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La maladie à virus Ebola.

Principaux points
La maladie à virus Ebola (autrefois appelée aussi fièvre hémorragique à virus Ebola) est une maladie grave, souvent mortelle chez l’homme.
Le virus se transmet à l’homme à partir des animaux sauvages et se propage ensuite dans les populations par transmission interhumaine.
Le taux de létalité moyen est d’environ 50%. Au cours des flambées précédentes, les taux sont allés de 25% à 90%.
Les premières flambées de maladie à virus Ebola sont survenues dans des villages isolés d’Afrique centrale, à proximité de forêts tropicales, mais la récente flambée en Afrique de l’Ouest a touché de grands centres urbains aussi bien que des zones rurales.
La participation de la communauté est essentielle pour juguler les flambées. Pour être efficace, la lutte doit se fonder sur un ensemble d’interventions : prise en charge des cas, surveillance et recherche des contacts, services de laboratoire de qualité, inhumations sans risque et mobilisation sociale.
Les soins de soutien précoces axés sur la réhydratation et le traitement symptomatique améliorent les taux de survie. Aucun traitement homologué n’a pour l’instant démontré sa capacité à neutraliser le virus, mais plusieurs traitements (dérivés du sang, immunologiques ou médicamenteux) sont à l’étude.
Il n’existe actuellement aucun vaccin homologué contre la maladie à virus Ebola, mais deux candidats sont en cours d’évaluation.

Informations générales
Le virus Ebola provoque une maladie aiguë et grave, souvent mortelle si elle n’est pas traitée. La maladie à virus Ebola est apparue pour la première fois en 1976, lors de deux flambées simultanées à Nzara (Soudan) et à Yambuku (République démocratique du Congo). Yambuku étant situé près de la rivière Ebola, celle-ci a donné son nom à la maladie.
La flambée qui sévit actuellement en Afrique de l’Ouest (dont les premiers cas ont été notifiés en mars 2014) est la plus importante et la plus complexe depuis la découverte du virus en 1976. Elle a produit plus de cas et de décès que toutes les précédentes flambées réunies. Cette flambée a également comme particularité de s’être propagée d’un pays à l’autre, partant de la Guinée pour toucher la Sierra Leone et le Libéria (en traversant les frontières terrestres), le Nigéria (par l’intermédiaire d’un seul voyageur aérien) et le Sénégal (par l’intermédiaire d’un voyageur arrivé par voie terrestre).
Les pays les plus touchés (la Guinée, la Sierra Leone et le Libéria) ont des systèmes de santé très fragiles, manquent de ressources humaines et d’infrastructures et sortent à peine de longues périodes de conflits et d’instabilité . 
Une flambée distincte, sans lien avec celle en Afrique de l’Ouest, s’est déclarée dans le district de Boende, une région isolée de la province de l’Équateur, en République démocratique du Congo.
La famille de virus Filoviridae compte trois genres : Cuevavirus, Marburgvirus et Ebolavirus. Cinq espèces ont été identifiées : Zaïre, Bundibugyo, Soudan, Reston et Forêt de Taï. Les trois premières ont été associées à d’importantes flambées Afrique. Le virus à l’origine de la flambée 2014 en Afrique de l’Ouest appartient à l’espèce Zaïre.

Transmission







On pense que les chauves-souris frugivores de la famille des Pteropodidae sont les hôtes naturels du virus Ebola. Celui-ci s’introduit dans la population humaine après un contact étroit avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques d’animaux infectés comme des chimpanzés, des gorilles, des chauves-souris frugivores, des singes, des antilopes des bois ou des porcs-épics retrouvés malades ou morts dans la forêt tropicale.
Il se propage ensuite par transmission interhumaine, à la suite de contacts directs (peau lésée ou muqueuses) avec du sang, des sécrétions, des organes ou des liquides biologiques de personnes infectées, ou avec des surfaces et des matériaux (par exemple, linge de lit, vêtements) qui ont été contaminés par ce type de liquides.


