Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
La météorite de Tissint, plus chère que l'or, vient de la planète Mars.
N'ayant séjourné que trois mois dans le désert,
cette météorite est peu altérée par son séjour sur Terre et offre aux chercheurs un matériau de bonne qualité pour mener des analyses géochimiques poussées.
Film documentaire sur le Maroc, pays de tradition et de merveilles.
Visiter le Maroc le pays des merveilles, sa nature, sa culture, ses traditions, ses plages et déserts, ses montagnes et palmeraies; les villes touristiques et la chaleur humaine ...
Halte à l’occupation espagnole de Sebta et Melilla et de leurs îles .
La présence coloniale
espagnole continue aujourd'hui au nord du Maroc à travers pas moins de onze
colonies :
• Sebta (Ceuta) : située près la ville de Tétouan, d'une superficie de 18,5 km² à 20 km² , elle a été occupée par les Portugais en 1415 avant de passer sous la domination espagnole en 1640.
• Mellila : située près de la ville de Nador,
d’une superficie de 20 km², elle a été occupée au début de l’expansion
coloniale espagnole en 1497.
2) - Cinq bases militaires installées sur les îles suivantes :
• Nkor (Le Penon
d’Alhucemas ainsi que deux îles avoisinantes Isla de Mar et Isla de Tierra) :
situées à 300 m
des plages d’Al Hoceima, d’une superficie de 15 ha et sa colonisation
remonte à 1673.
• Badis (Vélez de la
Gomera) : presqu’île située près du village Torres, à Beni Boufrah, Targuist.
Sa superficie est de 1,9
hectare et sa dernière occupation date de 1564.
• Al-Jaafarya
(Chafarinas), trois îles situées à 3,5 km du village marocain Ras El Maa près de
l'embouchure de l'oued Moulouiya. D’une superficie totale de 52.5 hectares et la
première occupation date de 1848 sous le règne d'Isabelle II.
• Leila (Perejil) : île
située à l’est de Tanger, d’une superficie de 1,35 km2, Leila est une nouvelle
colonie espagnole datant de juillet 2002.
• Alboran :
île située à 50 km
des côtes marocaines et à 92
km des côtes espagnoles. D’une superficie de 7,12 ha et son occupation
date de 1540.
LE TERTIB, Impôt Agricole unique Au Maroc, en 1901.
Moulay Abdelaziz est l’un des
plus jeunes fils de Hassan Ier.
Il n’a pas plus de 14 ans quand
l’ambitieux grand vizir Ba Hmad le choisit pour succéder à son père. Etant sous
la tutelle d’un conseil de régence dirigé par Ba Hmad, il n’accède
véritablement au trône qu’à la mort de ce dernier. En 1901, Moulay Abdelaziz
institue alors un impôt unique – le tertib – et des modes de perception plus
réguliers.
Le « Tertib » s’inscrit
dans le cadre d ’une réforme fiscale moderniste. Cette réforme vise à instaurer
un nouvel impôt sur les biens qui remplace l’ancien système basé sur la zakat,
la dîme et les taxes Makhzaniennes. Connu sous le nom de “Tertib”, cette
nouvelle réforme consistait à suivre une politique fiscale basée sur la justice
et l’égalité, ne concédant à personne aucun privilège ni immunité des taxes
locales, dont jouissaient auparavant grand nombre de personnes.
Il signifie « l’organisation », de la racine arabe
« rataba/ رثب » qui veut dire ranger, mettre en
place.
Sujet de controverse, le Tertib fut un impôt très
particulier au Maroc puisqu’il gardait son caractère religieux d’aumône légale.
En théorie exclusivement exigée des seuls musulmans. Ce fut pour cette unique
raison qu’l devint un enjeu majeur notamment en matière fiscale dès
l’instauration du régime du Protectorat en 1912. En effet, les étrangers,
notamment les Européens, étaient soumis au Tertib au même titre que les
Marocains et cela conformément à l’article 12 de la Conférence internationale
de Madrid de 1880 tout en demandant, en échange, au gouvernement Marocain la
reconnaissance du droit de propriété aux Européens
Mais à partir de 1901, tous les privilèges fiscaux. furent abolis sous
Moulay Abdelaziz, l’acquittement du Tertib était dû désormais par tous et son
recouvrement retiré au Caid pour être confié à un corps d’Oumana (comptables du
trésor public).
N.B.: Ce genre de papiers concernant le "Tertib", vous les trouverez encore dans les documents archives de vos parents.
Le recouvrement de l’impôt,
quelques mois après, était effectué en principe par un agent de finances
(Contrôleur du Tertib ou son agent) sous le contrôle de l’Officier des Affaires
Indigènes, et toujours en présence du Caid et de ses Khalifats. Le montant
était directement versé au trésor. Le plus souvent, il n’avait pas d’agent des
finances, le recouvrement se faisait alors par le Caid contrôlé par l’Officier
des Affaires Indigènes.
