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Mal des montagnes ou Maladie de Monge

Le mal des montagnes est dû au déficit en oxygène ressenti en haute altitude.

  • Les symptômes comprennent des maux de tête, une fatigue, des nausées ou une perte d’appétit, une irritabilité, et dans les cas plus graves, un essoufflement, une confusion et même un coma.

  • Le diagnostic médical du mal des montagnes repose essentiellement sur les symptômes.

  • Le traitement peut comprendre le repos, la descente à une altitude plus basse et parfois des médicaments et/ou un apport d’oxygène.

  • Les personnes peuvent éviter ces troubles en montant lentement et en prenant parfois des médicaments.


Tibétains

Quand l’altitude augmente, la pression atmosphérique diinue, l’air se raréfie et moins d’oxygène est disponible. Par exemple, par comparaison avec l’air au niveau de la mer, l’air à 5 800 mètres contient la moitié moins d’oxygène. À Denver, qui est située à environ 1 615 mètres au-dessus de la mer, l’air contient 20 % d’oxygène en moins.


La plupart des personnes peuvent monter jusqu’à 1 500 à 2 000 mètres en un jour sans problèmes, mais environ 20 % des personnes qui montent jusqu’à 2 500 mètres et 40 % de celles qui montent jusqu’à 3 000 mètres présentent une forme quelconque du mal des montagnes. La vitesse d’ascension, l’altitude la plus haute atteinte et l’altitude à laquelle on dort influencent toutes la probabilité de développer l’une des formes graves du mal des montagnes.

Les organes les plus fréquemment affectés par le mal des montagnes sont les suivants :

  • Cerveau (causant un mal aigu des montagnes [MAM] et rarement un œdème cérébral de haute altitude [OCHA])

  • Poumons (causant un œdème pulmonaire de haute altitude [OPHA])

Facteurs de risque

Le risque de développer le mal des montagnes varie beaucoup selon les personnes. Mais en général, le risque est accru dans les situations suivantes :

  • Antécédents de mal des montagnes

  • Vivre au niveau de la mer ou à une altitude très basse (moins de 900 mètres)

  • Ascension trop haute trop rapide

  • Effort excessif

  • Sommeil à une altitude trop élevée

Les personnes atteintes par un trouble tel que le diabète, une maladie des artères coronaires et une légère bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) ne sont pas exposées à un risque plus élevé de mal des montagnes. Toutefois, ces personnes peuvent ressentir des difficultés particulières avec ces problèmes médicaux chroniques à haute altitude en raison du faible taux d’oxygène (hypoxémie). Une bonne condition physique ne protège pas contre ce mal. L’asthme, en revanche, ne paraît pas s’aggraver avec l’altitude. Passer quelques semaines à des altitudes plus élevées (mais de moins de 3 000 mètres) n’est pas dangereux pour les femmes enceintes et les fœtus.

Acclimatation

L’organisme finit par s’adapter (acclimatation) à la haute altitude en augmentant la respiration, en produisant une plus grande quantité de globules rouges pour transporter l’oxygène aux tissus et en réalisant d’autres adaptations. La plupart des personnes peuvent s’adapter en quelques jours aux altitudes jusqu’à 3 000 mètres. L’acclimatation aux altitudes plus élevées exige de plusieurs jours à plusieurs semaines, mais certaines personnes peuvent finalement supporter une activité presque normale à des altitudes supérieures à 5 300 mètres environ. Cependant, personne ne peut s’acclimater complètement pour résider à long terme au-dessus de cette altitude.

Le saviez-vous ?

  • Les symptômes du mal aigu des montagnes (MAM) peuvent être confondus avec les effets de l’ivresse alcoolique, l’asthénie, la migraine ou une maladie virale.

Symptômes

Mal aigu des montagnes (MAM)

Le mal aigu des montagnes est une forme modérée, et la plus fréquente, du mal des montagnes. Il ne se développe généralement pas à des altitudes inférieures à 2 440 mètres, mais il peut se développer à des altitudes inférieures chez les personnes très sensibles. Les symptômes se manifestent en général dans les 6 à 10 heures suivant l’ascension et comprennent des maux de tête et un ou plusieurs autres symptômes tels que vertiges, perte d’appétit, nausées, vomissements, fatigue, faiblesse ou irritabilité. Certaines personnes décrivent les symptômes comme étant semblables aux effets de l’ivresse alcoolique. Ceux-ci durent habituellement 24 à 48 heures. Dans de rares cas, le mal aigu des montagnes peut évoluer vers une forme plus grave connue sous le nom d’œdème cérébral de haute altitude.