Des agents de santé se sont souvent infectés en traitant des cas suspects ou confirmés de maladie à virus Ebola. Cela s’est produit lors de contacts étroits avec les patients, lorsque les précautions anti-infectieuses n’ont pas été strictement appliquées.
Les rites funéraires au cours desquels les parents et amis du défunt sont en contact direct avec la dépouille peuvent également jouer un rôle dans la transmission du virus Ebola.
Les sujets atteints restent contagieux tant que le virus est présent dans leur sang et leurs liquides biologiques, y compris le sperme et le lait maternel. Le sperme peut continuer de transmettre le virus jusqu’à sept semaines après la guérison clinique.

Symptômes


La durée d’incubation, c’est-à-dire le temps écoulé entre l’infection par le virus et l’apparition des premiers symptômes, varie de 2 à 21 jours. Tant qu’ils ne présentent pas de symptômes, les sujets humains ne sont pas contagieux.



Les premiers symptômes sont une fatigue fébrile à début brutal, des douleurs musculaires, des céphalées et un mal de gorge.












Ils sont suivis de vomissements, de diarrhée, d’une éruption cutanée, de symptômes d’insuffisance rénale et hépatique et, dans certains cas, d’hémorragies internes et externes (par exemple, saignement des gencives, sang dans les selles). 



Les analyses de laboratoire révèlent une baisse de la numération leucocytaire et plaquettaire, ainsi qu’une élévation des enzymes hépatiques.

Diagnostic
La maladie à virus Ebola peut être difficile à distinguer d’autres maladies infectieuses comme le paludisme, la fièvre typhoïde et la méningite. Les investigations suivantes servent à confirmer que l’infection par le virus Ebola est bien la cause des symptômes :
titrage immunoenzymatique (ELISA)
tests de détection par capture de l’antigène
test de séroneutralisation
transcription inverse suivie d’une réaction en chaîne par polymérase (RT-PCR)
microscopie électronique
isolement du virus sur culture cellulaire.
Les échantillons provenant des patients présentent un risque biologique extrême. Par conséquent, les analyses de laboratoire effectuées sur les échantillons non inactivés devraient respecter les conditions de confinement les plus rigoureuses possible.

Traitement et vaccins
La réhydratation de soutien par voie orale ou intraveineuse et le traitement des symptômes spécifiques améliorent les taux de survie. Aucun traitement disponible n’a pour l’instant fait ses preuves contre la maladie à virus Ebola. Néanmoins, toute une gamme de traitements potentiels, y compris des produits sanguins, des thérapies immunitaires et des traitements médicamenteux sont en cours d’évaluation. Aucun vaccin homologué n’est encore disponible, mais on évalue actuellement l’innocuité de deux vaccins potentiels chez l’homme.

Prévention et lutte
Pour combattre efficacement la flambée, il faut mettre en œuvre un ensemble d’interventions : prise en charge des cas, surveillance et recherche des contacts, services de laboratoire de qualité, inhumations sans risque et mobilisation sociale. La participation de la communauté est essentielle pour juguler les flambées. La sensibilisation aux facteurs de risque de l’infection par le virus Ebola et aux mesures de protection possibles est un moyen efficace pour réduire la transmission chez l’homme. Les messages sur la réduction des risques devront porter sur les facteurs suivants :
Réduction du risque de transmission entre les animaux sauvages et l’homme par contact avec des chauves-souris frugivores ou des singes/primates infectés et par la consommation de leur viande crue. Il faut manipuler les animaux avec des gants et porter d’autres vêtements de protection adaptés. Les produits issus de ces animaux (sang et viande) doivent être cuits soigneusement avant d’être consommés.
Réduction du risque de transmission interhumaine provenant de contacts directs ou rapprochés avec des sujets présentant des symptômes d’Ebola, en particulier avec leurs liquides biologiques. Il faut porter des gants et un équipement de protection individuelle adapté lorsque l’on s’occupe des malades à domicile. Il faut également se laver systématiquement les mains après avoir rendu visite à des patients à l’hôpital ou après s’être occupé de malades à domicile.


Mesures d’endiguement de la flambée y compris l’inhumation rapide et sans risque des défunts, l’identification des sujets susceptibles d’avoir été en contact avec une personne infectée par le virus Ebola, le suivi de l’état de santé des contacts pendant 21 jours, la séparation sujets sains/malades en vue de prévenir la propagation, une bonne hygiène et le maintien d’un environnement propre.

