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Les sept merveilles du monde.

Quelles sont les sept merveilles du monde antique ?

Les sept merveilles du monde désignent des oeuvres architecturales et artistiques qui sont entrées dans l'Histoire grâce à leur nature extraordinaire. Malheureusement, il ne reste aujourd'hui plus qu'un seul de ces trésors du monde antique. Retour sur ces monuments devenus célèbres.

1 - La pyramide de Khéops à Memphis


Construite à Memphis (Gizeh aujourd'hui) en Egypte au IIIe millénaire avant notre ère, cette pyramide à base carrée fut pendant longtemps la plus haute et la plus massive jamais construite. La pyramide de Khéops est la plus vieille mais aussi la seule merveille à avoir réussi à traverser les âges aujourd'hui. Et elle continue d'intriguer les archéologues qui s'interrogent notamment sur les méthodes qui ont permis de la construire pour le pharaon Khéops.

2 - Les jardins suspendus de Babylone



La construction des jardins suspendus de Babylone remonterait au VIe siècle avant notre ère et serait l'oeuvre de Nabuchodonosor II, alors roi de l'empire Néo-babylonien, qui aurait fait construire cette merveille pour rappeler à son épouse son pays natal. Bien que de nombreuses fouilles aient été menées à Babylone (dans l'Irak actuel), aucune trace de l'existence de ces jardins n'a pu être trouvée.

3 - La statue chryséléphantine de Zeus à Olympie



Cette statue de Zeus aurait été construite en Grèce au Ve siècle avant notre ère et serait l'oeuvre du sculpteur Phidias. Faite d'or et d'ivoire, elle représentait le dieu assis sur son trône et aurait, selon les écrits, joui d'une grande renommée dans le monde grec. La statue chryséléphantine de Zeus aurait disparu dans un incendie au Ve siècle après avoir été déplacée à Constantinople.

4 - Le temple d'Artémis à Éphèse



Ce temple construit en Ionie (Turquie actuelle) au VIe siècle avant notre ère était décrit comme le plus grand sanctuaire dédié à Artémis, la déesse grecque de la chasse. Outre ses dimensions colossales, les écrits évoquent aussi ses riches décorations qui auraient contribué à sa renommée. Le temple d'Artémis aurait disparu dans un incendie volontaire en - 356 avant d'être reconstruit puis à nouveau détruit au Ve siècle.

5 - Le tombeau de Mausole à Halicarnasse


Remontant au IVe siècle avant notre ère, ce monument fut construit en l'honneur de Mausole, gouverneur de Carie, une région d'Asie mineure faisant alors partie de l'Empire achéménide perse (en Turquie actuelle). L'édifice s'illustrait par ses mensurations mais surtout par sa décoration et les sculptures qui l'ornaient. Le tombeau de Mausole à Halicarnasse tomba en ruines à partir du XIIe siècle et finit par tomber dans l'oubli.

6 - Le colosse de Rhodes


Cette statue en bronze représentant le dieu Hélios aurait été construite sur l'île grecque de Rhodes au IIIe siècle avant notre ère. Le colosse de Rhodes s'illustrait par sa gigantesque taille qui, selon certains écrits, dépassait les trente mètres. Malheureusement, elle aurait été victime d'un tremblement de terre, à peine un siècle plus tard, qui l'aurait fait tomber en morceaux. Si des textes suggèrent que la statue brisée serait restée sur place plusieurs siècles, il n'en reste aujourd'hui plus aucune trace.

7 - Le phare d'Alexandrie


La construction du phare d'Alexandrie en Egypte remonterait au IIIe siècle avant notre ère et aurait duré une quinzaine d'années. L'édifice aux mensurations imposantes visait à guider les marins au niveau des côtes d'Alexandrie. Bien qu'endommagé au fil des siècles, il aurait perduré jusqu'au XIVe siècle avant d'être entièrement détruit.
 
Quelles sont les sept nouvelles merveilles ?

