Ces oiseaux qui battent tous les records

Ces cinq oiseaux fascinent et intriguent les scientifiques.

• Le faucon pélerin plonge à près de 400 km/h 

Avec son corps fuselé et sa large poitrine, le faucon pèlerin bat tous les records de vitesse… lorsqu’il est motivé. En moyenne, il plane à 90 km/h, ce qui n’est pas très spectaculaire, mais, quand il effectue des descentes en piqué pour attraper des proies en vol, il est capable de doubler voire quadrupler sa vitesse.

• Le martinet peut passer 200 jours sans se poser

L’étude a été publiée dans la revue Nature Communications, en 2013. Des chercheurs de la Station ornithologique suisse ont doté des martinets à ventre blanc de capteurs miniatures pour suivre la migration de ces derniers entre l'Europe et l'Afrique de l'Ouest. Surprise : les données ont montré que les oiseaux étaient restés en vol 200 jours et nuits d’affilée, soit plus de six mois, sans jamais se poser. Pour se nourrir, pas de mystère, le volatile jette son dévolu sur des insectes volants. Mais comment se repose-t- il ? Les scientifiques ont émis plusieurs hypothèses : ce martinet pourrait dormir par phase de quelques secondes, utiliser une moitié de son cerveau pendant que l'autre moitié se repose ou, tout simplement, ne pas dormir du tout. Infatigable !

• La doyenne des oiseaux est un albatros ... et elle pond toujours

C’est le plus vieil oiseau sauvage connu : Wisdom (« Sagesse ») est une femelle albatros de Laysan, de l’atoll américain Midway, dans le Pacifique. Elle a été baguée à la patte droite en 1956 par le biologiste Chandler Robbins, qui estimait qu’elle avait déjà atteint son âge adulte. Puis, silence radio pendant quarante-six ans. Le scientifique la perd de vue… jusqu’à sa réapparition inattendue sur l’atoll en 2002. Aujourd’hui, l’âge de Wisdom est estimé à 66 ans minimum. En décembre dernier, le Service de la pêche et de la vie sauvage des États-Unis (USFWS) indiquait qu’elle avait été repérée, en pleine forme, dans l’atoll Midway. Elle avait rejoint son lieu de ponte habituel pour couver un œuf.

• Les sternes arctiques détiennent le record du vol le plus long

Elle pèse à peine 100 g mais la sterne arctique, petit oiseau au bec rouge, à la tête noire et au plumage blanc, est endurante. En 2015, des chercheurs britanniques de l’université de Newcastle ont réussi à munir vingt-neuf individus des Îles Farne, au nord-est de l’Angleterre, de puces GPS avant le début de leur migration, fin juillet. À son retour au printemps 2016, l’un d’entre eux avait pulvérisé le record du vol le plus long jamais enregistré : 96 000 km ! Son parcours ? Une première étape en Afrique du Sud, un passage dans l’océan Indien pour atteindre les côtes de l’Antarctique, puis retour en Angleterre par le même chemin. Le record précédent, qui s’élevait à 91 000 km, était déjà détenu par une sterne arctique, originaire des Pays-Bas.

• Le courlis d'Alaska a semé les scientifiques pendant presque deux siècles.

Une belle aventure scientifique signée National Geographic. Tout commence en 1769, plus d’un siècle avant la création de la National Geographic Society. Le ministère de la Marine britannique mandate le capitaine James Cook pour une expédition dans l’océan Pacifique. Un an plus tard, le navigateur jette l’ancre dans l’archipel de Tahiti. Des naturalistes de son équipage font une collecte inédite : des courlis, Numenius tahitiensis, au long bec effilé. Problème : aucune trace de leurs œufs. Les années suivantes, des indices suggèrent que l’aire de nidification du volatile pourrait se trouver à plus de 9500 km de là, en Alaska. Mais le mystère demeure, la science patine. Jusqu’à ce qu’un ornithologue passionné s’empare de l’affaire près de deux siècles plus tard. En 1948, le professeur Arthur Allen reçoit le soutien de la Society pour résoudre l’énigme. Il suit les traces de l’oiseau jusqu’à la péninsule de Seward, sur la côte ouest de l’Alaska… Enfin, en juin, un télégramme lapidaire arrive au siège social de la Society : « Avons trouvé nid du courlis. » Quatre œufs camouflés dans une touffe de lichens venaient d’être découverts par le fils d’Allen. Mission accomplie !

