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Que se passerait-il si la Terre s’arrêtait de tourner sur elle-même ?


Notre Terre tourne sur elle-même sans que nous en ayons directement conscience. Pourtant, les conséquences de ce mouvement de rotation sont nombreuses. Et s’il venait à s’arrêter, notre planète changerait radicalement de visage.
23 heures, 56 minutes et 4 secondes. C'est approximativement le temps qu'il faut aujourd'hui à notre Terre pour faire un tour sur elle-même. Un mouvement de rotation à l'origine de l'alternance entre le jour et la nuit. Mais aussi des régimes des vents et des courants marins. Car il faut noter qu'un point de la surface de la Terre se déplace à une vitesse qui dépend de sa latitude.


À l'équateur, la vitesse atteint un maximum de 1.700 km/h alors qu'à Paris, elle est de l'ordre de 1.100 km/h, par exemple. De quoi influer sur les déplacements d'air et d'eau.
Or, les chercheurs ont remarqué que la rotation de la Terre se ralentit peu à peu. Et certains imaginent dès lors - même si les chercheurs de la Nasa estiment que les probabilités pour que cela se produise sont proches de 0 - ce qu'il adviendrait si notre Planète cessait totalement de tourner sur elle-même. Cela perturberait, en premier lieu, l'alternance des jours et des nuits. Selon les théories, nous vivrions alors des journées, et des nuits, de six mois ou alors des journées, ou des nuits, éternelles. Avec des températures extrêmes qui oscilleraient entre quelque 60 °C et -50 °C en fonction de l'ensoleillement du moment. De quoi transformer notre Planète en un vaste désert dans lequel la vie aurait toutes les peines du monde à ne pas disparaître.


Les scientifiques imaginent aussi que si la Terre s'arrêtait de tourner, elle prendrait une forme presque parfaitement ronde à la place de la forme de patatoïde qui est aujourd'hui la sienne. Et ce sont les plaques tectoniques qui s'en trouveraient principalement affectées. Notre Planète connaîtrait alors une période particulièrement riche en séismes. Et en se rééquilibrant, les océans inonderaient la plupart des terres émergées. Avant de finalement se concentrer sur les pôles du fait de la disparition de l'effet de la force centrifuge.
Le champ magnétique qui fait office de bouclier en déviant les particules du vent solaire est lui aussi dépendant de la rotation de la Terre. Si celle-ci s'arrêtait de tourner, ce champ magnétique s'évanouirait et nous nous retrouverions exposés à des radiations mortelles.
Pire encore, si le phénomène devait se produire brusquement. Par effet d'inertie, les physiciens annoncent que tout ce qui se trouve à la surface de la planète s'envolerait vers l'est : maisons, voitures ainsi qu'êtres humains. Et même les eaux des océans et notre atmosphère. De quoi provoquer des tsunamis d’une incroyable puissance et des vents semblables à ceux qui accompagnent les explosions nucléaires.

La Terre vue de la Station spatiale en 2020

Chaque jour, la Station spatiale internationale (ISS) fait 16 fois le tour de la Terre. Tout le temps pour les astronautes à son bord de prendre des photos exceptionnelles de notre planète. En cette fin 2020, la Nasa nous propose une sélection des 20 plus belles de l'année.
  • Maui et ses énergies renouvelables
Une ferme éolienne sur l’île de Maui
 — en bas de l’image —,
 vue depuis la Station spatiale internationale.

Ces 34 éoliennes fournissent 10 à 15 % de l'électricité consommée annuellement sur l'île. De quoi faire de l'éolien la deuxième énergie renouvelable la plus utilisée à Hawaï. Après le solaire.
Notez que pour éviter les dommages aux oiseaux et aux chauves-souris, cette ferme éolienne s'est engagée dans un plan de conservation des habitats.
  • Les magnifiques îles Kerguelen
Les îles Kerguelen vues 
depuis la Station spatiale internationale.

