du masque.

Coronavirus : Au Maroc, les masques sont désormais disponible dans ...

Les Marocains ont dans l’ensemble fait preuve de beaucoup de discipline et d’abnégation lors du confinement, permettant ainsi le contrôle de l’épidémie.
Actuellement, il y a un relâchement dans l’utilisation des masques, compréhensible psychologiquement mais dangereux.
Au niveau du Maroc, Khalid Ait Taleb, ministre de la santé, avait rappelé (le 27 juin dans un communiqué sur la situation générale au Maroc) au respect strict des mesures préventives recommandées par les autorités sanitaires. Parmi ces mesures, le port correct du masque, l’hygiène, le respect de la distanciation physique et l’évitement des rassemblements.


Le Maroc amorce son déconfinement

Le port de masques en public correspond au moyen le plus efficace de prévenir la transmission interhumaine, et cette pratique peu coûteuse, en conjonction avec l’éloignement social simultané, la quarantaine et la recherche des contacts, représente l’opportunité de combat la plus probable pour arrêter la pandémie.
Il s’avère que la diffusion aérosolisée et aéroportée du coronavirus constitue la voie majeure de propagation. Dans ce sens, les travaux effectués confirment l’efficacité du port du masque, réaffirmant sa nécessité dans les mois qui suivent le déconfinement et ce dans l’attente de vaccins et/ou traitements contre l’infection. Ils mettent bien en évidence que le masque est non seulement utile pour empêcher les gouttelettes de toux infectées d’atteindre des personnes non infectées, mais aussi pour éviter de respirer ces minuscules particules aérosolisées qui peuvent également contaminer.
Rappelant par ailleurs qu’une seule toux peut produire jusqu’à 3.000 gouttelettes, les éléments les plus dangereux qui risquent de s’étaler sur les vêtements et sur les surfaces qui les entourent.

Ces aliments sont les plus « dangereux » ou toxiques au monde

Présents un peu partout dans le monde, les aliments suivants représentent un danger pour la santé. Leurs effets secondaires sont les pires qui existent, pourtant, on n’hésite pas à les cuisiner, voire à les servir dans des restaurants ! Faites attention à ce que vous mangez à l’étranger et ayez une culture culinaire pour faire le tri de vos aliments.
  • LE CARAMBOLE
Il s’agit du fruit du carambolier qui se présente sous la forme d’une étoile. C’est une bonne source en vitamines C, mais ce fruit et son jus sont très toxiques et provoquent des insomnies, nausées, vomissements, cauchemars ainsi que des troubles de la conscience et des arrêts cardio-respiratoires. Abstenez-vous, donc !

 

  • LES FEUILLES DE RHUBARBE
La rhubarbe est fréquemment utilisée dans la cuisine pour réaliser des confitures et autres tartes. Mais, il faut savoir que seule la tige est comestible car les feuilles de rhubarbe sont très nocives en raison de la présence d’acide oxalique. Ce dernier est très dangereux, car il peut provoquer une insuffisance rénale.

  

  • LES NOIX DE CAJOU
Si les noix de cajou sont très bonnes dans leur sachet acheté au supermarché, il est fortement déconseillé de les déguster crues et sans traitement. La noix de cajou crue a un important potentiel allergène en raison de la présence de toxines comme l’urushiol. Elles provoquent rarement l’empoisonnement, mais il est préférable de les manger préparées.

 

  • LE SUREAU NOIR
Le sureau est utilisé dans l’alimentation. Ses fleurs et ses fruits peuvent être transformés en vin ou en sirop de sureau par exemple. Cependant, sachez que les baies crues ne doivent en aucun cas être consommées car ces dernières sont toxiques et peuvent provoquer des vomissements. Après cuisson, la toxicité est détruite !
  

  • L’ABSINTHE
L’absinthe est l’un des alcools les plus dangereux au monde. Cela peut paraître logique mais il est toujours bon de rappeler que cet alcool pouvant atteindre les 90° peut provoquer des hallucinations, crises d’épilepsies et troubles de la personnalité. Mieux vaut donc s’abstenir d’en prendre.

 

  • LE CERVEAU DE SINGE
Très prisé en Asie, le cerveau de singe peut être consommé cru, cuit et cuisiné. Cependant, la consommation de cerveau de singe peut engendrer la maladie de Creutzfeldt-Jakob : une dégénérescence du système nerveux central.