Ces 7 nouvelles Merveilles du Monde ont été désignées en 2007 par la New Seven Wonders Foundation, indépendamment de l’UNESCO. Bernard Weber, homme d’affaires Suisse, a dupliqué l’idée originale des Grecs et des Romains, quelques siècles av. J.-C., qui avaient élu les plus beaux sites de l’Antiquité (et dont ne subsiste de nos jours que la pyramide de Khéops). La Fondation a sélectionné 20 sites de toutes époques et toutes civilisations. Des millions de votes ont révélé les 7 Nouvelles Merveilles du Monde moderne : Pétra en Jordanie, la grande Muraille en Chine, le Christ Rédempteur au Brésil, le Colisée en italie, Chichén Itzá au Mexique, le Taj Mahal en Inde et le Machu Picchu au Pérou.
  1. Pétra en Jordanie


La cité de Pétra, à moitié construite, à moitié sculptée dans la roche, est entourée de montagnes de grès. L’architecture exceptionnelle des tombeaux, temples et autres tunnels, construits par l’homme dans l’antiquité est incroyable. Le plus connu est le tombeau de Khazneh. Autrefois carrefour commercial, de multiples civilisations s’y sont installées, telles que les nomades Edomites, les Nabatéens et les Macédoniens.

    2. La Grande Muraille de Chine



Barrière défensive construite du IIIe siècle av. J.-C. jusqu’au XVIIe siècle apr. J.-C., cette forteresse de 20 000 km avait pour objectif de protéger ses habitants. Elle est l’un des seuls ouvrages construits par l’homme visible depuis l’espace. Un incontournable pour un voyage en Chine.

    3. Le Christ rédempteur à Rio au Brésil



Situé sur les hauteurs de Rio, le « Corcovado » protège la ville et le pays des fléaux et autres malheurs inimaginables. Figure religieuse emblématique, elle a la tête dans les nuages avec ses 704 mètres d’altitude. Après 9 ans de construction (1922-1931), elle est devenue un haut lieu touristique.

    4Le Colisée à Rome en Italie



Amphithéâtre qui abrita des combats de gladiateurs, des spectacles, des exécutions publiques, des chasses d’animaux sauvages, des reconstitutions de célèbres batailles, le Colisée est l’emblème de la culture romaine antique. Construit en l’an 72, il est en partie endommagé : ses pierres ont servi à construire la basilique Saint-Pierre, entre autres.

     5. Chichén Itzá dans le Yucatan au Mexique



Ville sacrée pour les Mayas, ce superbe site est le témoignage de plusieurs civilisations. Le « Caracol », observatoire astronomique en forme d’escargot, ou encore le « Castillo », grande pyramide sont les chefs-d’œuvre maya et toltèque. Après 1440, la ville déclina et ce n’est qu’en 1841 que ces vestiges ont commencé à être explorés.

      6. Le Taj Mahal en Inde



Mausolée impressionnant construit entre 1632 et 1648 par l’empereur Shah Jahan pour sa défunte épouse, il est l’une des merveilles de l’art indo-islamique. Son architecture de marbre blanc joue avec les ombres et les lumières, les pleins et les vides, la symétrie... Les jardins qui l’entourent ont été créés dans un style timouride et persan.

       7. Le Machu Picchu au Pérou



Construit sur une crête escarpée, le Machu Picchu culmine à 2 430 mètres d’altitude. Ce sanctuaire historique s’harmonise parfaitement avec son environnement. Abandonné par l’Empire Inca au XVIe siècle à cause de l’invasion espagnole, ce n’est qu’en 1911 que cet incroyable site fut révélé au monde.

Chants traditionnels marocains

Musiques du monde, Maroc. Idéal pour la relaxation. Offrez-vous un instant de calme et de sérénité.




