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Qu’est-ce que le pataouète ?

Ce terme est peut-être une déformation du mot « patois ». Parlé surtout dans les faubourgs des grandes villes, mais aussi dans les campagnes, le pataouète est le parler des pieds-noirs, ces Français venus de la métropole.


La coexistence, dans l’Algérie coloniale, de nombreux immigrants, venus de France et de plusieurs pays méditerranéens, a fini par créer une langue spécifique, le pataouète. Portée par des supports culturels variés, elle s’est introduite en France après l’indépendance de l’Algérie, en 1962.

Un parler spécifique

Nombreux furent les Français, mais aussi les Espagnols, les Italiens ou encore les Maltais, à s’installer en Algérie, après la conquête de 1830. Poussés par la nécessité de communiquer entre eux, ils forgent peu à peu une sorte de langue véhiculaire, qu’on appelle le pataouète.
Ce terme est peut-être une déformation du mot « patois ». Parlé surtout dans les faubourgs des grandes villes, mais aussi dans les campagnes, le pataouète est le parler des pieds-noirs, ces Français venus de la métropole.


Il emprunte donc de nombreux vocables au français, mais fait aussi beaucoup d’emprunts à l’italien ou à l’espagnol. Sans oublier, bien sûr, l’arabe et le kabyle, dont bien des termes se retrouvent dans le pataouète.
Cette langue a donc son vocabulaire particulier et des expressions qui n’appartiennent qu’à elle. Elle se signale aussi par une syntaxe qui lui est propre et des inflexions souvent qualifiées d’accent pied-noir. Enfin, chaque région avait sa manière de parler le pataouète.

Une nouvelle vie pour le pataouète
L’indépendance de l’Algérie, en 1962, et le départ massif des pieds-noirs vers la France ont porté un rude coup au pataouète. Mais la langue s’est pourtant conservée, d’abord par le truchement des livres.
Les conditions mêmes de son apparition faisaient du pataouète un langage parlé. Ce qui n’a pas empêché des écrivains de s’en servir, et ce dès le début du XXe siècle. Certains utilisent sa truculence pour dépeindre des personnages profondément enracinés dans la réalité algérienne.
Des auteurs reconnus, comme Albert Camus, s’en font même l’écho dans leurs livres. Des ouvrages universitaires étudient la structure de ce parler et des dictionnaires en fixent le vocabulaire.
De leur côté, le théâtre, le cinéma et le music-hall popularisent le pataouète et familiarisent le spectateur français avec ses accents colorés. Aussi, loin de dépérir, ce langage a-t-il trouvé un nouveau souffle.

Lexique 155 mots et expressions

Un animal peut-il être gaucher ou droitier ?


La latéralisation affecte de nombreuses espèces appartenant à des ordres aussi différents que les amphibiens, les mammifères ou les oiseaux. On la détecte chez un chien qui donne la patte, chez un reptile qui enroule sa queue, etc. Chez les animaux comme chez l’homme, la latéralisation est le fait de l’individu, non de l’espèce.

Des animaux ambidextres ?
Certains animaux peuvent être ambidextres. Dans ce cas, le choix de la main ou du membre utilisé dépend du type de tâche à effectuer. En Tanzanie, des scientifiques observant des chimpanzés ont constaté qu’ils utilisaient majoritairement la main gauche pour des activités de précision, 


et la droite pour des gestes requérant de la force,


comme casser des noix avec une pierre. Pour l’homme, il n’est pas encore possible de préciser si le fait d’être gaucher est génétique ou vient de l’apprentissage.

Alzheimer, quels sont les symptômes les plus courants de la terrible maladie

 

  • La maladie d’Alzheimer
La maladie d’Alzheimer est une maladie qui affecte le cerveau et provoque un lent déclin de la mémoire, de la pensée et des capacités de raisonnement. C’est la forme la plus courante de démence.

