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Le Glaucome.

  • Le glaucome, qu'est-ce que c'est ?
Le glaucome est une maladie de l'oeil qui provoque une diminution irrémédiable du champ de vision. Il est la conséquence de dommages au nerf optique. C’est d’abord la vision périphérique qui est touchée.
La personne qui en souffre peut devenir aveugle si elle ne reçoit aucun traitement. Le glaucome est d’ailleurs la 2e cause de cécité dans le monde dans les pays les moins développés du monde, après la cataracte.
Le plus souvent, le glaucome est associé à la suite de l’élévation de la pression à l’intérieur de l'oeil (pression intra-oculaire). Normalement, celle-ci ne devrait pas dépasser 21 millimètres de mercure (mmHg).
Cependant, on constate que chez près de 1 personne sur 3, les symptômes du glaucome apparaissent même si la pression dans l’œil est normale. Un moins bon apport sanguin vers le nerf optique, causé par de l’athérosclérose dans les vaisseaux qui irriguent ce nerf, pourrait être en cause. Que la pression à l’intérieur de l’oeil soit trop élevée ou non, le traitement demeure le même.

  • Les différents types de glaucome
        - Glaucome à angle ouvert
Comptant pour 80 % à 90 % des cas (chez les Caucasiens, les Noirs et les Hispaniques), ce type de glaucome se forme lentement sans causer de symptômes, sur une période de temps allant de 10 ans à 20 ans. L’"angle" dont il est question est celui formé par la jonction entre l’iris et la cornée. On l’appelle l’angle irido-cornéen (voir le schéma interactif).
Habituellement, les deux yeux sont atteints. Un des signes précurseurs importants est la hausse graduelle de la pression à l’intérieur de l'œil. Normalement, celle-ci ne devrait pas dépasser 21 millimètres de mercure (mmHg). La pression intraoculaire est détectable par un examen de la vue.
         - Glaucome à angle fermé
Plus rare (sauf chez les Asiatiques, chez qui il est fréquent), il survient à la suite d'une augmentation soudaine de la pression dans l’œil. Il s’agit d’une urgence médicale. Il donne lieu à une douleur oculaire extrême et à d'autres symptômes bien perceptibles, comme une baisse de vision et des halos colorés autour des lumières.
La pression intra-oculaire s’élève parfois jusqu’à 80 mmHg. Généralement, de telles crises arrivent en soirée au moment où l'éclairage est faible et où les pupilles se dilatent. Si ce type de glaucome n’est pas traité rapidement, la personne peut devenir aveugle. S’il est traité à temps, le risque de cécité est grandement réduit.
Le glaucome à angle fermé s'attaque d'abord et généralement à un seul œil, puis à l'autre dans les 5 ans en l’absence d’un contrôle adéquat.
Deux facteurs sont requis pour qu'une crise se produise : une prédisposition anatomique ou une dilatation de la pupille (l’orifice central de l’iris, là où passent les rayons lumineux). Elle peut se produire à la suite d'un long séjour à l'obscurité, d’un stress ou de l'usage de médicaments qui dilatent la pupille, comme les antispasmodiques, antihistaminiques, antidépresseurs et dérivés nitrés.
         - Glaucome congénital
Il peut survenir dès la naissance ou prendre quelques mois à se manifester. Le plus souvent, il touche les deux yeux. Parfois héréditaire, il peut représenter un problème isolé ou s'expliquer par une malformation oculaire (en général une cataracte congénitale) ou certaines maladies rares. Dans ce cas-ci également, il y a blocage de la sortie de l'humeur aqueuse.

  • Glaucome : qui est touché ?

Au Canada, 1 % des personnes âgées de plus de 40 ans en sont atteintes. Cette proportion grimpe à 5 % chez les personnes âgées de plus de 70 ans, et à 10 % au-delà de 80 ans. Le glaucome peut néanmoins se manifester à tout âge.
En France, plus d’un million de personnes seraient concernées, dont 400 000 personnes non traitées par ignorance de la maladie. Les plus de 40 ans sont principalement concernés, le glaucome peut néanmoins se manifester à tout âge.
  • Glaucome : quelles sont ses causes ?
Bien souvent, on ignore pourquoi le glaucome apparaît. L'hérédité est le principal facteur de risque. Par ailleurs et certaines caractéristiques anatomiques pourraient jouer un rôle.
Parfois, le glaucome est associé à un problème précis, tel que : - un traumatisme brutal sur l'oeil; - un autre problème de la vue : cataracte, myopie prononcée, uvéite chronique; - certaines maladies : diabète, hypertension, troubles cardiovasculaires, hypothyroïdie non contrôlée.
La prise de certains médicaments augmente aussi le risque de glaucome. C’est le cas, par exemple, des corticostéroïdes administrés directement dans les yeux ou par voie orale.
Remarque. Les corticoïdes en pompe pour l'asthme ou en crème ou onguent pour l'eczéma n'ont pas d'effet sur le glaucome.

