Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Pourquoi le Soleil brille

L'astrophysicien Roland Lehoucq explore les nombreuses hypothèses sur l’origine de la luminosité de notre étoile.


Il a fallu attendre le XXe siècle et l'avènement de la physique nucléaire pour comprendre le rôle des neutrinos.Le Soleil nous envoie environ 1 kilowatt d'énergie sur chaque mètre carré de la surface terrestre, ce que savent les utilisateurs de panneaux solaires. Cela suffit pour faire fonctionner 100 ampoules Led de 10 watts. Cette énergie nous arrive sous forme de photons. Une faible partie correspond à la gamme visible, c'est celle qui est perçue par la rétine de l'œil; les autres photons se répartissent entre infrarouges, ultraviolets, rayons X et gammas... Autant de noms qui désignent des gammes d'énergie différentes, dont certaines nous réchauffent, d'autres nous éclairent, d'autres détériorent les molécules ou provoquent les coups de soleil. Mais comment naissent ces photons?

Les premiers calculs d'énergie solaire
Longtemps, on s'est demandé d'où venait l'énergie du Soleil –pourquoi notre astre brûle-t-il? Le scientifique du XIXe siècle Hermann von Helmholtz, promoteur du principe de conservation de l'énergie, considéra d'abord le modèle d'un Soleil composé de charbon qui brûle. Connaissant l'énergie spécifique de combustion et l'énergie totale émise par notre astre, il en déduisit un temps de vie d'environ 5.000 ans. Bien trop petit par rapport à tous les âges astrophysiques déjà connus à l'époque! La boule de charbon incandescent n'était donc pas la bonne réponse.
Aucune réaction chimique n'étant capable d'expliquer la luminosité du Soleil, Helmholtz fit l'hypothèse d'un effondrement gravitationnel: c'est la contraction d'un corps massif sous l'effet de sa propre attraction. Il évalua à 80 mètres par an le rétrécissement du Soleil nécessaire pour produire son énergie. Il estima alors que le Soleil pouvait être vieux de 20 millions d'années. Le compte n'y était toujours pas!
On sait aujourd'hui que le Soleil a 4,6 milliards d'années, les calculs étaient donc très loin du compte.

À son tour, Kelvin s'attaqua au problème. Il émit l'hypothèse d'un bombardement de météorites. Faisant une hypothèse plausible sur l'énergie des objets impactant le Soleil, il trouva que cette solution était acceptable, mais le processus aurait dû affecter la rotation de la Terre. Il la rejeta et revint à l'idée de contraction gravitationnelle. Améliorant les calculs d'Helmholtz, il obtint un âge de 60 millions d'années.
On sait aujourd'hui que l'âge du Soleil s'élève à 4,6 milliards d'années, les calculs étaient donc très loin du compte. La solution correcte devait venir au siècle suivant, le XXe, d'un domaine totalement inconnu à l'époque: la physique nucléaire.

La fusion nucléaire
Il fallut attendre Hans Bethe dans les années 1930 pour comprendre que l'énergie solaire résulte d'une transmutation nucléaire qui a lieu au cœur même de notre astre, là où la densité de matière est suffisamment forte pour «coller» entre eux des protons. Le Soleil est constitué de ces particules primaires, qui peuvent fusionner selon un processus commençant par la réaction: p + p → d + e+ + νe
Ici, d désigne l'assemblage d'un proton et d'un neutron, appelé deuton. Les réactions s'enchaînent en cascade pour aboutir à une fusion globale entre 4 protons qui forment un noyau d'hélium (composé de 2 protons et 2 neutrons) accompagné de 2 positrons (antiélectrons) et 2 neutrinos, notés ν. En même temps, cette réaction libère une énergie de 28 MeV (4,5 10 -12 Joules en unité du système international), qui sera émise sous forme de photons.
Ce processus met en œuvre l'équivalence masse-énergie selon la fameuse formule d'Einstein E = mc2. En effet, 4 protons «pèsent» davantage qu'un noyau d'hélium. Ainsi de la masse se convertit en énergie, qui est libérée dans le processus. On calcule que 5 grammes de combustible nucléaire donnent autant d'énergie qu'une tonne de charbon.