Source : Ould Lablad

À quelle vitesse la Terre se déplace-t-elle dans l’espace ?

Dans l’Univers, la quasi-totalité des objets sont en mouvement. Des comètes aux astéroïdes, en passant par les étoiles, les planètes, les galaxies et même les amas de galaxies, tous ces objets se déplacent constamment. C’est donc également le cas pour la Terre qui, en plus d’évoluer autour du Soleil, effectue également une rotation sur elle-même. Quelles sont les vitesses de ces mouvements ?
La Terre est en mouvement constant. En tournant autour du Soleil, la Terre tourne également sur son axe. Alors, à quelle vitesse la Terre se déplace-t-elle ? En d’autres termes, à quelle vitesse tourne-t-elle sur son axe et à quelle vitesse tourne-t-elle autour du Soleil ? Et pour aller encore plus loin, à quelle vitesse le Système solaire orbite-t-il autour de la Voie lactée ?

La Terre tourne sur elle-même environ une fois toutes les 24 heures (ou, pour être précis, toutes les 23 heures, 56 minutes et 4 secondes). La Terre fait 40 070 kilomètres de circonférence, donc lorsque l’on divise la distance par le temps, cela donne une vitesse de rotation de 1670 km/h. La Terre tourne autour du Soleil à environ 110 000 km/h. Les astrophysiciens déterminent cela en prenant la distance parcourue par la Terre autour du soleil et en la divisant par le temps que la Terre met pour terminer une orbite (environ 365 jours).

Animation montrant la rotation et la révolution de la Terre :

• Terre, Système solaire et Voie lactée : des objets en mouvement

Pour calculer la distance de la Terre autour du Soleil, il faut simplement déterminer la circonférence d’un cercle. Nous savons que la Terre est située, en moyenne, à environ 149.6 millions de km du soleil, et nous savons qu’elle se déplace généralement selon une trajectoire circulaire (c’est en fait plus elliptique, mais il est plus simple de faire cette équation avec un cercle). Cette distance entre le Soleil et la Terre est le rayon du cercle. Pour obtenir la circonférence de ce cercle, l’équation est 2*pi*rayon, ou 2*3.14*149.6 millions de km. Une fois que la circonférence (la distance parcourue par la Terre autour du Soleil sur une orbite) est calculée, sa vitesse orbitale peut être déterminée.

Le Système solaire, qui comprend notre soleil et tous les objets en orbite autour, est également en mouvement ; il est situé dans un bras de la Voie lactée, qui orbite autour du centre de la galaxie. Les astronomes savent que ce bras de la Voie lactée est en orbite autour d’un centre galactique sur la base d’observations d’autres étoiles. Si des étoiles très éloignées semblent se déplacer, c’est parce que le Système solaire se déplace par rapport à la position relative de ces étoiles éloignées.

Vidéo expliquant en détail le mouvement du Système solaire autour du centre galactique :

En étudiant les mouvements d’autres étoiles par rapport au Soleil, les astrophysiciens ont déterminé que le Système solaire orbite autour du centre galactique de la Voie lactée à environ 720 000 km/h. Ensuite, il y a toute la Voie lactée, qui est tirée dans différentes directions par d’autres structures massives, telles que d’autres galaxies et amas de galaxies. Tout comme les chercheurs peuvent dire que le système solaire se déplace en fonction du mouvement relatif d’autres étoiles, ils peuvent utiliser le mouvement relatif d’autres galaxies pour déterminer à quelle vitesse la Voie lactée se déplace dans l’Univers.

• Vitesses et ressenti

Même si tout bouge tout le temps, les organismes vivants à la surface de la Terre ne le ressentent pas pour la même raison que les passagers d’un avion ne ressentent pas non plus la vitesse en vol. Lorsque l’avion décolle, les passagers ressentent l’accélération de l’avion alors qu’il accélère sur la piste et décolle ; cette sensation de poids est causée par la vitesse changeante de l’avion. Mais une fois que l’avion vole à l’altitude de croisière, les passagers ne ressentiront plus la vitesse car celle-ci ne change pas.