Pourquoi la pression monte-t-elle ?
À l'intérieur de l'œil, entre la cornée et l’iris, se trouve un espace appelé chambre antérieure (après l’avoir agrandi, cliquez sur le schéma interactif ci-dessous). Cet espace est rempli d’un liquide appelé humeur aqueuse.
Ce liquide transparent exerce plusieurs fonctions : il maintient la pression intraoculaire, donne sa forme au globe oculaire et nourrit la cornée et le cristallin. L’humeur aqueuse est constamment renouvelée et circule dans l’œil.
Dans la plupart des cas de glaucome, une diminution de l’excrétion de l’humeur aqueuse par sa voie de sortie se produit. L’excrétion du liquide est soit ralentie de façon progressive, ce qui mène peu à peu au glaucome à angle ouvert, soit bloquée rapidement, ce qui provoque un glaucome à angle fermé.
Puisque l’humeur aqueuse ne s’évacue pas normalement, la pression à l'intérieur de l'œil s’accroît. La forte pression va provoquer une excavation de la tête du nerf optique qui altère les fibres optiques de la rétine et les détruit progressivement. Ceci entraîne un trouble de champs visuel périphérique généralement pas perçu par le patient.

  • Glaucome : comment le diagnostiquer ?
Voici les examens les plus couramment pratiqués.
        - Test de tonométrie
Il s’agit du premier test généralement entrepris. Le tonomètre mesure la pression à l’intérieur de l’œil. Deux techniques sont employées : on dirige un jet d’air pressurisé sur l’œil ouvert, c’est la tonométrie à air pulsé ou après instillation d’un collyre anesthésique un cone aplati est posé sur la cornée, c’est la tonométrie à aplanation.


Ce test est à la fois rapide et indolore. La pression intraoculaire normale se situe entre 8 mmHg et 21 mmHg.
        - Mesure de l’épaisseur de la cornée
Il est important de mesurer l’épaisseur de la cornée puisque celle-ci influence le résultat obtenu au test de tonométrie. Si la cornée est épaisse, la pression est surestimée; si la cornée est mince, la pression est sous-estimée.
        - Observation de l’œil
Des indices de dommages au nerf optique peuvent être observés à l’aide d’un appareil qui dirige une lumière dans l’oeil.
        - Test du champ de vision
Pour évaluer l’étendue du champ visuel, on demande à la personne de fixer une cible au centre d’une sphère illuminée, puis un point lumineux apparaît à différents endroits du champ visuel.
  • Glaucome : quand consulter ?
      - Consulter d'urgence dès qu'on ressent une douleur importante à l'oeil et qu'en même temps la vision baisse rapidement ;
      - consulter un médecin ophtalmologiste régulièrement pour prévenir toute affection oculaire ;
      - consulter un médecin pour tout problème associé au port de verres de contact.
  • Glaucome : les symptômes

       - Glaucome à angle ouvert

      - Sans symptômes durant 10 ans à 20 ans ;
      - puis, une vue périphérique embrouillée ;
      - parfois, des douleurs oculaires et des maux de tête ;
      - la cécité, à un stade avancé.

Note : habituellement, les deux yeux sont atteints.

        - Glaucome à angle fermé

       - Une douleur oculaire très forte ;
       - une vision soudainement floue ;
       - la vision de halos colorés autour des sources lumineuses ;
       - le rougissement des yeux ;
       - des nausées et des vomissements.

Note : une perte de vision permanente peut se produire dans la journée qui suit la crise, d’où l’importance d’obtenir un traitement le plus rapidement possible. En général, la crise n'atteint qu'un oeil.

         - Glaucome congénital

         - De gros yeux souvent larmoyants ;
         - un iris aux détails flous ;
         - une sensibilité accrue à la lumière.


Note : les symptômes peuvent prendre quelques mois après la naissance pour se manifester.
  • Glaucome : les personnes à risque.