Lutte contre l’infection dans les établissements de soins
Les agents de santé doivent toujours appliquer les précautions standards lorsqu’ils s’occupent des patients, quel que soit le diagnostic présumé. Ces précautions portent sur les règles de base en matière d’hygiène des mains, l’hygiène respiratoire, le port d’un équipement de protection individuelle (pour se protéger des éclaboussures ou d’autres contacts avec des matières infectées) et la sécurité des injections et des rites funéraires.
Les agents de santé qui s’occupent de cas suspects ou confirmés d’infection à virus Ebola doivent, en plus des précautions d’usage, prendre d’autres mesures de lutte anti-infectieuse pour éviter tout contact avec le sang ou les liquides biologiques du patient ou avec des surfaces et des matériaux contaminés comme les vêtements et le linge de lit. Lors des contacts proches avec les malades (c’est-à-dire à moins d’un mètre), ils doivent porter une protection du visage (écran facial, ou masque chirurgical et lunettes de protection), une blouse propre, non stérile à manches longues, et des gants (stériles pour certains actes médicaux).
Les employés des laboratoires sont également exposés au risque. Les échantillons qui ont été prélevés sur des sujets humains ou des animaux afin de rechercher infection au virus Ebola doivent être manipulés par du personnel formé et traités dans des laboratoires suffisamment équipés.

Rabat 1951 du jamais vue

 


c'est magique de voir tout le chemin que Cette ville à fait en un siècle . un petit coud de rétroviseur est toujours bon à prendre pour bien s'orienter . Certaines photos vous rappelleront les années 1950 , comme le pont pour piéton qu'on ouvrait en cas de besoin . .

ATTENTAT AU PARLEMENT CANADIEN

Après avoir abattu le soldat Nathan Cirillo, un garde de service au Monument commémoratif de guerre du Canada, le Canadien Michael Zehaf-Bibeau vole un véhicule et fait irruption dans le parlement où il tire plusieurs coups de feu. Il sera par la suite neutralisé par le sergent d’armes Kevin Vickers.

Sergeant-at-Arms Kevin Vickers is applauded in the House of Commons in Ottawa October 23, 2014. Vickers was credited with shooting the suspect during a shooting incident October 22, in which a gunman killed a soldier and ran through Parliament shooting before being shot dead himself.

Les innovations alimentaires : ce que vous mangerez demain

Ce que vous aurez bientôt dans votre assiette.



Reconstitution pour la première fois de l'histoire génétique du rétrovirus VIH (virus de l'immunodéficience humaine) responsable du sida


Le Sida est la plus grande catastrophe sanitaire de l'histoire de l'humanité.

C'est une première. Des chercheurs en reconstitué le cheminement du virus responsable du Sida, découvert en 1981 et responsable de 36 millions de morts. Selon leurs conclusions, la pandémie  a débuté à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, dans les années 20, avant de se propager dans le monde en pleine mutation.
Les virologues savaient déjà que ce rétrovirus a été transmis des singes à l'homme au moins à treize reprises, mais qu'une seule de ces transmissions est responsable de la pandémie humaine.



C'est seulement cette transmission spécifique qui a abouti à l'émergence du VIH-1, à l'origine de la pandémie qui a entraîné près de 75 millions d'infections à ce jour, la plus grande partie en Afrique subsaharienne.
Le développement des chemins de fer, en particulier au Congo belge, a joué un rôle clé dans le développement de la pandémie à ses débuts en faisant de Kinshasa une des villes les mieux desservies de toute l'Afrique centrale, une plaque-tournante. «Les informations des archives coloniales indiquent qu'à la fin des années 40 plus d'un million de personnes transitaient par Kinshasa par le train chaque année».



Le virus VIH s'est propagé très rapidement à travers le Congo, d'une superficie équivalente à l'Europe de l'Ouest, se déplaçant avec des personnes par les chemins de fer et les voies d'eau.
Ainsi, le VIH a pu atteindre Mbuji-Mayi et Lubumbashi dans l'extrême Sud et Kisangani dans le Nord entre la fin des années 30 et le début des années 50.