Les passagers ne sentiront pas la vitesse parce qu’ils se déplacent en fait à la même vitesse et dans la même direction que l’avion. Il n’y a pas de mouvement relatif ; tout les passagers assis dans l’avion se déplacent à la même vitesse que l’avion lui-même. La seule façon pour les passagers de remarquer leur mouvement et celui de l’avion est de regarder par la fenêtre le paysage qui défile. Pour les humains qui se trouvent à la surface de la Terre, ils ne sentent pas la Terre évoluer autour du Soleil car ils tournent également autour du Soleil à la même vitesse.

Qui est Delta, le variant du coronavirus qui préoccupe scientifiques et autorités

• Indien ou Delta, quelle différence ?

Delta n’est pas exactement le nouveau nom du variant qu’on a d’abord appelé « indien » car il avait été détecté pour la première fois en Inde en octobre 2020. En fait, les variants « indiens » connus sont au nombre de trois, issus de la même lignée B.1.617, et Delta est le nom que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a donné à B.1.617.2. L’institution avait décidé, au début de juin, de renommer certains des variants les plus courants :
– Alpha est le variant dit « britannique », ou B.1.1.7 ;
– Beta est le variant dit « sud-africain », ou B.1.351 ;
– Gamma est le variant dit « brésilien », ou P.1 ;
– Delta est l’un des variants dits « indiens », ou B.1.617.2 ;
– Kappa est son proche cousin, lui aussi dit « indien », ou B.1.617.1.

• Où sévit Delta ?

Le variant est désormais présent dans au moins 85 pays, selon l’OMS, à des proportions variables. En Inde, il l’a vite emporté sur ses deux cousins, tandis qu’au Royaume-Uni, il lui a suffi de quelques semaines pour prendre le pas sur le variant local. Aux Etats-Unis, il est passé d’environ 10 % des prélèvements positifs séquencés le 5 juin, à 35 % la semaine dernière. Une proportion comparable est observée en Israël. En République démocratique du Congo et en Ouganda, il est respectivement responsable d’environ 77 % et 97 % des cas diagnostiqués.

Quelques curiosités de la nature

• Quel est l’animal qui dort le plus et quel est celui qui dort le moins 

        - les koalas ont jusqu’à 22 heures de sommeil par jour soit presque toute la journée !

        - la girafe ne dorment que 4 heures par jour environ dans des intervalles de quelques minutes. En outre, les girafes sont principalement des animaux qui dorment debout.

• L’animal le plus résistant est le chameau

Cette résistance est due à ses bosses, qui accumulent une grande quantité de graisse qui lui permet de recevoir l’énergie dont il a besoin pendant la période où il ne mange pas ou ne boit pas, en plus du fait que son corps a la capacité de retenir les liquides. On estime que vous pouvez passer jusqu’à deux semaines sans eau. Pour en savoir plus, consultez l’article sur la différence entre le chameau et le dromadaire.

• L’animal le plus rapide et sa vitesse est le faucon pélerin

Il peut atteindre un vitesse de 360 km/h  

• Le choc électrique des anguilles.

Principalement en raison de leur apparence, les anguilles sont des animaux que nous, les humains, préférons ne pas rencontrer en nageant dans la mer ou l’océan. Mais, en dehors de leur apparence, soit parce que nous n’aimons pas leurs dents, soit parce qu’ils ont une forme allongée, ils peuvent devenir des animaux dangereux pour nous. Pourquoi ? La décharge électrique des anguilles électriques, qui dépasse 600 volts. De plus, étant dans l’eau, qui est un grand conducteur d’électricité, il ne serait même pas nécessaire de toucher directement notre peau pour être électrocuté avec cette tension.

• L’animal qui a le plus de dents 

La vérité est que ce n’est pas la fée des dents, comme le dit l’énigme, mais l’animal qui a le plus de dents est le poisson-chat. Plus précisément, c’est le cas ! 9 280 dents! C’est vrai, ce poisson qui vit en Asie et en Amérique est celui qui a les dents les plus complètes, surpassant même de loin les requins.

• Bioluminescence

C’est sans doute l’une des choses les plus curieuses de la nature, et c’est qu’il y a des plantes qui brillent dans le noir et il y a même des animaux et des champignons qui le font.
Nous pouvons examiner les espèces Omphalotus olearius. La lumière du soleil est visible dans les algues qui se forment sur les côtes d’endroits comme les Maldives, illuminant tout le rivage, ou dans les lucioles et autres vers qui brillent. Ils le doivent tous au phénomène de bioluminescence. Le « Snowy » est le seul qui nous permette de voir des paysages uniques la nuit.