  • Les personnes ayant des antécédents familiaux de glaucome ;
  • les personnes âgées de 60 ans et plus ;
  • les populations noires courent plus de risque de souffrir de glaucome à angle ouvert. Leur risque augmente dès l’âge de 40 ans. Les populations mexicaines ou asiatiques sont aussi plus à risque ;
  • les personnes atteintes de diabète ou d’hypothyroïdie ;
  • les personnes qui souffrent d’hypotension ou d’hypertension, et celles qui ont déjà eu des troubles cardiaques ;
  • les personnes ayant un autre problème oculaire (myopie prononcée, cataractes, uvéite chronique, pseudoexfoliation, etc.) ;
  • les personnes ayant eu une blessure grave à un oeil (un coup porté directement à l’oeil, par exemple).

  • Glaucome : les facteurs de risque

  • L’usage de certains médicaments, en particulier ceux à base de corticostéroïdes (pour le glaucome à angle ouvert) ou ceux qui dilatent la pupille (pour le glaucome à angle fermé) ;
  • la consommation de café et de tabac augmenterait de façon momentanée, légèrement la pression à l’intérieur de l’oeil.

  • Glaucome : comment le prévenir ?

               - Mesures préventives de base

  • Les personnes dont le risque de glaucome est plus élevé (en raison de l’âge, des antécédents familiaux, du diabète, etc.) ont tout intérêt à subir un examen complet de la vue tous les ans, dès la quarantaine ou plus tôt au besoin. Plus la hausse de pression intraoculaire est détectée tôt, plus on minimise les pertes de capacités visuelles ;
  • veiller à maintenir un poids santé et une pression artérielle normale. La résistance à l’insuline, qui accompagne souvent l’obésité et l’hypertension, contribue à hausser la pression à l’intérieur des yeux ;
  • enfin, toujours veiller à protéger ses yeux avec des lunettes protectrices durant la pratique d’activités risquées (manipulation de produits chimiques, soudure, squash, sports de vitesse, etc.).

  • Mesures pour prévenir les récidives

                - Précautions générales

  • Éviter l'usage de certains médicaments, en particulier les corticostéroïdes sous forme de gouttes oculaires ou par voie orale, ou tenir compte de leurs risques potentiels ;
  • avoir une alimentation riche en fruits et en légumes afin de combler autant que possible les besoins en vitamines et en minéraux ;
  • boire de petites quantités de liquides à la fois pour ne pas augmenter subitement la pression intraoculaire ;
  • limiter ou éviter la consommation de caféine et de tabac est parfois bénéfique ;
  • faire de l'exercice physique régulièrement peut atténuer certains symptômes du glaucome à angle ouvert, mais n’a pas d’effet sur celui à angle fermé.

Il est préférable de consulter un médecin pour choisir les exercices appropriés. Attention aux exercices vigoureux, à certaines postures de yoga et aux exercices avec la tête en bas, qui peuvent augmenter la pression dans les yeux.

  • au soleil, protéger les yeux des rayons ultraviolets en portant des lunettes aux verres teintés qui filtrent 100% des UV.

              - Prévenir une autre crise de glaucome à angle fermé

Le stress peut déclencher une attaque aiguë de glaucome à angle fermé. Il faut prêter attention aux facteurs qui génèrent du stress et tenter d’y trouver des solutions.

À la suite d'une première crise de glaucome à angle fermé, un traitement au laser permettra de prévenir une récidive. Ce traitement consiste à faire un petit trou dans l'iris avec un rayon au laser pour permettre l'écoulement de l'humeur aqueuse emprisonnée derrière l’iris. La plupart du temps, il est indiqué de faire traiter l’autre oeil à titre préventif.

Malheureusement, il n’existe pas de traitement curatif. L’acuité visuelle perdue en raison d’un glaucome ne peut être retrouvée. L’objectif du traitement est donc de prévenir ou de ralentir les dommages subséquents.

Pour ce faire, dans plusieurs cas, il s’agira de diminuer la pression à l’intérieur de l’oeil en améliorant la circulation de l’humeur aqueuse.

L’ophtalmologiste, le médecin spécialiste des soins de l’oeil, établira un plan de traitement et surveillera les capacités visuelles régulièrement. Les interventions possibles incluent des gouttes oculaires, des médicaments par voie orale, un traitement au laser et, au besoin, la chirurgie. Dans bien des cas, la prise de médicaments doit se faire à vie.

Si la cause du glaucome est identifiable, il sera important de la traiter. Par ailleurs, la corticothérapie administrée dans les yeux est contre-indiquée chez les personnes qui souffrent de glaucome.

Il est donc conseillé de ne pas entreprendre ou de cesser ce type de traitement. Dans certains cas, leur utilisation ne peut être évitée. Il est alors nécessaire d’obtenir un très bon suivi auprès d’un ophtalmologiste.

