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Les 10 meilleurs aliments pour les reins

L’un des facteurs qui contribuent le plus à la santé (et donc aussi à la maladie) des reins est la nutrition. Il y a des aliments qui peuvent leur nuire, mais il y en a d’autres qui aident à les renforcer et à les garder en bonne santé.
  • Concombres

Les concombres contiennent de nombreuses vitamines et minéraux. Le concombre est riche en eau et en potassium, donc un excellent allié pour l’hydratation du corps, donc pour la santé des reins et de la vessie.
  • Radis


Les radis sont riches en vitamine C, vitamines B, fer et soufre. Leurs nutriments sont essentiels pour notre corps; Ils ont des effets purifiants sur le sang.
  • Ananas


L’ananas est riche en vitamines C, potassium et bromélaïne, il aide donc à combattre les infections et réduit le risque de calculs rénaux.
  • Orge


L’orge a un effet drainant et purifiant, utile pour aider le corps à éliminer les déchets et à alléger le travail des reins.
  • Fraises


Les fraises ont des propriétés anti-inflammatoires qui protègent à la fois la santé cardiaque et rénale. Utile en présence de renella ou de calculs rénaux.
  • Cerises


Les cerises empêchent la rétention d’eau, sont diurétiques, favorisent l’élimination des toxines et sont pauvres en oxalates, des éléments qui pourraient interagir avec la fonctionnalité correcte des reins, risquant de créer des calculs.
  • Oignon 


L’oignon a un puissant effet antibactérien, diurétique et parce qu’il favorise l’élimination de l’acide urique.
  • Céleri


Le céleri a des propriétés diurétiques, avec une action drainante également sur le foie et les voies respiratoires, ce qui le rend utile en cas de calculs rénaux et d’insuffisance hépatique.
  • Bleuets


Les myrtilles ont un effet détoxifiant sur les reins et le nettoyage de la vessie, elles protègent contre les infections possibles car elles empêchent le développement de bactéries.
  • Betteraves


La betterave a des propriétés diurétiques et détoxifiantes, riches en potassium. Nous pouvons le déguster dans un jus de betterave et de carotte ou l’ajouter aux salades.

L’utilisation des réseaux sociaux et d’Internet par certains médecins.

 Instagram est le nouveau réseau social préféré des jeunes, 82% des 16-25 ans l’utilisent quotidiennement. Or, c’est principalement chez ces jeunes que se trouve la nouvelle cible des chirurgiens , des gynéco-obstétriciens et des médecins esthétiques. La chirurgie esthétique est particulièrement demandée chez les jeunes filles de 18-34 ans.

Les futures patientes potentielles se trouvant principalement sur Instagram, cela pousse les médecins à adopter des stratégies de communication sur ce réseau social pour les atteindre.

On voit alors de plus en plus sur le compte Instagram de médecins, des photos avant/après de patientes, des selfies au bloc opératoire, des vidéos d’opération, des témoignages de personnalités du web ou de la téléréalité qui ont eu recours à leurs services.

Beaucoup de ces pratiques pour gagner de la visibilité sont pourtant interdites par le code de déontologie médicale. La médecine ne pouvant s’exercer comme un commerce, les médecins n’ont pas le droit de faire de publicité.

L’interdiction de la publicité

Ainsi le partage de photos avant/après est problématique pour plusieurs raisons. D’abord parce qu’il ne respecte pas toujours l’anonymat, le/la patient(e) est parfois reconnaissable, et même s’il ou elle a donné son accord pour l’être, le médecin n’a tout simplement pas le droit de le/la montrer de manière identifiable, cela constituant une violation du secret médical.

Ensuite, ce genre de photos montrent toujours de très bons résultats, alors que dans les faits, il arrive que des actes médicaux ou chirurgicaux soient ratés. Ne montrer que les résultats réussis est un appel à candidature, une incitation à recourir aux mêmes actes chirurgicaux ou médicaux. Cela constitue donc de la publicité qui est interdite.

Les sanctions pour ce genre de pratiques publicitaires peuvent aller d’une simple amende à une interdiction temporaire d’exercer.

Les médecins doivent se tenir à une obligation d’exemplarité et à un respect d’une certaine morale en toutes circonstances, même en dehors de la sphère professionnelle, et même s’ils ne s’expriment pas en leur qualité de médecin.