Cochenilles et cactus


Les cochenilles sont des insectes parasites qui s’attaquent à de nombreux végétaux d’intérieur et d’extérieur, dont les cactus et plantes grasses. Ces bêtes font partie des causes fréquentes de maladies chez les cactus : elles sont coriaces, se multiplient en un temps record et peuvent donc être destructrices sur ces plantes pourtant considérées comme résistantes. En effet, les cochenilles se nourrissent de la sève des plantes, les asséchant et les décolorant (vous pourriez avoir l’impression que des taches blanches ou de la mousse apparaissent sur vos cactus, alors que ce sont ces petits insectes !).


Deux espèces de cochenilles s’attaquent aux cactus et plantes : les cochenilles farineuses et les cochenilles à bouclier.

Origine et apparition des cochenilles
Comme pour de nombreux insectes parasites, certains milieux favorisent l’apparition des cochenilles : les milieux confinés, chauds et humides sont les terrains les plus propices. Ainsi, les cochenilles seront très courantes chez certaines plantes grasses (par exemple) qui demandent des arrosages par pulvérisation.
Elles peuvent ainsi apparaître toute l’année pour les plantes en intérieur, pensez donc à aérer et à faire circuler l’air. Cependant, rien ne les évitera réellement. En extérieur, il est plus probable de subir des attaques de cochenilles au printemps et en automne, elles peuvent avoir été transportées par le vent, les oiseaux ou insectes.
Il est aussi courant de faire rentrer les cochenilles dans une collection à cause d’une nouvelle plante achetée déjà infestée. Pour éviter ces soucis et éviter une propagation potentielle des cochenilles, vous pourriez par exemple avoir le réflexe d’isoler toutes nouvelles plantes pendant quelques temps avant de les faire rejoindre votre collection.

Cochenilles : description et conséquences sur les plantes.

Comme nous le disions, chez les cactus et plantes grasses, il existe 2 principales espèces de cochenilles : les cochenilles farineuses, aussi appelées cochenilles blanchâtres, 
et les cochenilles à bouclier, de couleur marron à brun.
Il est parfois délicat de les repérer puisqu’elles ne ressemblent pas forcément aux insectes “classiques” : elles n’ont pas d’antennes, d’ailes, ni même de pattes visibles. Parfois, on les prend donc pour des petites taches blanches, de la mousse, des bosses ou des imperfections de la plantes, comme sur certains exemples ci-desous.


 


Qu’il s’agisse des cochenilles farineuses ou à bouclier, il est préférable de les repérer au plus vite pour limiter les dégâts, puisque leur multiplication est spectaculaire et fulgurante.
Les cochenilles ont d’abord comme conséquence d’arrêter la croissance des cactus, de les décolorer et les dessécher. Si rien n’est fait pour les traiter, vos cactus pourraient aussi développer une maladie cryptogamique, la fumagine, qui les feraient pourrir (dans le cas des cochenilles à bouclier).

Cochenilles farineuses.


Les cochenilles farineuses (ou encore cochenilles blanches, les Pseudicoccus citriculus) sont de couleur blanche, de forme ovale et mesurent entre 5 et 6 millimètres de long.
Elles se repèrent facilement puisqu’elles sont mobiles et forment des petits amas blancs farineux, mousseux, cotonneux, sur les plantes. Vous pourriez aussi penser qu’il s’agit de taches blanches.
Elles pullulent dans des endroits parfois peu accessibles des cactus tels que dans les plis ou près des aréoles. Ces cochenilles sont plutôt attirées par les jeunes pousses ou les extrémités des cactus. A noter que si des insectes s’attaquent aux racines, il s’agit surement des cousins des cochenilles : les poux des racines.

Cochenilles à bouclier


Les cochenilles à bouclier sont aussi appelées cochenilles à carapace, à coque ou encore kermès. Elles sont de couleur marron à brun, elles mesurent de 2,5 à 4 millimètres et ont une carapace.
.Au contraire des cochenilles farineuses, les cochenilles à boucliers sont immobiles, ce qui est peut-être plus fourbe encore car elles peuvent plus facilement encore être prises pour de la poussière ou des gouttelettes par exemple. Leurs boucliers sont également des inconvénients dans le traitement puisqu’ils remplissent parfaitement leur rôle protecteur !