• L’arbre qui pousse le plus vite

Une autre curiosité de la nature est la vitesse à laquelle elle peut faire grandir certains êtres vivants. Par exemple, l’arbre qui pousse le plus vite est un arbre que nous connaissons tous mais dont peu connaissent ce détail : l’eucalyptus. On le trouve actuellement dans diverses régions du monde, mais c’est en Australie qu’il est le plus répandu et qu’il constitue la principale source de nourriture des koalas.
Les eucalyptus peuvent grandir de 10 mètres en 1 an et peuvent mesurer plus de 60 mètres tout au long de leur vie.

• Les plus grands et les plus vieux arbres du monde

Un autre détail curieux concernant les arbres est le fait qu’ils sont beaucoup plus vieux que la plupart des animaux, outre la taille incroyable qu’ils peuvent avoir. Les séquoias sont les arbres les plus hauts et les plus anciens de la Terre. On sait qu’ils vivent des milliers d’années, le plus vieux d’entre eux ayant, croit-on, 3 200 ans. En termes de hauteur, il est souvent spectaculaire et, en fait, le plus grand arbre vivant du monde est un séquoia qui mesure 115,55 mètres de haut.
Cependant, les eucalyptus peuvent également être très grands car ils poussent rapidement et le plus long arbre connu est un pin de 9 500 ans en Suède appelé Old Tjikko.

• L’Amazonie est un lieu unique

L’ensemble de l’écosystème amazonien est d’une richesse impressionnante, mais ce n’est qu’en regardant le fleuve Amazone que nous pouvons découvrir à quel point cet endroit est unique sur notre planète. Plus précisément, il est curieux de penser que ce n’est que dans le fleuve Amazone que l’on retrouve un tiers de toutes les espèces de la planète. Cela signifie que c’est l’endroit qui possède la plus grande biodiversité au monde, à moins que nous ne le sachions pour le moment.
En outre, il combine différents types de zones, de l’eau douce à l’eau mixte à l’embouchure, où l’on trouve des espèces vraiment étonnantes. Chaque année, de nouvelles espèces sont découvertes dans cet écosystème.

• Certaines des plus anciennes montagnes se trouvent en Écosse

Les montagnes sont en constante formation et, par conséquent, en érosion. Par exemple, au milieu de l’océan, nous pouvons trouver des volcans qui entrent progressivement en éruption et créent de nouvelles îles et montagnes, bien que celles-ci puissent être créées de plusieurs façons.
Ainsi, un fait à ajouter à cette liste de curiosités naturelles qui vous surprendra est l’âge de certaines montagnes qui existent encore aujourd’hui. C’est le cas des Highlands d’Écosse. Il s’agit d’un paysage étonnant et unique, avec d’énormes formations montagneuses, et qui est considéré comme ayant environ 400 millions d’années.

• Lagune multicolore

Une autre curiosité naturelle se trouve dans le Parc national de Yellowstone. Il s’agit d’un écart qui a mérité le nom d’étang coloré. Il a différentes couleurs comme le bleu intense, le vert, l’orange, le jaune et même des tons rougeâtres. De plus, il a une profondeur de 50 mètres et un diamètre de 80 par 90.
L’étrange phénomène de sa couleur est dû à la quantité de minéraux et de bactéries pigmentées contenus dans ses eaux.

• La plus grande fleur du monde

C’est l’une des plantes les plus rares, non seulement parce qu’elle a la plus grande fleur, mais aussi en raison de son apparence et même de son odeur. Rafflesia est une fleur qui peut mesurer un mètre de diamètre et qui sent la viande pourrie, tout en ayant une couleur rouge intense et une texture charnue et rugueuse. On le trouve en Asie du Sud-Est et dans la région amazonienne du Brésil.