Une frontière encore floue à clarifier

Il n’y a donc pas que la frontière entre publicité et information qui est floue, celle entre privé et professionnel l’est également pour le médecin et elle semble même ne pas exister. Il n’est en effet pas rare de voir des médecins condamnés à des peines d’interdictions de pratiquer la médecine pour des crimes ou des délits qu’ils ont commis en dehors de leur activité professionnelle et qui n’avaient rien à voir avec celle-ci.

Les médecins n’ont donc pas le droit de faire de publicité, mais ils ont le droit d’informer leur patientèle. La frontière entre ce qui relèverait de la publicité et ce qui relèverait de l’information n’étant pas définie clairement, il est compliqué de définir avec précision ce qui est autorisé ou non.

Face à ses dérives sur Internet et les réseaux sociaux, le Conseil de l’Ordre des médecins est en train de modifier le code de déontologie des médecins pour l’adapter à l’utilisation des réseaux sociaux qui apparaît désormais comme incontournable.

Pour vous y retrouver, et éviter de faire des erreurs qui auraient pu être évitées, nous avons compilé pour vous les limites de l’utilisation des réseaux sociaux et d’Internet par les médecins.

La présence sur Instagram et les d’autres réseaux sociaux est tolérée mais il faut respecter certaines règles de morales et de déontologie qui doivent également s’appliquer sur votre site Internet.

Ce que les médecins doivent faire sur Internet :

  • Communiquer à titre éducatif, scientifique ou sanitaire
  • S’appuyer sur des données confirmées scientifiquement
  • Ne pas chercher à tirer profit de cette communication
  • Être loyal et honnête
  • Communiquer les honoraires de manière non comparative
  • Faire preuve de moralité et de probité
  • Ne pas faire de promotion personnelle
  • Conserver son indépendance
  • Faire preuve de prudence et de modération
  • Ne pas faire de comparaison avec d’autres praticiens
  • Ne pas inciter à recourir à des actes inutiles
  • Ne pas utiliser de liens sponsorisés
  • Respecter le secret médical et l’anonymat
  • Ne pas donner une garantie de résultat, faire de fausses promesses
  • Partager des messages objectifs et non mensongers
  • Ne pas liker ou commenter de publication de patients ventant vos mérites
  • Ne pas accepter ses patient(e)s en amis sur Facebook

Ce que les médecins ne peuvent pas faire sur Internet :

  • Améliorer leur référencement en payant
  • Utiliser des mots-clés cachés pour tromper les moteurs de recherche
  • Prendre un nom de domaine permettant une valorisation personnelle
  • Affirmer être le meilleur ou le moins cher
  • Critiquer leurs confrères ou se comparer à eux
  • Faire état de fonctions électives actuelles ou passées
  • Vanter une technique en insistant sur leur propre savoir-faire
  • Diffuser des informations déloyales et mensongères
  • Publier de faux cas avant/après
  • Inciter le patient à multiplier les soins ou les examens sans réelle nécessité
  • Publier des photos de patients reconnaissables
  • Porter atteinte au secret professionnel en permettant d’identifier un patient
  • Poster un lien renvoyant à un blog personnel
  • Cautionner un site commercial en relation avec la médecine même si le titre de médecin n’apparait pas
  • Accepter des bandeaux publicitaires
  • Spammer les moteurs de recherche
  • Liker ou commenter le post de patients ventant ses mérites

Kénitra: une fresque murale pour commémorer l’Opération Torch de 1942


La ville de Kénitra, à 40 km au nord de Rabat, vient de se doter d’une fresque murale baptisée du nom de l’Opération Torch qui a permis le débarquement des Alliés, le 8 novembre 1942, en Afrique du Nord pour faire barrage à l'avancée des troupes allemandes nazies.
D’une surface de 500 mètres carrés et haute de 30 mètres, l’immense fresque murale a été réalisée sur le côté d’un grand immeuble situé en plein boulevard Mohammed VI, au centre-ville de Kénitra. Sous la présidence du gouverneur, Fouad M’Hamdi, la fresque murale a été inaugurée par les ambassadeurs des Etats-Unis, Puneet Talwar, de Pologne, Kryssztof Karwowski, et du Royaume-Uni, Simon Martin.
Côté marocain, le représentant de l’Etat-major des Forces armées royales (FAR), le colonel Abdelouahad Guenouni, le Haut-commissaire aux anciens combattants, Mustapha El Ktiri ainsi que le maire de la ville, Anas Bouanani (RNI), étaient présents.