Ces migrations ont permis au virus d'établir les premiers foyers secondaires d'infection dans des régions qui disposaient de bons réseaux de communication avec des pays du sud et de l'est de l'Afrique. Les changements dans la société qui se sont produits au moment de l'indépendance du Congo en 1960 ont aussi probablement fait que le virus a pu s'échapper de petits groupes de personnes séropositives pour infecter des populations plus étendues, avant de se propager dans le monde, à la fin des années 70. Le VIH a été identifié pour la première fois en 1981.
Outre le développement du transport, certains changements dans les attitudes sociales, notamment parmi les travailleurs du sexe, ainsi qu'un plus grand accès aux seringues que se partageaient les toxicomanes, dont certains étaient infectés, ont fait flamber l'épidémie.




AVEC



Les fausses croyances qui entourent encore aujourd’hui le stérilet.

Le stérilet est réservé aux femmes ayant déjà eu des enfants.
54% des femmes pensent que le stérilet ne peut pas être utilisé par les nullipares. Une croyance erronée longtemps partagée par une majorité de gynécologues et médecins généralistes français. « Les choses ont évolué depuis la crise autour de la pilule, souligne Nathalie Bajos, sociologue à l’Ined. Mais le taux d’utilisation reste faible chez les jeunes et les femmes sans enfants. En Angleterre, le stérilet est proposé à toutes les femmes depuis très longtemps. » A noter qu’il existe des stérilets de petites tailles totalement adaptés aux femmes n’ayant jamais eu d’enfants (leur utérus étant plus petits).


Le stérilet rend stérile
22% des femmes pensent que le stérilet nuit à la fertilité. « C’est totalement faux. L’action du stérilet est locale, il ne bloque pas l’ovulation. C’est un moyen contraceptif à longue durée d’action (entre 3 et 10 ans) qui est totalement réversible. Après l’avoir enlevé, la femme retrouvera la même fertilité qu’avant. Ni plus, ni moins. Dès son retrait, la patiente peut donc parfaitement retomber enceinte. »


La pose du stérilet est très douloureuse.
Le ressenti varie beaucoup d’une femme à l’autre. Le médecin peut prescrire un antalgique ou un antispasmodique en amont de la pose. Chez les femmes jeunes, la pose peut être un peu plus douloureuse. Nul besoin d’hospitalisation, le stérilet peut être posé par un gynécologue dans son cabinet, ou par une sage-femme.


Le stérilet entraîne des grossesses extra-utérines
Faux. Le risque est même moindre chez les femmes ayant un stérilet que chez les femmes n’ayant aucun moyen de contraception.

Le stérilet est gênant pendant les rapports sexuels.
Votre partenaire ne sentira pas le stérilet s’il est bien installé. Tout petit, en forme de T, il ne fera pas baisser non plus votre libido. Vous pouvez faire l’amour tout de suite après la pose si elle a eu lieu dans les 7ers jours de votre cycle.


Le stérilet augmente le risque d’infections
« La présence du dispositif n’augmente pas le risque de maladies inflammatoires pelviennes, mais l’existence de germes au niveau du col de l’utérus ou d’infections sexuellement transmissibles lors de la pose peuvent accentuer ce risque. Avant la pose de tout DIU, il est recommandé de dépister ces IST. »


Les risques d’expulsion ou de perforation sont élevés.
Non, le risque de perforation est très faible (0.001%) quel que soit le type de DIU inséré et l’âge de la femme. Il est, cependant, multiplié par six chez les femmes allaitant pendant les 9 mois du post-partum. Cet incident survient le plus souvent au moment de l’insertion. Quant à l’expulsion, elle survient chez moins d’une femme sur 1000. Elle se produit davantage dans les trois premiers mois.






Comment se protéger contre le virus Ebola.

Le virus Ebola a fait plus de 4000 morts depuis fin juillet. Les personnels soignants en Europe ont aussi été touchés. Comment faire pour ne pas être contaminé ? 



Photo du jour.

Des moutons Mérinos au centre commercial Bikini de Berlin, dans le cadre d'une campagne promotionnelle autour de la laine.

20 octobre 2014 - Allemagne

Comment le virus Ebola détruit l'organisme

La fièvre hémorragique Ebola a fait 4.493 morts sur 8.997 cas enregistrés dans sept pays (Liberia, Sierra Leone, Guinée, Nigeria, Sénégal, Espagne et Etats-Unis), selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), arrêté au 12 octobre. 





