Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Le Maroc se félicite de la décision du Pérou de retirer sa reconnaissance de la pseudo « rasd »
Os du squelette : combien d’os compte le corps humain ?
Le squelette d'un adulte comporte 206 os distincts classés en deux systèmes : le squelette axial d'une part que l'on peut considérer comme la véritable charpente du corps humain, et le squelette appendiculaire d'autre part qui regroupe les bras et les jambes. Il y 26 os au niveau de la colonne vertébrale, 8 au niveau du crâne, 14 sur la face, 7 autres os crâniaux, 25 à l'étage du sternum et des côtes, 64 dans les membres supérieurs et 62 dans les membres inférieurs.
Leur masse, sans la moelle, représente chez l'homme entre 4 et 6 kg, et chez la femme, entre 3 et 4 kg.
Notre squelette compte plus d’os à la naissance
À la naissance, notre corps compte 350 d'os mous, c'est plus qu'à l'âge adulte car une partie d'entre eux se soudent au cours de notre croissance jusqu'à l'âge de 20-25 ans.
43ème anniversaire de la récupération d’Oued Eddahab
En date du 14 août 1979, les oulémas, les notables et les chefs de tribus de la province d’Oued Eddahab s’étaient rendus au Palais royal de Rabat pour présenter à Feu SM Hassan II leur serment d’allégeance et réaffirmer leurs liens d’attachement indéfectible au Glorieux Trône alaouite.
Par cet acte solennel et hautement patriotique, les habitants de Oued Eddahab ont signifié qu’ils ne braderaient jamais leur identité marocaine, en affirmant au monde entier que le Sahara a toujours été marocain et qu’il le restera pour toujours, en dépit des manœuvres des adversaires.
Ce fut un moment historique immortalisé par l’allocution dans laquelle le regretté Souverain avait affirmé: « Nous venons de recevoir, en ce jour béni, votre serment d’allégeance, que Nous préserverons et conserverons précieusement, comme un dépôt sacré. Désormais, vous devez honorer ce serment. De Notre côté, Nous faisons également un devoir de garantir votre défense et votre sécurité et d’œuvrer sans relâche pour votre bien-être. Soyez donc, Mes chers fils, les bienvenus au sein de votre patrie. Rendons grâce au Tout-Puissant de Nous avoir comblés de ses bienfaits en rattachant le Sud de Notre pays à sa patrie Nord et en restaurant les liens de sang entre ses fils ».
Lors de cette cérémonie, Feu SM Hassan II avait également procédé à la distribution d’armes aux représentants des tribus, un geste fort et symbolique de la poursuite de la lutte pour la défense de l’intégrité territoriale et l’instauration de la sécurité dans les provinces récupérées.
Centrale nucléaire de Zaporijjia
Elle se trouve sur les berges du réservoir de Kakhovka, alimenté par les eaux du fleuve Dniepr, à proximité de la centrale hydroélectrique de Kakhovka.
L'Ukraine exploite cinq centrales nucléaires.
La puissance thermique de la centrale, qui atteint pratiquement 20 000 mégawatts, exige d'énormes quantités d'eau de refroidissement provenant du Dniepr, qui a été élargi spécialement pour ce site.
La centrale de Zaporijjia produit 37 à 38 milliards de kWh par an, soit un cinquième de la production d'électricité ukrainienne. Depuis l'arrêt du dernier réacteur de la centrale nucléaire de Tchernobyl, en l'an 2000, l'activité de cette centrale est maintenue à un niveau très élevé pour assurer les besoins électriques du pays.
Voici le meilleur semi-conducteur au monde, selon le MIT
Flexi-jobs
Un flexi-job est une forme d’emploi permettant à un travailleur d'exercer un emploi complémentaire à des conditions avantageuses :
- En tant qu'employeur, vous ne payez qu'une cotisation patronale de 25 % pour un travailleur flexi-job. Autrement dit : pas de cotisations de sécurité sociale ordinaires ni de précompte professionnel.
- Votre travailleur ne doit pas payer de cotisations des travailleurs ni de précompte professionnel sur le flexi-salaire. Il ne se retrouve pas dans une tranche d'imposition supérieure, mais acquiert des droits sociaux.