Il faut rappeler que l'Opération Torch est le nom de code donné au débarquement des Alliés le 8 novembre 1942 en Afrique du Nord, essentiellement sur la base aérienne de Kénitra. Le but avait été de fermer la route à l’avancée de l’armée allemande nazie dans cette partie stratégique de l’Afrique. Ce débarquement a été réalisé grâce à des renseignements précieux fournis par la Pologne.

Pickpockets, l'éternel fléau des grandes villes en France.

Depuis le début de l’année, on constate une importante hausse des vols à l’arraché. A Lyon, Toulouse ou encore à Strasbourg, des brigades traquent ces pickpockets toujours plus nombreux, aux techniques toujours plus élaborées.

Rire pour être en bonne santé.

Il paraît que pour être en bonne santé, il faudrait rire entre 10 et 15 minutes par jour. Ce qui n’est pas atteignable pour la majorité des adultes.
Tous les humains peuvent et doivent rire. Depuis l’Antiquité, les médecins préconisent 10 minutes de rire par jour pour se maintenir en bonne santé.
En plus des nombreux effets bénéfiques sur la santé qui sont listés ci-dessous, le rire crée un lien positif entre nous et nos semblables et nous fait plaisir. Une raison suffisante à elle seule pour le pratiquer sans modération !
Le sais-tu ?

  • Le rire procure du plaisir

Lorsque l’on rit, on produit de la dopamine qui est l’hormone du plaisir (souviens-toi de toutes tes crises de rire… dans quel état étais-tu ?). Rire est agréable et fait du bien. Le rôle du plaisir et du bonheur est évident pour la santé de chacun.
  • Le rire a une influence sur le système immunitaire


Le rire permet une stimulation du système immunitaire ainsi qu’une augmentation des anticorps dans les muqueuses du nez et les voies respiratoires. Le rire permet des échanges respiratoires trois fois plus importants favorisant la régénération de l’organisme. Le rire augmente nos émotions positives stimulant ainsi notre système immunitaire. C’est un cercle vertueux qui permet de lutter contre les infections virales et bactériologiques. Sous l’effet du rire, plusieurs actions se produisent comme la production d’immunoglobuline A, qui est une protéine essentielle dans les défenses des maladies respiratoires et une dilatation d’une glande (thymus) qui produit alors davantage de lymphocytes et de cellules anticancéreuses.
  • Le rire a une influence sur les réactions au stress.

Dans les années 80, un chercheur du nom de Lee Berk a découvert que le rire (ou son anticipation) réduisait le niveau des hormones du stress que sont principalement l’adrénaline et le cortizol. Tout cela nous aide à baisser notre anxiété, notre tension artérielle et cela détend nos muscles. Enfin, la production de la sérotonine à la suite d’un rire permet de mieux dormir. Rire après une journée stressée c’est comme aérer sa chambre après avoir dormi dedans toute la nuit.
Le rire procure une réduction durable des effets nocifs du stress et surtout une meilleure humeur. Grâce au rire, il y a une diminution de l’anxiété, des phobies, des crises de spasmophilie et des maladies psychosomatiques. Il permet une augmentation de la résistance face aux chocs.
  • Le rire a une influence sur la sexualité.

Car il permet une sexualité épanouie, essaies ! tu verras !
  • Le rire a une influence sur l’apparence physique.

Rire souvent, c’est comme faire du sport. Ça entretient un bonne tonicité musculaire qui donne une allure athlétique et génère une détente dans tout le corps qui rayonne et permet de donner un visage rajeuni.
  • Le rire a une influence sur la capacité de travail.

Eh oui, le rire est un stimulant psychique, et avec tout ce que vous venez de lire, le rire contribue à une capacité de travail multipliée. Toute cette énergie bénéfique améliore les prises de décision et la créativité s’en trouve stimulée.
  • Le rire a une influence sur l’énergie.

Le rire vous prédispose à une humeur radieuse. Et quand on est bien, notre confiance en soi est multipliée et nos rapports avec nous et les autres sont plus harmonieux. On est en pleine santé. C’est un bien-être général qui nous procure une « bien plus meilleure belle vie ».
  • Le rire a une influence sur la digestion.

