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Le Maroc, 55è puissance militaire dans le monde

 

Le Maroc est classé 55ᵉ dans le classement 2022 des grandes puissances militaires, en baisse de deux places par rapport à l’année dernière.
Selon le site spécialisé Global Firepower, qui identifie parmi 140 pays dans le monde, ceux qui disposent des moyens très pointus pour déterminer les puissances militaires les plus performantes chaque année, le royaume a régressé de deux rangs après une 53ᵉ place en 2021.
D’après les chiffres, les forces armées royales comptent 325 000 soldats, dont 200 000 sont actifs dans le service militaire, 100 000 soldats de réserves et 25 000 dans les forces paramilitaires.


L’armée de l’air marocaine dispose de 249 avions militaires, et comprend notamment 83 avions de combat, 64 hélicoptères, 29 avions de transport. La marine royale possède 121 navires militaires dont 4 corvettes et 6 frégates. Au niveau du sol, le Maroc possède en tout 3 335 chars et 3 500 véhicules blindés, ainsi que d’autres types d’équipements.
Sur le plan mondial, ce sont les États-Unis qui arrivent en tête de liste, suivis de la Russie et de la Chine. L’Inde se classe en 4ᵉ position, le Japon 5ᵉ, la Corée du Sud 6ᵉ et la France 7ᵉ. Les 13 pays classés en tête ont tous augmenté leurs capacités militaires entre 2021 et 2022, indique Global Firepower.


N.B.
  • Le Maroc, 55è puissance militaire dans le monde.
  • Le Maroc classé 5ème puissance militaire arabe.
  • Le Maroc, une puissance militaire montante de la région.
  • Le Maroc, première puissance militaire d’Afrique du nord.

Football : le Maroc candidat pour accueillir le Mondial 2026



La Coupe du monde 2026 sera la première édition
à rassembler 48 équipes.

Le royaume chérifien a déposé son dossier jeudi. Il espère être choisi en juin prochain à place du trio Etats-Unis-Mexique-Canada. Le Maroc espère que la cinquième tentative sera la bonne. Comme l’a annoncé le président du Comité de candidature Moulay Hafid Elalamy, le royaume a officiellement déposé jeudi son dossier pour l’organisation de la Coupe du monde 2026.
« Envoi du bid book à la Fifa », a déclaré celui qui est par ailleurs ministre de l’Industrie sur son compte Twitter, sans donner de détail sur le contenu du dossier.
« Dossier de candidature déposé, #Maroc2026 sera une Coupe du monde réussie, respectueuse de l’environnement, avec un héritage fort pour le Maroc et l’Afrique », a assuré le comité de candidature sur son compte Twitter. Il a prévu de détailler son projet pour cette première phase finale à 48 équipes samedi après-midi lors d’une conférence de presse à Casablanca.

Pour sa cinquième campagne après 1994, 1998, 2006 et 2010, le Maroc, qui présente une candidature « au nom du continent africain », est en concurrence avec la candidature conjointe des Etats-Unis, du Canada et du Mexique.
Le pays-hôte désigné le 13 juin

Le trio a pour sa part dévoilé jeudi quelques chiffres, à la veille du dépôt officiel de son dossier : 23 villes présélectionnées, pour 16 villes candidates au final avec des stades d’une capacité moyenne de 68 000 places, « déjà construits et opérationnels ».
Le niveau des infrastructures proposées devrait « aider la Fifa à atteindre des nouveaux records de fréquentation et de recettes », selon John Kristick, le directeur général d’« United Bid » (littéralement « candidature unie »), le nom officiel de cette candidature conjointe. Le trio table sur la vente de 5,8 millions de billets d’entrée, avec un chiffre d’affaires pour la billetterie atteignant 2,1 milliards de dollars.
La Fifa désignera le ou les pays hôtes du Mondial-2026 le 13 juin lors de son congrès à Moscou, en marge de l’édition 2018. Pour la première fois, le choix sera opéré sur vote des 211 représentants des fédérations membres.