Détecter les neutrinos
Comment vérifier ce qui se cache au centre même du Soleil? Avec la production d'énergie, il devrait y avoir émission de neutrinos –peut-on les détecter? À partir de la luminosité reçue, il est assez facile de calculer le flux attendu de ces particules. Le résultat est remarquable: 1038 neutrinos sont produits chaque seconde, ce qui se traduit par un flux arrosant la Terre de 60 milliards de neutrinos par seconde et par cm2.
Mesurer ce flux de neutrinos prouverait que la fusion nucléaire est bien à l'origine de l'énergie solaire. Problème, il est excessivement difficile de capturer des neutrinos. Ce sont des particules fantômes qui traversent la matière sans presque laisser de trace. Pourtant la chasse débuta, et dès les années 1960, Ray Davis construisit une vaste piscine, pleine de 600 tonnes d'un liquide chloré, enterrée dans une mine d'or du Dakota du Sud.
Un neutrino interagissant dans le liquide transforme un atome de chlore en un atome d'argon radioactif. L'argon radioactif vit en moyenne trente-sept jours, et peut être détecté via sa désintégration radioactive. Dans le Dakota, le liquide était analysé tous les dix jours environ; il fallait rechercher un à un les noyaux intéressants noyés dans 600 tonnes de liquide. Or la mesure trouvait de l'ordre d'un argon tous les trois jours quand le détecteur avait été dimensionné pour en recueillir un par jour. L'opiniâtre recherche dura plus de trente ans, jusqu'aux années 1990, mais les mesures restèrent déficitaires, deux tiers des neutrinos du Soleil ne répondant pas à l'appel.
Il était facile de ne pas accorder une grande confiance dans le résultat de Ray Davis, étant donnée la difficulté de la mesure. Technologiquement plus avancées, deux autres expériences Gallex sous le tunnel du Gran Sasso en Italie et Sage sous la montagne de l'Elbrus en Russie, utilisèrent une méthode analogue, convertissant cette fois le gallium en germanium radioactif. Ces deux expériences mesurèrent elles aussi un déficit de neutrinos par rapport au flux prédit par la théorie. Elles donnèrent ainsi plus de crédibilité à la réalité de ce déficit, mais il fallut attendre la gigantesque expérience japonaise SuperKamiokande pour convaincre la communauté qu'il ne s'agissait pas d'erreurs de mesure.

L'intérieur de la cuve du détecteur SuperKamiokande,
 au Japon, en cours de remplissage en avril 2006.

La méthode de détection est différente des précédentes, car SuperKamiokande détecte en temps réel la lumière bleutée émise lors du passage des neutrinos (l'effet Tcherenkov) dans l'immense cuve de 50 kilotonnes –soit sept fois le poids de la structure métalllique de la Tour Eiffel– constituant le détecteur et enterrée dans une galerie souterraine. Grosso modo, les neutrinos peuvent interagir sur des électrons de l'eau et les libérer. Ces électrons se propagent alors plus vite que la lumière qui, dans l'eau, voyage «seulement» à 220.000 km/s. Ils donnent un signal lumineux qui suit la direction du neutrino initial. L'expérience SuperKamiokande permet donc de s'assurer que les neutrinos détectés proviennent bien du Soleil qui brille en un point (connu) du ciel. De fait, un fort pic se détache dans la direction recherchée: cela manifeste clairement une production de neutrinos venant de l'intérieur.

Le Soleil imagé via ses neutrinos. Le jaune représente un plus grand flux de neutrinos, détecté par l'expérience SuperKamiokande.