Saviez-vous que le rire pouvait aider à la digestion ? Eh oui c’est génial, le rire a un impact sur tout le corps. Quand on rit, le muscle principal qui est en action est le diaphragme. Ce muscle est en contact avec le système digestif et son utilisation a pour conséquence de « masser » quelque peu les organes digestifs. Souviens-toi d’une de tes plus grosse crise de fou-rire et les contractions abdominales qui accompagnait ce merveilleux moment ! Le rire permet une digestion plus complète et quand on digère bien, il y a moins de constipation et d’aérophagie. Un autre bénéfice du rire, est qu’il permet de lâcher un partie des gas qui réside en nous, comme pour nous permettre de lâcher la pression d’une certaine manière.
  • Rire a un rôle important dans la respiration.

Rire 1 minute, c’est l’équivalent de courir 10 minutes de jogging, en termes de travail respiratoire. Pour les personne asthmatiques, cela peut même être aidant. La pratique du rire diminuerait même les risques d’infections pulmonaires et oui, comme c’est écrit plus haut, le fait de rigoler permet aussi de dégager plus d’air et de gaz carbonique de nos poumons.
  • Le rire a une influence sur les douleurs.

Le rire favorise une action durable contre les douleurs et a un effet réel contre les états dépressifs, car quand on a l’énergie du rire qui s’écoule en nous, cela contribue à sécréter les hormones du bien être citées plus haut.
  • Le rire a un rôle important dans la circulation sanguine
car il fait baisser la tension artérielle. Il permet aussi d’améliorer le taux de cholestérol et c’est donc très bon pour les diabétiques. C’est lié aussi à une meilleure respiration. C’est comme dans la maison comme on fait des courants d’air pour bien tout ventiler.
  • Le rire a une influence sur le sommeil.

Le rire favorise un sommeil rapide, profond et durable.
  • Le rire a une influence sur les dérèglements fonctionnels.


Comme déjà dit plus haut, le rire enclenche un cercle vertueux. 
Il permet une augmentation de la production d’insuline.
Il favorise la dilatation de la rate ce qui renforce le fonctionnement de l’organisme.
Le rire contribue à une diminution des migraines et en général de la plupart des douleurs chroniques.

Pour résumer :
Le rire entraîne des modifications chimiques dans l’organisme et la libération d’endorphines, notre morphine naturelle, dans le cerveau induit des sensations de bien-être et lutte très efficacement contre la douleur.



Bhoutan, le royaume oublié.


Le «bonheur national brut» est inscrit dans la constitution du Bhoutan, petit royaume niché entre l'Inde et la Chine, au coeur de l'Himalaya. Le pays, sillonné par des pistes accrochées en haut de montagnes vertigineuses, vit en retrait de la mondialisation et la population est très encadrée. En période de mousson, les voyageurs doivent jongler avec la boue et les éboulements, et le trafic est souvent bloqué. Pour remédier à ces problèmes, le gouvernement a fait appel aux Dankas, venus d'Inde, qui élargissent les accès à coup d'explosifs et bitument des routes situées à plus de 3000 mètres d'altitude.

Année chinoise 2023.


A compter du 22 janvier 2023, commencera l'année du lapin d'eau en Chine. Une année qui débute avec le Nouvel An chinois, marqué par 15 jours de festivités.
le calendrier chinois dépend du cycle régulier des phases de la lune, avec des mois lunaires de 29 ou 30 jours. « Le mois lunaire commence le jour de la nouvelle lune », détaille l’IMCCE, précisant que « l’année lunaire débute au Nouvel An chinois, et comporte 12 ou 13 mois lunaires de 29 ou 30 jours. Elle peut avoir 353, 354, 355, 383, 384 ou 385 jours ». 
Le Nouvel an chinois, aussi appelé Nouvel an lunaire, est célébré ce dimanche. Après le Tigre, c’est sous le signe du Lapin qu’est placée 2023.
Ce symbole du zodiaque, aussi associé aux personnes nées en 1903, 1915, 1927, 1939, 1951, 1963, 1975, 1987, 1999, 2011 et 2023, définit les actions de la nouvelle année.
Classé à la quatrième position dans les 12 signes du zodiaque chinois, il symbolise la paix, la longévité et la prospérité dans la culture chinoise. Le Lapin est le signe de la vigilance, de la sérénité, du calme temporaire, de la courtoisie, du silence ou encore de la gentillesse.
L’élément associé au Lapin pour 2023 est l’eau qui représente l’hiver. Selon l'astrologie chinoise, les personnes nées l’année du Lapin d’Eau sont sereines, fragiles, intuitives et sensibles.