Œdème cérébral de haute altitude (OCHA)

L’OCHA est une pathologie rare, mais potentiellement mortelle, dans laquelle le cerveau se remplit de liquide et gonfle. L’OCHA provoque des maux de tête, une confusion et une démarche instable et non coordonnée (ataxie). Si le trouble n’est pas reconnu et traité à un stade précoce, les personnes affectées peuvent tomber dans le coma. Ces symptômes peuvent progresser rapidement de la forme modérée à la forme mortelle en quelques heures.

Œdème pulmonaire de haute altitude (OPHA)

L’OPHA désigne une accumulation de liquide dans les poumons qui se développe généralement sous 24 à 96 heures après une ascension rapide au-dessus de 2 500 mètres. Il peut également survenir chez les personnes qui ne présentent pas de symptômes du MAM. L’OPHA est responsable de la plupart des décès causés par le mal des montagnes. Les personnes qui vivent en altitude peuvent développer une forme d’OPHA connue sous le nom d’OPHA des résidents de haute altitude, même sans aller-retour à une altitude plus basse. Les personnes qui vivent en altitude et redescendent à une altitude plus basse, par exemple pour des vacances, peuvent développer un œdème pulmonaire lors de la remontée à leur résidence, phénomène connu sous le nom d’OPHA de remontée. Les infections respiratoires, même mineures, peuvent accroître le risque d’OPHA. Les symptômes sont aggravés la nuit lorsque les personnes sont allongées et peuvent rapidement devenir plus sévères si l’OPHA n’est pas reconnu et traité rapidement. Les symptômes légers comprennent généralement une toux sèche et un essoufflement après seulement un petit effort. Les symptômes modérés comprennent un essoufflement au repos et une coloration bleuâtre de la peau, des lèvres et des ongles (cyanose). Les symptômes graves comprennent la détresse respiratoire, des expectorations roses ou sanglantes, une cyanose sévère et des gargouillements pendant la respiration. L’OPHA peut s’aggraver rapidement et entraîner une insuffisance respiratoire, un coma et un décès en quelques heures.

Autres symptômes

Le gonflement des mains, des pieds et, au réveil, du visage, est fréquent. Cet œdème est peu gênant et disparaît en général après quelques jours ou en redescendant.

Les maux de tête, sans aucun autre symptôme de mal aigu des montagnes, sont également fréquents.

Des hémorragies rétiniennes (petites hémorragies de la rétine, au fond de l’œil) peuvent se développer après une ascension à une altitude supérieure à 2 700 mètres. 

Ces hémorragies sont fréquentes au-dessus de 5 000 mètres. Il n’y a en général pas de symptômes à moins que l’hémorragie survienne dans la partie de l’œil responsable de la vision centrale (la macula). Dans ce cas, on peut remarquer une petite tache aveugle, sans douleur oculaire. Les hémorragies rétiniennes disparaissent en quelques semaines sans causer de problèmes à long terme. Les personnes qui développent des taches aveugles alors qu’elles font de l’alpinisme ou une randonnée à haute altitude doivent redescendre un peu et être examinées. Une nouvelle ascension peut être envisagée une fois l’hémorragie disparue.

Diagnostic

  • Examen clinique

  • Pour l’œdème pulmonaire de haute altitude (OPHA), radiographie du thorax et taux d’oxygène dans le sang, si possible

Le diagnostic médical du mal des montagnes repose principalement sur les symptômes. Chez les personnes atteintes d’œdème pulmonaire de haute altitude, les médecins peuvent généralement déceler au stéthoscope du liquide dans les poumons. Une radiographie du thorax et la mesure de la quantité d’oxygène dans le sang peuvent aider à confirmer ce diagnostic.

Qu’est-ce que le mal chronique des montagnes ?

La plupart des maladies liées à l’altitude surviennent chez des personnes qui montent trop rapidement à une altitude élevée. Mais certaines personnes développent des maladies liées à l’altitude seulement après avoir vécu longtemps à haute altitude.

Le mal chronique des montagnes (maladie de Monge) est une maladie qui se développe chez certaines personnes vivant à une altitude supérieure à environ 3 000 mètres pendant plusieurs mois ou plusieurs années. Les symptômes comprennent une fatigue, un essoufflement, des douleurs et une coloration bleue de la peau et des lèvres (cyanose). Chez les personnes affectées, l’organisme compense le manque d’oxygène en produisant trop de globules rouges. Les globules rouges en excès rendent le sang si épais que le cœur peut avoir du mal à pomper suffisamment le sang pour l’envoyer aux différents organes dans tout le corps.

Des prélèvements périodiques de sang (phlébotomie) soulagent les symptômes de façon temporaire, mais le traitement le plus efficace consiste à revenir vivre à basse altitude. L’acétazolamide peut également soulager. La guérison complète peut prendre des mois. Ces personnes doivent rester à basse altitude.