Chants traditionels de la région du Rif



Ahidouss, danse berbère marocaine : 
L’ahidous (Aḥidus) est une danse traditionnelle pratiquée par les tribus berbères du Moyen Atlas et du haut-Atlas au tamazgha, dans laquelle hommes et femmes, coude à coude, forment des rondes souples et ondulantes, accompagnées de chants (en berbère izli, izlan) rythmés par le bendir.
L'ahidous est connu pour être le divertissement préféré des Amazighs du Maroc central et leur moyen d'expression le plus complet et le plus vivant. On le danse à l'occasion des moindres fêtes et même, l'été, après la moisson, presque tous les soirs dans les villages.
Les danseurs se mettent en cercle, en demi-cercle, ou sur deux rangs se faisant face, hommes seuls, femmes seules, ou, hommes et femmes alternés, étroitement serrés, épaule contre épaule, ils forment bloc. La danse est rythmée au tambourin et par des battements de mains. Les mouvements sont collectifs ; c'est un piétinement, un tremblement qui se propage, entrecoupé d'ondulations larges, coups de vent sur les blés. Par leur aisance et leur ensemble, ils témoignent d'un sens du rythme remarquable. Toutefois, tous faisant presque toujours le même geste en même temps, c'est surtout un ensemble de juxtaposition que l'ahidous présente. En ce sens, il est très caractéristique de la mentalité des Amazighs. L'ahwach dansé par les Chleuhs de l'Atlas occidental est déjà fort différent.



Tkitkat de Marrakech :









Le Christ Rédempteur se trouve sur le mont Corcovado de Rio « bossu » ou roi des pics et domine la baie de Rio depuis 1931.


            Ecoutez un peu de musique brésilienne mp3 du groupe BATIDA

Ses dimensions font de cette statue géante l'une des plus grandes du genre : elle mesure 38 mètres de haut pour une envergure de 28 mètres et pèse 1.145 tonnes. Chacune de ses mains mesure 3,20 m ! Sa structure est en métal et en béton et son revêtement en stéatite. 
               
 
À 704 mètres d'altitude, la tête dans les nuages, la statue du Christ Rédempteur étend ses bras en croix en un geste de bienvenue ou de bénédiction pour tous les visiteurs de passage à Rio de Janeiro.     
                                                                                                                                
 
Depuis son inauguration en 1931, le Cristo Redentor (Christ rédempteur), dessiné par le sculpteur français Paul Landowski, s'est imposé, au même titre que le Pain de Sucre, taillé, lui, par la nature, comme un puissant symbole de la Cidade Maravilhosa (Cité merveilleuse).
 
 
Symbole absolu de Rio de Janeiro et même du Brésil, l'indémodable Corcovado constitue, aussi, depuis longtemps, la principale attraction touristique de la Cité merveilleuse. Chaque année, 600 000 visiteurs empruntent le petit train électrique rouge qui se tortille à travers la plus grande forêt urbaine du monde – le parc national de Tijuca – pour atteindre le mythique sommet, également accessible en voiture ou à pied grâce à des sentiers de grandes randonnées.                                                                                                                                  
Au départ du vieux quartier de Cosme Velho, le convoi de deux wagons s'élance chaque demi-heure à l'assaut du « roi des pics » cariocas. L'ascension dure environ vingt minutes.

 
À l'arrivée, sur la plate-forme parsemée de boutiques de souvenirs qui sert de socle au Christ géant, la vue panoramique est époustouflante. Sur 360 degrés, on voit tout :

la baie de Guanabara et le pont qui l'enjambe,

 
le stade Maracanã,
 
 
le Centro (quartier d'affaires où les touristes ne vont jamais),
 
 
le Pain de Sucre,
 

la plage de Copacabana,
 
 
la plage d'Ipanema, 
 
 
 
la Lagune Rodrigo de Freitas,
 
 
le jardin botanique,
 
 
 
d'innombrables favelas
 


et la forêt tropicale de Tijuca.
 

L’arbre ayant le tronc le plus large du Monde.

L’arbre de Tule au Méxique dans l’état d’Oaxaca est l’arbre le plus large du Monde. Ce cyprès de Montézumat mesure 36 mètres de circonfèrence et presque 12 mètres de diamètre. Il serait âgé de 1200 à 3000 ans. Une légende locale prétend qu’il aurait été planté voilà 1400 ans par un prête aztèque.




