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Langage Animal

Une légende indonésienne raconte que les singes peuvent parler mais qu’ils préfèrent se taire. Les animaux parlent-ils des langues que nous ne comprenons pas? Est-ce simplement parce qu’il nous manqué le bon dictionnaire ou le langage est-il le propre de l’homme au sein du royaume animal? Les oiseaux chantent, les lions rugissent et les chimpanzés --, mais tous ces sons ont-il une signification? Ce documentaire d’une heure nous met à l’écoute de tous les sons produits par les animaux dans la nature et nous fait découvrir le travail de scientifiques qui passent leur temps à essayer d’établir des conversations avec les animaux. Des perroquets en passant par les orques le documentaire cherche à répondre à la question: existe-t-il un langage chez les animaux?

Immunité


L'immunité désigne la capacité de l'organisme à se défendre contre des substances étrangères, comme des agents infectieux. Elle se manifeste grâce à la réaction immunitaire.
L'organisme possède une immunité naturelle (immunité innée) et une immunité acquise.

  • Immunité naturelle (innée).

L'immunité naturelle n'est pas spécifique d'un agent infectieux et ne devient pas plus efficace quand l'organisme est confronté plusieurs fois au même agent. Cette immunité fait intervenir :
       - les barrières naturelles (peau, muqueuses que rencontre un agent infectieux avant d'entrer dans l'organisme) ;
       - les molécules du complément ;
       - des cellules (macrophages, cellules NK).
  • Immunité acquise : immunité cellulaire et immunité humorale
L'immunité acquise, contrairement à l'immunité innée, est spécifique de l'agent qui l'a induite dans le passé. L'organisme répond à chaque fois qu'il rencontre à nouveau cet agent. La deuxième réponse immunitaire à l'agent est généralement supérieure à la première.
L'immunité acquise se caractérise donc par une mémoire immunitaire et une spécificité. La vaccination repose sur le principe de cette mémoire immunitaire. De la même façon, le fait d'avoir déjà contracté une maladie comme la varicelle immunise l'individu grâce à l'immunité acquise.

       - L'immunité acquise utilise deux types d'immunités :
l'immunité à médiation cellulaire, ou immunité cellulaire, qui utilise les lymphocytes T ;
       - l'immunité à médiation humorale, ou immunité humorale, qui utilise des molécules solubles, les anticorps (immunoglobulines), produits par les lymphocytes B.

Autoroutes de l’espace


Un article publié dans la revue « Science Advances » fin novembre montre l’existence de structures invisibles, comme un réseau d’autoroutes cosmiques, qui permettraient le déplacement rapide d’objets dans l’espace.
Pas de limitation à 130 km/h. Pour qu’un objet, une roche ou une comète aille d’une planète à l’autre, et selon la distance qui sépare celles-ci, il faut souvent plusieurs milliers (voire millions) d’années. C’est par exemple le cas entre Jupiter et Neptune (on parle de plusieurs milliards de kilomètres).
Selon une équipe de chercheurs de l’Observatoire astronomique de Belgrade en Serbie, il existerait des « autoroutes célestes » dans l’espace, permettant à ces mêmes objets ou comètes de voyager beaucoup plus vite, et de ne mettre que quelques décennies. Ces structures, appelées « collecteurs spatiaux », sont invisibles à l’œil nu et seraient générées par les inter­ac­tions gravi­ta­tion­nelles des planètes du système solaire. Chaque planète génère ses propres collecteurs et ensemble elles formeraient donc un réseau d’arches qui relierait les planètes entre elles.
La voie rapide. Mais si ces structures sont invisibles, comment les astronomes ont-ils pu détecter ses autoroutes spatiales ? Comme l’explique l’article, ils ont utilisé l’in­di­ca­teur rapide de Liapou­nov (FLI) qui détecte en temps normal le chaos d’un système. Sur une période courte (moins de 100 ans), cet outil peut enregistrer « les insta­bi­li­tés qui agissent sur les échelles de temps orbi­tales ; c’est-à-dire que nous l’utili­sons pour défi­nir les régions de trans­port rapide au sein du système solaire ».
Ces recherches pourront également aider les chercheurs à mieux comprendre les déplacements des comètes et des objets au sein du système solaire : « La combinaison des observations, de la théorie et de la simulation améliorera notre compréhension actuelle de ce mécanisme », écrivent les astronomes. Ces derniers vont aussi pouvoir étudier ces mécanismes afin de voir s’ils peuvent éventuellement être exploités et envisagés pour des missions d’exploration spatiale. Au moins, sur ces autoroutes, il ne devrait pas y avoir de péages.