Les 15 questions à poser à son gynéco après 40 ans

Pendant des années, vous l’avez consulté pour des problèmes de routine. vous voilà désormais entrée dans cette longue période d’anarchie hormonale qui précède la ménopause, et vous ne savez plus par quel bout commencer. Ci-joint l’inventaire des sujets à aborder.

A quel âge serai-je ménopausée ?


Par ménopause, on entend l’arrêt des règles pendant douze mois consécutifs. L’âge moyen de cet événement s’établit à 51 ans. Cela signifie qu’une partie des femmes le vivra entre 40 et 50 ans, alors qu’une autre le connaîtra plus tard. La phase de cycles irréguliers qui précède cet arrêt et les douze mois qui le suivent constituent ce qu’on appelle la périménopause. Celle-ci peut durer plusieurs mois ou plusieurs années. Rien ne permet donc de prédire à quel moment exactement une femme sera ménopausée.

Est-ce que je pourrai bénéficier du traitement hormonal de la ménopause (THM) ?


La question du THM ne se pose qu’une fois la ménopause avérée. En attendant, il peut être souhaitable, notamment en cas de troubles des règles, d’avoir un traitement qui régularise les cycles et augmente le confort de cette période de transition. Le THM ne peut pas être proposé à toutes: seules seront concernées les femmes qui ont des symptômes et qui n’ont ni pathologies cardio-vasculaires, ni problèmes mammaires. Par ailleurs, il doit être pris sitôt la ménopause installée.

Puis-je retarder la ménopause, et comment ?


 On ne retarde pas la ménopause, qui correspond à l’extinction inéluctable et programmée de la réserve de follicules dans les ovaires. Mais on peut diminuer ou effacer ses manifestations, notamment grâce à un traitement hormonal comme la pilule. Le moment venu, il vous sera possible d’enchaîner directement avec le THM si vous le désirez. Les études montrent que les estrogènes par voie transdermique n’augmentent pas le risque de cancer du sein s’ils sont associés à de la progestérone naturelle. En revanche, mieux vaut éviter de recourir à certains progestatifs de synthèse. Une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) vient de prouver que les norprégnanes utilisés dans le cadre du THM augmentaient de 30% le risque thrombo-embolique (phlébite, embolie pulmonaire).

Peut-on recourir au THM pour garder une peau et une apparence jeunes ?


Le THM répond à deux indications bien précises, et la lutte contre les rides n’en fait pas partie. Il s’agit des bouffées de chaleur et autres troubles associés, et de la prévention de l’ostéoporose. Dans la mesure où l’on ne peut pas dire, aujourd’hui, s’il favorise ou non le cancer du sein à long terme, le principe de précaution veut qu’on s’abstienne de le prendre pour d’autres motifs. Cependant, sous traitement, nombre de femmes constatent une franche amélioration de leur peau et de leur silhouette, surtout si elles l’allient à une bonne hygiène de vie. Une bonne nouvelle: les chercheurs travaillent actuellement à l’élaboration de médicaments à base d’estrogènes qui ciblent la peau. 

Dois-je faire un dosage hormonal pour savoir où j’en suis ?


Les dosages hormonaux ne sont indiqués que s’il existe des troubles des règles dont on cherche à déterminer la cause: ménopause (peut-être, mais pas forcément) ou désir d’enfant. En ce qui concerne l’installation de la ménopause, les résultats sont trop fluctuants et ne prouvent rien. C’est donc une dépense financière inutile.

J’utilise la pilule depuis plus de vingt ans. Est-il préférable que je l’arrête ?