TRAQUÉ PAR LES BOUCHERS, UN CHAT ALGÉRIEN SE RÉFUGIE AU MAROC ET SE CONFIE À LA BRIGADE

 

De peur d’être servi en saucisses ou de finir sur un gril, Minouche, un chat de Constantine, a fui les bouchers qui le traquent pour demander refuge au Maroc. Devant la Brigade, il se lamente sur le sort de centaines de félins massacrés en Algérie à cause d’un régime qui ferme les yeux sur tout, même quand on fait passer du chat pour du lapin.

Région d’Ifrane: la neige au rendez-vous dans certaines zones, se fait désirer dans d’autres

 

Située dans le Moyen Atlas, Ifrane est une ville qui attire un nombre important de touristes en hiver. Surnommée “la petite Suisse”, les provinces d’Ifrane abritent les meilleures stations de ski du Royaume. Ainsi, une grande partie des commerces de la ville vivent de ce tourisme saisonnier. Cependant, cette année, avec le manque de précipitations et les changements climatiques, la région n’a connu ses premières neiges que ce mercredi 18 janvier. Face à cette situation, les gérants de cafés, les agents immobiliers ainsi que ceux qui louent le matériel de ski espèrent plus de neige pour sauver la saison.

Espace : avec cette photo, un astrophotographe fait "la découverte du siècle"


Un astrophotographe a capturé le 17 janvier dernier la toute première image d'une nébuleuse jusqu’alors inconnue des scientifiques. L’observation de ce sublime arc bleu a été décrite comme "la découverte du siècle”.
Avec les clichés des Piliers de la création et du sablier de poussières pris par le télescope James Webb, c’est sûrement l’une des plus belles photos spatiales de ces dernières années.


Le 17 janvier, Bray Falls, un astrophotographe de 24 ans, a réussi avec son télescope, à capturer l’image d’une nébuleuse jusqu’alors inconnue des scientifiques.


Inconnue pendant 134 ans
Un fond rougeâtre, des teintes bleues et violettes qui scintillent… Cela pourrait être l'œuvre d’un peintre. Et pourtant ce paysage incroyable existe bel et bien dans l’univers. Il s’agit d’une nébuleuse - que l’on repère par l’arc bleu sur l’image - découverte au-dessus de la galaxie d'Andromède (“M31”) située à 2,55 millions d'années-lumière de notre soleil. L’objet céleste serait composé d'oxygène gazeux, d’après le photographe.
Ce nuage de gaz est resté hors des radars pendant 134 ans, alors qu’il se trouve dans l’une des zones de l’espace les plus observées par les astronomes. De ce fait, l’observation de Bray Falls a été décrite comme “la découverte du siècle”. “Au cours des 134 dernières années, les personnes ont pris des photos de la galaxie d’Andromède. Cependant, tout le monde jusqu’à ce jour, a manqué ce gros détail”, s’étonne l’astrophotographe sur Instagram. En août dernier, six experts remarquent des anomalies dans les données et partagent l’information à Bray Falls, qui réussit à trouver, à l’aide de son télescope, la nébuleuse.


Une origine floue
“Ce que vous regardez est un arc absolument massif et de faible luminosité de surface d’oxygène gazeux. C’était complètement inconnu jusqu’à il y a quelques mois”, raconte-t-il. “Ses origines sont inconnues et sont un sujet de recherche active. Il y a deux théories, l’une étant qu’elle provient du flux stellaire géant de M31. L’autre est qu’elle provient de l’interaction halo avec la Voie lactée.”
Ce n’est pas la première fois que le photographe capture les beautés de l’univers. Sur son compte Instagram, suivi par plus de 550 000 personnes, le professionnel partage ses photographies toutes plus incroyables les unes que les autres.


Indochine : Quand 85 déserteurs marocains ont été rapatriés du Vietnam vers le Maroc.

125 Marocains ont déserté lors de la guerre d’Indochine. Pendant plusieurs années, ils restent dans le pays d’Asie devenu le Vietnam, oubliés et vivant dans des conditions précaires. Ils ne seront rapatriés qu’en janvier 1972. Récit.

C’est un pan méconnu de l’histoire marocaine, digne des plus grands films hollywoodiens. 125 Marocains avaient déserté les rangs de l’armée française lors de la guerre d’Indochine au Vietnam. Ces derniers ont été oubliés par le gouvernement pendant plusieurs années. De 1954 à 1972, ils ont vécu au Vietnam, certains se sont mariés avec des Vietnamiennes et ont eu des enfants. D’autres vivaient dans la précarité extrême ou sombraient doucement dans la folie, alors qu’une seule envie les tenaillait : Rentrer au bercail. Ils n’étaient plus que 85 ressortissants marocains à réussir à rejoindre la mère patrie accompagnés des épouses et d'environ 260 enfants.