 

  • LA RACINE DE MANIOC
La racine de manioc contient de la linamarine, qui, mangée crue, peut libérer du cyanure dans l’intestin. La racine doit donc être correctement cuite pour ne pas présenter de danger.

 

  • LE FESIKH
Le fesikh est un poisson qui a séché au soleil et qui a fermenté longtemps dans le sel. Chaque année, des Égyptiens sont hospitalisés après avoir été intoxiqués. Il existe un risque de botulisme (intoxication provoquée par l’ingestion de neurotoxines puissantes) à cause de la mauvaise conservation de ce poisson

. 

  • LA MÉDUSE GÉANTE
Si certains tentent de s’en débarrasser en les tuant, d’autres n’hésitent pas à manger ces méduses géantes de 2 m et 220 kg. Mais, cette grosse méduse est très dangereuse car son venin est très toxique. Pour la consommer, on doit enlever les parties toxiques et la cuire.

  

  • LE CASU MARZU
Le Casu Marzu (ou « fromage pourri ») est un fromage traditionnel italien, provenant de Sardaigne, dans lequel des larves vivantes aident au processus de maturation du fromage. Le risque est que ces larves ne soient pas détruites par les sucs gastriques et restent dans l’intestin, provoquant douleurs abdominales, nausées et diarrhées.

 

  • LE HÁKARL
Le Hákarl est une spécialité islandaise à base de requin. La chair de requin fraîche est toxique à cause de sa forte teneur en acide urique. En effet, le requin ne dispose pas de reins et est donc obligé d’expulser son urine en suant. Le Hákarl peut tout de même être consommé après une longue préparation.

 

  • LES PALOURDES DE SANG
La palourde Tegillarca Granosa vit dans des milieux pauvres en oxygène, ce qui fait qu’elle renferme souvent des virus et des bactéries. Ce coquillage peut ainsi transmettre les agents des hépatites A et E, de la dysenterie et de la typhoïde.

 

  • LE SANNAKJI

Le sannakji est une spécialité de Corée du Sud qui consiste à manger un poulpe encore vivant. Le problème est que les tentacules peuvent continuer à s’agripper, même après la mort de l’animal. Des cas d’étouffements sont possibles : il y aurait ainsi six décès par an.

 

  • LE ACKEE
Le ackee est un fruit emblématique de la Jamaïque qui contient des graines noires toxiques. La molécule toxique est l‘hypoglycine, qui provoque des vomissements. Les fruits peuvent être mortels s’ils sont consommés crus et pas suffisamment mûrs.
  

  • LA « GRENOUILLE-TAUREAU » OU L’OUAOUARON
La grenouille-taureau est une grenouille africaine, plat « traditionnel » de la Namibie, qui contient des molécules toxiques, les jeunes grenouilles étant les plus dangereuses. La toxine conduit à une déficience rénale.

 

  • LE « POISSON-GLOBE » OU LE FUGU
Aussi appelé poisson-ballon, le fugu est un poisson japonais très toxique. En effet, son foie, ses yeux et ses ovaires contiennent de la tétrodotoxine, un poison ultra toxique qui n’a aucun antidote à l’heure actuelle. En ingérant du fugu, la mort peut intervenir après seulement 4 à 6 heures ! Sa commercialisation est toutefois réglementée pour éviter les accidents.

 

  • LES HOT-DOGS
Pour les enfants âgés de moins de 10 ans, ils peuvent provoquer des risques d’étouffement. Selon l’American Academy of Pediatrics, le hot dog serait responsable de 17% des cas d’étouffement chez les enfants de moins de 10 ans !

  

  • LE DURIAN
Le durian est un fruit comestible, dont les graines contiennent beaucoup d’acides gras de cyclopropène qui sont toxiques lorsqu’ils ne sont pas préparés. Le fruit peut lui-même causer la mort s’il est combiné à de l’alcool car il inhibe un enzyme qui est responsable de la défense de notre foie contre les sous-produits toxiques de l’alcool.

 

  • LE FRUIT DU “PANGIUM EDULE”
Le fruit de cet arbre qui pousse surtout en Asie du Sud Est, contient du cyanure d’hydrogène. Pour être consommables, ses graines doivent être bouillies puis enfermées dans des feuilles de bananiers et enterrées durant 40 jours.