La maladie de Monge est fréquente dans les Andes, mais elle a également été observée dans les communautés vivant en altitude au Colorado. Dans d’autres régions du monde (par exemple, au Tibet), certaines personnes présentent une forme différente de mal chronique des montagnes, qui se caractérise par une hypertension pulmonaire et une diminution de la fonction du côté droit du cœur, sans surproduction de globules rouges.

Prévention

Vitesse d’ascension

La meilleure façon d’éviter le mal des montagnes est de monter lentement. L’altitude à laquelle dorment les personnes est plus importante que l’altitude maximale atteinte durant la journée. Il est essentiel de contrôler la vitesse d’ascension (ce que l’on appelle ascension progressive) pour toute activité supérieure à 2 500 mètres. Au-dessus de 3 000 mètres, les alpinistes et randonneurs ne doivent pas augmenter leur altitude pour dormir de plus de 300 à 500 mètres par jour, et ils doivent inclure un jour de repos (sommeil à la même altitude) toutes les 3 ou 4 nuits avant de dormir à toute altitude plus élevée. S’il n’est pas possible de limiter l’ascension quotidienne à moins de 500 mètres, alors l’ascension quotidienne moyenne sur toute la durée de l’ascension doit être inférieure à 500 mètres. Cela peut nécessiter d’ajouter des jours de repos. Lors des jours de repos, les promenades de jour à des altitudes supérieures sont acceptables tant que les personnes redescendent à une altitude inférieure pour dormir.

L’aptitude à monter sans présenter de symptômes varie selon les individus. Ainsi, une cordée doit s’adapter au rythme de la personne qui s’acclimate le moins rapidement à l’altitude.

L’acclimatation s’inverse rapidement. Si des personnes acclimatées sont redescendues à une altitude inférieure depuis quelques jours, elles doivent de nouveau respecter une ascension progressive lorsqu’elles remontent.

Médicaments

L’acétazolamide, qui peut être pris la nuit précédant l’ascension, peut réduire le risque de mal des montagnes. S’il est administré après l’apparition des premiers signes de la maladie, l’acétazolamide peut aider à soulager les symptômes. L’acétazolamide doit être arrêté au début de la descente ou après avoir passé quelques jours à l’altitude maximale. La dexaméthasone, une alternative à l’acétazolamide, peut également réduire le risque de mal aigu des montagnes et traiter ses symptômes.

Les maux de tête dus au mal des montagnes peuvent être prévenus en prenant des analgésiques tels que des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

Les personnes ayant subi antérieurement des crises d’œdème pulmonaire de haute altitude doivent être attentives aux symptômes de récidive et descendre immédiatement s’ils se manifestent. Certains médecins recommandent également à ces personnes de prendre de la nifédipine ou du tadalafil par voie orale en guise de prévention.

Consignes générales

Le fait de ne pas faire d’effort intense pendant un jour ou deux après l’arrivée peut aider à prévenir le mal des montagnes. Il faut éviter de consommer des quantités importantes d’alcool, des opiacés et des sédatifs, particulièrement avant le coucher. Les personnes habituées à consommer de la caféine doivent savoir qu’elles peuvent présenter des céphalées de réaction de sevrage à la caféine si elles arrêtent d’en consommer lors de leur expédition.

Bien que la condition physique permette de réaliser de plus gros efforts en altitude, elle ne protège contre aucune des formes du mal des montagnes. L’acétazolamide peut être utilisé pour améliorer le sommeil, qui est perturbé chez un grand nombre de personnes voyageant à haute altitude.

Traitement

Le meilleur traitement, pour toutes les formes de mal des montagnes aigu, consiste à descendre à une altitude moins élevée.

  • En cas de symptômes légers, interrompre l’ascension et administrer des fluides et, dans certains cas, des médicaments

  • En cas de mal aigu des montagnes qui tarde à s’estomper, descendre à une altitude moins élevée et administrer des médicaments

  • En cas d’œdème cérébral de haute altitude (OCHA) et d’œdème pulmonaire de haute altitude (OPHA), descendre immédiatement à une faible altitude et administrer des médicaments (si la descente est impossible, médicaments et oxygénation, ou chambre hyperbare portative)

En cas de gonflement des mains, des pieds et du visage, aucun traitement n’est nécessaire. Le gonflement disparaît spontanément au bout de quelques jours ou après la descente. Un sommeil de mauvaise qualité est fréquent à haute altitude, même chez les personnes en bonne santé, mais il ne constitue pas en soi un motif de redescente à une altitude inférieure.