Mokhtar Ouldammar, travaillait comme chef du service social au ministère des Affaires étrangères de 1970 à 1972, lorsqu’il découvre une pile de lettres qui va complètement chambouler son quotidien. «Le hasard a fait que j’ai reçu un paquet de lettres qui ont transité à travers Pékin en Chine», raconte à Yabiladi le retraité des Nations unies. En ouvrant les lettres, le Marocain découvre des SOS et des appels au secours.

«Le dossier était pourtant volumineux avec beaucoup de lettres, mais il mordait la poussière et était oublié dans la cave du ministère des Affaires étrangères.»

Une lettre en particulier attire son attention. Celle-ci est signée par Hô Chi Minh, ancien président du Vietnam et adressée au roi Mohammed V. Le chef d’Etat asiatique contactait le souverain pour lui demander de rapatrier les ressortissants marocains qui sont restés au Vietnam après la fin de la guerre. «Il y avait d’autres déserteurs algériens, tunisiens, sénégalais, etc. Ils avaient tous été rapatriés par leur gouvernement, notamment après leur indépendance.

 Les Marocains étaient par contre complètement oubliés», ajoute Mokhtar Ouldammar. «Ce qui était bizarre c’est que cette lettre là, au lieu de se retrouver au Palais royal, archivée au secrétariat du palais de sa majesté, croupissait dans les archives du ministère.»

Ainsi, le responsable s’atèle à la tâche et regroupe autour de lui une délégation marocaine pour se rendre à Hanoi à la rencontre de ces déserteurs «oubliés de l’histoire». Les premiers marocains à déserter l’ont fait en 1954, puis au fur et à mesure le nombre a évolué jusqu’au rapatriement en 1972. «Ils sont restés quand même des années et des années là-bas. Certains se sont mariés avec des Vietnamiennes, ont eu des enfants. 65 femmes vietnamiennes ont décidé de venir au Maroc avec leurs maris et leurs enfants. Le reste des ressortissants étaient célibataires. J’ai appris par la suite qu’il y avait dix enfants dont les pères marocains étaient décédés. Ils ne nous ont pas été déclarés, donc nous n’avons pas pu les rapatrier. Ils sont restés avec leurs familles et leurs mères. Certains déserteurs – deux ou trois – souffraient de maladies mentales, de tuberculose ou dysenterie.

La délégation marocaine au complet, 
en vue du rapatriement des ex-soldats au Maroc.

Une fois à Hanoi, il a fallu quelques jours aux autorités vietnamienne pour rassembler les ressortissants marocains. C’était un vrai jour de fête. Lorsque la délégation arrive au lieu de rendez-vous, les déserteurs et leurs familles leur sautaient au cou. «Ils nous disaient pourquoi n’avez-vous pas ramené un peu de terre du Maroc, on voudrait sentir la terre de notre pays», souffle Mokhtar Ouldammar, ému. Et d’ajouter : «Les enfants criaient ‘ammi, ammi’ (tonton en arabe, ndlr). C’était très intense comme moment.»

Après avoir examiné la situation de chacun des déserteurs individuellement, le retraité des Nations unies est marqué par l’histoire d’un des ressortissants marocains. Il lui demande quelle est la raison de sa désertion. L’homme est gêné par la question. Mokhtar Ouldammar insiste, et l’autre lui répond : «Avec trois autres de mes camarades, nous avons mangé mon capitaine». Le déserteur explique que le Français le traitait mal avec d’autres Marocains, «La situation du moment, la dureté des combats et le comportement raciste de nos supérieurs nous avaient transformés en machines à tuer et à semer la mort», lui avais expliqué l’ancien soldat de l’armée française. Suite à cet acte macabre, l’homme a tout simplement déserté.

Un Marocain qui s'exprime au nom des déserteurs
 lors de la visite de la délégation à Hanoi.

Après la rencontre avec la délégation marocaine, s’ensuit une longue attente. «Le représentant du ministère de l‘Intérieur avait attiré notre attention sur le fait qu’il fallait faire gaffe, qu’on ne puisse pas nous glisser des étrangers ou des éléments communistes parmi les Marocains. Il fallait absolument identifier dans les provinces d’origine chacun d’eux. On pensait que ça prendrait trois mois, finalement ça a pris quatre ou cinq mois», se souvient Mokhtar Ouldammar. Tout était prêt pour le rapatriement, les avions ont été affrétés, les billets pour la délégation marocaine achetés.