Tout dépend de vos habitudes et de vos antécédents médicaux. Si vous avez la quarantaine et que vous fumez, même s’il s’agit d’une cigarette de temps à autre, vous devez cesser de la prendre: le risque d’accident cardio-vasculaire est trop important (si vous vivez avec un fumeur, signalez-le à votre médecin. Bien qu’il n’existe pas d’études à ce sujet, théoriquement, cela pourrait aussi augmenter votre risque). L’accident vasculaire cérébral et l’infarctus sont notablement accrus chez les femmes de 40 ans ou plus qui associent tabac et pilule. Sinon, vous pouvez continuer à la prendre jusqu’à la ménopause, à condition qu’il n’existe aucun facteur de risque: pas de problèmes de seins, de phlébite, d’hypertension, de diabète… Autre impératif: un suivi médical régulier.
Au Maroc, on a beaucoup utilisé les progestatifs seuls après 40 ans. On est, depuis, revenu sur cet usage, car ils génèrent des troubles des règles et une mise au repos des ovaires, et s’accompagnent donc de carences hormonales. L’utilisation d’un progestatif en contraception continue peut augmenter le risque de cancer du sein, notamment s’il s’agit d’un produit de synthèse. La progestérone naturelle en donnerait moins. Il n’en va pas de même pour le stérilet au lévonorgestrel, qui réalise une contraception d’une efficacité extrême, en délivrant le dérivé de la progestérone principalement dans l’utérus, ce qui est certainement plus acceptable pour l’organisme qu’une contraception progestative administrée par voie orale.

Quels sont les risques d’avoir un cancer du sein ?


Le risque de cancer du sein augmente après 40 ans, mais son pic se situe surtout après l’âge de la ménopause. Cela ne signifie pas pour autant que les contrôles qu’on effectue tous les deux ans soient inutiles, au contraire. Après 40 ans, tout individu doit pouvoir bénéficier d’un suivi médical pour corriger les facteurs de risque quand ils existent.

 Dois-je effectuer une densitométrie osseuse ?


Ce qui va déclencher la perte osseuse, c’est la ménopause. Dès lors qu’une femme ménopausée présente des facteurs de risque évidents (ménopause précoce, indice de masse corporelle inférieur à 19, maladies endocriniennes, corticothérapie per os, antécédents familiaux ou précédent de fracture ostéoporotique, vertébrale ou non), elle doit effectuer une ostéodensitométrie pour déterminer la solidité des os, décider d’un traitement, et essayer de prévenir tout risque de fracture.

Je croyais qu’à l’approche de la ménopause, les règles diminuaient d’intensité jusqu’à s’arrêter, or les miennes sont beaucoup plus abondantes qu’avant. Comment cela s’explique-t-il ?