Grâce à une telle étude, SuperKamiokande réussit la gageure d'une «neutrinographie» en temps réel du Soleil: prendre des «photos» du Soleil alors qu'on est enfoui sous la roche, aussi bien de jour que de nuit: très fort!
Les détecteurs de neutrinos montrent qu'un flux important de neutrinos viennent bien du Soleil, ce qui prouve que l'énergie de l'astre provient de la fusion nucléaire. Mais l'énigme prend alors une nouvelle tournure.
Le déficit de neutrinos
Malgré le flux faramineux de neutrinos solaires reçu par le gigantesque détecteur, l'expérience n'en piège que quinze par jour quand on en attend quarante. Le déficit se confirmait, mesuré ici à 60%. Pour l'expliquer, une idée s'imposa, celle d'oscillations.
On connaît trois types différents de neutrinos. Ceux produits dans le Soleil sont du premier type qu'on appelle neutrinos électroniques, νe. Mais il en existe deux autres types, les neutrinos muoniques et tauiques. Est-il possible que ces types se mélangent lors d'un voyage dans l'espace en troquant leur personnalité? Les détecteurs utilisés ne détectaient que les νe. Pour prouver l'idée d'oscillations, il fallait piéger les types autres que νe. Ce fut la mission d'un dispositif canadien appelé SNO (Sudbury Neutrino Observatory). Installé dans une mine près de Toronto, le détecteur utilise cette fois comme milieu sensible un kilotonne d'eau lourde. Dans l'eau lourde, D2O, le proton est remplacé par un deuton. Cela permet de nouveaux canaux de réactions pour lesquels tous les types de neutrinos participent – électroniques, muoniques, tauiques.
Une information complète fut obtenue par l'expérience. Le résultat concluait que le flux de neutrinos venant du Soleil est bien en accord avec la prédiction théorique, mais la part des νe seuls n'explique qu'un tiers du total. C'est la preuve flagrante de l'oscillation, deux tiers des neutrinos ont changé de saveur entre leur point de production à l'intérieur du Soleil et leur point de détection sur Terre. Quelle importance?

L'apothéose des neutrinos
L'oscillation est un changement spontané entre les différents types de neutrinos aussi drastique que la conversion d'une pomme en une poire pendant sa chute dans le verger de Newton; c'est une mise en scène concrète des relations d'incertitude de Heisenberg. L'oscillation met en œuvre les propriétés les plus subtiles de la mécanique quantique et implique que les neutrinos possèdent une masse non nulle, ce qui n'était nullement évident.
Aujourd'hui et grâce aux efforts conjugués de plusieurs minutieuses expériences, l'oscillation a permis de mesurer des masses extrêmement faibles: elles sont inférieures à un milliardième de la masse d'un proton.
Le Soleil envoie sur Terre 1 kW/m2 sous forme de photons, mais il envoie aussi un flux additionnel de 600.000 milliards de neutrinos.

Mais on sait par ailleurs que les neutrinos sont des milliards de fois plus abondants que les autres particules de matière d'où la fantastique conclusion: dans le bilan de l'univers les neutrinos, ces particules apparemment si humbles, pèsent autant que toutes les étoiles de toutes les galaxies.
Le Soleil envoie sur Terre une énergie de l'ordre de 1 kW/m2 sous forme de photons, mais il envoie aussi un flux additionnel de 600.000 milliards de neutrinos. Ces derniers transportent une énergie supplémentaire de quelques 10 W/m2. Mais au contraire des photons, ils ne sont pas interceptés par les panneaux solaires et donc leur énergie ne peut pas être captée. Il n'empêche, ces particules ont beau être très discrètes, sans neutrinos, le Soleil ne brillerait pas et nous ne serions pas ici pour en parler.

Pourquoi certains hommes n'ont pas de barbe ?

Tous les hommes ne sont pas égaux face à la barbe. Alors que certains arborent une belle barbe de Viking, d'autres cherchent désespérément à faire pousser un fin duvet sur leur menton sans y parvenir. Barbu ou pas barbu, d'où vient cette différence ?



En moyenne, les poils de barbe poussent de 0,4 millimètre par jour, soit 1,2 centimètre par mois. Mais pour certains, il est impossible de faire pousser le moindre duvet sur leur menton, même après avoir remisé leur rasoir au placard. C'est avant tout une question de génétique : la pousse des poils est régulée par le niveau de dihydrotestostérone, une hormone dérivée de la testostérone. Celle-ci dépend en grande partie du patrimoine génétique et de la façon dont les gènes s'expriment pour un même taux de dihydrotestostérone. D'autre part, plus les cellules du visage contiennent de récepteurs de dihydrotestostérone, plus la barbe sera épaisse.