- le travailleur doit déjà avoir un contrat de travail chez un autre employeur, à raison de minimum 4/5e temps.
Pourquoi porte-t-on sa montre au poignet gauche ?
On constate que la majorité des personnes, droitier ou gaucher, porte leur montre au poignet gauche.
La première raison est d'ordre pratique. En effet, les montres sont généralement fabriquées avec un remontoir à droite du cadran, mise à part quelques fabrications spécifiques pour gaucher. Le port de la montre à gauche rend donc plus aisé le remontage du mécanisme de mise à l'heure avec "la main forte".
La seconde raison est d'ordre sociétale. 90% de la population mondiale est droitière, il paraît donc naturel de porter sa montre au poignet gauche car l'autre poignet est souvent occupé à faire autre chose. En portant son garde-temps sur le bras qui travaille le moins, on réduit considérablement les risques de dégradation et d'usure.
Porter sa montre au poignet, une histoire récente...
La montre-bracelet est aujourd'hui tellement la norme qu'on imagine mal qu'elle était quasi-inexistante il y a 1 siècle. En effet, jusqu'à la fin de la Première Guerre mondiale, la montre de poche ou de gousset, était l'apanage des hommes de goût. A cette époque, les hommes portaient une montre de poche comme ils portaient un chapeau. Avant cette période, la montre-bracelet était avant tout un bijou destiné aux femmes, plus accessoires de mode que outil de précision horaire. Ainsi la première montre-bracelet mythique de l'histoire est le modèle féminin Reine de Naples, commandé à Breguet en 1810 par Caroline Murat, la soeur de Napoléon. D'ailleurs, Ce modèle fait toujours parti du catalogue de la marque Breguet.
Toutefois, la première montre portée au poignet connue est le fait de Blaise Pascal, philosophe, physicien et mathématicien français, qui vécut au 17ième siècle. Il avait pour habitude d'attacher sa montre de poche avec un bout de ficelle à son poignet gauche, pour pouvoir lire l'heure plus facilement. Finalement, le port de la montre au poignet gauche n'est peut-être que de la philosophie.
Pourquoi la Terre tourne-t-elle de plus en plus vite ?
Les scientifiques ont enregistré le jour le plus court depuis que des mesures sont réalisées.
Notre planète tourne en effet plus rapidement au niveau de l’équateur où sa circonférence est la plus grande. A cet endroit, sa vitesse est d’environ 1 669 kilomètres par heure alors qu’elle est par exemple, de 1 207 kilomètres par heure à Chicago.
D'après le site Time And Date, qui est la référence pour le suivi de l'heure dans le monde, le 29 juin 2022 a été la journée la plus rapide de notre histoire (depuis que des mesures sont faites, ndlr). La planète Terre a fini sa rotation 1,59 millième de seconde en-dessous des 24 heures. Le dernier record date de 2020. La Terre tourne donc plus vite sur elle-même.
C’est un phénomène tout à fait normal et périodique qu’on peut expliquer et modéliser. Sur un ou deux ans, il est notamment établi que la vitesse varie de manière saisonnière.Plusieurs phénomènes sont à l'origine de ces fluctuations.
En premier, le "transport de masse dans l’atmosphère, autrement dit les vents". Ces mouvements sont à l'origine de 80% des variations de la vitesse de la Terre.
La seconde cause majeure réside dans les marées. En effet, ces dernières peuvent modifier la surface de la Terre par leur mouvement, leur intensité et leur variabilité. Le phénomène est suffisamment fort pour produire 10 à 20% des variations de la durée de rotation.
Le dernier phénomène à souligner est l'évolution de notre couche terrestre. En effet, le noyau en fusion au centre de notre terre fait fondre les roches autour de lui. C'est précisément la circulation de cette chaleur, sous la croûte terrestre, qui influence également, sur le temps long, la durée de nos journées.
Quid du réchauffement climatique ?
Il reste néanmoins à savoir quelles seraient les variations à l'origine de l'accélération de la Terre de ces dernières années. La faute au réchauffement climatique ? Si la théorie est de plus en plus évoquée, aucune donnée ne nous permet de pointer cette cause du doigt : Aujourd’hui, on met tout sur le dos du changement climatique. Est-ce que la Terre tourne plus vite sous son effet ? On n'en sait rien. Affirmer cela est de la pure spéculation".