Un saut record à la frontière de l'espace par Felix Baumgartner



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Après avoir atteint une altitude de 39.045 mètres (128.100 pieds) dans un ballon gonflé à l'hélium, Felix Baumgartner a réalisé le 14 octobre 2012 un saut record à la frontière de l'espace, exactement 65 ans après que Chuck Yeager est atteint le mur du son à l'aide d'un avion-fusée expérimentale. Au cours de sa longue chute libre de 4:20 minutes, Felix a atteint une vitesse de 1,342.8 km / h (833 mph) près de la stratosphère avant d'être ralenti plus tard par l'atmosphère de la terre. L'expert de 43 ans de parachutisme autrichien a donc battu deux records du monde : la chute libre la plus élevée et le plus haut vol en montgolfière habitée. Il laisse le record de la plus longue chute libre à son mentor le colonel Joe Kittinger.



Un saut record à la frontière de l'espace.








Un saut de l'espace par Felix Baumgartner

 Après avoir atteint une altitude de 39.045 mètres (128.100 pieds) dans un ballon gonflé à l'hélium, Felix Baumgartner a réalisé le 14 octobre 2012 un saut record à la frontière de l'espace, exactement 65 ans après que Chuck Yeager est atteint le mur du son à l'aide d'un avion-fusée expérimentale. Au cours de sa longue chute libre de 4:20 minutes, Felix a atteint une vitesse de 1,342.8 km / h (833 mph) près de la stratosphère avant d'être ralenti plus tard par l'atmosphère de la terre. L'expert de 43 ans de parachutisme autrichien a donc battu deux records du monde : la chute libre la plus élevée et le plus haut vol en montgolfière habitée. Il laisse le record de la plus longue chute libre à son mentor le colonel Joe Kittinger.


Un saut record à la frontière de l'espace.

La Nasa a découvert d'importantes quantités d'eau gelée près du pôle sud de la Lune.

 
Une partie de l'eau découverte sur la Lune pourrait provenir du Soleil, plus précisément des vents solaires qui auraient semé des atomes d'hydrogène à sa surface. Ces particules, en grande majorité des ions d'hydrogène mais aussi de l'hélium et des traces d'oxygène, ne peuvent atteindre la surface de la Terre, protégée par son épaisse atmosphère et son champ magnétique.

Découverte d’une planète de diamant deux fois plus grosse que la Terre ?


 
Découverte récemment par une équipe franco-américaine de chercheurs en astrophysique, cette planète rocheuse, baptisée 55 Cancri-e, deux fois plus grande que la Terre, pourrait abriter une quantité phénoménale de diamant égale à trois fois la masse de la Terre ! Elle se situe à  378440 milliards de kilomètres de la terre, dans la constellation du Cancer. 
 

Il s’agit d’une planète très chaude formée en grande partie de diamant, de deux fois la taille de la Terre et en orbite autour d'une étoile visible à l'oeil nu depuis la terre. La surface de cette planète est probablement recouverte de graphite et de diamant plutôt que d'eau et de granite.  Il s’agit d'une grande planète rocheuse extrasolaire, avec une composition chimique radicalement différente de celle de la Terre.

 
 Alors que la terre tourne autour du soleil pendant 365 j, cette planète a seulement besoin de 18 jours pour accomplir sa révolution autour de son étoile. Vous vous imaginez fêter les anniversaires de tous vos proches, ainsi que le vôtre, chaque jour... La température y est incroyablement élevée, pouvant atteindre 1.648 degrés Celsius à la surface et la rendre très inhospitalière à toute forme de vie.

La météorite de Tissint, plus chère que l'or, vient de la planète Mars.


 N'ayant séjourné que trois mois dans le désert,


cette météorite est peu altérée par son séjour sur Terre et offre aux chercheurs un matériau de bonne qualité pour mener des analyses géochimiques poussées.



La météorite de Tissint ressemble à une autre météorite martienne bien connue, découverte en Antarctique en 1980, appelée EETA 79001, mais qui a passé plusieurs milliers d'années dans la glace avant d'être collectée.

Film documentaire sur le Maroc, pays de tradition et de merveilles.

 
 
Visiter le Maroc le pays des merveilles, sa nature, sa culture, ses traditions, ses plages et déserts, ses montagnes et palmeraies; les villes touristiques et la chaleur humaine ...

Halte à l’occupation espagnole de Sebta et Melilla et de leurs îles .

