Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Le romarin sappelle « azir » en arabe.
Aïcha Kandicha : La femme qui terrorise les marocains....
Vous la connaissez surement cette histoire.
Ce n'est pas une légende (comme le Yéti ou le monstre du Loch Ness). Elle a vraiment existé. Voici son brève histoire : Il s'agirait d'une comtesse portugaise (17 ème siècle) qui est tombée follement amoureuse d'un très riche commerçant de Safi en voyage dans son pays. Elle est venue le chercher jusqu'à chez lui pour le supplier de se marier avec elle.
A l'époque toutes les femmes étaient voilées, mais la comtesse se baladait sans aucun voile, juste une belle robe blanche. Cette créature démoniaque, assez belle, différente et attirante pour être devenue à elle seule un fantasme absolu. Elle était très belle et avait la peau claire et blonde des femmes de certaines contrées montagneuses. Les hommes qui la croisaient en devenaient fous ! A l'époque, tous les gens de Safi en parlaient, et le mot comtesse a donné Kandicha.
AIN DEFALI EST MENACEE PAR LE MANQUE D’HYGIENE.
Le manque de latrines a des conséquences différentes mais tout aussi négatives sur leur santé et leur dignité. Ils doivent attendre le soir pour se soulager, par souci de pudeur et de sécurité.
Lorsque l’on peut traiter et évacuer adéquatement les eaux usées, il est possible de mieux protéger et de moins gaspiller les ressources en eau douce. L'exploitation raisonnable de ces ressources évite aussi la contamination et réduit la nécessité de traiter l'eau.
L'éducation en matière d'hygiène au niveau dans notre communauté consiste à inculquer aux mères de bonnes pratiques d'hygiène pour aider les jeunes enfants à prendre un bon départ dans la vie car les femmes sont les principales responsables de l'eau et de l'assainissement au sein du foyer.
Les écoles inculquent aussi des notions de santé et d'hygiène qui peuvent se transformer en bonnes habitudes pour le reste de la vie.
Ain Défali, une ville sans rues, sans trottoirs ni passage de piétons.
La rue, l’élément fondamental et probablement le plus structurant de la morphologie d’une ville, n’existe pas à Ain Défali. Elle en assure le maillage. Elle est un morceau de ville. Elle contient les fondements de la vie sociale ; elle en porte les germes au travers des activités humaines qui s’y déroulent et qui transitent par les réseaux qu’elle tisse à même le territoire. La rue, de tout temps, a assuré la fonction la plus élémentaire de brassage de la vie publique. Elle est par excellence le lieu où s’écoulent les flux de la ville, et c’est peut-être pour cette raison que l’on a tendance, trop souvent, à parler de rue pour dénommer une voie, quelle qu’elle soit.
Les trottoirs, inexistants dans notre ville, sont les lieux de passage des piétons, de la promenade, de la flânerie, du lèche vitrine, des arrêts, des rencontres et des bavardages aux terrasses des cafés. Le trottoir est dénivelé ou non par rapport à l'espace réservé aux véhicules. Il est souhaitable que ses limites soient repérables et détectables. Il est de préférence revêtu d'un matériau permettant le déplacement sans difficulté des personnes. Le trottoir est l'espace dédié aux piétons.
Le trottoir traversant donne au piéton une vraie continuité de cheminement et un confort de déplacement. En effet, il revient au conducteur d'assurer la sécurité du piéton car il franchit alors un trottoir. Cet aménagement a vocation à favoriser les déplacements pédestres, et à faciliter également le déplacement de toutes les personnes à mobilité réduite. Le trottoir traversant étant un trottoir, il offre les mêmes avantages au piéton, et impose les mêmes règles aux autres usagers (cyclistes, deux roues motorisés, automobilistes, chauffeurs)... Le piéton est davantage en sécurité car il reste sur un espace qui lui est propre. Ce n'est plus le piéton qui traverse la rue secondaire mais le véhicule qui traverse le trottoir. En cela, il ne s'agit pas d'un plateau surélevé, simple surélévation de la chaussée qui n'est pas en continuité d'un trottoir.
Nécessité de mettre des feux de signalisation pour régulariser la circulation sur l’axe routier potentiellement dangereux Ouezzane-Fès qui traverse notre cité urbaine. Les véhicules y roulent très rapidement engendrant de temps à autres des pertes humaines.
Le Ministère de l’habitat et de l’urbanisme doit s’intéresser sérieusement à notre ville pour nous dicter un plan local convenable d'urbanisme communal.
Mohamed Rouicha, célèbre chanteur populaire, amazigh et arabe, spécialiste du « Loutar », est décédé aujourd’hui, en début d'après midi à Khénifra,
Né en 1950 à Khénifra, d’une famille modeste, Mohamed Rouicha, de son vrai nom Mohamed El Houari, spécialiste du Loutar (instrument emblématique de la région de l'atlas) avait débuté sa carrière en 1964.Chanteur berbère marocain et poète amazigh, sa renommée dépassa la petite ville natale surtout avec à "Ya l’hbiba", "bini w’binek darou l’hdoud". Les thèmes des textes de Rouicha évoquent dans un style populaire purement traditionnel, l'amour, la nature, la justice (que ce soit dans le monde profane ou religieux), la politique, la vie et la mort.
La Kafala qu'est ce que c'est ?
Foul Gnaoua, Le Sésame des saveurs, Les fèves
INGREDIENTS
1 bol de foul gnawa (250ml)
1 oignon ciselé
2 c à c de paprika
½ c à c de poivre
2 c à s d’huile d’olive
5 bols d’eau
1 c à c de sel
1 c à s de concentré de tomate.
ETAPES
1/ Mettre l’huile, l’oignon, le paprika et le poivre dans un autocuiseur ; faire revenir l’ensemble.
2/ Ajouter l’eau et le foul gnawa préalablement lavé et égoutté. Fermer l’autocuiseur et laisser cuire l'ensemble pendant environ 40mn.
3/ En fin de cuisson, ajouter le sel et le concentré de tomate, laisser réduire la sauce.
Conseil du jour :
Si vous souhaitez écourter la durée de cuisson des foul gnawa, vous pouvez les tremper pendants plusieurs heures dans de l’eau. Dans ce cas, vous n’utiliserez pour la cuisson, que 4 bols d’eau pour un bol de foul gnawa ; la durée de cuisson sera alors de 20 à 25mn.
Plus un homme fait le ménage, plus il risque le divorce.
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