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Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
L’éléphant est le plus grand mammifère terrestre, et fait partie des animaux ayant la plus longue période de gestation. En effet, celle-ci s’étend sur 22 mois. Mais en fonction de la race et de l’origine, cela peut varier entre 20 et 28 mois. L’éléphant d’Afrique, Loxodonta africana, peut avoir une durée de gestation exceptionnelle allant jusqu’à 24 mois.
On dit de son cousin d’Asie Elephas indicus,
plus petit et plus rare à l’état sauvage, qu’il peut avoir une gestation pouvant atteindre 28 mois. Cette durée de gestation fait de lui le mammifère terrestre portant le plus longtemps son bébé dans le ventre. Une femelle éléphant met bas un unique enfant en moyenne tous les 4 ans. Aussi, il n’existe aucune période particulière pour le faire.
Le record absolu reviendrait à un ver marin de la famille des Lineus Longissimus, observé près des côtes écossaises à la fin du XIXe siècle. On parle en effet d’une longueur de près de 60 m, mais celle-ci n’a pas été certifiée officiellement. La communauté scientifique admet cependant qu’il existe dans cette famille de vers lacets (ou vers rubans) des organismes de plusieurs dizaines de mètres de longueur, qui seraient donc plus grands que la fameuse baleine bleue. Ils sont cependant beaucoup plus discrets, puisque leur corps ne fait que 5 à 10 mm d’épaisseur. L’animal le plus long du monde se présente donc comme un ruban ou un lacet de plusieurs dizaines de mètres de long.
Et sur terre ? Avec jusqu’à 5 m des pieds à la tête, la girafe serait l’animal terrestre le plus grand si l’on comptait en fonction de la hauteur. En longueur, personne n’est en mesure de rivaliser avec la baleine bleue puisque les animaux les plus imposants n’atteignent même pas 10 m de long.
La donne était cependant différente il y a quelques millions d’années. On estime en effet qu’à l’ère des dinosaures, des animaux comme le Titanosaure ou le cousin du diplodocus connu sous l’appellation Amphicoelias fragillimus, devaient dépasser les 40 ou 50 m grâce à leur long cou et leur énorme queue.
Et si l’on s’intéresse à l’animal le plus lourd ? La palme revient cette fois sans conteste à la baleine bleue, dont le poids est compris entre 100 et 190 tonnes. Difficile à visualiser ? Imaginez que son cœur pèse à lui seul plus de 500 kg et occupe un volume comparable à celui d’une voiture de type citadine. La baleine bleue arrive donc très loin devant l’éléphant ou l’hippopotame, qui sont généralement considérés comme les animaux terrestres les plus lourds.
Sur terre, seuls les dinosaures auraient pu rivaliser avec la baleine bleue en termes de poids. Reste à voir si les profondeurs ne recèlent pas d’espèces inconnues encore plus énormes.
L’entreprise développe des interfaces de puces cérébrales qui, selon Elon Musk, pourraient permettre aux patients handicapés de bouger et de communiquer à nouveau. Musk a ajouté que la puce peut également à restaurer la vision.
Ces dernières années, Neuralink a effectué des tests sur des animaux afin d’obtenir l’approbation de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour commencer les essais cliniques sur des personnes.
S’adressant à une foule lors d’une présentation au siège de Neuralink qui a duré près de trois heures le mercredi 30 novembre, Musk a souligné la vitesse à laquelle la société développe son dispositif.
« Au début, les progrès, notamment en ce qui concerne les humains, sembleront peut-être terriblement lents, mais nous faisons tout ce qu’il faut pour les mettre à l’échelle en parallèle. Donc, en théorie, les progrès devraient être exponentiels. Nous voulons être extrêmement prudents et certains que cela fonctionnera bien avant de mettre un dispositif dans un humain. »
Les deux premières applications humaines visées par le dispositif Neuralink seront de restaurer la vision et de permettre le mouvement des muscles chez les personnes qui ne peuvent pas le faire.
« Même si quelqu’un n’a jamais eu de vision, jamais, comme s’il était né aveugle, nous pensons que nous pouvons toujours restaurer la vision », a souligné Elon Musk.