D'autres causes peuvent expliquer l'absence de barbe, comme l'alopécie, une maladie où les follicules pileux sont détruits, une hypothyroïdie, une anémie, ou encore le tabagisme et l'alcool qui entraînent un vieillissement cutané. Une peau et une alimentation saine contribuent à la pousse d'une belle barbe. Il est ainsi recommandé d'hydrater et d'exfolier la peau, d'avoir un apport suffisant en fibres, protéines et vitamines.

Quelle est la signification de la couleur rose ?

 

Symbole de la féminité et du romantisme, le rose représente la délicatesse mais aussi une énergie motivante dans des tons plus soutenus. Mélange du rouge et du blanc, découvrez tout sur cette couleur qui paraît si douce.
« Voir la vie en rose », cette expression représente à merveille cette couleur qui est associée à la tendresse et au bonheur. Si les stéréotypes perdurent avec le fameux « le bleu pour les garçons et le rose pour les filles », cette teinte pourrait révéler bien des vertus. Si chaque couleur a une signification propre, quelle est celle du rose ? Quelle est la personnalité des personnes aimant ce coloris ? Zoom sur cette couleur rose souvent associée à une déclaration d’amour et à la Saint-Valentin.

  • Signification de la couleur rose : paix et amour
Le rose évoque le charme et la beauté. Représentant une certaine harmonie entre le blanc et le rouge, il offre des nuances de rose différentes, douces mais aussi pétillantes. Symbole de la féminité, le rose est séduisant et tonique. Dans le Feng Shui, le rose incarne la tendresse et l’enfance. Les personnes aimant le rose sont parfois immatures et rêvent de revenir en enfance. Il représente aussi la réalisation des besoins vitaux tout comme le besoin d’exister. Il a une grande force de frappe au niveau émotionnel en cicatrisant les peines.
          - Significations positives : bonheur, tendresse, jeunesse, beauté
          - Significations négatives : naïveté, immaturité, indécision

  • Qu’est-ce-que révèle le rose sur votre personnalité ?
Si vous aimez le rose, vous êtes dans une quête incessante du bonheur. Votre joie de vivre vous offre un sourire à toutes épreuves et vous savez trouver le bon dans chaque personne que vous rencontrez. Même si cela doit prendre du temps, vous recherchez toujours la solution la plus appropriée et vous pesez le pour et le contre constamment. La patience est votre maître-mot. Vous voyez la vie en rose ! Votre sens de l’humour est discret mais efficace, vous savez l’utiliser pour apaiser les tensions. D’ailleurs, vous détestez les conflits et aimez être à l’écoute des autres pour leur venir en aide. Les personnes qui vous entourent disent de vous que vous êtes un être bienveillant. Vous avez besoin d’être entouré ! 

 
  • Le rose : quels effets ?
          - Le rose en chromothérapie
Apportant de la paix et de la sérénité, le rose soigne la douleur et la tristesse. Il aide à lutter contre le stress et apporte de la jeunesse. Attention néanmoins à utiliser le rose avec parcimonie, il est déconseillé d’opter pour cette seule teinte dans un lieu de repos et de détente puisqu’elle a un effet d’excitant.

          - Le rose en spiritualité
Cette couleur est associée au chakra du cœur, celui de l’amour. Il n’y a pas de chakra rose, mais cette teinte est composée à 50% de rouge, associée au premier chakra et de 50% de bleu, associé au soma chakra. Le rose apporte un désir d’harmonie et de développement. Notez que le symbole du savoir « la rose alchimique » représente d’ailleurs la dernière étape dans l’ascension spirituelle. Il pousse à un lâcher prise total en procurant un sentiment de paix et de douceur.

Le « bouton à Coca light » de Donald Trump supprimé du Bureau Ovale


Joe Biden a retiré un bouton rouge très apprécié par Donald Trump
Le nouveau président américain a tenu à s'approprier un peu les lieux, notamment le Bureau Ovale dans lequel il va passer les prochaines années. Il a alors pris une décision d'une importance moindre. En effet, Joe Biden a retiré l'un des objets préférés de Donald Trump dans cette pièce.
Il s'agit d'un bouton rouge qui avait une drôle d'utilité. À chaque fois que l'ancien président appuyait dessus, un employé venait avec... un Coca Light sur un plateau d'argent. Oui, vous avez bien lu. Ce bouton était d'ailleurs appelé le Diet Coke Button.  Quand Trump appuie sur le petit bouton rouge, un majordome entre dans le bureau avec un Coca Light sur un plateau d’argent.