Pour le glaucome à angle ouvert

Les gouttes ophtalmiques (collyres)

Elles réduisent la pression dans l'oeil. Les gouttes sont fréquemment prescrites, car elles provoquent moins d’effets indésirables que les médicaments pris par voie orale.

Plusieurs types de gouttes ophtalmiques sont utilisés. Parmi les plus courantes, mentionnons les bêta-bloqueurs, les agents alpha-adrénergiques, les analogues des prostaglandines, les inhibiteurs de l’anhydrase carbonique et les myotiques.

La majorité de ces médicaments agissent à la fois en réduisant la production d’humeur aqueuse dans l’œil et en augmentant son excrétion.

Les effets indésirables varient d’un type de goutte à l’autre. Il peut s’agir, par exemple, d’une sécheresse de la bouche, d’une baisse de la tension artérielle, d’une baisse du rythme cardiaque, d’une irritation aux yeux, de rougeurs autour des yeux ou de fatigue.

Il est préférable d’informer son médecin des effets secondaires qui surviennent, s’il y a lieu. Il est important de bien suivre la posologie. Ce traitement est très efficace, à condition d’être suivi quotidiennement et à vie.

Les médicaments par voie orale

Si les gouttes ne permettent pas de réduire suffisamment la pression intraoculaire, ce qui est rare, une médication par voie orale peut être prescrite (par exemple, des inhibiteurs de l’anhydrase carbonique).

Cependant, ces médicaments provoquent plus souvent des effets indésirables et plus prononcés que les gouttes ophtalmiques.

Le traitement au laser

Cette intervention, appelée trabéculoplastie, est de plus en plus courante. Il arrive même qu’elle soit proposée avant l’emploi de gouttes ophtalmiques. Elle peut aussi être pratiquée si le glaucome s’aggrave malgré les traitements ou si la médication est mal tolérée.

Ce traitement au laser vise à aider la circulation de l’humeur aqueuse dans l’œil. L’intervention est indolore et rapide : elle se pratique en une ou 2 séances de 5 minutes. Un rayon laser est dirigé sur le trabéculum (voir le schéma des structures internes de l’œil plus haut). On ne s’explique pas exactement pourquoi elle fait diminuer la pression.

Même si une intervention au laser est pratiquée, un traitement médicamenteux (le plus souvent des gouttes ophtalmiques) doit tout de même être suivi à vie.

La chirurgie classique

Cette chirurgie à l’œil porte le nom de trabéculectomie. L'intervention vise à créer une nouvelle voie d'évacuation de l'humeur aqueuse, en enlevant un petit segment de trabéculum. La pose de tube est fréquente.

Le tube dirige l'humeur aqueuse dans un réservoir derrière l’œil. Environ 80 % des personnes qui subissent cette chirurgie n’ont plus besoin de gouttes ophtalmiques par la suite.

D’autres types de chirurgies sont en expérimentation. Éventuellement, elles pourraient remplacer la trabéculectomie. Cependant, il faudra encore plusieurs années avant de pouvoir déterminer leur efficacité. 

Pour le glaucome à angle fermé

Un traitement d’urgence est requis. On a recours à plusieurs médicaments pour réduire rapidement la pression intraoculaire.

Une fois la pression abaissée, l'idéal est d'ouvrir une voie de passage à travers l'iris, à l’aide d’un rayon au laser. Cette intervention porte le nom d’iridotomie périphérique. Ce traitement permet l’écoulement de l’humeur aqueuse, dans le but d’éviter les récidives.

Des gouttes anesthésiques sont préalablement appliquées sur l’œil, de même qu’une lentille cornéenne (retirée après le traitement). Après le traitement, des gouttes anti-inflammatoires sont prescrites et doivent être appliquées sur l’œil durant quelques jours. Il se peut que d'autres traitements soient nécessaires.

Pour le glaucome congénital

Seule la chirurgie peut corriger ce type de glaucome. Elle se pratique dès les premières semaines de la vie.

  • Glaucome : l'opinion de notre médecin

"Il y a une bonne et une mauvaise nouvelle en ce qui concerne le traitement du glaucome. Commençons par la bonne! Avec les traitements actuels, on réussit à garder une vision fonctionnelle chez la majorité des personnes atteintes de glaucome.