Les personnes qui souffrent de mal aigu des montagnes (MAM) léger doivent arrêter leur ascension et se reposer. Elles ne doivent reprendre l’ascension qu’après la disparition des symptômes. Les autres traitements comprennent des liquides et du paracétamol ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) afin de soulager les maux de tête. Les fluides ne permettent pas de traiter le MAM, mais ils permettent d’éliminer la déshydratation, dont les symptômes peuvent être similaires à ceux du MAM. La plupart des personnes qui souffrent d’un mal aigu des montagnes s’améliorent en un ou deux jours. Parfois, de l’acétazolamide ou la dexaméthasone sont administrés pour soulager les symptômes.

Si les symptômes du MAM sont plus graves, ou si les symptômes persistent, voire s’aggravent malgré le traitement, la personne doit redescendre à une altitude plus basse, de préférence plus basse de 500 à 1 000 mètres. Le plus souvent, le fait de descendre apporte un soulagement rapide. La personne reçoit également des fluides, du paracétamol ou des AINS, et de l’acétazolamide ou de la dexaméthasone.

Les personnes affectées par un OPHA doivent redescendre immédiatement à basse altitude. Administrer de l’oxygène, si disponible. La nifédipine est temporairement utile, car elle diminue la tension artérielle dans les artères pulmonaires. Les efforts intenses doivent être évités pendant la descente, car cela peut aggraver l’œdème pulmonaire.

Lorsqu’un OCHA survient, la personne doit immédiatement redescendre à l’altitude la plus basse possible. Il faut administrer de l’oxygène et de la dexaméthasone. De l’acétazolamide peut également être administré.

Lorsqu’il n’est pas possible de redescendre rapidement à une altitude plus basse et si les personnes sont gravement malades, on peut utiliser un sac hyperbare pour gagner du temps. Ce dispositif est constitué d’un sac en tissu léger, portable, suffisamment grand pour contenir une personne entièrement, et d’une pompe manuelle. Les personnes sont enfermées hermétiquement dans le sac et l’on augmente la pression interne du sac à l’aide de la pompe. L’élévation de la pression de l’air dans le sac simule une diminution d’altitude. La personne reste dans le sac jusqu’à disparition des symptômes. Le sac pressurisé, ou hyperbare, a la même efficacité que l’oxygène d’appoint qui est rarement disponible en alpinisme, mais il ne remplace pas la descente.


Décès de Saëb Erekat, négociateur en chef des Palestiniens, 65 ans


Défenseur acharné du processus des négociations avec Israël, Saëb Erekat a rendu l’âme des suites du Covid-19. Le monde perd un modéré qui ne s’est jamais démenti.
Secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) depuis 2015, Saëb Erekat est mort, à l’âge de 65 ans, tôt ce matin du mardi 10 novembre 2020. Un mois auparavant, le 9 octobre, l’OLP avait annoncé qu’il avait contracté le nouveau coronavirus et avait été transféré, neuf jours plus tard, le 18 octobre, à l’hôpital Hadassah de Jérusalem… Il faut dire que sa santé était fragile depuis au moins 2017, quand il a subi une greffe de poumon dans un hôpital américain, après avoir été atteint de fibrose pulmonaire.
C’est un des personnages des plus en vue de la lutte palestinienne depuis la fin des années 70. Défenseur de la solution à deux Etats, il se définissait comme l’héritier de Issam Sartaoui, précurseur de cette idée dans les années 70… L’existence de Saëb Erekat a marqué celle des Palestiniens. Il était officiellement leur négociateur en chef. Il faisait partie de ceux qui ont cru en la négociation plutôt qu’en la lutte armée. Il a fait partie de toutes les équipes de négociateurs avec Israël depuis 1991, à l’exception notable de celle qui allait aboutir aux accords d’Oslo en 1993. Compagnon de Arafat, leader historique du mouvement national palestinien, même s’il ne l’a pas suivi dans ses exils successifs, il est ensuite devenu un proche de Mahmoud Abbas, qui a succédé à Arafat à la tête de l’Autorité palestinienne.


 

Le Policier Marocain

  • DESCRIPTION DU MÉTIER
Fonctionnaire du ministère de l’Intérieur, le policier a pour mission de s’assurer que tout le monde respecte les lois et les règlements. Métier Le policier veille à ce qu’il ait le moins de crimes possibles pour que chaque personne se sente en sécurité. Au jour le jour, il effectue de nombreuses tâches, entre autres, se promener dans des différents endroits pour veiller à ce que ce soit sécuritaire, répondre à des appels d’urgence (lors d’un accident ou d’un crime), intervenir auprès de la population pour donner des conseils de sécurité et de prévention ou encore mener des enquêtes sur des crimes qui ont été commis.
 