Au début de la périménopause, on constate une sécrétion insuffisante d’hormones progestatives, responsable de modifications du cycle, avec alternance de cycles longs et courts. Cette irrégularité des règles s’accompagne souvent d’écoulements menstruels anormalement abondants ou prolongés. Ils sont liés soit aux modifications hormonales, soit, assez fréquemment, à la présence de fibromes ou d’adénomyose (une forme d’endométriose). Plusieurs solutions permettent de résoudre l’inconfort qu’ils génèrent: si la femme ne fume pas et qu’elle ne souhaite pas d’enfant, on lui prescrira une pilule contraceptive classique.
Si elle fume, on privilégiera un progestatif type Duphaston, Utrogestan, Lutényl, Luteran, etc., ou le port du stérilet, de préférence à la progestérone, car il rétablira mieux l’équilibre qu’un stérilet en cuivre, non porteur d’hormones. Si, malgré cela, les saignements continuent, que la femme est anémiée, fatiguée, qu’elle perd ses cheveux, on lui proposera un traitement chirurgical comme la thermocoagulation (sous anesthésie locale) ou l’endométrectomie (sous anesthésie locale ou générale): dans le premier cas, on introduit un ballonnet chauffant dans la cavité utérine de manière à brûler les copeaux d’endomètre responsables des saignements; dans le second cas, on les racle. Les deux interventions nécessitent une hospitalisation en ambulatoire, mais, prochainement, la thermocoagulation pourra se pratiquer au cabinet du gynécologue. Enfin, en dernier recours, on pourra procéder à l’ablation de l’utérus.
Pourquoi mon syndrome prémenstruel empire-t-il ?    
Par syndrome prémenstruel (en abrégé SPM), on entend un ensemble des manifestations physiques et psychologiques survenant quelques jours avant les règles, qui varient d’une femme à l’autre et peuvent, chez certaines, constituer une gêne importante. Il peut s’agir d’irritabilité, de fatigue, d’anxiété ou de troubles tels que maux de tête, migraines, vertiges, ennuis digestifs, insomnie, congestion mammaire ou abdominale, jambes lourdes, prise de poids, qui disparaissent avec l’arrivée des règles. Ce syndrome, assez complexe, est communément attribué à un déséquilibre hormonal consécutif à un excès d’estrogènes et à un manque de progestérone.
Dans la mesure où la périménopause se caractérise par un déséquilibre similaire, rien d’étonnant à ce que ces désordres d’installation de la puberté ressurgissent ou s’aggravent à cette période. Pour celles qui gonflent, la pilule Jasmine contient un progestatif différent qui présente la particularité de s’opposer à la rétention d’eau. Sinon, on peut aussi recommander un traitement à la progestérone, sous forme d’ovules ou de pilule. Enfin, si la femme a sa vie gâchée par le syndrome prémenstruel et qu’elle est psychologiquement très secouée, il est possible de recourir à un antidépresseur léger, type Effexor.
Ai-je encore besoin d’une contraception ?                                       Selon les statistiques, 75% des grossesses après 40 ans sont accidentelles. Excepté si vous n’avez plus vos règles depuis un an, vous devez donc poursuivre votre contraception. Certains médecins recommandent une micropilule, ce qui peut diminuer les bouffées de chaleur et limite le risque d’accident cardio-vasculaire, notamment chez les femmes présentant un diabète, un taux de cholestérol élevé ou une insuffisance veineuse. D’autres conseillent plutôt le stérilet à la progestérone, qui permet de remédier non seulement aux saignements, mais aussi à l’inconfort sexuel.
Dans la mesure où ce dispositif intra-utérin se change tous les cinq ans, il vous accompagnera en douceur aux portes de la ménopause. Quant au préservatif, avec seulement 86% d’efficacité, sa fiabilité en tant que méthode principale de contraception laisse trop à désirer, même si la fertilité est nettement moindre à cette période de la vie. Mais il reste indispensable pour prévenir les infections sexuellement transmissibles, d’autant plus fréquentes autour de la ménopause que la muqueuse vaginale s’affine et devient plus fragile.
 Je voudrais un enfant, ai-je besoin de voir un spécialiste ?  
Avant de voir qui que ce soit, il faut d’abord essayer. Si, par le passé, vous avez été facilement enceinte, il ne devrait, a priori, pas y avoir de problème. Mais si vous avez déjà fait plusieurs tentatives sans succès, ou enchaîné trois grossesses extra-utérines, et que vos efforts restent vains, mieux vaut tracer votre courbe de température, puis voir avec votre gynéco si vous êtes ou non ménopausée, notamment par des dosages hormonaux et une échographie, enfin consulter un spécialiste de l’assistance médicale à la procréation.
On en trouve dans presque tous les hôpitaux, et dans beaucoup de cliniques également. Sans verser dans l’anxiété, il ne faut pas perdre de temps, car toutes les études montrent qu’après 37 ans, la fertilité chute de manière drastique. Mais avant de vous lancer dans la PMA, sachez qu’un enfant se fait à deux et qu’il faut un homme dans l’affaire. 
Il m’arrive d’avoir mal pendant les rapports sexuels. Que puis-je faire ?                             
A la ménopause, les femmes se plaignent souvent d’une absence ou d’une insuffisance de lubrification du vagin qui rend leurs rapports douloureux. Ce phénomène est dû à la chute des estrogènes qui accompagne l’arrêt du fonctionnement des ovaires. Mais il ne se produit avec intensité qu’une fois la ménopause confirmée. En période de périménopause, inconfort et douleurs s’expliquent plus probablement par des rapports sexuels trop espacés. Le vagin devient plus sec, d’où un risque d’irritation lors de la pénétration. Des traitements hormonaux locaux, sous forme d’ovules ou de crèmes, résolvent rapidement ce problème. Celles qui ne veulent pas d’hormones peuvent utiliser des lubrifiants (Vaseline…).
J’ai des fibromes depuis des années, est-ce le moment de les faire enlever ?                
En principe, les fibromes diminuent de volume avec la ménopause. S’ils n’évoluent pas et n’occasionnent pas de troubles trop importants, mieux vaut prendre son mal en patience. En revanche, s’ils grossissent ou provoquent des douleurs pelviennes, des maux de dos, des saignements inconfortables, des fuites urinaires ou des troubles digestifs, on peut les opérer. Dans la majorité des cas, votre chirurgien vous proposera de retirer uniquement les fibromes (myomectomie), sans recourir à l’ablation de l’utérus qui entraînerait l’instauration immédiate de la ménopause. La cancérisation d’un fibrome, que beaucoup de femmes redoutent, reste tout à fait exceptionnelle.
 Je suis en périménopause, dois-je faire un bilan chez le cardiologue ?                      
Après 40 ans, la femme doit faire prendre sa tension et doser son taux de sucre, de cholestérol et ses triglycérides. Contrairement à une idée reçue, les maladies cardio-vasculaires ne sont pas l’apanage de l’homme mûr. Elles représentent la première cause de mortalité féminine après 50 ans, devant le cancer du sein. Même en l’absence de tout symptôme, si vous présentez un ou plusieurs facteurs de risque (diabète, hypertension, cholestérol), ou que l’un de particularité de s’opposer vos proches est décédé d’une maladie cardio-vasculaire, demandez à votre médecin traitant de vous adresser à un cardiologue. Celui-ci pourra, s’il l’estime nécessaire, procéder à des examens complémentaires tels qu’électrocardiogramme ou épreuve d’effort.