La dernière présentation publique de Neuralink, il y a plus d’un an, mettait en scène un singe équipé d’une puce cérébrale qui jouait à un jeu vidéo en réfléchissant seul.
Selon Elon Musk, la puce neuralink permettrait au cerveau de contrôler des appareils électroniques complexes et, à terme, permettra aux personnes paralysées de retrouver leur fonction motrice et de traiter des maladies du cerveau telles que la maladie de Parkinson, la démence et la maladie d’Alzheimer. Il a également évoqué la possibilité de fusionner le cerveau avec l’intelligence artificielle.
S’il est un produit qui fait actuellement recette sur les étals des marchés du Maroc, c’est bien la truffe connue localement sous le nom de Terfass, dont l’abondance en automne, est à l’origine d’un trafic commercial inhabituel dans la région à pareille époque de l’année.
L’abondance du Terfass, conjuguée à son prix abordable, estimé entre 250 et 400 dirhams le kg, n’est pas étrangère à cette agitation vécue par les marchés.
En effet, le Terfass fait le bonheur des populations qui lui prêtent, outre des bienfaits nutritifs, un goût « magique », selon leur propre expression.
La « passion » vouée à ce tubercule est tellement grande et demeurée intacte au fil du temps, que certains n’hésitent pas, au vu de son prix abordable, à s’en procurer de grandes quantités en vue de leur conservation aux congélateurs.
Un commerce de saison par excellence
Le Terfass fait également le bonheur des vendeurs saisonniers qui tentent d’en tirer le plus grand profit à pareille époque de l’année, d’autant qu’ils ont été gâtés cette saison par l’abondance du produit, limitant le seuil de ses cours à 1.000 dirhams le kg. Un prix qui permet relativement à toutes les familles de goûter à ce « champignon magique ».
Au grand bonheur du consommateur, le marché regorge actuellement de différents types de truffes, dont notamment la noire,
réputée de qualité supérieure, mais aussi la rouge sang
et la blanche de plus grand calibre, appelée localement « Belahrouche »,
dont la grande disponibilité en cette saison printanière est considérée, selon une croyance populaire locale, comme un signe annonciateur de « l’abondance des récoltes », et constitue un « présage de bonheur ».
Origine
LE MOT « truffe » désigne l'ascocarpe d'ascomycètes hypogés classiquement reconnus comme des discomycètes de l'ordre des tubérales, ordre qui a toutefois été abandonné par divers auteurs et rattaché à celui des pézizales. Des études d'ordre cytologique et ultrastructural, concernant les deux genres Tuber et Terfezia ont montré que les tubérales diffèrent des pézizales sur de nombreux points essentiels ; si elles dérivent probablement d'un ancêtre commun, elles ont dû évoluer séparément au sein des discomycètes.
Les tubérales sont représentées au Maroc par plusieurs espèces appartenant aux genres Delastria, Picoa, Terfezia, Tirmania et Tuber. Ces diverses espèces sont communément appelées « Terfass » ; elles se distinguent les unes des autres par la zone de récolte, la taille, la couleur ; la consistance des ascocarpes ainsi que, parfois, par l'hôte auquel elles sont associées. Ainsi, on parle de « Terfass rouge de Tafilalet », « Terifass blanc de Tafilalet », « Terfass rose de Mamora », « Terifass noir de zaïr », « Terifass de taïda », « Terifass mâle », « Terfass indicateur », etc. Ce sont des espèces comestibles qui font l'objet d'un commerce local important et très actif. La plupart sont printanières, quelques-unes (Delastria rosca, Terfezia leptoderma et Tuber oligaspermum) apparaissent par contre dès les mois de novembre et de décembre.
En règle générale les truffes marocaines sont récoltées au voisinage des plantes herbacées du genre Helianthemulm, notamment H. gattatum (syn. Tuberaria guttata L. Foureau) et H. Iipii, ou des pins, Pinus pinaster var. atlantica en particulier, avec lesquels elles forment des associations mycorhiziennes. La méthode de récolte la plus courante est celle dite « à la marque » (le sol est souvent gonflé et fendillé en surface au pied de la plante hôte).
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