Les îles Kerguelen, non loin de l'Antarctique, sont des îles montagneuses d'origine volcanique. Leurs côtes sont taillées de fjords profonds. La région occidentale est surmontée par la calotte glaciaire Cook.
La couverture nuageuse particulière et le soleil qui reflète les vagues donnent à cette image des îles Kerguelen une beauté presque surnaturelle.
  • L’automne au Canada
L’automne jette sur la région d’Ottawa (Canada),
 un voile de couleurs chaudes.

La ville d'Ottawa (Canada) est située au confluent de trois cours d'eau. Lorsque l'automne arrive, la région se couvre de couleurs chaudes. Le rouge oranger des feuilles d'érable et le bronze doré du caryer.
  • Des tempêtes de poussière sur la Patagonie
Des tempêtes de poussière sur la Patagonie
 vues depuis la Station spatiale internationale.

En Patagonie, les tempêtes de poussière ne sont pas rares. Elles sont le résultat de niveaux d'eau qui baissent pendant la saison sèche, laissant du limon meuble exposé à la surface. Les poussières peuvent être transportées sur plusieurs dizaines de kilomètres. Et des travaux scientifiques montrent que ces tempêtes constituent une source majeure de nutriments dans l'Atlantique sud.
Sur cette photo, des panaches de poussière s'alignent sur la direction du vent. Des caractéristiques que les chercheurs ont également déjà observées sur Mars.
  • Paris, la nuit !
Paris, vue depuis la Station spatiale internationale.

Une image un peu plus familière à nos yeux, pour finir, celle de notre capitale, Paris, au cœur de la nuit, en novembre dernier.

  • Cuba et les Bahamas

  • Cooper Creek, en Australie

  • La Corse et la Sardaigne au coucher du soleil

  • Poussière au-dessus de l'île de Chypre

  • Les Grands Lacs, en Amérique du Nord

  • Lever de Lune au sud de l'océan Atlantique

  • Lacs et incendie au sud du Kenya

  • Lever de soleil sur la Grande Baie d'Australie
  • Inondations le long du Nil, au Soudan

  • Nouvelle-Zélande

  • Terminator au-dessus de l'Australie occidentale (ligne qui sépare la nuit et le jour).

  • Lueur d'air (airglow) au dessus de l'océan Indien occidental

  • Plume de poussière sur le sud de l'Argentine
  • Récifs de la baie de Moindou, en Nouvelle-Calédonie.

  • Tourbillon de nuages au-dessus du nord du désert du Sahara.

  • La Terre et la Lune vues de la navette spatiale Crew Dragon.

La sonde Cassini dévoile à quoi ressemble la Terre depuis la planète Saturne.




La NASA vient de publier une nouvelle image capturée par la sonde Cassini depuis l'orbite de la planète Saturne. Elle montre à quoi ressemble notre planète vue à travers les anneaux de la géante gazeuse. Après avoir montré à quoi ressemblent la Terre et la Lune depuis l'orbite de Mars, la NASA récidive, cette fois-ci depuis une autre planète de notre système solaire : Saturne. L'agence spatiale américaine vient de dévoiler une nouvelle image prise par la sonde Cassini qui voyage dans le voisinage de la géante gazeuse depuis 2004. Le cliché en question a été pris le 12 avril 2017 alors que l'engin se trouvait à 1,4 milliard de kilomètres de la Terre. Une distance que l'on peut apprécier en observant le petit point lumineux qui apparait entre les anneaux glacés de Saturne. Ce petit point n'est en effet rien d'autre que la Terre ! "Bien que ce soit bien trop petit pour être visible dans l'image, la portion de la Terre à laquelle faisait face Cassini à ce moment était l'océan Atlantique sud", a précisé la NASA dans un communiqué. Dans la version zoomée du cliché, on peut même apercevoir un second point plus petit et moins lumineux qui n'est autre que la Lune. Rappeler notre petitesse dans l'univers Cette image n'est pas sans rappeler le "point bleu pâle" (en anglais "pale blue dot"), ce célèbre cliché de la Terre pris en février 1990 par la sonde Voyager 1. Bien que de moindre qualité, il rappelait déjà notre petitesse dans le système solaire et même dans l'Univers. La photo avait également inspiré au célèbre astronome Carl Sagan, un livre dont certains passages sont depuis devenus cultes : "Regardez encore ce point. C'est ici. C'est notre foyer. C'est nous. C'est là que se trouvent tous ceux que vous aimez, que vous connaissez, dont vous avez déjà entendu parler, tous les êtres humains qui ont jamais vécu", écrivait-il.