«Subitement, nous avons reçu un coup de fil du directeur du cabinet du ministre des Affaires étrangères qui nous a avisé d’arrêter l’opération», ajoute la même personne. La délégation marocaine tombe des nues. Sans aucune explication l’opération est suspendue du jour au lendemain.

«Je pensais que la décision venait de feu Hassan II, mais j’ai appris plus tard que lors d’une réception, le ministre des Affaires étrangères du moment avait été interpellé par le roi qui demandait si les ressortissants marocains ont été rapatriés. Sa majesté était donc au courant personnellement, puisqu’il en avait parlé et de plus il pensait que les déserteurs étaient déjà revenus», précise Mokhtar Ouldammar. A ce moment là, «c’était la panique», le directeur du cabinet du ministère des Affaires étrangères appelle le diplomate pour qu’il mette en route l’opération de rapatriement le plus tôt possible.

«Nous n’avons jamais su qui ou comment l’ordre avait été donné d’interrompre l’opération auparavant. Ça reste un mystère pour moi et pour mon entourage.»

En janvier 1972, les 85 déserteurs sont finalement rapatriés au royaume, après moult aventures, mais sans que la presse en soit avisée. «Ca s’est fait en catimini», précise Monhtar Ouldammar. Témoin de cet épisode particulier de l'histoire du Maroc, le diplomate à la retraite souhaite qu'il soit connu des nouvelles générations de Marocains.

La Chine a mis au point un drone "éternel" à propulsion laser


Le nouveau système consiste en la télécommande d'un véhicule aérien sans pilote à l'aide d'un faisceau laser dirigé. Pour ce faire, le drone était équipé d'un module photovoltaïque. Il convertit à son tour l'énergie de la lumière en électricité et ainsi le drone reçoit une alimentation continue. Cette approche vous permet de garder l'appareil en l'air presque pour toujours.

Lors des tests, d'excellents résultats ont été obtenus en ce qui concerne la charge autonome, ainsi que le traitement et la transmission du signal sur une distance maximale. Ainsi, le drone ODD a démontré des possibilités et un potentiel illimités.
L'équipe de développement a également obtenu des résultats significatifs dans les travaux sur l'augmentation de la distance de transmission de l'énergie lumineuse. Pour ce faire, ils ont dû maîtriser une technologie capable d'ajuster indépendamment l'intensité du faisceau en fonction de l'évolution de la densité de l'atmosphère. Le système ODD dispose également d'un circuit de protection qui s'active lorsque des obstacles sont détectés.
Naturellement, la société cache des informations avec des chiffres réels sur la portée de vol du drone «laser», et il y a des raisons objectives à cela. On sait seulement que les expériences en plein air, de jour comme de nuit, ont été couronnées de succès. Et, à en juger par les reportages photo, le drone peut facilement dépasser la hauteur d'un gratte-ciel.
Le développement ouvre une large fenêtre d'opportunités dans le domaine des applications UAV, y compris la recherche et le sauvetage, les domaines sociaux et commerciaux, l'agriculture, etc. Les experts estiment que cette technologie permettra même la création d'une "lune artificielle" à l'avenir.

Qu’est-ce qu’un choc anaphylactique ?

Il s’agit de l’une des maladies les plus fréquentes chez les plus jeunes. De par son mode d’affection, elle peut engendrer la panique dans l’entourage. Pourtant, il suffit de savoir quoi faire pour s’en sortir et en attendant l’intervention des professionnels de la santé.

Comment se manifeste un choc anaphylactique ?
Encore nommé anaphylaxie, le choc anaphylactique se produit par une réaction allergique généralisée. Les manifestations du malaise sont si intenses qui si rien n’est fait, la personne atteinte pourrait perdre la vie. En générale, la durée du malaise dure entre 5 et 20 minutes, et a diverses origines. Il peut s’agir d’allergie alimentaire, d’une piqûre d’un insecte ou d’une prise de médicaments contenant des éléments allergènes pour la personne.