Le Maroc


Situation géographiquePays d’Afrique du Nord, ouvert sur la Méditerranée au Nord et sur l’Océan Atlantique à l’Ouest, dont les frontières sont limitées à l’Est par l’Algérie et au Sud par la Mauritanie. La superficie du Maroc est 710 000 km².
Capitale : Rabat (1 880 000 habitants)
Régime politique : Monarchie constitutionnelle
Démographie
Population : 32 521 000 habitants
Densité : 72,83 hab./km²
Indice de fécondité : 2, 7
Croissance démographique : + 1,02 %
Espérance de vie : Femmes : 72,5 ans - Hommes : 68,9 ans
Société
Langues : Arabe (officielle), Berbère (plusieurs dialectes), Français
Religion : musulmans (99 %)
Alphabétisation : 67,08 %
Développement humain : 129ème /187 pays ( PNUD 2014)
Economie
Monnaie : dirham
Croissance : 4,4 % ( 2014)
Inflation : 1,6 %
PIB par habitant : 3392 $ /hab.
Dette publique : 66,4 % du PIB
Chronologie
2 mars 1956 : déclaration franco-marocaine confirmant la reconnaissance de l’indépendance du Maroc et mettant fin au protectorat français.
1961 : Hassan II devient roi du Maroc en mars, succédant à son père Mohammed V, décédé le 16 février.
1962 : la Constitution approuvée par référendum en décembre, instaurant un système parlementaire bicaméral et interdisant tout système de parti unique. Suivront d’autres révisions constitutionnelles, renforçant les pouvoirs du roi.
1975 : « marche verte » de 350 000 Marocains en novembre, à l’appel du roi, en direction du Sahara occidental pour marquer l’appartenance du territoire au royaume.
1976 : proclamation en février par le Front Polisario de la République arabe sahraouie démocratique (RASD).
1991 : entrée en vigueur du cessez-le-feu entre le Maroc et le Front Polisario en septembre et déploiement de la MINURSO (Mission des Nations Unies pour l’Organisation d’un référendum au Sahara occidental) chargée de veiller à son respect.
1999 : décès du roi Hassan II en juillet. Son fils Mohammed VI lui succède.
2007 : élections législatives en septembre avec la victoire des conservateurs du parti Istiqlal.
Abbas El Fassi est nommé Premier ministre.
2009 : élections municipales en juin avec la victoire du Parti Autenthicité et Modernité (PAM), nouvel entrant sur la scène politique marocaine, fondé en 2008.
2010 : démantèlement  en novembre par les forces marocaines du camp de Gdim Izik, près de Lâayoune, chef-lieu du Sahara occidental, faisant plusieurs morts et de nombreux blessés. Discussions informelles entre le Front Polisario et le Maroc sur l'avenir du Sahara occidental qui se concluent sans avancée probante.
2011
Février
: manifestations dans plusieurs villes pour réclamer la démocratisation du pays.
13 mars : une manifestation pour des réformes est violemment réprimée à Casablanca.
28 avril : un attentat dans un café de la place Djemaa el-Fna, à Marrakech, fait 16 morts.
1er juillet : un référendum pour adopter le projet de nouvelle Constitution reçoit 98 % de "oui".
25 novembre : victoire des islamistes du Parti de la justice et du développement (PJD) aux élections législatives. Quelques jours plus tard, le secrétaire général du PJD, Abdelilah Benkirane, est nommé Premier ministre.
2013 : début août, manifestations pour protester contre la grâce royale accordée à un pédophile espagnol, Daniel Galvan Vina. La grâce sera annulée le 4 août.
2014
25 avril : des journalistes et des militants des droits de l’Homme créent à Rabat "Freedom Now" ou "Comité pour la protection de la liberté de la presse et d’expression".