  • CONDITIONS DE TRAVAIL
Le policier est souvent en contact avec le grand public. Il doit être disposé à faire face à des situations potentiellement dangereuses pour lui-même ou les citoyens. C’est pourquoi il doit sans cesse faire preuve de vigilance et de psychologie et manifester du tact et un jugement très sûr. La capacité de garder son calme et son équilibre sous la pression est vitale. Généralement, les horaires de travail sont décalés. Toutefois, comme la loi doit être appliquée 24h/24, 7h/7 le policier peut être appelé à travailler des heures supplémentaires.
  • COMPÉTENCES
Connaître la loi et les droits des citoyens, être psychologiquement stable, disposer d’une bonne santé physique,… Telles sont les compétences de base d’un policier.
  • FORMATION
Pour devenir inspecteur de police, il faut un bac+1 à l’Institut Royal de Police (IRP), après passation d’un test écrit et d’un entretien oral. Pour un officier de police, il faut un bac+2 en droit plus 15 mois de formation à l’IRP. L’accès à cet établissement est ouvert après concours écrit et entretien oral. Pour le poste de commissaire de police, une licence en droit ou en économie est exigée plus une formation de deux ans à l’IRP.

Miracle du désert !

 Le désert saoudien se transforme en un grand lac! Des tas de grêle.

Un phénomène rare pour l’Arabie saoudite: un désert «inondé» après une forte pluie aux alentours de Riyad a récemment été filmé. Ces images ont été partagées le 6 décembre sur Twitter. La séquence impressionnante montre l'eau qui n'a pas encore eu le temps de pénétrer dans le sol rouge.

Les forêts les plus mystérieuses du monde

  • La forêt de Brocéliande et les légendes arthuriennes
Théâtre des aventures des Chevaliers de la Table Ronde, la forêt de Paimpont – ou de Brocéliande – est, depuis le Moyen Âge, empreinte de légendes. Située à Paimpont, en Ille-et-Vilaine, elle compte parmi les plus beaux sites de promenade de Bretagne. Au fil des sentiers, on pénètre dans l'univers de Merlin l'Enchanteur, de Lancelot ou du roi Arthur. Cet écrin de nature de 7 000 ha abrite notamment les principaux lieux des légendes littéraires médiévales comme.

  • Gryfino, une étrange forêt tordue
Mais que s'est-il passé dans la forêt de Gryfino, au nord-ouest de la Pologne, pour que les arbres prennent ces formes tordues ? Certains crieront à la sorcellerie, mais bon nombre de chercheurs y voient plutôt une intervention humaine visant à favoriser le commerce du bois. Dans tous les cas, il est certain que ces pins dont le tronc forme un angle à quasiment 90° sont pour le moins insolites. Les photographes se réjouiront de ce cadre à la limite du surnaturel pour obtenir des clichés mystérieux à souhait !

  • Aokigahara, mystère au pied du mont Fuji
La forêt d'Aokigahara s'étend sur 35 km² sur l'un des versants du Mont Fuji, au Japon. Elle est aussi nommée Jukai, qui signifie « mer d'arbres », tant sa végétation oppressante forme un labyrinthe naturel dense dans lequel il est particulièrement difficile de se repérer : le soleil n'y pénètre quasiment jamais et le téléphone ne capte pas. Souvent considérée comme une forêt maudite, Aokigahara est le lieu où l'on recense le plus de suicides au Japon. Gus Van Saant s'est intéressé à ce phénomène dans son film Nos Souvenirs en 2015.

  • La forêt de Bwindi, une réserve de biodiversité
Au sud-ouest de l'Ouganda, la forêt de Bwindi est connue pour sa faune impressionnante composée de chimpanzés, d'éléphants de forêt mais surtout de gorilles de montagnes : plus de la moitié de la population mondiale de cette espèce menacée vit sur ses terres ! Dans la langue locale, Bwindi signifie « impénétrable ». Sa végétation dense, son vaste territoire de 32 092 ha et ses précipitations dignes d'une véritable forêt pluvieuse pourraient, effectivement, sembler hostiles à l'homme. Toutefois, il n'en est rien : la forêt de Bwindi se visite toute l'année, notamment dans le cadre d'inoubliables randonnées sur les traces des gorilles.

  • Le Parc national de Daintree, un sanctuaire naturel
Inscrits au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO, les 900 000 ha du Parc national de Daintree forment un véritable écrin de verdure dans le Queensland. Cette région australienne est bien connue pour sa barrière de corail ou son bush aride aux terres écarlates, mais il faut aussi voir son Parc national de Daintree, une épaisse forêt tropicale où poussent orchidées, fougères, palmiers et champignons fluorescents. Attention, les crocodiles qui vivent dans sa mangrove peuvent atteindre jusqu'à 9 m ! Ces charmantes bestioles font partie de la faune locale, tout comme les marsupiaux chats ou les opossums. 