Si les masses avaient manifesté une attitude favorable au Tertib
azizien, perçu comme un système équitable et juste, ce n’était pas le cas pour
l’élite (caïds, chef des zaouias, etc.) qui avait combattu cette réforme et l’ont
fait échoué.La suppression en 1961 du Tertib, impôt agricole au demeurant satisfait malgrès ses
imperfecfions ne s’expliquait guère. L’abolition d’un impôt ayant un bon rendement comme
le Tertib était grave. Car, comme cet impôt n’avait pas été remplacé par un
impôt suffisamment productif, il en résulte un déséquilibre entre la surimpositions des
milieux urbains et la sous imposition des agriculteurs.
LE FERDH
Il faut bien distinguer, sous le protectorat, le Tertib et
le Ferdh. Les tribus assujetties au Tertib ne l’étaient pas au Ferdh, et vice
versa. En gros, c’étaient les tribus du versant nord de l’Atlas qui payaient le
Tertib. Celles du versant sud payaient le Ferdh. Dans la région du souss comme
de Marrakech dans le commandement du Glaoui notamment , l’impôt était le Ferdh
et non pas le Tertib, et était versé directement au Pacha de Marrakech, Hadj Thami Glaoui. C’était à lui que revenait
de transmettre les renseignements du Ferdh par la voie hiérarchique et non
l’officier des affaires indigènes. Ce qui représentait à l’époque une exception à la règle en vigueur au Maroc
Français , vu la totale confiance accordée par la Résidence au Pacha Glaoui
pour sa loyauté envers la France. Il est important de souligner que le Ferdh
n’avait rien à voir à l’origine avec la Frida qui dérivait de l’organisation
tribale. Cette dernière représentait une sorte de cotisation obligatoire qui
revêtait un caractère exceptionnel, versée par les membres d’une collectivité
(tribu), pour participer à une dépense collective du groupe. Par exemple pour
acheter de la poudre, des armes ou même pour participer à l’achat d’une charge
caidale, scellée par le Chleuhs , seul
impôt direct applicable en tribu, portait sur les cultures et le cheptel.
Jyoti Amge et Chandra Bahadur Dangi, la plus petite femme et le plus petit homme de la planète.
Le Népalais de 72 ans, Chandra Bahadur Dangi, mesure
Ces deux personnes, les plus petits du monde, figurent sur le livre des records depuis six mois.
Histoire de Tetouan.
Tétouan est la ville la plus andalouse du Maroc. Sa médina est d'ailleurs inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.
Longtemps liée au commerce international à travers le port de Martil, l'économie actuelle de Tétouan repose essentiellement sur le petit commerce et le tourisme balnéaire à clientèle surtout marocaine et espagnole.
Autre élément qui donne de l'attrait à la ville de Tétouan, c'est l'art culinaire. La cuisine tétouanaise est réputée par sa qualité et sa variété. Ses plats, issus de la combinaison de nombreuses recettes (fassies, andalouses, rifaines, juives,...), sont réputés à travers tout le Maroc, notamment avec ses salés-sucrés.
Longtemps liée au commerce international à travers le port de Martil, l'économie actuelle de Tétouan repose essentiellement sur le petit commerce et le tourisme balnéaire à clientèle surtout marocaine et espagnole.
Autre élément qui donne de l'attrait à la ville de Tétouan, c'est l'art culinaire. La cuisine tétouanaise est réputée par sa qualité et sa variété. Ses plats, issus de la combinaison de nombreuses recettes (fassies, andalouses, rifaines, juives,...), sont réputés à travers tout le Maroc, notamment avec ses salés-sucrés.
L'Espagne dans la spirale infernale de l'austérité et de la récession.
Autrefois considérée comme modèle de croissance et de développement en Europe, l’Espagne s’enlise aujourd’hui dans une crise et une récession sans précédents. Le pays, qui avait traversé une période de croissance rapide, de modernisation et de rayonnement culturel dans le monde depuis la fin du franquisme, s'enlise dans la crise économique. Entre croissance faible et récession, ces trois dernières années ont transformé le pays et fait naitre de l’exaspération au sein de la société.
Fin avril, l’institut
national de l’emploi annonçait pour le mois de mars un taux de chômage record.
24,1% de la population, dont 52% de jeunes, sont actuellement sans emploi. Les Espagnols ont ainsi perdu 4% de revenus
entre 2007 et 2010. La société espagnole se paupérise et se polarise.
L'Espagne perd
désormais des habitants. Le pays attire moins les étrangers, qui peinent à
occuper un emploi, et de jeunes espagnols viennent tenter leur chance dans d’autres
pays européens et surtout au Maroc, où ils espèrent trouver de meilleurs conditions
de travail.
Les huit merveilles du Maroc.
-
La Médina de Tétouan dont
le style est unique fait de mélange d’influences andalouses et arabes,
-
Meknès, ville impériale et
amicale. L’impressionnante cité du XIe siècle et sa superbe architecture
métissée,
-
Volubilis : remarquable vestige du génie urbanistique de
l’Empire romain et le plus important site antique du Maroc, le mieux conservé
aussi, le plus évocateur...
-
La médina de Fès, aux allures ancestrales mais toujours pleine de
vie.