30 avril : le gouvernement décide d'un relèvement du salaire minimum dans la fonction publique à 3.000 dirhams (environ 270 euros), et d'une augmentation progressive de
10 % dans le secteur privé, à partir de juillet, après de longues négociations avec les syndicats. Le lendemain, plus de 10.000 personnes manifestent à Rabat et à Casablanca pour réclamer d'autres avancées sociales.
14 mai : six Marocains, accusés notamment « d'homosexualité », sont condamnés à des peines allant jusqu'à trois ans de prison.
24 juin : manifestation devant le Parlement contre le Premier ministre Abdelilah Benkirane qui a ouvertement regretté l'évolution de la société marocaine, fustigeant "le modèle européen" et louant le "rôle sacré" de la femme au foyer.
11 juillet : au moins 23 personnes meurent dans l'effondrement d'immeubles d'habitation à Casablanca.
8 octobre : inauguration du musée Mohammed VI d'art moderne et contemporain (MMVI), "premier musée d'envergure construit par le Maroc depuis l'indépendance".
11 novembre : la Confédération africaine de football décide de retirer l'organisation de la CAN-2015 (17 janvier-8 février) au Maroc et de disqualifier sa sélection pour l'épreuve. Le royaume avait sollicité en vain un report de cet événement sportif en raison de
l'épidémie d'Ebola. L'événement aura lieu en Guinée Equatoriale.
2015
7 mars : le film "Fièvres", du réalisateur Hicham Ayouch, remporte au Burkina Faso l'Etalon d'or du Fespaco.
27 mars : le roi Mohammed VI inaugure à Rabat un institut de formation d'imams marocains et étrangers visant à promouvoir un islam "tolérant", un pilier de la stratégie du Maroc contre "l'extrémisme religieux", en pleine lutte contre le jihadisme.
12 mai : la démission de trois ministres ouvre la voie à un remaniement gouvernemental.
13 juillet : lancement par le gouvernement de la Fondation Mohammed VI des oulémas d’Afrique, dédiée à la formation des imams africains et à la promotion d’un islam tolérant sur le continent.
29 août : Eric Laurent et Catherine Graciet, deux journalistes français soupçonnés d'avoir fait chanter le roi Mohammed VI, sont mis en examen et placés sous contrôle judiciaire. Ils sont poursuivis pour « chantage » et « extorsion de fonds ». Leur interpellation remonte au 27, alors qu'ils sortaient d'un restaurant parisien avec un représentant du Maroc qui leur aurait remis une importante somme d'argent. Les principaux concernés, eux, parlent d'un coup monté.
4 septembre : le parti islamiste Justice et développement (PJD) remporte les élections régionales avec 25 % des sièges.
21 septembre : la SNCF est condamnée à payer près de 150 millions d'euros de dommages et intérêts à plusieurs centaines de Chibanis. Quelque 800 cheminots marocains ou d'origine marocaine avaient assigné la compagnie de chemins de fer française pour discrimination. Ils affirmaient avoir été lésés dans leurs carrières et leurs retraites.
25 décembre : deux morts et des dizaines de blessés à la frontière hispano-marocaine, dans la petite enclave de Ceuta, où plus de 300 migrants africains ont tenté de rejoindre l'Espagne, à la nage ou en escaladant la clôture frontalière.
2016
4 janvier : 200 migrants sub-sahariens tentent une nouvelle fois le franchissement de la frontière hispano-marocaine. Au moins trois d'entre eux ont trouvé la mort pendant l'opération, selon le bilan provisoire de l'ONG espagnole Caminando Fronteras.
12 janvier : manifestation de près de 2.000 personnes affiliées aux quatre principaux syndicats contre l'adoption de projets de lois sur une réforme des retraites.