• Les chutes d’eau sous-marines de l’île Maurice

Si nous allons jusqu’à Île Maurice, à Madagascar, où nous trouverons l’un des merveilleuses curiosités de la nature : les chutes d’eau sous-marines. Comme nous pouvons le voir sur l’image ci-dessous, cela donne le vertige rien que de les voir et d’imaginer nager ou naviguer dans cette région, n’est-ce pas ?
Le plus curieux est qu’il s’agit d’un effet d’optique. Cette chute d’eau sous-marine est une illusion d’optique qui se produit parce qu’il y a une infiltration de dépôts de sable et de limon, un type de sédiment, qui provoque cet effet de variété de couleurs et de mouvement. Cet effet augmente lorsque nous voyons la zone à distance, plus elle est marquée, de sorte que les images aériennes sont les plus spectaculaires.

• Le désert inondé au Brésil

L’une des curiosités que la nature nous offre au Brésil est, sans aucun doute, le désert inondé. Comme vous l’avez lu, bien que cela semble contradictoire, ce désert du Maranhao est un désert géant de dunes blanches, au sable assez clair, et est connu sous le nom de Lençois Maranhenses.
Ce qui rend cet endroit unique au monde et une grande curiosité, c’est qu’entre les mois de juin et de septembre, il y a des pluies abondantes qui font que l’eau s’accumule, formant des milliers d’étangs de couleur bleu-vert au milieu de tout ce sable blanc.

• Sarawak Hall, la plus grande cavité souterraine du monde

La dernière des curiosités de la nature que nous vous présentons dans cette liste des 15 premières est la plus grande grotte du monde. elle a été découverte en 1981 au Sarawak, en Malaisie, plus précisément dans le parc national de Gunung.
appelée la salle Sarawak et, à ce jour, c'est la plus grande cavité souterraine, mesurant 70 mètres de haut, 700 mètres de long et 400 mètres de large. Pour avoir une idée plus précise de sa taille, il est généralement acheté avec des jumbo-jets, certains des plus grands, qui peuvent contenir jusqu’à 10 jumbo-jets ou Boeing 747.

Les poissons-chats chassent les pigeons

A l’instar de leurs homonymes à 4 pattes, les poissons chats chassent les pigeons, preuve d’un comportement adaptatif.
Le poisson chat ou silure est originaire Rhin, mais a été introduit dans le Tarn en 1983. Il a adapté son alimentation à de nouvelles proies, en attrapant des pigeons sur le rivage et les faisant glisser dans l’eau.

Le comportement du chat est comparé à celui des grands dauphins en Caroline du Sud, qui conduisent des poissons sur les plages, ou à celui des épaulards argentins qui se rendent sur les plages pour attraper les lions de mer.
Le poisson-chat a gagné le surnom de “baleine tueuse d’eau douce“.
L’étude dit: «Parmi un total de 45 comportements observés et filmés, 28% ont réussi à capturer des oiseaux … Puisque ce comportement extrême n’a pas été signalée chez les espèces endémiques, nos résultats suggèrent que certains individus de populations de prédateurs introduits peuvent adapter leur comportement pour se nourrir de proies nouvelles dans de nouveaux environnements…”.

Source : Ould Lablad

Le plus haut hôtel au monde ouvre ses portes à Shanghai

Le plus haut hôtel au monde a ouvert ses portes, au sommet de la Tour de Shanghai, qui culmine à 632 mètres dans la capitale économique chinoise.
L'hôtel de luxe occupe ainsi les derniers étages de ce gratte-ciel qui compte 128 étages et qui est le deuxième plus élevé de la planète après la Burj Khalifa (828 m) à Dubaï.
Le "J Hotel", officiellement ouvert samedi dernier, appartient au groupe Jin Jiang International Hotels, détenu majoritairement par l'Etat chinois. Il compte 165 chambres dont certaines aux prix vertigineux, comme la plus belle suite avec chandeliers en cristal et sauna qui s'affiche à 67.000 yuans (8.660 euros) pour une réservation samedi soir.
Le restaurant situé au 120e étage et la piscine au 88e font partie des principales attractions de cet hôtel dont l'ouverture a été retardée par la crise sanitaire.

Quelques fleurs de montagne.

Sur les sommets de montagne, poussent des fleurs qui parviennent à s’épanouir dans des conditions parfois extrêmes.

L'edelweiss :

Etoile blanche à l’apparence presque laineuse, la reine des fleurs de montagne se fait de plus en rare.

Le panicaut ou chardon bleu des Alpes : 

Ce somptueux chardon bleu peut atteindre jusqu’à 60 cm de hauteur.