  • La forêt amazonienne, poumon de la Terre
On ne peut parler de forêts sans mentionner celle que l'on surnomme souvent le « poumon de la planète » : la forêt amazonienne. Sa biodiversité est tout bonnement incomparable : elle abrite près de 390 milliards d'arbres et plus de 16 000 espèces différentes sont recensées sur son territoire s'étendant sur neuf pays, principalement le Brésil. Ce joyau de verdure est toutefois menacé par la déforestation qui fait des ravages au quotidien en transformant notamment ses zones boisées en lieu de culture pour les grandes industries. 

  • La forêt de Mindo, la tête dans les nuages
Mystérieuse, certes, mais surtout très poétique, la forêt de Mindo, au nord de l'Équateur, a la tête dans les nuages tout au long de l'année ! Les cloud forest sont des forêts tropicales en altitude, constamment surmontées d'une épaisse brume qui les recouvre d'un voile de mystères. La forêt de Mindo cache un véritable sanctuaire naturel où vivent d'innombrables oiseaux comme des colibris, des toucans ou des perroquets, mais aussi une flore somptueuse s'épanouissant grâce à l'humidité ambiante. Pour entrer en totale communion avec la nature, n'hésitez pas à vous offrir une nuit dans un écolodge au beau milieu de la forêt. 

  • Tsingy de Bemaraha, une forêt de pierre
Au nord de Morondova, sur l'île de Madagascar, se trouve une formation géologique unique au monde : les Tsingy de Bemaraha. Classée au patrimoine mondial de l'UNESCO, il s'agit d'une incroyable forêt de pierre ! C'est l'érosion qui a creusé cet impressionnant labyrinthe de crevasses et sculpté dans la roche des falaises aiguisées appelées « tsingy ». Ce massif karstique est à certains endroits recouvert de forêt sèche et de savane et différentes espèces en ont fait leur lieu de vie, le lémurien notamment. Il s'agit de l'un des sites les plus mystérieux de Madagascar. 

  • Tijuca, une forêt urbaine
Le Brésil accueille sur son territoire une très grande partie de forêt amazonienne, et la vibrante Rio de Janeiro n'est pas en reste puisqu'elle abrite la plus grande forêt urbaine du monde : Tijuca. On traverse notamment ce joyau naturel pour accéder à la montagne du Corcovado et la fameuse statue du Christ Rédempteur qui veille sur la ville. Si aujourd'hui cette forêt est encore dense et verdoyante, c'est grâce à la reforestation dont elle bénéficia au XIXe siècle après que les ravages de l'exploitation du café l'eurent partiellement détruite. 

  • Kaliningrad, une forêt dansante
Entre la Pologne et la Lituanie, Kaliningrad est une enclave russe qui fascine tant par son histoire que par son territoire. Son principal trésor naturel est l'isthme de Courlande, une étroite péninsule qui s'étend jusqu'à la mer Baltique. On y trouve une mystérieuse forêt surnommée la « forêt dansante ». Encore une fois, la nature semble avoir voulu jouer des tours aux promeneurs avec ces arbres aux troncs complètement tordus à la base, s'entortillant parfois sur eux-mêmes. Phénomène naturel ou voulu par l'homme, la question se pose encore.
 

Le Gendarme Marocain

DESCRIPTION DU MÉTIER
Le gendarme assure des missions de police judiciaires (à la campagne), administratives et militaire pour le maintien de l’ordre. Métier Rattaché pour emploi au chef suprême et chef de l’Etat-major général des forces armées royales (SM Le Roi), le gendarme assure des missions de police judiciaire (à la campagne), administratives et militaires pour le maintien de l’ordre. Son champ d’action est très large : mener des enquêtes de délinquances, vols, délits, meurtres, affaires financières, trafics de stupéfiants, etc.


CONDITIONS DE TRAVAIL
Toujours en uniforme, le gendarme exerce un métier d’action et effectue des déplacements quotidiens, en voiture ou à moto. Il peut intervenir de jour comme de nuit et le week-end. A deux ou en petit groupe, il travaille sous la houlette d’un commandant d’unité. Le gendarme peut être affecté dans une unité de gendarmerie départementale, à la garde royale, dans une brigade de prévention, dans la gendarmerie de l’air, de l’armement, des transports aériens, maritimes, les ambassades, etc.

COMPÉTENCES
Militaire de carrière, le gendarme respecte la hiérarchie et apprécie la discipline. Au service des citoyens, il doit avoir le sens du devoir et faire preuve d’honnêteté et d’altruisme.


