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Jihadi John ou Mohammed Emwazi, l’exécutant exécuté.

Mohammed Emwazi, un programmeur informatique de Londres, est né au Koweït en 1988 d’une famille apatride d’origine irakienne. Ses parents avaient déménagé en Grande-Bretagne en 1993, après avoir perdu tout espoir d’obtenir la nationalité koweïtienne.
 Mohammed Emwazi, responsable de nombreuses décapitations, aurait été tué par les Américains à Raqqa. Elevé à Birmingham, il était considéré comme l’un des meilleurs pirates informatiques de l’Etat islamique.

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Il avait disparu. Depuis février, les visions de ses harangues enragées, de sa main gauche brandissant un couteau de boucher, de son corps dissimulé dans des voiles noirs, et, souvent, à ses pieds, d’un corps sans vie décapité, avaient cessé. 

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Pas de présence sur les réseaux sociaux, rien. Mais depuis cette date, il avait un nom : Mohammed Emwazi. Et le Britannique de 28 ans se savait sur les écrans-radar américain et britannique, inscrit sur une «kill list». Sa mort probable jeudi soir, au cœur de Raqqa en Syrie, via un drone dirigé par les Américains qui se disent «raisonnablement certains» de l’avoir tué, a été qualifiée par le Premier ministre du Royaume-Uni, David Cameron, de «geste d’autodéfense» réalisé grâce au travail «main dans la main» de Londres et Washington.

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Qui était Mohammed Emwazi ?

Depuis août 2014, il jouait un rôle de propagandiste pour l’Etat islamique (EI). C’est lui qui, devant une caméra, a décapité les travailleurs humanitaires britanniques David Haines et Alan Henning, l’Américain Abdul-Rahman Kassig, les journalistes américains Steven Sotloff et James Foley et le japonais Kenji Goto. Ces otages avaient été emprisonnés avec les journalistes français libérés l’an dernier, Didier François, Edouard Elias, Nicolas Hénin et Pierre Torres. Comme Emwazi et ses trois acolytes avaient un accent britannique, les otages les avaient affublés des prénoms des Beatles : Paul, George, Ringo et John. Très vite, Mohammed Emwazi, à l’identité alors inconnue, était devenu «Jihadi John».

Les tatouages les plus difficiles à porter

Un tatouage n'est pas une décision à prendre à la légère. A moins de recourir à une opération (coûteuse et douloureuse) pour l'enlever, le tatouage fait partie intégrante de votre corps à vie. C'est pourquoi il est conseillé de bien réfléchir et surtout de se poser la question suivante : vais-je l'assumer jusqu'à la fin ?
Entre les tatouages faits sur un coup de tête (généralement sur la mode du moment) et ceux qui sont de véritables œuvres d'art mais pas vraiment discrets, nous vous avons demandé lequel était le plus dur à porter et à assumer ?

Drake




Au moins il en est conscient :




L'indescriptible :




Le tatouage pour les amoureux :




Les bretelles intégrées :




Les concerts qu'on a vus :




Le cupcake aux toilettes :




Le portrait (raté) de son enfant :




La faute d'orthographe :




Le Facebook fan :




Des fesses discrètes :




Après Facebook, Google :




Le fan de Green Day :




Un Harlem Shake original :




Hello Kitty :




Il déteste les iPhones, et pourtant...




Les Jonas brothers :




Des lunettes permanentes :




Un tatouage de luxe :




Le tatouage gourmand :




My Space :




Le phénomène Psy est partout :




Tatoué de sites pornographiques :




Twilight :




La blague qu'il faut assumer à vie :




Le fan de 9gag :




Les sept nains :




Le fan de Gangnam style :




La Mexicaine Maria José appelée "la femme vampire" pose pendant l'Expotattoo Venezuela.




L'américain Matt Gone à l'Expotattoo Venezuela :





La Britannique Isobel Varley en 2001 à la convention internationale de tatouages de Madrid. Isobel Varley affirme être la femme la plus tatouée au monde :




Une panthère tatouée sur le crâne d'un homme à la 15ème convention de tatouages de New York en mai 2012 :




19ème convention internationale de tatouages de Francfort, avril 2011 :




Vous avez sans doute entendu parler de la jeune belge Kimberley Vlaeminck. Elle avait accusé son tatoueur d'avoir profité de son assoupissement pour lui tatouer 56 étoiles sur le visage. Une version que dément le tatoueur qui affirme qu'il a seulement respecté le désir de la jeune fille :




Salon du tatouage et de l'art corporel de Sydney, mars 2011 :




Larry Harp, 68 ans, au concours du plus grand tatouage dans la catégorie "senior". Convention de Lors Angeles, mars 1998 :




Convention internationale de Londres, septembre 2009 :




Convention internationale de Londres, septembre 2009 :




Un guerrier maori pendant le "Powhiri", une cérémonie pour accueillir les visiteurs, octobre 2009 :