L’aster des Alpes.

Egalement surnommée la « reine marguerite des Alpes », cette aster-là est une jolie petite étoile colorée qui peut pousser jusqu’à 3000m d’altitude. Elle fleurit au début de l’été ou de l’automne en fonction des variétés.

La digitale.

Fleurs de jardin et de sous-bois, les digitales poussent aussi en altitude jusqu’à 1000m et il n’est pas rare de les rencontrer jusqu’à 1800m dans les Pyrénées. Leurs immenses et élégantes tiges florales se reconnaissent de loin grâce à leur spectaculaire floraison blanche, rose ou mauve.

Le lys des Pyrénées :

Comme son nom l’indique, ce lys ne se rencontre que dans les... Pyrénées ! Ses élégantes fleurs jaune orangé sont tachetées de brun et l'on prête à cette variété des vertus médicinales pour traiter les plaies et les piqûres de moustiques.

La clématite des Alpes :

Appelée atragène des Alpes, s’épanouit en altitude jusqu’à 2400m ! Dans son milieu naturel, elle grimpe aux arbres ou aux rochers et fleurit en juin et en juillet.

L’anémone des Alpes (Pulsatilla alpina) :

Cette fleur gracieuse d’une vingtaine de centimètres pousse au ras du sol, généralement dans les prairies d’altitude, entre 1000 et 2750m. Mais contrairement à ce que son nom pourrait laisser croire, elle pousse autant dans les Alpes que dans le Massif central, les Pyrénées et toutes les régions montagneuses d’Europe !

La pensée des Alpes (Viola calcarata) :

Jolie fleur des montagnes des sentiers de randonnée dans les Alpes occidentales, si possible dans les pâturages d'altitude du parc national du Mercantour.

L’iris des Pyrénées :

Caractéristique de la beauté des paysages pyrénéens, l’iris latifolia a de grandes fleurs bleues qui animent les prairies montagnardes pendant tout l’été. Après la floraison, son feuillage perdure longtemps. Une très belle plante à admirer uniquement avec les yeux !

L'été arrive, les piqûres d’insectes aussi !

Pourquoi se fait-on piquer ?

Les piqûres d'insectes font hélas partie de ces petits tracas que l'on est amené à rencontrer en été. Mais au fait, pourquoi est-ce que les insectes nous piquent ? Il y a en fait diverses raisons à cela, et cela dépend des insectes. Par exemple, chez les moustiques et les taons, les femelles ont besoin de sang pour se nourrir et se reproduire. Elles peuvent pour cela s'attaquer à certains animaux, mais elles apprécient également le sang humain.
Pour d'autres insectes, comme la guêpe, l'abeille, le frelon asiatique ou bien encore la fourmi rouge, la piqûre sert à se défendre. C'est-à-dire que quand on les laisse tranquilles et qu'on les fuit, les risques de piqûres sont minimes. Attention en revanche lorsqu'on s'approche d'eux, ils vont vite se sentir menacés, et donc piquer. C'est exactement la même chose pour l'araignée, animal détesté par un grand nombre d'entre nous, sa morsure sert à se défendre. Il faut de suite s'ôter un grand nombre d'idées reçues sur le sujet. En aucun cas une araignée ne viendrait s'attaquer à l'homme, elle préfère même les fuir. Ce qui n'empêche pas la possibilité d'être à leur contact et se faire mordre.

Quand se fait-on piquer ?
Comme nous avons pu le voir, certains insectes piquent pour se défendre. L'idéal pour éviter les piqûres de guêpes, d'abeilles, de frelons ou bien de fourmis rouges, c'est donc d'éviter d'aller à leur rencontre, et de les titiller. De même que lorsqu'on repère un nid de guêpes ou de frelons, il ne faut jamais aller voir de près, par simple curiosité, et encore moins essayer de retirer le nid soi-même. Le risque, c'est que les insectes attaquent à plusieurs, et la multiplication des piqûres peut être dangereuse pour la santé de l'homme.
Si on prend le risque de se faire piquer par des insectes en été, c'est aussi parce que nous allons passer beaucoup de temps en extérieur, à manger, à boire et à s'asseoir dans l'herbe ou au bord de l'eau. Beaucoup d'insectes sont attirés par les boissons sucrées, l'alcool et la nourriture. On a forcément en tête ces repas et pique-niques à faire la chasse aux guêpes.
Il faut donc faire attention lorsque l'on boit dehors, mais aussi toujours couvrir hermétiquement les récipients alimentaires et les poubelles. De même, il est recommandé d'éviter les parfums trop sucrés lorsqu'on prévoit de passer un moment en extérieur. Sans oublier de porter des vêtements clairs, des chaussures fermées et de couvrir bras et jambes lorsqu'on décide de partir randonner en pleine nature par exemple.