Le Maroc, future monarchie pétrolière ?

Le Maroc future monarchie pétro-lière ? C’est ce que laisse croire «Longreach Oil and Gas Ltd» qui opère à Sidi Mokhtar, dans la province d’Essaouira. La compagnie de prospection irlandaise a estimé les réserves en gaz naturel sur ce site entre 9 et 12 milliards de mètres cubes en plus de quelque 21 millions de barils de condensats de pétrole. Sans compter les réserves abondantes de pétrole et de gaz à Foum Draa et à Sidi Moussa prospectées par la même société, ainsi que d’autres sites à travers le pays. Mieux : Les réserves de gaz naturel de Chichaoua (entre Marrakech et Agadir) où la première découverte de gaz naturel remonte au début des années cinquante sont estimées par «Kosmos Energy», la compagnie prospectrice, à environ 292 milliards de mètres cubes, et pourraient même atteindre 776 milliards. Les Chinois, dévoreurs d’énergie, jugent le Maroc comme «un nouvel eldorado des hydrocarbures !». Le gouvernement Benkirane, lui, observe le silence avec une belle énergie…

http://www.arb.ca.gov/cc/oil-gas/images/oil%20pump%20sunset.jpg

Le Maroc, sous protectorat français de 1912 à 1956


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Le Maroc cèdera de son autorité en signant une série de conventions, au profit des colonialistes, qui aboutiront au rétrécissement de l'indépendance du Maroc, considéré comme un lion en papier. La "colonisation" du Maroc est donc très particulière comparativement aux autres pays colonisés, étant d'une part sous protectorat français, et ayant subi, d'autre part, moins longtemps la présence française             
Sous la Troisième République (1870-1940), Jules Ferry, était un partisan actif voire zélé de l'expansion coloniale française: Il déclara lors de son intervention au Sénat le 28 juillet 1885: " Dans la crise que traversent toutes les industries européennes, la fondation d'une colonie, c'est la création d'un débouché pour les excédents de capitaux, ou bien un excédent de produits. Les colonies sont pour les pays riches un placement de capitaux des plus avantageux".
En 1902, la France avait mis en exécution son plan de "colonisation" du Maroc. Depuis 1902, la pénétration économique et militaire européenne s’est intensifiée au point que le sultan Moulay Abd al-Hafid, est contraint de signer en 1912 le traité de protectorat qu’est la Convention de Fès.
Le traité institue, à partir du 30 mars 1912 le régime du protectorat français.  
Le protectorat français du Maroc (en arabe: حماية فرنسا في المغرب) est le régime politique mis en place au Maroc, sur une bonne partie de son territoire, par le traité franco-marocain conclu à Fès le 30 mars 1912 entre la France et le sultan Moulay Hafid. Officiellement, il était nommé Protectorat français dans l'Empire chérifien  ou Protectorat de la République française au Maroc.
Ce protectorat, tout comme celui sur la zone nord du protectorat espagnol au Maroc, perdura jusqu'en 1956.

Ne touche pas pas à mon Roi, Mohammed VI, que Dieu le garde, صاحب الجلالة محمد السادس ملك المغرب





Les Marocains et Marocaines témoignent de leur attachement au Roi Mohammed VI, et à la dynastie alaouite qui règne sur le Maroc depuis 1659,
Le Maroc est en ordre de marche sur le plan économique, social et démocratique sous les règnes de sa majesté le Roi Mohamed VI.
Le Maroc est l'un des rares pays arabe a avoir réalisé beaucoup de progrès en peu de temps dans tous les domaines et surtout dans celui de la liberté d'expression et des droits de l'homme.
C'est pourquoi l'appel à manifester le 20 février 2011 sera rejeté. Le refus à cet appel de manifestation sera une reconnaissance citoyenne au progrès que connait le Maroc depuis que sa Majesté le Roi Mohammed VI règne sur le Trône.
Les choses fondamentales et essentielles dans la vie des marocains sont :
- ALLAH (Dieu),
- AL WATTAN (la patrie qui est le Maroc),
- Et AL MALIK (Le Roi, Mohammed VI que Dieu le garde).