Néanmoins, nous savons que certains phénomènes climatiques, comme les tremblements de terre ou encore les ouragans peuvent influencer la durée de nos journées. Si le réchauffement climatique annonce une multiplication de ces phénomènes, il risque de jouer un rôle important dans les variations de vitesse de notre planète.
À quelle vitesse tourne la Terre sur elle-même ?
Autre mouvement à prendre en compte : la rotation de la Terre sur elle-même. Aux latitudes de la France, elle est d'environ 1.100 kilomètres par heure. Aux pôles, elle tombe à seulement 3 kilomètres par heure tandis qu'à l'équateur (40.000 kilomètres en 24 heures), elle atteint 1.600 kilomètres par heure. À noter que notre planète tourne moins vite sur elle-même qu'il y a plusieurs centaines de millions d'années.
Nous ne sentons pas la Terre tourner mais cela n'empêche pas les objets situés à sa surface de trahir son mouvement. En effet, la rotation de la Terre est responsable d'une force de Coriolis qui dévie les mouvements inertiels vers la droite dans l'hémisphère nord et vers la gauche dans l'hémisphère sud. C'est ainsi que, grâce à un pendule suspendu à la voûte du Panthéon, Léon Foucault a fait la démonstration de la rotation de la Terre en 1851.
La rotation de la Terre, un mouvement uniforme.
La vitesse de rotation de la Terre est certes relativement élevée. L'important reste toutefois que cette vitesse soit constante. Le mouvement de rotation de la Terre est uniforme, ce qui ne donne lieu à aucune sensation particulière. Installez-vous dans un train. Lorsque celui-ci circule à sa vitesse de croisière, on ne sent rien, même s'il s'agit du TGV. Seuls les accélérations et les freinages peuvent être physiquement ressentis. En effet, dans ces moments-là, des forces nous attirent vers notre siège ou nous en repoussent.
Mission du télescope spatial James Webb.
La désertique Vallée de la mort en proie à des inondations « sans précédent »
D’intenses et très rares chutes de pluie dans la célèbre et désertique Vallée de la Mort, en Californie.
Toutes les routes desservant le parc sont pour l’instant fermées et resteront fermées jusqu’à ce que les agents du parc déterminent l’ampleur des dégâts », a annoncé le parc national qui gère les lieux, précisant qu’environ 1000 personnes étaient bloquées dans le parc pour l’heure en raison des routes devenues impraticables. Parmi eux, environ 500 visiteurs et 500 salariés.
Près d’une année de précipitation tombée en une journée Ces intempéries sont « sans précédent » selon le parc situé dans l’est de la Californie et connu pour être l’endroit le plus chaud du monde et le plus sec d’Amérique du Nord. Il est visité chaque année par plus d’un million et demi de touristes.
Les eaux en crue ont arraché des parties de chaussée sur des routes, lancées des conteneurs à poubelle contre des voitures désormais hors d’usage et inondé des bureaux et des hôtels, précise le parc.
Les précipitations journalières de vendredi égalent presque le record du parc. Il a reçu en une seule fois 37 millimètres de pluie pour un total moyen annuel de « moins de 50 » millimètres.
Avec une atmosphère qui contient plus d’humidité, le réchauffement de la planète altère le régime des précipitations.
Le James-Webb révèle la composition du gaz autour d'un trou noir supermassif
L’Algérie rompt son engagement avec le Maroc et exploite la mine de Ghara Jbilet
Le ministre algérien de l’Energie et des mines, Mohamed Arkab, a donné, en fin de semaine dernière, le signal de lancement pour l’exploitation de la mine de fer de Ghara Jbilet à Tindouf. Les travaux concerneront la région ouest en tant que site de la phase pilote.
Selon les médias officiels algériens, le gisement qui sera exploité s’étend sur une superficie de 5 000 hectares, soit un tiers de l’étendue totale de la mine (15 000 ha). Les réserves dans cette zone sont estimées à 1 milliard de tonnes de fer.
