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La Terre vue de la Station spatiale en 2020

Chaque jour, la Station spatiale internationale (ISS) fait 16 fois le tour de la Terre. Tout le temps pour les astronautes à son bord de prendre des photos exceptionnelles de notre planète. En cette fin 2020, la Nasa nous propose une sélection des 20 plus belles de l'année.
  • Maui et ses énergies renouvelables
Une ferme éolienne sur l’île de Maui
 — en bas de l’image —,
 vue depuis la Station spatiale internationale.

Ces 34 éoliennes fournissent 10 à 15 % de l'électricité consommée annuellement sur l'île. De quoi faire de l'éolien la deuxième énergie renouvelable la plus utilisée à Hawaï. Après le solaire.
Notez que pour éviter les dommages aux oiseaux et aux chauves-souris, cette ferme éolienne s'est engagée dans un plan de conservation des habitats.
  • Les magnifiques îles Kerguelen
Les îles Kerguelen vues 
depuis la Station spatiale internationale.

Les îles Kerguelen, non loin de l'Antarctique, sont des îles montagneuses d'origine volcanique. Leurs côtes sont taillées de fjords profonds. La région occidentale est surmontée par la calotte glaciaire Cook.
La couverture nuageuse particulière et le soleil qui reflète les vagues donnent à cette image des îles Kerguelen une beauté presque surnaturelle.
  • L’automne au Canada
L’automne jette sur la région d’Ottawa (Canada),
 un voile de couleurs chaudes.

La ville d'Ottawa (Canada) est située au confluent de trois cours d'eau. Lorsque l'automne arrive, la région se couvre de couleurs chaudes. Le rouge oranger des feuilles d'érable et le bronze doré du caryer.
  • Des tempêtes de poussière sur la Patagonie
Des tempêtes de poussière sur la Patagonie
 vues depuis la Station spatiale internationale.

En Patagonie, les tempêtes de poussière ne sont pas rares. Elles sont le résultat de niveaux d'eau qui baissent pendant la saison sèche, laissant du limon meuble exposé à la surface. Les poussières peuvent être transportées sur plusieurs dizaines de kilomètres. Et des travaux scientifiques montrent que ces tempêtes constituent une source majeure de nutriments dans l'Atlantique sud.
Sur cette photo, des panaches de poussière s'alignent sur la direction du vent. Des caractéristiques que les chercheurs ont également déjà observées sur Mars.
  • Paris, la nuit !
Paris, vue depuis la Station spatiale internationale.

Une image un peu plus familière à nos yeux, pour finir, celle de notre capitale, Paris, au cœur de la nuit, en novembre dernier.

  • Cuba et les Bahamas

  • Cooper Creek, en Australie

  • La Corse et la Sardaigne au coucher du soleil

  • Poussière au-dessus de l'île de Chypre

  • Les Grands Lacs, en Amérique du Nord

  • Lever de Lune au sud de l'océan Atlantique

  • Lacs et incendie au sud du Kenya

  • Lever de soleil sur la Grande Baie d'Australie
  • Inondations le long du Nil, au Soudan

  • Nouvelle-Zélande

  • Terminator au-dessus de l'Australie occidentale (ligne qui sépare la nuit et le jour).

  • Lueur d'air (airglow) au dessus de l'océan Indien occidental

  • Plume de poussière sur le sud de l'Argentine
  • Récifs de la baie de Moindou, en Nouvelle-Calédonie.

  • Tourbillon de nuages au-dessus du nord du désert du Sahara.

  • La Terre et la Lune vues de la navette spatiale Crew Dragon.

histoire et devenir de la Station spatiale internationale

Depuis ses débuts en 1998, la Station spatiale internationale a accueilli plus de 240 astronautes. Alors que l’Esa vient d’annoncer que l’astronaute français Thomas Pesquet serait de nouveau à son bord en 2021, focus sur le plus grand objet artificiel en orbite terrestre.

Vue globale de l'ISS avec la Terre en arrière plan et en orbite la station, notamment ses 24 panneaux solaires bien en évidence.
Vue globale de l’ISS.

Création de l’ISS
Le président des États-Unis Ronald Reagan est à l’origine en 1983 de l’ambitieux projet de construction d’une station spatiale en orbite terrestre basse. L’objectif est d’y installer un équipage chargé d’effectuer de la recherche scientifique en environnement spatial. Piloté par la Nasa, le programme est développé conjointement avec l’agence spatiale russe (Roscosmos) depuis 1993, également avec la participation des agences spatiales européenne (Esa), japonaise (Jaxa) et canadienne (CSA).
L’assemblage en orbite de la Station spatiale internationale (International space station ou ISS en anglais) démarre en 1998. Elle n’est finalisée que treize années plus tard, après une quarantaine de vols destinés à transporter les éléments nécessaires à sa construction. Des coupes budgétaires et l’accident de la navette américaine Columbia - qui a tué sept astronautes en 2003 - sont les principales raisons de ce délai.