Cochenilles et cactus : traitements

Si vous repérez des cochenilles sur vos cactus d’intérieur (en pot), le premier réflexe est de les isoler du reste de vos plantes, autrement, les insectes se propageraient.
Cependant, sachez qu’en cas de grave infestation, vous n’aurez peut-être pas d’autres choix que de couper les branches infestées (comme si vous bouturiez) avant de les brûler.
Cochenilles : traitement naturel à base d’eau / huile / alcool et de savon noir
Les cochenilles ont comme prédateurs naturels certains insectes telles que l’espèce de coccinelles “Cryptolaemus montrouzieri”, les chrysopes, syrphes, ou encore divers hyménoptères. Si les professionnels peuvent les introduire dans leurs cultures infestées, c’est plus compliqué pour les amateurs, c’est même difficilement réalisable.
Ainsi, il faudra nettoyer vos plantes à l’aide d’un pinceau (peinture ou maquillage si la plante est fragile), d’un pulvérisateur ou même d’un coton-tige ou d’une brosse à dents.

Voici un traitement naturel contre les cochenilles :

     - Un litre d’eau ;
     - Une cuillère à café d’alcool à brûler (ou ménager, c’est la même chose) ;
     - Une cuillère à café d’huile végétale (bio) ou huile insecticide (bio) que vous trouverez en jardinerie ;
     - Une cuillère à café de savoir noir liquide (Amazon ou toutes autres boutiques).
L’alcool sert de répulsif, l’huile sert à l’adhésion sur la plante tandis que le savon noir engloutira l’insecte qui mourra par étouffement.
Attention au dosage pour ne pas risquer d’abîmer la plante. Aussi, il arrive que certains remplacent l’alcool par le vinaigre blanc, cependant, son efficacité serait moindre.
Après le premier traitement, répétez l’opération dans la demi-heure qui suit, puis une fois par semaine (tous les 4 jours si l’infestation est importante) jusqu’à ce que les cochenilles disparaissent.

Cochenille : traitement liquide vaisselle
Un autre traitement maison qui semble avoir fait ses preuves dans le traitement des cochenilles : le liquide vaisselle. Il s’agit d’une variante de la recette précédente, il suffit de remplacer l’alcool et le savoir noir par du liquide vaisselle, dans ces proportions :
      - Un litre d’eau ;
      - 2 gouttes de liquide vaisselle ;
      - Une cuillère à café d’huile végétale (bio) ou huile insecticide (bio) que vous trouverez en jardinerie.

Cochenilles : les produits à pulvériser ou à dissoudre dans l’eau d’arrosage (systémiques)
Même si les traitements naturels sont parfois préférables pour des raisons économiques et écologiques, ils ne sont pas forcément adaptés à certains cas de figure (si l’infestation est trop importante) ou à certaines espèces (de plantes grasses surtout – puisqu’ils feraient disparaître la couche superficielle qui les protège des maladies, du soleil et de la sécheresse).
Ainsi, vous trouverez dans le commerce des produits de types “anti-cochenilles” ou “anti-pucerons”.
Il existe deux types de produits : les produits à pulvériser sur la plantes et les produits à dissoudre dans l’eau d’arrosage. Les premiers s’utilisent toute l’année mais principalement en hiver et à la fin de l’automne, durant la période de repos végétatif (pour éviter d’atteindre les fleurs), tandis que les seconds, que l’on appelle produits systémiques, sont préférables au printemps, en été et au début de l’automne, durant la période de végétation.