 

  • LES NOYAUX D’ABRICOT
Les noyaux d’abricots contiennent de l’amygdaline, un hétéroside toxique qui peut provoquer la mort dans le cas d’une consommation importante. Cela arrive fréquemment en Turquie, pays qui consomme beaucoup de noyaux d’abricots.
  

  • LES HARICOTS ROUGES

Les haricots rouges contiennent des quantités élevées de phytohémagglutinine. Elle peut provoquer des empoisonnements mono-gastriques chez l’Homme. Mais, pour éviter cela, on doit les faire bouillir au minimum 10 minutes pour faire diminuer la concentration de la toxine.


  • L’EAU
Eh oui, difficile d’imaginer que l’eau puisse être dangereuse pour la santé, puisque la plupart des recommandations nutritionnelles préconise d’en boire 1,5 litre par jour. Une consommation excessive d’eau peut provoquer une intoxication hydraulique. Le principe ? Trop d’eau tue et trouble l’électrolyte dans votre cerveau. Si vous buvez une quantité plus grande que votre masse corporelle, vous vous mettez en danger !

 

  • LA NOIX DE MUSCADE
Certes, il est conseillé d’utiliser des épices pour agrémenter vos plats et en rehausser les saveurs, mais attention à ne pas avoir la main trop lourde sur certaines. C’est le cas de la noix de muscade aux arômes puissants et au parfum entêtant qui sublime vos plats, car si vous en consommez trop, vous pourrez avoir des hallucinations !

 

  • LE BLAASOP À RAYURES ARGENTÉES
Comme le fugu japonais, le blaasop à rayures argentées est dangereux car sa peau, son foie et ses organes reproducteurs contiennent un poison, qui entraîne une paralysie musculaire et des troubles respiratoires. 

 

  • LES CHAMPIGNONS
Ils font partie des aliments qui peuvent vous tuer si vous ne savez pas les repérer. Si les champignons sont bons à déguster en poêlée avec un peu d’ail, ils ne sont pas tous comestibles. Certains champignons peuvent s’avérer jolis visuellement, mais peuvent provoquer des troubles digestifs et une intoxication alimentaire si vous les ingérez.
  

  • LES CACAHUÈTES
Oui, les cacahuètes peuvent être mortelles, surtout si vous souffrez d’allergies à l’arachide. Gonflement des lèvres, urticaire, vomissements, nausées, les personnes souffrant d’allergies sont bien conscientes que l’ingestion d’une seule cacahuète peut les tuer.

 

  • LE LAIT CRU
Le lait vendu dans les supermarchés est pasteurisé, mais certaines personnes boivent encore du lait cru, ou consomment du fromage au lait cru. Le lait cru est du lait qui n’a pas été pasteurisé (chauffé à haute température et refroidi rapidement) et est plus susceptible de contenir la salmonelle, la listéria et l’E. coli.

 

  • LES BAIES
De même que les champignons, les baies peuvent se ressembler ou paraître délicieuses du fait de leurs couleurs attrayantes. Mais certains sont très toxiques! Cela peut aller à des brûlures jusqu’à provoquer un dysfonctionnement cardiaque !

 

  • LES POUSSES DE SOJA

Les pousses de soja sont l’un des aliments véhiculant le plus d’E. coli, de salmonelle et de listéria : des bactéries qui adorent les environnements tièdes et humides.

  • LES CRUSTACÉS
Pour les personnes allergiques, les crustacés peuvent engendrer des crises d’urticaires, des démangeaisons, des œdèmes ou des douleurs abdominales, jusqu’à faire des chocs anaphylactiques, ce qui les empêche de respirer et peut s’avérer extrêmement dangereux.

Bébé-bulle ou Enfant-bulle

Les enfants-bulles (ou bébé-bulle pour les plus jeunes) sont des personnes dont les défenses immunitaires sont fortement affaiblies, voire inexistantes, si bien qu'elles doivent être placées dans une bulle pour leur protection immunitaire.

Quand j'étais bébé bulle... - Sciences - LeVif

Cela résulte le plus souvent d'une immunodéficience innée. Le nom d'« enfant-bulle » vient du fait que ces enfants doivent vivre dans un milieu stérile et isolé au maximum de l'environnement afin d'éviter les infections.