Il lui serait souvent arrivé d’en boire une douzaine de canettes de cette boisson gazeuse sans sucre ni graisse au cours d’une journée.

Le gigantisme animal à travers le monde

 


Ce terme est généralement utilisé pour désigner un état lié à une croissance démesurée. Chez l’homme comme chez l’animal, cette hypercroissance peut être le fruit de différents facteurs. Mais les cas animaliers étant rares, il est difficile d’en savoir réellement la cause. Quoiqu’il en soit ces créatures singulières méritent d’être admirées.

  • La roussette de Malaisie :




La chauve souris géante qui mesure exactement 1 mètre 70 d’envergure, est une animal diurne, la journée il somnole pendu le plus souvent aux hautes branches dans la canopée. Quand vient le crépuscule toute la colonie s’agite et part en quête de nourriture, occasionnant ces grands vols groupés de ces magnifiques animaux. Une vertu de plus, la chauve souris géante est une alliée précieuse de la reforestation, tant ses excrèments permettent la disséminiation des graines.

  • Le mille-pattes géant d’Amazonie

Il est l'une des plus grandes espèces de mille-pattes au monde. La créature est d'environ 30 cm de long et se nourrit d'une grande variété d'animaux. Fait intéressant, le régime des mille-pattes ne se base pas uniquement sur les autres invertébrés, mais il peut aussi dominer et tuer des créatures plus grosses que des lézards, des serpents, des grenouilles, des souris, des chauves-souris et des oiseaux de la taille d'un moineau. Les armes principales du centipède pour tuer des proies sont une paire de jambes modifiées appelée forcipules. Le centipède utilise les forcipules pour pénétrer dans le corps de la victime et injecter un venin hautement toxique dans la circulation sanguine. Les créatures tueuses peuvent même escalader les plafonds des grottes où elles peuvent tenir et manipuler leurs proies comme des chauves-souris avec seulement quelques jambes attachées au plafond.
  •  Le lapin des Flandres


Avec un poids compris le plus souvent entre 6,5 et 8 kg (parfois 10 kg !) le Géant des Flandres porte bien son nom ! 
Contrairement à une idée reçue, ce n’est pas du tout un lapin qui a été hybridé avec un mara ! Cette race est le fruit d’une longue sélection poussée. Selon le standard français, le Géant des Flandres doit être doté d’une puissante musculature et de pattes fortes. Ses oreilles doivent être grandes et épaisses, portées droites, et d’une longueur de 19 à 20 cm. Vu de dessus, le corps doit former un rectangle.
  • La raie géante d’eau douce

La Raie Géante d’Eau Douce (Himantura Chaophraya) est une raie d’eau douce du sud-est asiatique. C’est un poisson bathydémersal (qui vit et se nourrit sur le fond), vivant en eaux douces aux fonds sableux ou saumâtres comme les embouchures fluviales. Cette espèce vit dans les régions asiatiques tropicales entre les latitudes 20° Sud et 25° Nord. Sa taille peut atteindre les 300 cm (queue non incluse, on parle du diamètre des « ailes ») et le poids de certains spécimens des fleuves Mékong, Meaklong ou encore Chao Phraya pourraient atteindre les 500-600 kilos, ce qui en fait un des plus gros poissons d’eau douce connus. Ses populations sont en baisse, en raison de la surpêche et de la perte de son habitat naturel, et certaines populations locales sont menacées d’extinction. L’espèce est protégée et fait depuis peu l’objet d’une aquaculture expérimentale.
  • L'escargot géant d’Afrique


Si les escargots géants dAfrique mesurent en moyenne 8 cm de long, les plus grands d'entre eux peuvent atteindre les 20 centimètres et peser 1,5 kg.
  • L'étoile de mer Macroptychaster