-
L’ancienne Mazagan, devenue El
Jadida (la nouvelle) en 1815. Avec ses murailles face à l’océan, l’ancienne cité
portugaise est devenue aujourd’hui une station balnéaire de charme. Les
Portugais édifièrent cette cité fortifiée munie de cinq bastions à l’origine.
Seuls quatre subsistent encore aujourd’hui. Vous les découvrirez en empruntant
un chemin de ronde parfaitement conservé. Le bastion de l’Ange offre une belle
vue sur la ville, le port et la mer. Le bastion Saint-Sébastien possède une
rude chapelle de l’Inquisition. Une rampe vous permet de descendre à la Porte
de la Mer. Cette cale donnant sur l’eau avait servi à la fuite des Portugais en
1769. En remontant la rue principale vous accéderez à la citerne portugaise.
Tombée dans l’oubli, elle fût redécouverte par hasard en 1916. Un puits de
lumière éclaire le centre de cette salle souterraine soutenue par cinq rangées
de colonnes. Un beau décor où des films comme Othello d’Orson Welles ou Harem
d'Arthur Joffé ont été tournés. En poursuivant la balade vous tomberez sur
l’église de l’Assomption faisant face à une mosquée au minaret unique. C’est
probablement le seul pentagonal au monde.
- La médina d’Essaouira : d’une Beauté sauvage, Essaouira, c’est un Maroc insoupçonnable. Les remparts, le port, les mouettes qui virevoltent et crient dans le ciel, la plage immense, l’air marin pour parfum…
- La Place Jema El-Fna de Marrakech,
- L’étonnant ksar Aït-Ben-Haddou, dans la région d’Ouarzazate.
Mausolée Mohammed V, Rabat
Lieux interdits au public dans le monde.
- La zone 51 aux Etats-Unis
Cette aire géographique se trouve en Amérique dans l’Etat du Nevada. C’est une zone de recherche en aéronautique qui réalise régulièrement des tests sur des appareils plus ou moins futuristes. Elle est notamment connue pour avoir accueillie le Lockheed U-2, un avion espion utilisé à la Seconde Guerre Mondiale contre le territoire soviétique. Ce lieu est hautement surveillé par des patrouilles de camions, des hélicoptères et des détecteurs de mouvements. Il fait l’objet de nombreuses théories du complot concernant les OVNI : beaucoup pensent que les employés de la zone étudient leurs engins volants ou lient carrément des relations avec les extraterrestres…
- Pine Gap en Australie.
- Pripyat, la ville fantôme
- L’île de North Sentinel
- Le Bohemian Grove
- Les archives du Vatican
- Le White Gentleman Club
- L’Alcatraz des Rocheuses
- L’île de Poveglia
- Métro-2 à Moscou
- Le Mont Weather
- Le bureau 39
La Kasbah des Oudayas de Rabat
La Kasbah des Oudayas fut construire initialement au 12ème siècle pour surplomber l'embouchure du Bou Regreg, le fleuve de Rabat. Elle servait de base aux armées marocaines partant à la conquête de l'Andalousie, dirigées par la dynastie Almohade, notamment les sultans Abdelmoumen et Yacoub El Mansour. La formidable porte principale de la Kasbah date de cette époque. La Kasbah fut probablement édifiée sur un ancien emplacement romain, le Ksar des Benitargas. La Kasbah continuera d'être le centre militaire et civil de Rabat, et notamment lorsqu'elle commence à accueillir les Andalous expulsés d'Espagne (les Moricos) au XVIème et surtout XVIIème siècle. A partir du XVIIIème siècle, c'est essentiellement un repaire de corsaires, qui viennent vendre leurs captifs à deux pas, au souk El Ghazal. La Kasbah, autrefois appelée Ribat Al Fath, le camp de la victoire, prend son nom actuel sous le règne du Sultan Moulay Abderrahmane, en l'honneur de la tribu guich des Oudayas, issue du Sahara. A la mort du sultan, cette tribu fera régner l'insécurité aux abords de Rabat, jusqu'à la deuxième moitié du XIXème siècle. Le réveil de Rabat et sa modernisation sous le protectorat transforment la Kasbah en charmant petit village, aux maisons badigonnées de chaux bleue, donnant sur le fleuve et au loin, sur l'Atlantique. On y trouve également l'une des premières demeures royales bâties par la dynastie alaouite (toujours régnante) Ne manquez pas d'aller boire un thé au Café Maure. A l'ombre des murailles, l'on peut apercevoir la ville voisine de Salé avec le cimetière marin et le marabout de Sidi Ben Acher un peu plus loin. Profitez-en également pour vous balader à travers les jardins, frais en toute saison et repères d'amoureux. Disposés à l'andalouse, ils sont une création, en 1920, de Tranchant de Lunel, architecte favori de Lyautey. Bonne promenade, dans la Kasbah des Oudayas !
-
Nom en français Darija ( dialecte marocain ) Abricot Machmache Absin...
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Le tango est une danse sociale et un genre rioplatense (c'est-à-dire du Río de la Plata, soit Buenos Aires et Rosario en Argenti...
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Dans un village du Maroc, tout près d'une grande et profonde forêt de chênes lièges, vivait Hayna et sa famille. Hayna était belle...