Pérou, Bolivie, pays historiques de la pomme de terre

La pomme de terre a vu le jour dans les Andes, à la frontière entre la Bolivie et le Pérou, où elle poussait à l’état sauvage. Les premières traces de culture que l’on a retrouvées datent d’il y a 7000 ans. Seule culture résistant bien à la rudesse du climat de l’Altiplano péruvien, à plus de 3000 mètres d’altitude, sur les abords du lac Titicaca, des communautés de chasseurs cueilleurs domestiquèrent les nombreuses espèces qui y poussaient.



A l’époque, il existait près de 200 espèces sauvages de pomme de terre, mais les agriculteurs ont progressivement sélectionné et amélioré les spécimens les plus savoureux et les mieux adaptés à la culture, donnant ainsi naissance à une immensité de variétés différentes. C’est environ 2000 ans avant J.-C. que la pomme de terre a commencé à être domestiquée. Dans la « vallée Quechua » sur les flancs de la Cordillère centrale, à près de 3500 mètres d’altitude, la pomme de terre est la seule culture andine qui s’est véritablement adaptée au climat. Certaines variétés peuvent même être cultivées sur la steppe d’altitude, à 4300 mètres au-dessus du niveau de la mer.

C’est entre le 5e et le 10e siècle que la culture de la pomme de terre (la « papa ») est devenue l’une des plus importante culture vivrière (avec le maïs) des peuples andins. A partir du XIIIe siècle et de l’émergence de l’empire Inca, c’est surtout sous forme de chuño, tubercule déshydratée par exposition au gel et au soleil, qu’elle était consommée.



Avec l’arrivée des conquistadors espagnols, la pomme de terre a traversé pour la première fois l’Atlantique vers 1570. Timidement, elle fait son entrée en Italie puis en France et en Allemagne. Vers le milieu du 16e siècle, c’est grâce aux anglais qu’elle est adoptée par l’Europe du Nord. Pourtant, elle est encore essentiellement réservée à l’alimentation des animaux.
C’est au 18e siècle seulement, grâce à Parmentier, qu’elle devient enfin une culture d’ampleur en France. Ce pharmacien convaincu de ses qualités nutritives, fit planter aux alentours de Paris des pommes de terre gardées seulement le jour. Une mesure qui attisa la curiosité des habitants, qui venaient la dérober durant la nuit. C’est le début d’un succès qui ne s’est depuis, plus démenti.
Aujourd’hui, dans les Andes, on répertorie encore 7 espèces et plus de 5000 variétés de toutes les couleurs et toutes les formes, quand, dans le reste du monde, on ne cultive qu’une seule espèce : la Solanum Tuberosum. Près du lac Titicaca, la culture de la pomme de terre est l’une des principales activités de la saison agricole.


Ainsi, tout au long de l’histoire des civilisations andines, la pomme de terre est devenue un élément essentiel de la vie quotidienne : on mesurait par exemple le temps au temps nécessaire pour cuire les pommes de terre. Aujourd’hui encore, dans certaines régions des Andes, les agriculteurs mesurent les terres en topo, la superficie nécessaire à une famille pour couvrir ses besoins en pommes de terre.



PÉROU – LE PAYS DE LA POMME DE TERRE, ON DIT MÊME QU’IL Y A AUTANT DE JOURS DANS UN AN QUE DE SORTES DE POMMES DE TERRE.

Qu'est-ce qu'une crypto-monnaie ?

 

 
Certains pays comme la Chine, l'Iran, l'Inde, le Bangladesh, le Maroc, la Thailande, l'Ouganda, le Nigéria et la Zambie ont pris diverses mesures de restriction contre les Crypto-monnaies.
Le bitcoin a été la première crypto-monnaie et les experts disent que Satoshi Nakamoto, qui reste anonyme et inconnu, l'a inventé et présenté au public en 2019.
Depuis lors, il y a eu des milliers de crypto-monnaies, comme le Litecoin, l'Ethereum, et même le Dogecoin.


