Il s’agit d’une réelle avancée sachant que la production du gaz d’hydrates de méthane est réputée pour être encore plus difficile que celle du gaz de schiste.
De plus, comme l’exploitation du gaz de schiste, l’extraction de la glace qui brûle ne serait pas sans risque sur le plan environnemental : la libération incontrôlée de grandes quantités d’hydrate de méthane pourrait contribuer au réchauffement de la planète.