Les produits anti-cochenilles à pulvériser
En jardinerie ou sur Internet, vous pourrez trouver des produits anti-cochenilles pulvérisateur directement (sur Amazon par exemple, pulvérisateur Fertiligène) ou à couper avec de l’eau pour utiliser en pulvérisateur (toujours chez Solabiol). Ils sont surtout intéressants en cas de forte infestation, ils permettent de détruire plus rapidement les cochenilles et leurs larves.
Ils sont à utiliser avec une grande précaution, en lisant attentivement les étiquettes et à employer à l’extérieur, loin des animaux et en se protégeant les yeux et les mains.
Préférez utiliser ces produits durant le repos végétatif (fin de l’automne et en hiver), surtout si vos plantes fleurissent.

Les produits systémiques, à diluer dans l’eau d’arrosage
Les produits systémiques s’ajoutent à l’eau d’arrosage, ils seront absorbés par les plantes, puis diffusés par la sève.
Ces produits s’utilisent durant la période de végétation uniquement (mars à octobre), puisque pendant le repos hivernale, la sève des plantes ne circulera plus, les produits ne pourront donc pas se diffuser.
A noter que de nombreux produits systémiques sont désormais interdits à la vente en Europe (le plus connu, Confidor) puisqu’ils contenaient des substances toxiques pour les abeilles.

Ces animaux sont les plus intelligents du monde

 Même si, dans certains cas, cela semble difficile à croire, l'homme est l'animal le plus intelligent de la planète. Cela ne signifie pas pour autant que les autres espèces sont complètement stupides ! C'est même le contraire. 

  • Les Cochons

Par exemple, les cochons comptent parmi les animaux les plus intelligents du monde. Leur instinct leur permet de s'adapter à des situations environnementales défavorables, car ils sont capables d'acquérir de nouvelles compétences avec facilité. Surprenant, n'est-ce pas ?

  • Chimpanzés

Zaydana, la femme manipulatrice de Moulay Ismail

 

«Derrière chaque grand homme se cache une femme.» Cette citation s’applique parfaitement à Zaydana. Celle qui était la femme préférée de Moulay Ismail était aussi une manipulatrice hors pair, capable de semer le doute entre le sultan et son fils préféré. Histoire.

L’amour peut faire des miracles. Pour Lalla Aicha Mubarka, ce fut plus qu’un miracle. Celle qu’on appelle plus communément Zaydana était la femme préférée de l’un des plus grands sultans de l’histoire du Maroc. Célèbre pour sa force et l’influence qu’elle exerçait, notamment auprès du sultan, Lalla Aicha Mubarka est décédée en 1716 et a donné naissance à Moulay Zaydan, qui s’est battu pour se faire une place dans un palais où se côtoyait les innombrables fils du sultan.

Tout commence quand Zaydana est vendue comme esclave. Le prêtre dominicain Dominique Busnot, qui s’est rendu à Meknès à trois reprises pour racheter des captifs chrétiens, décrit ainsi la femme du sultan : «Une femme à la peau noire d’une taille colossale. Elle était l’esclave de Moulay ar-Rashid, à qui Moulay Ismail l’avait rachetée pour soixante ducats (monnaie de l’époque, ndlr)».

La favorite du sultan

Ce qui surprend dans l’histoire de Zaydana et sa relation avec Moulay Ismail, c’est qu’elle est parvenue à interférer dans certaines affaires d’Etat et a influencé plusieurs décisions du sultan. Une thèse confirmée par Dominique Busnot :

«Personne ne peut savoir par quels moyens elle a réussi à se rapprocher du sultan. Elle détenait un pouvoir sur son esprit et le manipulait comme elle voulait.»

La réputation de Zaydana était connue dans tout le royaume, comme le relate la même source. Le prêtre insiste également sur le fait que certains Marocains attribuaient l’influence qu’elle exerçait sur le sultan à de la magie.


Zaydana, la femme manipulatrice de Moulay Ismail.

Zaydana, la femme manipulatrice de Moulay Ismail. 