La crypto-monnaie est une monnaie numérique ou virtuelle. Une monnaie qui ne peut être ni sentie ni vue.
Elle est fabriquée par codage et les transactions en crypto-monnaie sont stockées dans une sorte de base de données appelée blockchain.


La cryptographie est utilisée pour crypter et cacher les codes afin de protéger l'argent.

À quoi peut servir le système de crypto-monnaie ?
Pour beaucoup de choses. Vous pouvez l'utiliser pour acheter des produits, des services et même échanger avec d'autres devises physiques.
Des célébrités et des milliardaires comme Elon Musk, Lionel Messi et Mike Tyson ont montré publiquement leur soutien à cet argent virtuel.

Alors pourquoi certains pays n'ont pas pas confiance ?
Une chose qui rend la cryptomonnaie différente de la monnaie normale que vous connaissez est qu'il n'existe pas de banque centrale ou d'administration unique la réglementant. Et c'est là que réside le gros problème ou l'attrait de la monnaie virtuelle.
Alors que certains pays comme l'Amérique ont adopté une position positive sur l'utilisation de la cryptomonnaie comme le Bitcoin pour les transactions, d'autres sont toujours sur la sellette ou l'ont interdit à juste titre !
Depuis 2017, par exemple, la Banque centrale du Nigeria interdit aux banques de détenir, d'échanger ou d'utiliser la cryptomonnaie pour les transactions.
Leur dernier rappel a déclenché un tollé et a suscité de nombreuses réactions.
Mais attention, le Nigéria n'est pas le seul pays à avoir un problème avec la cryptomonnaie.
La Chine, Taiwan, l'Iran, même le Canada et d'autres pays ont imposé des restrictions sur l'utilisation de la cryptomonnaie pour les transactions.
En fait, en Chine, la cryptomonnaie est complètement interdite ! Les banques ne sont pas autorisées à traiter ou à effectuer des transactions avec.
Certains experts pensent que, puisque les transactions avec la cryptomonnaie sont largement non réglementées, anonymes et intraçables, elle est devenue une sorte d'aide pour des choses comme le blanchiment d'argent, le terrorisme, les activités criminelles, pour acheter des armes légères, des armes et même pour échapper à l'impôt.

Quel est donc l'avenir de la crypto-monnaie ?
Personne n'a de réponse claire pour l'instant.
Mais une recherche effectuée et publiée par la Deutsche Bank allemande indique qu'il est possible qu'à terme l'inflation devienne courante et constitue un gros problème pour l'argent et que si cela se produisait, la demande de devises alternatives sera probablement élevée d'ici 2030.
Mais tout le monde acceptera-t-il enfin la monnaie virtuelle comme la cryptomonnaie dans 10 ans, cela reste une grande question à laquelle les experts et les gouvernements devront répondre dans les prochaines années.

Production d’énergie par les plantes

 Créer de la bioélectricité à partir de plantes, c’est le défi que se lance l’entreprise Hollandaise Plant-e en 2015 qui met alors au point une pile microbienne qui permet de produire de l’électricité grâce aux interactions qui s’opèrent entre les racines des plantes et les bactéries du sol. 


Avec une technologie plus durable et plus respectueuse de l’environnement, sans affecter la croissance de la plante, la bioélectricité par pile microbienne réussit là où la biomasse, pour l’instant, semble plus en difficulté.

Un principe novateur
Le principe de cette technologie est simple, la pile se nourrit de 70% des matières organiques produites par la photosynthèse que la plante n’utilise pas, excrétée par ses racines.
Au cours de ce processus, des électrons sont libérés. Ainsi, en plaçant une anode près des racines ainsi qu’une cathode dans de l’eau, il devient possible de produire de l’électricité.

Une énergie qui fonctionne toute l’année
L’atout principal de cette technologie, sa pérennité, la différencie des autres énergies renouvelables. En effet, la productivité de l’éolien et du solaire repose sur les saisons, sans vent ou sans soleil, elle est donc fortement réduite. Ici, avec les plantes, les interactions sont en continu, peu importe les conditions météorologiques, assurant une pérennité jusque-là jamais vue.