Les « bébés bulle » ont 11 ans : L'efficacité de la thérapie ...

 En effet ils ne doivent jamais sortir de chez eux au risque de grave maladie. L'air doit être filtré et il faut éviter le plus de visite possible au cours de la vie de l'enfant. Cette immunodéficience vient en général des cellules souches de la moelle osseuse qui génèrent un problème au niveau de la différenciation des lymphocytes T et des lymphocytes NK ou une anomalie dans la synthèse de cytokines. Ils sont de ce fait très vulnérables à toute forme d'infection, même aux micro-organismes normalement inoffensifs pour une personne non atteinte par cette déficience. Le risque de développer un cancer est également plus élevé.

Lors des premiers mois de leur vie, les enfants-bulles ne ressentent pas les effets de leur immunodéficience puisqu'ils possèdent encore des anticorps transmis par la mère au cours de la grossesse. Des recherches génétiques actuelles ont pour objectif de corriger cette déficience ; quelques enfants ont ainsi été guéris mais les infections réapparaissent parfois sans raisons évidentes. Le principe d'une de ces techniques est de prélever des cellules souches de la moelle osseuse de l'enfant-bulle, de corriger le gène muté (thérapie génique) grâce à un virus dont le potentiel pathologique est désactivé, et enfin de réinjecter les cellules souches dans l'organisme afin qu'elles prolifèrent et permettent d'avoir un système immunitaire fonctionnel.

Bébés-bulle : la thérapie génique plus efficace que la greffe


La huitième plaie d’Égypte s’abat sur une ville indienne

Un criquet pèlerin

La ville de Gurugram, située près de New Delhi, fait face à une invasion massive de criquets. L’aéroport international de New Delhi demande aux pilotes de prendre des précautions supplémentaires.
En pleine pandémie de coronavirus, une bonne partie de l’Inde est également confrontée à une véritable invasion de criquets. Ce samedi 27 juin, la ville de Gurugram située près de New Delhi (nord) a été recouverte par une nuée d’insectes volants,



Les autorités locales ont recommandé aux habitants de ne pas ouvrir leurs fenêtres et de frapper avec des ustensiles pour chasser les essaims.
L’aéroport international de New Delhi se trouvant près de Gurugram a pour sa part demandé aux pilotes de prendre des précautions supplémentaires au décollage et à l’atterrissage des avions.

L'homme électrique ou l'homme batterie.

Biba, un homme serbe est capable de supporter des décharges électriques de milliers de volts, sans en ressentir les effets. Personne n'a encore réussi à expliquer ce phénomène. 


The Man Who Can Survive Electric Chair! | Be Amazed

slaviša pajkić Archives | BesnoPile.rs 

Slavisa Pajkic vit à Pozarevac, un village serbe situé à quelques kilomètres de Belgrade. C'est un artisan tout à fait ordinaire, à une chose près : il est capable de supporter des décharges électriques de plus de 20 000 volts, sans ressentir la moindre douleur.



Le serbe Slavisa Pajkic est aujourd'hui beaucoup plus connu sous le surnom de Battery Man ou l'Homme Batterie. En effet, il a une particularité très spécifique de pouvoir supporter des charges électriques extrêmement importantes. Au-delà d'y résister, il peut également stocker ces charges d'électricité dans son corps puis de les restituer sur commande. Il est donc capable d'allumer une ampoule juste en touchant le culot ou de faire cuire une saucisse en tenant la fourchette en métal. 
Il a découvert son impressionnant pouvoir à l'âge de 17 ans, et a passé une grande partie de sa vie à tester les limites de celui-ci. Par exemple, en 1973, il rentre dans le Guiness des Records en résistant à une charge électrique de 20 000 Volts. En 2003, c'est une casserole d'eau qu'il parvient à faire bouillir en seulement 1 minute et 37 secondes. Aujourd'hui il continue de repousser les limites de ses exploits et vit également de son pouvoir en parcourant le monde pour différentes exhibitions.



Les médecins n'ont pu expliquer précisément pourquoi Slavia Pajkic a cette particularité, mais il semblerait que cela soit dû à un défaut génétique. En effet, Battery Man ne possède pas de glandes sudoripares qui produisent la transpiration du corps, ayant pour conséquence une peau qui se comporte comme un isolant naturel.