Lalla Aicha Mubarka essayait tant bien que mal de préserver la succession de son fils. On disait d’elle qu’elle plantait des graines de méfiance entre le sultan et l’un de ses fils préférés. Son mari étant le père d’un nombre incalculable d’enfants, Zaydana se sentait menacée et avait mis sur pied un complot sournois contre l’un des fils du sultan.

Dans son livre «Black Morocco : A History of Slavery, Race and Islam» (2012) (Le Maroc noir : Une histoire d’esclavage, de race et d’islam), Chouki El Hamel raconte que Zaydana «était une femme puissante qui détenait une grande influence sur le sultan. Elle était la mère de l’un de ses fils qu’elle avait désigné comme le successeur de Moulay Ismail, nommé Moulay Zaydan, l’un des premiers fils du sultan».

Une rivalité fratricide

Cette femme ambitieuse faisait tout ce qu’elle pouvait pour détenir le pouvoir dans le palais. Selon le même livre, Zaydana complotait contre Moulay Al-Alim, le fils du sultan et de Madame Shaw, une Irlandaise. «Le sultan avait choisi son fils Moulay Al-Alim comme gouverneur de Marrakech pour ses qualités innées de leader. Cette visibilité avait fait de lui le potentiel futur sultan, mais avait instillé la jalousie dans le cercle intime du sultan», écrit Chouki El Hamel.

Zaydana fut l’une des premières personnes à percevoir la rivalité suscitée par Moulay Al-Alim. Avec l’aide de son fils, elle réussit à convaincre le souverain qu’Al-Alim était un traître. C’est ainsi qu’il fut «démis de ses fonctions en tant que gouverneur de Marrakech».

«Dès que le sultan a réalisé qu’Al-Alim était innocent, il l’a désigné comme gouverneur de Taroudant. Cependant, trois ans plus tard, le sultan l’a encore une fois démis de ses fonctions.»

Las du comportement de son père, Al-Alim s’est rebellé et a réclamé le gouvernorat de Marrakech. En guise de réponse, le sultan a défié le fils de Zaydana de vaincre son frère pour prendre sa place en 1706.


Moulay Ismail, l'un des sultans les plus puissants
de l'histoire marocaine

L’influence de Zaydana ne s’est pas arrêtée là. Le sultan est allé jusqu’à emprisonner son fils et a «ordonné d’amputer sa main et sa jambe opposée pour montrer que toute désobéissance mènerait à une punition sévère ou à la mort, même pour son fils préféré». Al-Alim est mort plus tard suite à ses blessures.

Venger son fils Zaydan

Malgré ses complots sournois, Zaydana hérita d’un fils qui n’était pas aussi sage que prévu. Selon la même source, «Moulay Zaydan, contrairement à son frère, n’était pas fait pour régner ; il avait un comportement méprisant envers son père et s’est abandonné dans l’alcool».

Moulay Zaydan a fini par être tué par son père en secret pour ne pas attiser la colère de son épouse préférée.

«Moulay Ismail a envoyé deux belles jeunes femmes comme cadeau à son fils. Il leur a ordonné de le tuer à l’abri des regards de Zaydana pour éviter son ressentiment.»

Toutefois, la femme du sultan apprit les plans de son mari et se vengea à sa manière. Zaydana est décédée en 1716 et a été enterrée au mausolée Moulay Mohammad Al-Alim de Meknès. Elle a laissé derrière elle un sultan qui vécut une décennie de plus.

Arabie saoudite : des pluies torrentielles destructrices à jeddah


Les pluies torrentielles à Jeddah, dans l'ouest de l'Arabie saoudite, ont entraîné jeudi 24 novembre le bouclage de la route menant à La Mecque, la ville la plus sacrée de l'islam, ainsi que des retards de vols et la fermeture d'écoles, selon les médias d'État.Deuxième ville du royaume située au bord de la mer Rouge, Jeddah, abritant environ quatre millions d'habitants, est la porte d'entrée vers La Mecque, où des millions de Saoudiens et d'étrangers du monde entier viennent accomplir les pèlerinages musulmans, le hajj et la omra.