Où sommes-nous dans l’Univers ?

Notre Terre n’est qu’une poussière dans l’immensité de l’espace. Du système solaire aux confins de l’Univers, petit coup de zoom arrière pour mieux nous situer.

La Terre et le système solaire :

Notre système solaire est formé d’un ensemble de huit planètes (Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune) en orbite autour d’une étoile, le Soleil. Notre terre est à une distance de huit minutes-lumière du Soleil- ses rayons mettent en effet huit minutes pour nous atteindre. Neptune, la planète la plus éloignée, est à quatre heures-lumière et demie. Au-delà s’étend la ceinture de Kuiper, une multitude de petits corps rocheux enrobés de glace, qui forme le réservoir des comètes.

La Voie lactée, notre Galaxie :

Le soleil n’est qu’une étoile ordinaire parmi les 100 milliards que compte notre Galaxie, la Voie lactée. Cette spirale barrée d’environ 100 000 années-lumière de diamètre étend ses bras riches en étoiles et gaz à travers l’espace. 80 % des galaxies dans l’univers lui ressemblent. Elle est dotée en son centre d’un trou noir supermassif. Le soleil est situé sur le bras du Sagittaire, à 27 000 années-lumière du centre galactique.

La Voie lactée au sein du groupe local :

La voie lactée fait partie d’un ensemble d’une cinquantaine de galaxie en interaction gravitationnelle les unes avec les autres. Les plus importantes en dehors d’elle sont Andromède, la galaxie spirale du Triangle et les deux nuages de Magellan. Ce petit amas, appelé groupe local, a une dimension d’environ 3 000 000 d’années-lumière, soit trente fois la Voie lactée. A 50 000 000 d’années-lumière se trouve l’amas le plus proche, celui de la Vierge, qui contient plusieurs milliers de galaxies.

                               La Voie Lactée.

Les superamas de galaxies :

Les groupes galactiques sont organisés en superamas qui en regroupent chacun une dizaine. Il s’agit de structures à grande échelle dont le diamètre est de l’ordre de 100 000 000 d’années-lumière. A cause de l’expansion de l’univers, les superamas se défont progressivement, les astres n’étant pas suffisamment rapprochés les uns des autres pour que leur attraction gravitationnelle les maintienne ensemble. Ainsi l’amas de la Vierge s’éloigne-t-il du Groupe local à 1250 km/s. La taille des superamas ne cesse donc d’augmenter dans le temps.

Amas de galaxies

Les grandes structures de l’Univers :

Les plus GRANDES STRUCTURES de L'UNIVERS - LDDE - YouTube

A plus grande échelle encore, la matière visible dans l’Univers s’ordonne en un réseau de filaments, à l’image d’une éponge. Les amas et superamas de galaxies se trouvent aux jonctions entre les filaments. Cette structure n’est pas directement visible par les moyens d’observation actuels, mais des simulations numériques permettent d’en faire le portait.

A très grande échelle, la  matière est ainsi répartie de manière inhomogène dans l’Univers.

L’ensemble de la matière visible ne constitue que 0,4 % du contenu de l’Univers. Celui-ci est formé à 73 % par une énergie sombre d’origine inconnue qui accélère son expansion. La matière noire invisible, qui agit seulement par sa gravité, pèse pour 26,6 %, 3,6 % étant constitué de matière noire ordinaire et 23 % de matière noire exotique.