Une énergie multifonctionnelle
Marjolein Helder, la co-fondatrice de Plant-e explique que cette technologie pourra servir à produire de l’électricité mais aussi à isoler un toit ou même collecter de l’eau.
A plus large échelle, elle précise qu’il sera même envisageable de produire du riz et de l’électricité en même temps, afin de combiner les productions d’aliments et d’énergie…

Les 10 Tours les plus hautes du Maroc

 


La fleur de Nagapushpam s’ouvre une fois tous les 36 ans.


 

Une plume de mer, pas une fleur de l’Himalaya.
C'est un invertébré marin de la famille des anthozoaires, dont font partie les coraux et les anémones de mer.

Le Nagapushpam (en sanscrit), ou mesua ferrea (en latin), est un arbre toujours vert originaire de l'Asie tropicale, aux grandes fleurs blanches solitaires, très odorantes. Son bois dur est appelé « bois de fer de Ceylan ».

On trouve principalement cet arbre en Inde, au Sri Lanka, au Népal, en Indochine, en Malaisie et en Indonésie. Il peut pousser jusqu’à une altitude de 1.500 mètres.

Une spectaculaire éruption de l'Etna


C'est le plus haut volcan actif en Europe et l'un des plus actifs. En témoigne encore son entrée en éruption mardi, provoquant des chutes de cendre à des kilomètres à la ronde et des images sublimes.
Des pluies de cendres et de pierres volcaniques ont été observées jusqu'à Catane, ville portuaire et principale ville de l'est de la Sicile, où l'aéroport a été fermé.
L'éruption, certes impressionnante, n'a cependant présenté aucun danger pour la population et les pompiers ont indiqué qu'ils surveillaient l'évolution de l'éruption du cyclope sicilien.


Mars 2020 : le rover Perseverance s'est posé sur la Planète rouge

  

En quoi consiste Mars 2020 ?

La mission Mars 2020, qui a décollé fin juillet, a transporté Perseverance, le véhicule le plus gros et le plus avancé jamais envoyé sur la Planète rouge. Construit par la NASA, il pèse une tonne, est équipé d’un bras robotique de plus de deux mètres, de pas moins de 19 caméras et, pour la première fois, de deux micros. Arrivé à bon port, jeudi 18 février, c’est le cinquième rover à réussir le voyage depuis 1997.
Jeudi, à 21 h 55 (heure de Paris), Perseverance a posé ses six roues sur un site d’atterrissage « spectaculaire », le cratère de Jezero, au terme de « sept minutes de terreur », dixit la NASA, de la séparation du rover et de la capsule qui le transporte, au « touchdown », en passant par l’entrée atmosphérique.

But de la mission.
Mars 2020 est la première mission ayant explicitement pour but de prouver qu’il y a eu de la vie sur la Planète rouge. Les chercheurs pensent que le cratère de Jezero abritait, il y a plus de trois milliards et demi d’années, un profond lac d’environ 50 km de large. « Les seuls environnements habitables que nous connaissons au-delà de la Terre », selon les scientifiques. A l’époque, « Mars était très similaire à la Terre sous de nombreux aspects. Elle avait une atmosphère conséquente, des lacs et des rivières ».
Perseverance devrait prélever des échantillons qui devront être analysés par les laboratoires les plus performants sur Terre pour y distinguer, peut-être, les traces microscopiques d’anciens organismes. Les tubes contenant les échantillons seront précieusement conservés sur Mars jusqu’à ce qu’une mission ultérieure soit capable de revenir les chercher, dans les années 2030.
La NASA veut également faire voler, pour la première fois, un engin motorisé sur une autre planète, un hélicoptère.



La mission va tenter de préparer de futures missions humaines en faisant l’expérience de production d’oxygène directement sur place.
Après l’atterrissage, des premières photos de la surface arriveront rapidement en basse résolution. Des vidéos, y compris de l’entrée dans l’atmosphère, sont attendues plus tard.


Tempètes de neige 2021


  • AUX ETATS-UNIS : Un manteau de neige recouvre les rues de Houston, au Texas​, Etat du sud des Etats-Unis plus habitué aux records de chaleur qu'à la glace. Une vague de froid historique s'abat depuis plusieurs jours sur le pays en raison d'un vent de l'Arctique​ qui fait s'effondrer les températures​.



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