Un membre de la tribu Dayak de l'île de Borneo, janvier 2011 :




Salon du tatouage et de l'art corporel de Sydney, mars 2011:




Le tatoueur britannique Karma Webb pendant la convention de Katmandou au Népal, avril 2011:




Le modèle canadien Rick Genest alias Zombie boy lors de la présentation du créateur Thierry Mugler, janvier 2011 :




Convention internationale de Francfort, mars 2012 :




Le vénézuélien Emilio Gonzalez à l'Expotattoo de Caracas, janvier 2013 :


Dis-moi quelle barbe tu portes, je te dirai qui tu es


La pilosité faciale d’un homme pouvait autrefois en dire long sur lui: On pouvait y lire son orientation politique, sa religion et sa classe sociale. Cependant, à partir de la fin du XXe siècle, on constate qu’il est devenu difficile d’en déduire quelque chose. Il faut désormais demander à la personne ce que son style signifie. Nous avons tous des idées sur les différents styles adoptés mais ils ne correspondent pas forcément à ce que la personne est réellemen
Et que vous en soyez conscients ou non, votre barbe et votre moustache en disent également long sur vous.

La barbe fournie :


george clooney

Celle de l’homme "mûr". Pour beaucoup de gens, cette barbe renvoie à l’image du professeur d’université. Les barbes fournies ont également une connotation religieuse. On est donc dans la référence historique conséquente. Même si elle un peu passée de mode, certains jeunes hommes l’adoptent encore.

Le bouc :

brad pitt


La barbe de l’homme nostalgique. Ce style a fait un tabac au milieu des années 1990. À l’époque, c’était une façon de s’exprimer mais il est devenu trop commun. Bien que certains le portent encore, on dit : Si ton père et ton dentiste ont encore un bouc, c’est qu’il est temps que tu changes de style !.

La barbe de trois jours :

ryan gosling


Pour les hommes très tendance. Si vous parcourez les magazines masculins, comme Esquire ou GQ, vous verrez des types avec une barbe de trois jours dans un tiers des pubs environ. Elle s’accompagne parfois d’une moustache ou de rouflaquettes fournies mais la barbe négligée demeure la base. Les gens pensent qu’elle est facile à entretenir mais cela demande du travail.

Les pattes :


jemaine clement

Elles sont associées aux hommes qui aiment s’amuser. Tout le monde pense à Elvis quand on évoque les pattes. Elles sont surtout populaires sur les campus d’université et parmi les hipsters de Brooklyn. C’est un look rigolo.

Le collier de barbe :


50 cent


Celui de l’homme en mal d’attention. Le collier de barbe se voit surtout chez ceux qui mettent vraiment le paquet pour qu’on leur pose des questions sur ce choix. Comme tout a déjà été fait, on pense qu’il y a une recherche d’originalité, loin de ce qu’on voit dans la rue ou au travail.

La moustache :

thomas lennon


Pour l’homme un peu prétentieux. Historiquement, c’est le style qui a la pire réputation. Dans les années 1970, la moustache a pris une connotation sexuelle avec la moustache des adeptes de la partouze, la porn mustache et la moustache gay/bisexuelle. Elle s’accompagne de tout un héritage, même si elle a trouvé un nouveau souffle récemment avec des événements à visée caritative. On pense que les jeunes qui la portent ont assez confiance en eux pour ne pas se soucier de l’interprétation qui en sera faite.

La moustache de biker :


hulk hogan


Elle est liée aux rebelles. On a toujours associé cette moustache à l’image du biker puis de celle du catcheur. Quand une célébrité comme Hulk Hogan l’adopte, elle devient en quelque sorte une marque de fabrique.

La moustache de cowboy :

david beckham


Elle est associée à des hommes agréables. On pense à un quatuor masculin chantant a capella, à un gentleman du sud des États-Unis ou au joueur de baseball Rollie Fingers. Elle fait référence à une époque révolue où l’on prenait son thé sur la véranda.

La mouche :

howie mandel


Pour les hommes un peu décalés. Pendant les deux guerres mondiales, les hommes – et notamment les Américains – étaient rasés de près. Une décennie plus tard, ils laissaient apparaître une petite touche de barbe. Dans les années 1950, les beatniks portaient la mouche, tendance qui a ensuite été reprise par les hippies dans les sixties.

Les rouflaquettes fournies :

lemmy kilmister


Celles de l’homme généreux. Elles me font penser à un gentleman de l’époque victorienne, avec son monocle, ou à un général nordiste surnommé Burnside. En tout cas, c’est un style résolument victorien.

Le rasage de près :

jake gyllenhaal


Très bon chic, bon genre. Autrefois, les hommes adoptaient un style de barbe pour la vie, sans se soucier des caprices de la mode. Aujourd’hui, les jeunes s’essayent à plusieurs styles et alternent entre le rasage de près et une légère pilosité faciale. Ils sont plus libres qu’avant. On pense que nous allons bientôt revenir au rasage de près, à la Mad Men."