La Terre en arrière-plan et une partie de l'ISS au premier plan : le cargo américain Cygnus.
Le cargo américain Cygnus arrimé à l’ISS en novembre 2019

Caractéristiques de la station
L’ISS est le plus grand de objet artificiel en orbite autour de la Terre. À une altitude variant entre 350 et 400 km, elle mesure pas moins de 110 m de longueur, 74 m de largeur et 30 m de hauteur. En 2019, sa masse est d’environ 420 tonnes.
Avec plus de 2 500 m² de panneaux solaires qui lui fournissent son énergie, la Station spatiale est le second objet le plus brillant du ciel nocturne après la Lune. L’ISS est d’ailleurs facilement visible à l’œil nu à condition de savoir à quel moment elle passe au dessus de l’observateur, information disponible sur plusieurs sites de prévisions.
L’édifice est habité sans interruption depuis novembre 2000. Six astronautes l’occupent en permanence pour des séjours de 3 à 6 mois. Fin 2019, 239 personnes de 19 nationalités différentes au total y ont séjourné. Parmi eux, 151 Américains, 47 Russes, neuf Japonais, huit Canadiens, cinq Italiens et quatre Français. Ces derniers sont Léopold Eyharts, Claudie Haigneré - la première européenne dans l’espace -, Philippe Perrin et l’astronaute qu’on ne présente plus, Thomas Pesquet.



Membres de l’expédition 50-51 : Peggy Whitson,
 Oleg Novitskiy, Thomas Pesquet 
et leurs remplaçants (à droite).

Thomas Pesquet a séjourné de novembre 2016 à juin 2017 dans l’ISS. L’Esa a d’ailleurs annoncé fin novembre 2019 que l’astronaute français était autorisé à repartir pour une deuxième mission, après le vote d’un budget record pour financer les nouveaux programmes. Cette seconde aventure est prévue pour fin 2021. Plus fou encore, Thomas Pesquet pourrait devenir le premier européen à poser un pied sur la Lune… En tout cas, il ne cache pas sa motivation.
“[…] j’ai toujours rêvé d’aller plus loin et plus profondément dans l’espace. J’espère vraiment prendre ma part dans cette prochaine étape de l’exploration spatiale“, a-t-il déclaré dans un message vidéo enregistré pour le 70 ème congrès mondial d’astronautique à Washington en octobre dernier. Sachant qu’après 2024 les Américains devraient accepter des astronautes d’autres nations, le Français souhaite en effet que l’Europe participe à la mission suivante prévue pour 2027-2028.

La science à bord de l’ISS
Mais revenons à l’ISS. Chaque astronaute a pour mission d’effectuer des opérations d’assemblage et de maintenance pour la station, ainsi que des expériences scientifiques. Ces travaux sont principalement consacrés à la biologie, la science des matériaux, l’astronomie et la météorologie.
L’étude du comportement du corps humain en impesanteur constitue une expérience précieuse pour les séjours longs en orbite, notamment dans le cadre des futures missions d’exploration humaine vers Mars. En effet, le corps humain a évolué pour fonctionner sous l’influence de la gravité. Ainsi, en situation de micropesanteur, certains changements s’opèrent. Les fluides (sang, liquide céphalorachidien…) remontent vers le haut du corps, les gènes s’expriment différemment dans l’ADN, la masse des muscles et des os diminue, la colonne vertébrale s’allonge…

Photo des cinq membres d'équipage de l'expédition 51, dont Thomas Pesquet, en impesanteur dans l'ISS. Ils ont la tête légèrement glonflée à cause de la remontée des fluides corporels due à la microgravité.
Dans l’espace, les fluides corporels 
remontent vers le haut du corps.

La plupart de ces changements disparaissent après le retour sur Terre, mais les astronautes ne restent que trois à six mois dans l’ISS. Qu’adviendra-t-il au retour d’hommes après un aller-retour vers Mars d’une durée de trois ans ? L’analyse des dérèglements et la manière de les limiter dans l’espace est ainsi un enjeu fondamental pour les futures missions d’exploration humaine.
La Station spatiale est aussi utilisée pour élaborer des méthodes de diagnostic et de soins en milieu isolé, ou étudier la croissance des plantes en micropesanteur. Dans une optique de colonisation de l’espace, faire son potager en impesanteur pourrait en effet devenir un enjeu crucial.