Photo du jour

Plus de 100 participants ont pris part à cette célèbre compétition de culturisme, qui s’est déroulé à Bangkok, en Thaïlande.

19 octobre 2014 – Thaïlande

Comprendre le réchauffement climatique en 4 minutes.




Ebola, un virus mortel pour l'homme.

Le virus Ebola figure parmi les plus contagieux et mortels chez l'homme, selon l'Organisation mondiale de la santé. Il tire son nom d'une rivière du nord de la République démocratique du Congo où il a été repéré pour la première fois en 1976. Le taux de mortalité est estimé à 90% chez l'homme.

Le Top 10 des monuments les plus visités en France.

On connait le classement 2013 de ceux qui ont attiré le plus de visiteurs. Cette liste, établie par l'INSEE, place :


En première position lMusée du Louvre (9,4 millions de visiteurs ont foulé le parterre de l'ancien château royal en 2012.)

Une autre demeure royale, le Château de Versailles, arrive en seconde position : 7,5 millions de curieux ont visité les jardins et le palais. 



Troisième du top 10 : la dame de fer ! La Tour Eiffel a attiré en 2012 6,3 millions de visiteurs.



Le centre Pompidou récupère la quatrième position (3,8 millions de visiteurs), juste devant le musée d'Orsay (3,6 millions.) 



La cité des Sciences de la Vilette arrive ensuite, avec 2,6 millions d'apprentis scientifiques.



Le Musée d'Histoire Naturelle de Paris récupère la septième place (2 millions de visiteurs.)


Le trio de monuments qui ferme la marche ?

L'Arc de triomphe (1,7 million), 



Le Grand Palais (1,5 million de visiteurs) 



Et le musée du Quai Branly (1,3 million).



Le premier monument du classement à se trouver hors de Paris :
L'abbaye du Mont Saint-Michel, dans la Manche, est douzième (1,2 million), 




Juste devant le viaduc de Millau (1,1). 


Le Musée du Louvre, monument le plus visité de France, sera-t-il aussi celui que les Français portent le plus dans leur coeur en 2014.

Le Président Démocrate, Barack Obama, est une véritable star du web.

Depuis qu'il est président des Etats-Unis, Barack Obama est clairement devenu un mème. Vidéos, photos détournées, gifs... le président démocrate est une véritable star du web
Le dernier détournement en date vient du site communautaire Reddit, et plus particulièrement de sa section dédiée aux détournements photos, Photoshopbattles. Vendredi 27 septembre, l'internaute justbcozitburns a proposé aux habitués de cette section un concours de détournement de cette photo de Barack Obama:
Cette photo d'Obama détournée a bien fait 
photo obama
Le cliché n'est pourtant pas récent,
il date d'une visite de mars 2013 du président
 américain au Moyen-Orient.
Mais cela n'a pas découragé les adeptes
de Photoshop. Découvrez
 quelques-uns des détournements de cette photo.