Son diamètre mesure plus de 60 centimètres. Ces étoiles de mer géantes ont été trouvées par des scientifiques dans les eaux de l’Antarctique en 2008.
  • Le papillon Atlas mesure plus de 30 centimètres de diamètre
  • Le ver de terre d’Australie peut mesurer de 40 centimètres à 4 mètres de long, en voici un gros spécimen
  • Ce chat pèse près de 14 kilos
  • Le crabe géant de cocotier

Le crabe de cocotier est un crabe terrestre, un gros et impressionnant animal nocturne qui ferait penser à un croisement entre un crabe et une mygale. On l’appelle également Birgus latro et il doit son nom à son alimentation un peu particulière.
Pour poser l’ambiance, imaginez un crabe de 40 cm, à la carapace brune tâchée de bleu, et pesant 4 kg en moyenne (le record enregistré à ce jour étant de 17 kg). L’animal possède une paire de pinces tranchantes et dentées, pouvant atteindre le mètre d’envergure d’une pince à l’autre. Il possède également deux autres paires de pattes locomotrices pointues qui lui permettent de grimper aux rochers et aux arbres, ainsi qu’une plus petite paire pourvus de pinces de taille plus réduite.
Bien que s’étant développé dans l’eau, le crabe de cocotier est un animal qui vit sur la terre ferme. On le croise surtout dans les îles isolées de l’océan Indien et du Pacifique. En évoluant, il a développé ce que l’on appelle des poumons « branchiostégals ». Derrière ce nom un peu barbare se cache un système respiratoire hybride, à mi chemin entre des poumons et des branchies : le Birgus Latro peut ainsi utiliser l’oxygène de l’air pour respirer mais à besoin d’un peu d’eau pour le faire. Il se noierait pourtant s’il était immergé pendant quelques heures dans l’eau.

  • Les poissons rouges
Ces poissons rouges peuvent dépasser les 50 centimètres
  • Le crocodile, connu sous le nom de Brutus, mesure 5,5 mètres de long.
  • Cette vache connue sous le nom de Chilli mesure plus d'1,80 mètre pour un poids dépassant la tonne.
  • La grenouille goliath ou Conraua goliath est considérée comme la plus grande grenouille de la planète. Elle peut atteindre plus de 30 centimètres.

  • La méduse nomura ou Nemopilema nomurai 

C'est l'une des plus grandes connues. Sa taille atteint pour certains spécimens deux mètres de diamètre.
  • Cet animal est un ligre, un croisement entre une tigresse et un lion. Ce spécimen appelé Hercule est devenu avec ses 3,60 mètres le plus grand félin du monde.
  • CRAPAUD GÉANT
Originairement trouvé en Amérique du Sud et en Amérique Centrale, le crapaud géant est considéré comme une nuisance pour la vie sauvage naturelle d’Australie. Il a peu de prédateurs à cause de sa peau toxique.

  • CRIQUET GÉANT WETA (rhaphidophoridae).
Trouvé seulement (heureusement) sur une petite île au large de Nouvelle-Zélande, ce criquet est suffisamment grand pour dévorer une carotte.

  • ARAIGNÉE HETEROPODA MAXIMA  (de la famille sparassidae)
Cette araignée mangeuse d’oiseaux a été découverte au Laos en 2001. Elle passe la plupart de son temps dans les cavernes sombres de la jungle. On a observé des mâles d’«Heteropoda maxima» dont la longueur des pattes atteignent jusqu’à 30 cm. Provoquées, ces araignées peuvent mordre, ce qui engendre des douleurs locales et de petites enflures.

  • LE TITAN (TITANUS GIGANTEUS)
Trouvé dans les jungles de l’Amérique du Sud, le titan est un coléoptère et il est le deuxième plus grand après le scarabée hercule. Il peut grandir jusqu’à 16 cm. Les adultes possèdent de solides mandibules et trois épines de chaque côté du prothorax. Ils ne se nourrissent pas. Le stade adulte est consacré à la reproduction. Nocturnes, les mâles sont attirés par la lumière alors que les femelles y sont insensibles.