FORMATION
Pour accéder au métier de gendarmerie, il faut d’abord, avoir un bac, ensuite il faut intégrer l’Ecole royale de Gendarmerie pendant 2 ans en passant un concours (test psychologique et physique). A signaler que le concours est ouvert aux bacheliers ayant moins de 24 ans, aptes physiquement et ayant une taille égale ou supérieure à 1.70 m. Le cursus de formation donne droit au grade sergent.


LE DISCOURS DE SM LE ROI MOHAMMED VI À L’OCCASION DU 45ÈME ANNIVERSAIRE DE LA MARCHE VERTE

 

Sa Majesté le Roi Mohammed VI a adressé ce samedi 7 novembre un Discours à Son peuple fidèle à l’occasion du 45-ème anniversaire de la glorieuse Marche Verte.

Voici le texte intégral du Discours Royal:

“Louange à Dieu, Prière et salut sur le Prophète, Sa famille et Ses compagnons.

Cher peuple,

Nous commémorons aujourd’hui le quarante-cinquième anniversaire de la Marche Verte qui fut un modèle unique de mobilisation collective, d’engagement, de discipline, d’attachement au bon droit.

En effet, c’est en patriotes sincères que les Marocains répondirent en toute spontanéité à l’appel de l’artisan de la Marche Verte, Notre Vénéré Père, feu Sa Majesté le Roi Hassan II, que Dieu ait son âme.

Le monde entier découvrit combien le peuple marocain savait relever les défis. Et ainsi, par cette marche pacifique qui trouva une issue heureuse dans la récupération de nos Provinces du Sud, nous entrions magistralement dans les annales de l’Histoire.

En cela, la Marche Verte ne représente pas seulement un événement national majeur et une étape saillante dans le processus de parachèvement de notre intégrité territoriale. Elle incarne également une dynamique dont l’esprit se perpétue et se renouvelle à travers l’action menée pour consolider la Marocanité du Sahara sur la scène internationale et pour ériger le Sahara en force motrice du développement régional et continental.

A cet égard, les dernières années ont connu des développements tangibles, et ce, à plusieurs niveaux :

Au niveau des Nations Unies : les approches et les thèses dépassées et irréalistes ont été définitivement anéanties, lors de l’adoption des dernières résolutions du Conseil de sécurité.

Ces récentes résolutions ont également confirmé la participation effective des vraies parties concernées par ce conflit régional et elles ont consacré l’irréversibilité de la solution politique, réaliste et consensuelle.

Cette orientation s’accorde avec l’esprit de l’Initiative d’autonomie marocaine, soutenue par le Conseil de sécurité et les grandes puissances comme l’unique option logique pour régler ce conflit.

Au niveau de l’Union Africaine : Grâce au retour du Maroc au sein de sa famille africaine, l’Organisation a clos, avec succès, le chapitre des manœuvres incessantes dont elle fut victime des années durant.

Depuis lors, l’Union Africaine a adopté une approche constructive s’articulant autour d’un soutien plein et entier aux efforts déployés, en vertu d’un mandat exclusif par les Nations Unies, par son Secrétaire général et le Conseil de sécurité.

Sur le plan juridique et diplomatique : Plusieurs pays frères ont ouvert des consulats généraux dans les villes de Laâyoune et de Dakhla, reconnaissant ainsi, de façon claire et nette, la Marocanité du Sahara et affirmant être pleinement confiants quant à la sécurité et à la prospérité qui règnent dans nos Provinces du Sud.

Dans le même temps, les membres de la communauté internationale refusent, dans leur grande majorité, de s’aligner sur les thèses des autres parties. De fait, 163 pays, représentant 85% des États membres des Nations Unies, ne reconnaissent pas l’entité factice.

Cette orientation a été confortée par les grandes puissances qui, en la matière, ont adopté des positions constructives, notamment la conclusion de partenariats stratégiques et économiques incluant, sans exception ni réserve, les Provinces Sud du Royaume comme partie intégrante du territoire marocain.

Partant de ces acquis, le Maroc réaffirme son engagement sincère à collaborer avec Son Excellence le Secrétaire général des Nations Unies, dans le cadre du respect des Résolutions du Conseil de sécurité, en vue de parvenir à une solution définitive, sur la base de l’Initiative d’autonomie.

De plus, le Maroc restera ferme sur ses positions et ne se laissera nullement fléchir par les provocations stériles et les manœuvres désespérées des autres parties. D’ailleurs, force est de constater que le déclin consommé de leurs thèses surannées les a précipitées dans le scénario typique d’une fuite en avant.

À cet égard, Nous réitérons notre rejet catégorique des agissements inacceptables par lesquels on cherche à entraver la fluidité du trafic entre le Maroc et la Mauritanie, à altérer le statut juridique et historique qui prévaut à l’est du mur de sécurité ou encore à se livrer à une exploitation illégitime des ressources de la région.