Le ministre algérien a indiqué que «ce projet structurant passera par plusieurs étape, de 2022 à 2040», notant que «la première s’opèrera de 2022 à 2025», avec l’extraction et le transport terrestre de «deux à trois millions de tonnes de minerai», en attendant l’achèvement de la ligne ferroviaire entre Bachar et le site d’exploitation.
Le Conseil des ministres algérien, tenu le 8 mai et présidé par Abdelmadjid Tebboune, a convenu de lancer la première phase du projet qui «représente une source importante de revenus pour le pays» et qui revêt une «importance vitale pour faire avancer le rythme du développement local et national» en Algérie.
La rupture d’un engagement pris dès les années 1970
Le document, qui porte le sceau du roi Hassan II (1962 – 1999) et celui du président Houari Boumédiène (1965 – 1978), précise qu’au vu de «la particularité qui caractérise les relations fraternelles existantes entre l’Algérie et le Maroc, il ne peut être admis que la frontière constitue une barrière entre les deux peuples frères, car elle est en fait un espace de croisements de sentiments et d’intérêts».
Cette promesse a été faite en présence d’une quarantaine de représentants de pays d’Afrique, venus participer au Sommet de l’Organisation de l’union africaine, tenu à Rabat. Les deux chefs d’Etats signataires ont affirmé que «la conclusion du traité de délimitation de la frontière algéro-marocaine et du traité de coopération pour l’investissement de Ghara Jbilet confirme [leur] ferme détermination à consolider les piliers d’une paix durable, à travers les années et les siècles».
Abdelhadi Boutaleb, alors ministre marocain des Affaires étrangères, a déclaré que Hassan II avait un intérêt particulier à exploiter la mine. Dans une interview au journal Al-Sharq al-Awsat, publiée en 2001, il a confirmé qu’après son retour de Tunisie, il a été chargé par le souverain de suivre le dossier avec son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika. Hassan II a souhaité un traitement rapide de la question, pour que l’accord entre en vigueur le plus tôt possible.
Le ministre marocain a aussi confié avoir pris des initiatives auprès de son homologue algérien, pour organiser une rencontre, au Maroc ou en Algérie, «mais toutes ses tentatives ont été infructueuses». Depuis, la question est restée en l’état, jusqu’à la réunion du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’OUA et son sommet à Lusaka, en Zambie, où Boutaleb a rencontré Bouteflika, qui a semblé déterminé à revenir sur l’accord.
5 août 1907: la France coloniale bombardait Casablanc
Le prétexte n’est autre que «la volonté de protéger les ressortissants étrangers résidant au Maroc».
Or, derrière ce massacre se cache une décision unilatérale et des messages adressés aux tribus, aux Marocains et même à l’étranger.
Occupation d’Oujda, prélude d’une colonisation
Le mouvement d’expansion coloniale de la France au Maroc remonte à plusieurs années, bien avant le traité de Fès de 1912.
En 1901, la France obtient un accord avec les autorités marocaines pour «aider» l’administration du royaume dans les régions encore non contrôlées du Maroc oriental.
Dès 1904, les grandes puissances signent avec l’Hexagone une série d’accords bilatéraux désignés sous le nom d’«Entente cordiale».
Le 31 mars 1905, Guillaume II d’Allemagne se rend au Maroc, traverse le centre-ville de Tanger à cheval et se réunit avec le sultan chérifien.
L’Allemagne a, en effet, été écartée des accords français.
Le déplacement de Guillaume II est perçu comme un moyen de pression.
En réponse, la France et l’Allemagne organiseront, du 16 janvier au 7 avril 1906 sous l’égide des États-Unis, la conférence d’Algésiras en Espagne.
Une rencontre au terme de laquelle l’Allemagne, la France et l’Espagne obtiennent provisoirement des droits sur les affaires marocaines.
Un an plus tard, la colère de la population suite à cette transgression de la souveraineté du royaume chérifien se traduira par plusieurs actes, notamment l’assassinat, le 19 mars 1907 à Marrakech, du médecin français Pierre Benoît Émile Mauchamp.
Le 25 mars 1907, le gouvernement français décide d’occuper la capitale de l’Oriental, Oujda, pour contraindre les autorités chérifiennes à prendre des mesures plus sévères à l’égard des assassins.