  • PORC SAUVAGE GÉANT
Ce porc sauvage géant qui pèse plus de 1000 kilos a été capturé par un chasseur âgé de 11 ans.

  • RAT ÉNORME
Cet énorme rat fut tué dans un magasin «Foot Locker» en janvier 2012 dans le Bronx, New-York. Espérons que l’employé a obtenu une sorte de prime pour avoir capturé cette bête.

  • LE GRAND CHIEN DANOIS GEORGES
Un chien n’est pas nécessairement dit “exotique” mais celui-ci a une particularité qui le distingue. Ayant sa place dans les “Records du Monde Guinness”, George pèse 111 kilos et mange plus de 50 kilos de croquettes pour chien par mois.


Quels sont les pays qui disposent de l'arme nucléaire ?


La France fait partie des neuf pays qui possèdent l’arme nucléaire dans le monde. Les huit autres sont : les États-Unis, la Russie, le Royaume-Uni, la Chine, l’Inde, le Pakistan, Israël et la Corée du Nord.
Ces quatre derniers pays s'en sont dotés officieusement. Israël n’a même jamais officiellement confirmé détenir cette arme. 


Des capacités nucléaires différentes
Tous ne possèdent cependant pas la même capacité nucléaire. Plus de 90% du stock mondial est entre les mains de la Russie et des États-Unis.
Selon la Campagne internationale pour l’abolition des armes nucléaires (Ican), prix Nobel de la paix 2017, les arsenals sont les suivants :
  • États-Unis: 7.700 ogives
  • Russie: 8.500 ogives
  • France : 300 ogives
  • Royaume-Uni : 225 ogives
  • Chine : 250 ogives
  • Inde : entre 90 et 110 ogives
  • Pakistan : entre 100 et 120 ogives
  • Israël : 80 ogives
  • Corée du Nord : moins de 10 ogives
Des pays qui hébergent l’arme nucléaire
Selon l’Ican, "cinq nations européennes – Allemagne, Belgique, Italie, Pays-Bas et Turquie – hébergent sur leur sol des armes nucléaires américaines, ceci en vertu d’un accord de partage du nucléaire dans le cadre de l’Otan".
D’autres sont membres d’alliances nucléaires comme l’Australie, le Canada, la Corée du Sud, le Danemark, l’Espagne, la Grèce, le Japon ou encore le Portugal et la Pologne…
"De plus, une quarantaine de nations possèdent désormais des réacteurs nucléaires ou des réacteurs d’étude pouvant être détournés de leur usage civil afin de produire des armes", précise l’Ican.

Des traités de non-prolifération
Si peu de pays sont dotés de l’arme nucléaire, c’est principalement en raison du traité sur la non-prolifération des armes nucléaire conclu en 1968. En plein contexte de Guerre froide, il a été signé par une cinquantaine de pays, dont les États-Unis, l’URSS et l’Iran.
Il engage les pays signataires à ne plus se doter de cette arme et, pour ceux qui l’ont déjà développée (à l’époque : les États-Unis, l’URSS, le Royaume-Uni, la France et la Chine), à ne pas aider des pays tiers à la développer.
Actuellement, 190 États (ou plutôt 189, si l’on considère que la Corée du Nord s’en est de fait retirée) l’ont ratifié.
En 2017, l’Ican a porté un Traité sur l'interdiction des armes nucléaires aux Nations unies, qui a été signé par 85 pays. Mais il n’a été ratifié que par 35 pays, dont un seul en Europe – l’Autriche.

Comment prendre soin de ses mains en hiver

L'hiver est l'ennemi de nos mains. L'air frais et sec les assèche. 
L'hiver venu, les mains deviennent plus rouges avec le froid. Elles se gercent plus facilement. Si on ne les chouchoute pas, des petites crevasses peuvent s'installer.  Pour éviter ce genre de désagréments, il est important de prendre soin de ses mains. 