Le Maroc, fidèle à lui-même, ne se départira pas du bon sens et de la sagesse dont il a coutume. En revanche, c’est avec la dernière vigueur et la plus grande fermeté qu’il s’opposera aux abus cherchant à porter atteinte à la sécurité et à la stabilité de ses Provinces du Sud.

D’un autre côté, Nous sommes persuadé que les Nations Unies et la Minurso continueront à remplir leur devoir en veillant à préserver le cessez-le feu dans la zone.

Cher peuple,

Notre engagement à consolider la Marocanité du Sahara au niveau international n’a d’égal que Notre action soutenue pour que nos provinces sahraouies deviennent un moteur du développement régional et continental.

Aussi, afin de parachever les grands projets en cours de réalisation dans Nos provinces du Sud, le moment est venu de mettre en valeur les nombreuses potentialités que recèle leur domaine maritime.

A cet égard, au cours de cette année, et en totale conformité avec les principes du droit international, le Maroc a mené à terme la délimitation de ses espaces maritimes, en les incorporant dans l’arsenal juridique marocain.

En outre, le Maroc poursuivra, avec constance, le dialogue engagé avec notre voisin, l’Espagne, au sujet des zones de chevauchement des eaux territoriales des deux pays amis.

Ce dialogue s’inscrira dans le cadre du droit de la mer et respectera le partenariat qui les unit, loin de toute volonté unilatérale d’imposer le fait accompli.

De fait, en définissant clairement le cadre et les frontières des espaces maritimes placés sous la souveraineté du Royaume, le plan mis en œuvre pour impulser l’essor socio-économique de la région sera indubitablement consolidé.

Partant de cette vision, la façade atlantique Sud du Royaume, située face au Sahara marocain, constituera une interface maritime d’intégration économique et un foyer de rayonnement continental et international.

De fait, d’ores et déjà Tanger-Med est reconnu comme le premier port en Afrique ; le port Dakhla Atlantique contribuera à consacrer cette tendance.

Par ailleurs, Nous continuerons à œuvrer pour le développement d’une véritable économie maritime dans ces territoires que Nous chérissons tant. Cette zone qui abonde en ressources et en potentialités, sur terre comme en mer, servira ainsi de passerelle et de trait d’union entre le Maroc et sa profondeur africaine.

A cet égard, il importe d’investir dans les espaces maritimes, tant pour le dessalement de l’eau de mer que pour l’exploitation des énergies renouvelables d’origine éolienne ou hydrolienne.

En parallèle, il faut continuer à promouvoir le secteur de la pêche maritime, compte tenu de son rôle dans le développement de l’économie de la région.

Par ailleurs, pour que le plan Azur devienne un levier stratégique au service de la relance du secteur touristique dans la région et pour que celle-ci s’affirme comme une véritable destination du tourisme balnéaire, il importe de lui insuffler une nouvelle dynamique.

Cher peuple,

La fidélité sans faille à l’esprit et au serment éternel de la Marche Verte exige que tous les Marocains restent mobilisés et vigilants et qu’ils s’attachent à relever les défis internes et externes avec sérieux et responsabilité.

Nous serons ainsi à même de mener à bien les projets de développements sociaux et économiques de notre pays ; nous continuerons à défendre nos intérêts et nos Causes justes et à renforcer la place du Maroc dans son environnement régional et international.

C’est aussi l’occasion pour Nous, de rendre hommage à la mémoire immaculée des valeureux martyrs de la Patrie et d’adresser l’expression de Notre considération à Nos Forces Armées Royales et aux forces de sécurité, toutes catégories confondues, pour leur mobilisation constante à défendre, sous Notre commandement, l’intégrité territoriale du pays et à préserver sa sécurité et sa stabilité.

Wassalamou alaikoum warahmatoullahi wabarakatouh”.

JOE BIDEN ÉLU 46ÈME PRÉSIDENT DES ETATS UNIS D’AMÉRIQUE

 

Depuis la date du 3 novembre, le monde est tenu en haleine pour savoir qui de Donald Trump ou Joe Biden sera élu nouveau président des Etats unis d’Amérique.
Ce 7 novembre et après des longs jours de dépouillement, les médias américains (CNN, NBC et CBS) viennent d’annoncer la victoire de Joe Biden avec 273 grands électeurs et devient ainsi le 46ème président des USA.


Des foules affluent aux quatre coins des États-Unis pour fêter la victoire de Biden et Harris Kamala
Des milliers d'Américains ont commencé à célébrer samedi la victoire de Joe Biden, exprimant leur joie par des cris et des concerts de klaxons quelques minutes après l'annonce de l'élection du candidat démocrate à la présidence des États-Unis,