Peggy Whitson récolte son chou chinois à bord de l'ISS. Elle est à droite de l'image, un sac à la main, devant son mini bac potager.
Peggy Whitson récolte du chou chinois 
qui a poussé à 400 km d’altitude.

Bientôt la fin de la Station spatiale ?
Le coût exorbitant de maintien en fonctionnement de l’ISS (2,7 milliards d’euros par an soit environ 15 % du budget de la Nasa) fait que son abandon est régulièrement envisagé. D’autant plus que les différents modules de la Station ont été conçus pour une durée opérationnelle de 15 ans, ce qui ramène à 2013 la date limite d’utilisation théorique pour les éléments les plus anciens. Pour l’instant, d’après le dernier plan de financement en vigueur, l’ISS devrait fonctionner jusqu’en 2024 au moins.
À ce moment-là, la Nasa sera en charge du démantèlement de l’ISS. L’objectif sera de contrôler la rentrée atmosphérique de ses éléments afin que les débris atteignent le sol avec une taille limitée et dans des zones désertiques. Roscosmos et quelques entreprises privées envisageraient une réutilisation de certains modules. Pour l’heure, il n’est pas prévu de remplacer la Station spatiale internationale.
La Nasa, quant à elle, préfère se concentrer sur son projet de station orbitale lunaire, en partenariat avec Roscosmos, l’Esa, la Jaxa et le CSA. Le futur Lunar Orbital Gateway devrait servir au retour de l’Homme sur la Lune, ainsi que de palier dans le cadre de voyages plus lointains, vers Mars par exemple.

Vue d'artiste du futur Lunar Orbital Gateway : on y voit la Terre en arrière-plan, un bout de la Lune plus proche, et sur toute la longueur de l'image les différents modules assemblé de l'engin spatial.
Vue d’artiste du futur Lunar Orbital Gateway 
initié par la Nasa.

La Station spatiale internationale ou ISS

D'une envergure comparable à celle d'un terrain de football, l'ISS se situe à une altitude d'environ 350 km. Elle tourne autour de la Terre à la vitesse de 28 000 km/h. Ainsi, en une journée, plusieurs tours complets peuvent être accomplis par la station. En effet, l'ISS ne fait le tour du globe qu'en 90 minutes seulement!
Depuis la planète, il est possible d'apercevoir l'ISS à l'oeil nu car ses panneaux solaires sont très brillants. Vue depuis la Terre, la station ressemble à un point lumineux qui traverse le ciel.


La Station spatiale Internationale (image NASA)

La Station spatiale internationale (en anglais International Space Station ou ISS) est une station spatiale placée en orbite terrestre basse, occupée en permanence par un équipage international qui se consacre à la recherche scientifique dans l'environnement spatial. Ce programme, lancé et piloté par la NASA, est développé conjointement avec l'agence spatiale fédérale russe, avec la participation des agences spatiales européenne, japonaise et canadienne.




La station spatiale internationale (ISS)


La station spatiale internationale (ISS) représente une étape majeure pour la connaissance et la maîtrise de ce monde fascinant en permettant de faire vivre et travailler l’homme dans l’espace, sa durée de vie étant d’une dizaine d’années au minimum.
Pour réaliser ce projet d’une ampleur inégalée, les Etats-Unis, la Russie, le Canada, le Japon, et l'Europe avec 11 pays membres de l'ESA ( Allemagne, Belgique, Danemark, Espagne, France, Italie, Norvège, Pays-Bas, Suède et Suisse) ont uni leurs compétences.
Le lancement du premier élément de l’ISS, le module russe Zarya, a eu lieu en 1998 et, depuis novembre 2000, deux ou trois spationautes occupent en permanence la station.


L'ISS est aujourd'hui le plus grand objet artificiel placé en orbite terrestre. Les dimensions de la station sont équivalentes à celles d’un terrain de football. Elle occupe un volume de 110 m. x 74 m. x 30 m. et pèse environ 420 tonnes. Le volume d'espace pressurisé est de 935 m³. Les panneaux solaires d'une superficie de 2500 m² fournissent 110 kw d'électricité. La station spatiale se déplace en orbite autour de la Terre à une altitude d'environ 350 kilomètres, à une vitesse de 27 700 km/h (7,7 km/s) , en faisant le tour de notre planète 15 fois par jour.



L’ISS représente un terrain d’expérimentation unique pour les sciences de la vie et de la matière, la physique fondamentale, mais aussi une plateforme d’observation de la Terre et de l’Univers.