La présence coloniale espagnole continue aujourd'hui au nord du Maroc à travers pas moins de onze colonies :
 
1) - Deux grandes villes :

• Sebta (Ceuta) : située près la ville de Tétouan, d'une superficie de 18,5 km² à 20 km² , elle a été occupée par les Portugais en 1415 avant de passer sous la domination espagnole en 1640.

 
Mellila: située près de la ville de Nador, d’une superficie de 20 km², elle a été occupée au début de l’expansion coloniale espagnole en 1497.


2) - Cinq bases militaires installées sur les îles suivantes :
• Nkor (Le Penon d’Alhucemas ainsi que deux îles avoisinantes Isla de Mar et Isla de Tierra) : situées à 300 m des plages d’Al Hoceima, d’une superficie de 15 ha et sa colonisation remonte à 1673.
 
• Badis (Vélez de la Gomera) : presqu’île située près du village Torres, à Beni Boufrah, Targuist. Sa superficie est de 1,9 hectare et sa dernière occupation date de 1564.
 
 
• Al-Jaafarya (Chafarinas), trois îles situées à 3,5 km du village marocain Ras El Maa près de l'embouchure de l'oued Moulouiya. D’une superficie totale de 52.5 hectares et la première occupation date de 1848 sous le règne d'Isabelle II.
 
• Leila (Perejil) : île située à l’est de Tanger, d’une superficie de 1,35 km2, Leila est une nouvelle colonie espagnole datant de juillet 2002.
 






• Alboran : île située à 50 km des côtes marocaines et à 92 km des côtes espagnoles. D’une superficie de 7,12 ha et son occupation date de 1540.
 

LE TERTIB, Impôt Agricole unique Au Maroc, en 1901.


Moulay Abdelaziz est l’un des plus jeunes fils de Hassan Ier.
 
 
Il n’a pas plus de 14 ans quand l’ambitieux grand vizir Ba Hmad le choisit pour succéder à son père. Etant sous la tutelle d’un conseil de régence dirigé par Ba Hmad, il n’accède véritablement au trône qu’à la mort de ce dernier. En 1901, Moulay Abdelaziz institue alors un impôt unique – le tertib – et des modes de perception plus réguliers.
 

Le « Tertib » s’inscrit dans le cadre d ’une réforme fiscale moderniste. Cette réforme vise à instaurer un nouvel impôt sur les biens qui remplace l’ancien système basé sur la zakat, la dîme et les taxes Makhzaniennes. Connu sous le nom de “Tertib”, cette nouvelle réforme consistait à suivre une politique fiscale basée sur la justice et l’égalité, ne concédant à personne aucun privilège ni immunité des taxes locales, dont jouissaient auparavant grand nombre de personnes.
Il signifie « l’organisation », de la racine arabe « rataba/ رثب » qui veut dire ranger, mettre en place.
Sujet de controverse, le Tertib fut un impôt très particulier au Maroc puisqu’il gardait son caractère religieux d’aumône légale. En théorie exclusivement exigée des seuls musulmans. Ce fut pour cette unique raison qu’l devint un enjeu majeur notamment en matière fiscale dès l’instauration du régime du Protectorat en 1912. En effet, les étrangers, notamment les Européens, étaient soumis au Tertib au même titre que les Marocains et cela conformément à l’article 12 de la Conférence internationale de Madrid de 1880 tout en demandant, en échange, au gouvernement Marocain la reconnaissance du droit de propriété aux Européens
Mais à partir de 1901, tous les privilèges fiscaux. furent abolis sous Moulay Abdelaziz, l’acquittement du Tertib était dû désormais par tous et son recouvrement retiré au Caid pour être confié à un corps d’Oumana (comptables du trésor public).

 
Lors des différentes opérations du recensement, chaque chef de famille faisait une déclaration de ses biens agricoles devant une commission composée du Caid, de ses Khalifats et de l’Officier des Affaires Indigènes, chargé du contrôle de la tribu.

 
N.B.: Ce genre de papiers concernant le "Tertib", vous les trouverez encore dans les documents archives de vos parents.
 