Par quels insectes peut-on se faire piquer ?
Il existe une multitude d'insectes pouvant nous piquer en été. Mais il faut en mentionner un qui est de plus en plus présent en Europe depuis deux ans et qui est aussi particulièrement dangereux : le frelon asiatique. Aperçu en France pour la première fois en 2004 dans le Lot-et-Garonne, il s'est depuis acclimaté et a colonisé tout le territoire ainsi que bon nombre d'États voisins européens. Si le frelon asiatique préoccupe pour son impact sur l'apiculture et la biodiversité, il se nourrit en effet d'insectes et de fruits mûrs, il faut noter qu'il est aussi dangereux pour l'Homme. Quelques piqûres suffisent en effet pour provoquer une hospitalisation, un choc respiratoire, un oedème de Quincke, un choc anaphylactique, voir un décès ! Le frelon asiatique est surtout dangereux lorsqu'il attaque en groupe ou bien lorsqu'on est allergique à son venin.
Il faut aussi noter que le problème avec le frelon asiatique, c'est qu'il ne perd pas son dard à la première piqûre, et peut donc répéter son geste plusieurs fois. Son dard peut de plus traverser des tissus épais, comme des bottes en caoutchouc. D'où la nécessité d'être très vigilant, de ne pas les approcher et lorsqu'on repère un nid, de contacter la mairie de sa commune afin d'être orienté vers un organisme approprié.

Quels gestes adopter lors d'une piqûre ? Quand utiliser Aspivenin® ?
Si la majorité des piqûres d'insectes sont bénignes, certaines peuvent tout de même provoquer des réactions plus ou moins fortes. Les personnes allergiques doivent notamment être particulièrement vigilantes. En cas de piqûre de moustique, de guêpe, de taon, de fourmi rouge ou de frelon, la première chose à faire est de désinfecter la plaie avec un antiseptique. C'est aussi le moment d'utiliser dans un second temps la mini-pompe Aspivenin ! Cette petite pompe, qui dispose de trois embouts adaptés à la taille de la piqûre, ou morsure, est très simple à utiliser et permet d'aspirer le venin d'abeilles, de guêpes ou de frelons, mais aussi d'autres insectes ou animaux venimeux. C'est une solution de premiers secours dont l'efficacité est prouvée et dix fois supérieure à la succion buccale. D'où la nécessité de l'avoir chez soi, mais aussi dans la trousse à pharmacie lorsqu'on rejoint un coin de nature pour une randonnée ou toutes autres activités de loisirs en plein air.
Attention cependant, suite à une piqûre par un insecte, il est toujours recommandé de surveiller les réactions et d'être attentif aux allergies. Il faut veiller aux symptômes tels que les gonflements, les problèmes de respiration et les réactions cutanées importantes. Si tel est le cas, il faut alors appeler le 15 sans attendre pour obtenir une consultation médicale.

Ces autres insectes et animaux que l'on croise en été
Nous nous sommes attardés sur le frelon asiatique et sa dangerosité particulière, mais n'oublions pas que l'on va croiser en été bien d'autres insectes et animaux pourtant être à l'origine d'une piqûre ou d'une morsure. Les moustiques sont ainsi nombreux, surtout à proximité de l'eau. On va aussi croiser des guêpes, des bourdons, des abeilles, des taons, des araignées et des fourmis rouges dans l'herbe. Pour ces insectes et animaux, l'Aspivenin peut être utilisé. La mini-pompe va en effet aspirer le venin, soulager la douleur et la démangeaison, ainsi que limiter la formation de l'oedème.

Reste à mentionner les serpents. En Europe, seule la vipère est dangereuse. Si les décès restent rares, le réflexe à systématiquement avoir en cas de morsure est de composer le 15 ou le 18 pour faire venir les secours.

Source : Ould Lablad