Malgré les tentatives du sultan chérifien Moulay Abdelaziz et de ses vizirs de parvenir à une solution, la population locale inaugure un nouveau chapitre de sa lutte acharnée avec une remarquable bravoure.
L’insurrection a lieu et, comme planifié, la France n’a plus qu’à trouver un prétexte pour intervenir militairement au Maroc.
En 1907, Casablanca entame ses toutes dernières transformations d’une ville ordinaire d’un Maroc tiers-mondiste, vers le projet d’une capitale économique qui deviendra, des années plus tard, le cœur battant de l’économie marocaine.
Avec une population avoisinant les 30 000 personnes, où les Européens sont fortement présents, la ville commence déjà à séduire les entités coloniales.
Parallèlement à l’occupation de la ville d’Oujda, la Compagnie marocaine décroche, dès l’été 1907, le contrat pour l’aménagement du port de la capitale blanche.
Mais le 30 juillet, des Marocains furieux prennent d’assaut le chantier de l’entreprise française, y tuent 9 employés et sabotent plusieurs constructions, rapporte l’historien Allal El Khadimi dans les «Mémoires du patrimoine marocain» (Cinquième volume, Editions Nord Organisation, 1986).
«Cet événement aurait pu passer inaperçu, sans être le déclencheur d’un bain de sang par la suite.
Surtout qu’il n’y avait que trois Français parmi les 9 employés tués.
Les autres étaient de nationalités italienne et espagnole.
Mais les Français mobiliseront leur force en Algérie et leur arsenal en Méditerranée pour donner aux Marocains une leçon peu charitable et pacifier les tribus de Chaouia.»
Un millier de victimes dans un bain de sang lancé par la frégate Galilée
Alors que les autorités coloniales en France et en Algérie se préparent à déployer toute une armée à Casablanca, les autorités locales françaises à Tanger mobilisent dès le 31 juillet 1907 le croiseur Galilée, qui arrivera à Casablanca le 1er août.
D’après Allal El Khadimi, le commandant du navire français, le capitaine Charles Victor Clément Marie Ollivier était impatient d’envoyer ses hommes sur la terre ferme.
Une version confirmée par l’historien André Adam et son article «Sur l’action du Galilée à Casablanca en août 1907» (Revue de l’Occident musulman et de la Méditerranée, 1969, Volume 6, Numéro 1, pp. 9-21).
«Quand le Galilée arrive, le 1er août au matin, les responsables du consulat français, le consul Malpertuy et le vice-consul Maigret, qui étaient en congés depuis plusieurs semaines, ne sont pas encore rentrés et l’intérim est toujours assuré (comme au moment des massacres) par un jeune élève vice-consul, Neuville.
Le commandant du Galilée, le capitaine de frégate Ollivier, en accord avec Neuville, songe aussitôt à envoyer sur terre sa compagnie de débarquement pour défendre le consulat de France et y recueillir la colonie européenne.»
Une intervention refusée par le corps consulaire qui estime que les forces étaient insuffisantes pour occuper la ville et que cela provoquera un massacre général des Européens.
Le capitaine Ollivier «se contente, avec l’accord du Khalifa du sultan, Moulay El-Amin, d’envoyer quelques hommes par petits paquets et des armes cachées dans des caisses pour assurer la sécurité du consulat».
«Ces mesures discrètes ne provoquent aucune réaction et les journées des 2, 3 et 4 se passent sans incidents graves», poursuit André Adam.
Mais les 66 hommes du Galilée n’empêcheront pas le capitaine de frégate Ollivier de lancer un assaut.
Auguste de Saint-Aulaire, diplomate au consulat de France à Tanger, expliquait dans un courrier adressé à ses supérieurs qu’«en raison de l’attitude hostile de la population et des tribus, il avait été convenu le 4 août à la suite d’une réunion (…) qu’une compagnie de débarquement descendrait au consulat pour le garder ; la porte de la Marine serait ouverte le 5 (août, ndlr) à 5 heures et demi pour laisser passer [les] matelots».
À l’aube du 5 août donc, les 66 marins du Galilée débarquent au port de Casablanca.
De la porte du port jusqu’au consulat français, ils tirent sur des militaires et des civils, arguant qu’ils étaient en danger, à en croire Allal El Khadimi. Arrivés à la représentation diplomatique, ils donnent le signal au Galilée pour qu’il commence à bombarder le quartier arabe de la capitale.