Le recouvrement de l’impôt,  quelques mois après, était effectué en principe par un agent de finances (Contrôleur du Tertib ou son agent) sous le contrôle de l’Officier des Affaires Indigènes, et toujours en présence du Caid et de ses Khalifats. Le montant était directement versé au trésor. Le plus souvent, il n’avait pas d’agent des finances, le recouvrement se faisait alors par le Caid contrôlé par l’Officier des Affaires Indigènes.
Si les masses avaient manifesté une attitude favorable au Tertib azizien, perçu comme un système équitable et juste, ce n’était pas le cas pour l’élite (caïds, chef des zaouias, etc.) qui avait combattu cette réforme et l’ont fait échoué.
La suppression en 1961 du Tertib, impôt agricole au demeurant satisfait malgrès ses
imperfecfions ne s’expliquait guère. L’abolition d’un impôt ayant un bon rendement comme
le Tertib était grave. Car, comme cet impôt n’avait pas été remplacé par un
impôt suffisamment productif, il en résulte un déséquilibre entre la surimpositions des
milieux urbains et la sous imposition des agriculteurs.

LE FERDH


Il faut bien distinguer, sous le protectorat, le Tertib et le Ferdh. Les tribus assujetties au Tertib ne l’étaient pas au Ferdh, et vice versa. En gros, c’étaient les tribus du versant nord de l’Atlas qui payaient le Tertib. Celles du versant sud payaient le Ferdh. Dans la région du souss comme de Marrakech dans le commandement du Glaoui notamment , l’impôt était le Ferdh et non pas le Tertib, et était versé directement au Pacha de Marrakech,  Hadj Thami Glaoui. C’était à lui que revenait de transmettre les renseignements du Ferdh par la voie hiérarchique et non l’officier des affaires indigènes. Ce qui représentait à l’époque  une exception à la règle en vigueur au Maroc Français , vu la totale confiance accordée par la Résidence au Pacha Glaoui pour sa loyauté envers la France. Il est important de souligner que le Ferdh n’avait rien à voir à l’origine avec la Frida qui dérivait de l’organisation tribale. Cette dernière représentait une sorte de cotisation obligatoire qui revêtait un caractère exceptionnel, versée par les membres d’une collectivité (tribu), pour participer à une dépense collective du groupe. Par exemple pour acheter de la poudre, des armes ou même pour participer à l’achat d’une charge caidale,  scellée par le Chleuhs , seul impôt direct applicable en tribu, portait sur les cultures et le cheptel.

Jyoti Amge et Chandra Bahadur Dangi, la plus petite femme et le plus petit homme de la planète.

 
La jeune femme indienne, Jyoti Amge, qui a fêté son 18e anniversaire le 12 août 2011,   mesure 62,8 centimètres de haut et pèse 5 kilogrammes. Son corps a la taille d'un bébé de 4 mois. Elle poursuit des études à l’Université de sa ville Nàgpur, située dans l’Etat indien du Maharashtra.                                                                                                                               


Le Népalais de 72 ans, Chandra Bahadur Dangi, mesure 54,6 centimètres de haut et pèse 14,5 kilogrammes. Orphelin dès l’âge de 12 ans, il a passé toute sa vie dans le village népalais de Rhimkholi, au pied de la plus haute montagne du monde, l’Everest. Il habite avec ses cinq frères, tous de taille normale et travaille comme tisseur de bandeaux de jute.                                    
Ces deux personnes, les plus petits du monde, figurent sur le livre des records depuis six mois.

Histoire de Tetouan.

Tétouan est la ville la plus andalouse du Maroc. Sa médina est d'ailleurs inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO. 
Longtemps liée au commerce international à travers le port de Martil, l'économie actuelle de Tétouan repose essentiellement sur le petit commerce et le tourisme balnéaire à clientèle surtout marocaine et espagnole. 
Autre élément qui donne de l'attrait à la ville de Tétouan, c'est l'art culinaire. La cuisine tétouanaise est réputée par sa qualité et sa variété. Ses plats, issus de la combinaison de nombreuses recettes (fassies, andalouses, rifaines, juives,...), sont réputés à travers tout le Maroc, notamment avec ses salés-sucrés.