Voici des conseils pour avoir des mains toute douces pendant l'hiver. 
  • Une bonne hydratation des mains


Comme pour le visage et le reste du corps, nos mains ont besoin d'être hydratées. On n'hésite pas à mettre de la crème, une à deux fois par jour. Pour un meilleur résultat, il est important de choisir des crèmes spécialement pour les mains, on évite celles destinées au visage. Pour une meilleure pénétration, assurez-vous de faire chauffer la crème entre vos mains. Pour ne pas avoir la sensation de mains qui collent, optez pour les crèmes sans parabens et non-grasse.  
  • Toujours se munir de gants

Choissisez-les de préférence des gants fourrés pour une sensation de chaleur et de confort ou en cuir. Attention, vos gants ne doivent pas trop serrés vos petits doigts, sous peine de provoquer une mauvaise circulation du sang. Il faut protéger ses mains des agressions extérieures et intérieures. Ce conseil vaut pour le reste de l'année, mais pensez à vous munir de gants lors de vos tâches ménagères. Les produits d'entretiens sont assez aggressifs au contact de la peau.
  • Préparer des soins maisons
Bien sûr, il y a les produits achetés dans le commerce. Mais pour prendre soin de ses mains, vous pouvez aussi préparer vos produits faits maison, à commencer par un masque hydratant. Il vient nourrir en profondeur vos mains. Il existe différentes recettes pour bichonner vos mains :
     - Mélanger une cuillère à soupe de sucre glace avec deux cuillères à soupe d'huile d'olive. Appliquez la texture sur vos mains, massez quelques secondes. N'oubliez pas de rincer, puis de sécher soigneusement vos deux mains à l'aide d'une serviette. 
      - Mélangez une cuillère à soupe de miel avec une cuillère à soupe d'huile d'amande douce. Laissez reposer une bonne demi-heure, avant de rincer.
C'est un masque au miel crémeux. Cet ingrédient est idéal pour nourrir l'épiderme. Il apaise aussi les irritations.  

À la découverte d'un peuple qui ne voit pas les couleurs



Situé en Micronésie, l’atoll de Pingelap, ainsi qu’une île voisine, abritent de nombreux habitants affligés d’une maladie rare de la vision. Le nombre de cas enregistrés, beaucoup plus important qu’ailleurs, s’explique par l’histoire de l’île.


La maladie des yeux éteints
La maladie des yeux éteints, ou “maskun” en langue locale, frappe entre 5 et 10% de la population de Pingelap. Dans le reste du monde, cette affection, appelée achromatopsie, ne touche qu’une personne sur 30.000 environ.


Les personnes souffrant de cette maladie ne peuvent percevoir les couleurs, ont une faible acuité visuelle et supportent mal la lumière. Les malades voient donc le monde en noir et blanc. Ils profitent cependant d’une excellente vision nocturne.
Cette affection invalidante gêne les activités quotidiennes, surtout dans un climat très ensoleillé, et empêche les enfants de suivre leurs cours normalement.
Dans les pays au système de santé développé, les malades portent des lunettes spéciales, dotées de verres filtrant la lumière et de dispositifs grossissants. Mais, pour la plupart, les habitants de Pingelap n’ont pas les moyens de s’en procurer.
Dans les années 1950, de nombreux habitants de Pingelap ont émigré sur l’île voisine de Pohnpei. Ils ont apporté l’achromatopsie dans leurs bagages, faisant de l’île le second plus grand foyer mondial de la maladie.

Les conséquences d’un cyclone
De nombreuses légendes se sont formées autour de cette étrange maladie. Des rumeurs attribuèrent aussi l’origine du “maskun” à des habitants revenant de l’étranger.
Pour trouver la véritable explication, ou du moins la plus probable, il faut remonter en 1775. Cette année-là, un terrible cyclone ravage l’île et en détruit les ressources naturelles. La famine décime la population de l’atoll.
Une vingtaine d’habitants survit, dont le roi et quelques hommes. Malgré leur petit nombre, ils ont tôt fait de repeupler l’île. Mais cette situation singulières entraîne des unions consanguines.
C’est ainsi que le roi de l’île, porteur de l’anomalie génétique, s’unit à plusieurs femmes qui en sont elles-mêmes porteuses. Et c’est à la quatrième ou cinquième génération que l’achromatopsie apparaît et s’installe durablement dans le patrimoine génétique des descendants des rescapés du cyclone meurtrier.