Des bombes chargées de mélinite arroseront bientôt d’autres quartiers.
«Le jour même, l’escorteur d’escadre Du Chayla et le croiseur Forbin arriveront à Casablanca.
Près de 200 marins (185 selon André Adam, ndlr) rejoindront les autres pour massacrer la population au moment où les frégates bombardent la ville.
Casablanca sera victime d’une agression violente qui ne peut émaner que de gens sans sentiments, sans humanité, aveuglés par la haine, le racisme et la convoitise coloniale.»
«Mémoires du patrimoine marocain» fait état de la mort de plus d’un millier de Marocains lors de cette journée sanglante.
L’armée française, dépêchée depuis Alger et Paris, n’arrivera à Casablanca que le 7 août et commencera à se déployer en vue de contrôler la ville.
6 000 soldats français aux ordres du Général Drude débarquent donc à Casablanca.
L’année suivante, le 4 janvier 1908, le sultan chérifien Moulay Abdelaziz sera détrôné par son frère Moulay Abdelhafid à l’aide du grand vézir Madani El Mezouari El Glaoui, frère aîné de Thami El Glaoui.
La micropuce de Napoléon
Le Svalbard, l'archipel norvégien du bout du monde
Des conditions difficiles.
Sa mission est d’emmener les touristes voir les glaciers de l’Articque, immenses et majestueux. Mais à cette latitude, les conditions sont rudes. L’hiver, la nuit dure quatre mois et l’été, le soleil ne se couche jamais. Hormis quelques plantes, aucun arbre ni fleur ne poussent. L’unique supermarché est ravitaillé par les bateaux tous les dix jours. En-dehors de la ville, le port d’arme est obligatoire pour se protéger des ours. Dans son chalet, Martine Hermansen n’a pas d’eau courante et un groupe électrogène pour l’électricité. Elle vit avec le strict minimum, c’est la raison pour laquelle elle est venue vivre ici.
Les hiéroglyphes égyptiens
La récolte d’extraterrestres?
Après avoir lancé un ballon aux confins de la stratosphère en 2013, une équipe de scientifiques britanniques a été choquée de constater qu’à son retour sur Terre, il abritait de minuscules organismes vivants. Ils étaient, paraît-il, convaincus que ces organismes étaient d’origine extra-terrestre.
Europe, la lune de Jupiter
Selon certaines études, une des lunes de Jupiter, Europe, pourrait contenir des bactéries rouges congelées. Cette découverte a mené les scientifiques à penser que la présence de bactéries indiquait une possible évolution vers des organismes vivants complexes.
Photo : Une photo d’Europe, la lune de Jupiter, diffusée par la NASA le 12 novembre 1996.
Des scorpions sur Vénus?
Des fossiles extraterrestres.
Photo : Une photomicrographie de la météorite martienne Alh84001 comprenant une structure allongée, au centre, qui ressemble au fossile d’un microorganisme.
Des collisions en plein air évitées de peu.
Il est arrivé plusieurs fois que des avions de ligne rapportent une collision évitée de peu avec un ovni. Un pilote a raconté avoir vu un objet volant « en forme de delta » se diriger droit sur son appareil alors qu’il arrivait à Manchester, en Angleterre. L'ovni a apparemment disparu avant qu’il n’ait eu le temps de réagir pour éviter la collision.
En Chine, une échelle suspendue à 1 500 mètres attire des centaines de touristes par jour.
Sur les hauteurs du parc forestier national de Zhangjiajie, en Chine, l’échelle Tianti se dresse comme un défi à la gravité et attire les aventuriers désireux de repousser leurs limites.
Son nom signifie littéralement « échelle vers le ciel » et vous aurez en effet l’impression d’atteindre les nuages en montant les barreaux de l’échelle Tianti, qui relie des parois abruptes du mont Qixing à 1 500 m d’altitude. Ses fines marches en acier, suspendues au-dessus du vide, surplombent des précipices vertigineux, et vous feront vivre une expérience exaltante et inoubliable pendant une ascension sur 168 m tout de même.
De mystérieux signaux radio.
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