Lorsqu’un choc anaphylactique se produit, la personne atteinte peut manifester une multitude de symptômes déclenchés en même temps.
C’est ce qui rend ce genre de malaise difficile à vivre parfois. On peut donc se retrouver en face d’une personne qui vomit, a de la conjonctivite, de la rhinite, un œdème de Quincke, fait une crise d’asthme ou encore a de l’urticaire.



Les zones du corps attaquées sont généralement la peau. Les crises de respirations sont aussi présentes, tout comme celles liées au cœur.

Comment intervenir ?
Intervenir, oui, mais comment ? Surtout que cela implique qu’il faut être capable de reconnaître une anaphylaxie rien qu’en observant le malade. Au cours d’un choc anaphylactique, les symptômes ne se déclenchent pas les uns après les autres, mais en même temps.
De plus, c’est souvent dans les 5 ou 20 premières minutes qui suivent l’entrée en contact avec l’élément allergène.
La voix de la personne peut devenir roque quand elle essaiera de parler, il peut lui arriver d’avoir des écoulements nasaux, d’avoir des maux de ventre ou et des démangeaisons.
Dans la plupart des cas, les personnes qui sont sujettes à ce type de malaise ont sur elles un stylo auto-injecteur. Si les réflexes sont encore bons pendant le malaise, elles arrivent à s’injecter de l’adrénaline contenue dans le stylo. Dans le cas contraire, c’est quelqu’un d’autre qui va devoir le faire.
C’est pour cette raison qu’il est indispensable que l’entourage immédiat de la personne qui souffre de ce genre de malaise soit non seulement au courant, mais formé à intervenir de façon spontanée.
D’ailleurs selon le ministère de la Santé, le geste qui consiste à injecter de l’adrénaline à une personne sous anaphylaxie n’est pas considérée comme un geste médical.


Mais il peut arriver que ce type d’intervention ne soit pas suffisant malheureusement. Selon la gravité de la crise, la personne peut avoir besoin de deux injections. La seconde doit être administrée au plus 10 à 15 minutes après la première.
En outre, une personne potentiellement capable de faire un choc anaphylactique doit avoir sur elle une trousse d’urgence. Celle-ci contient différents types de médicaments en plus de l’adrénaline sous forme de stylo auto-injectable.

Espagne : quand quatre bombes atomiques tombaient sur Palomares

En pleine guerre froide, l’armée américaine mène des manœuvres en Andalousie. Le 17 janvier 1966, un bombardier et un avion ravitailleur se percutent en plein ciel. Du bombardier tombent quatre bombes thermonucléaires, chacune 75 fois plus puissante que celle de Hiroshima. Elles ne sont heureusement pas armées et n'explosent pas. Mais elles dispersent du plutonium hautement radioactif sur plus de 250 hectares, autour du village de Palomares. Washington tente alors de minimiser et nettoie le site à la va-vite, en laissant 50 000 mètres cubes de terre contaminée. Plus de 50 ans après, l'affaire reste un sujet de tension entre l'Espagne et les États-Unis.  

À quelle vitesse se déplace la Terre dans l’espace ?

  •  À quelle vitesse tourne la Terre sur elle-même ?

Tout d'abord, voyons notre déplacement à la surface de la Terre par rapport à son centre. En France métropolitaine, en raison de la tectonique des plaques, on parcourt en moyenne un centimètre par an vers l'est. L'Afrique quant à elle remonte de 2 centimètres par an vers le nord. Mais le record revient à la plaque pacifique qui avance d'environ 10 centimètres par an vers le nord-ouest.


Autre mouvement à prendre en compte : la rotation de la Terre sur elle-même. Aux latitudes de la France, elle est d'environ 1.100 kilomètres par heure. Aux pôles, elle tombe à seulement 3 kilomètres par heure tandis qu'à l'équateur (40.000 kilomètres en 24 heures), elle atteint 1.600 kilomètres par heure. À noter que notre planète tourne moins vite sur elle-même qu'il y a plusieurs centaines de millions d'années.



  • Quelle est la vitesse de la Terre autour du Soleil ?

Autour du Soleil, cela va beaucoup plus vite. Comme chacun sait, la période de révolution de notre planète d'origine est de 365 jours et 6 heures. Une année donc pour boucler son orbite elliptique autour du Soleil (un circuit presque circulaire), long d'environ 940 millions de kilomètres. Autrement dit, la Terre et nous tous avec elle, fonçons à 107.000 kilomètres par heure en moyenne (29,78 kilomètres par seconde). Nous parcourons ainsi pas moins de 2,6 millions de kilomètres par jour.