La moins bonne nouvelle est que le glaucome ne se guérit pas et qu’on ne peut redonner la vision qui est perdue. De plus, les traitements peuvent causer des effets secondaires. La majorité des patients arrêtent leur traitement ou ne mettent pas leurs gouttes régulièrement parce qu’ils ne remarquent pas d’amélioration, que celles-ci coûtent cher et ont des effets secondaires.

Or, tellement de mes patients sont devenus aveugles parce qu’ils avaient cessé leur traitement... Si votre traitement actuel vous pose problème, je vous encourage fortement à en discuter avec votre ophtalmologiste avant d’arrêter votre traitement. D’autres solutions s’offrent à vous."

  • Glaucome : les approches complémentaires efficaces

En prévention

Coleus (Coleus forskohlii)

Quelques essais cliniques menés sur un petit nombre de sujets indiquent que l’application de gouttes oculaires contenant 1 % de forskoline, une substance extraite de la racine du coleus, contribuerait à réduire la pression intraoculaire, chez des personnes en bonne santé.

En traitement de soutien

Bleuet (Vaccinium myrtilloides) et myrtille (Vaccinium myrtillus)

La tradition veut que le bleuet et la myrtille permettent de prévenir et soulager les symptômes de certaines maladies de l’oeil, comme le glaucome et la cataracte. Bien que l'efficacité de cet usage thérapeutique traditionnel n'ait pas été démontrée au cours d'essais sur des humains et qu’aucune autorité compétente n'ait reconnu sa valeur, les cliniciens, européens surtout, y ont recours.

Dosage : sous l’une ou l’autre des formes suivantes :

  • de 55 g à 115 g de fruits frais, 3 fois par jour ;
  • de 80 mg à 160 mg d’extrait normalisé (25 % d'anthocyanosides), 3 fois par jour.

Allergènes
Le naturopathe J.E. Pizzorno conseille de vérifier s’il n’y a pas des substances (alimentaires ou autres) auxquelles la personne atteinte serait allergique afin de les éviter.
La réponse allergique altèrerait la perméabilité vasculaire, ce qui pourrait contribuer à l’apparition d’un glaucome, selon lui.

Réduction du stress
Il serait important d’évacuer le stress associé à la perte de vision ou à la peur que cela ne survienne. À la Clinique Mayo, on recommande donc de trouver des moyens d’y remédier.
Consultez notre dossier Le stress et l’anxiété.

À titre indicatif, selon quelques recherches préliminaires, l’acide alpha-lipoïque, le ginkgo biloba et la vitamine C en supplément pourraient avoir des effets bénéfiques sur les symptômes du glaucome.Remarque. Il n'existe pas de preuves scientifiques que la naturopathie ait un effet sur le glaucome.

Top 3 des pays les plus visités au monde ?

France
En première place parmi les pays les plus visités au monde se trouve la France avec 89 millions de touristes par an.

  • Tour Eiffel – Paris
Le premier endroit le plus visité de France est Paris, qui occupe également la première place parmi les villes les plus visitées au monde.

  • Versailles
Le deuxième endroit le plus visité de France est Versailles.

  • Marseille
Le troisième endroit le plus visité de France est Marseille.


ESPAGNE
En troisième place parmi les pays les plus visités au monde est l’Espagne avec 84 millions de touristes par an.
  • Barcelone
Le premier endroit le plus visité d’Espagne est Barcelone, également connu pour les bâtiments originaux de l’architecte Antoni Gaudí et de ses contemporains.

  • Madrid
Le deuxième endroit le plus visité d’Espagne est Madrid, la capitale.

  • Séville
Le troisième endroit le plus visité d’Espagne est Séville, connue par le tourisme international pour sa beauté et son élégance.


LES ETATS-UNIS
En troisième place parmi les pays les plus visités au monde se trouve les États-Unis avec 79 millions de touristes par an.

  • New York
En première place parmi les endroits les plus visités aux États-Unis est New York.
  • Las Vegas
Le deuxième endroit le plus visité aux États-Unis est Las Vegas (Nevada).
  • Orlando
Le troisième endroit le plus visité des États-Unis est Orlando (Floride) avec ses parcs d’attractions tels que Disneyworld et Universal Studios.

La conférence de Hubert Reeves l'origine de la vie : Plongée fascinante dans le mystère de l'univers.



Dans cette conférence captivante, le célèbre astrophysicien Hubert Reeves explore les origines de la vie sur Terre et dans l'univers. Avec sa passion contagieuse et son expertise éclairée, il nous guide à travers les époques les plus lointaines de l'histoire cosmique, de la formation des premières étoiles à l'apparition des premiers organismes vivants.

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Le volcan Chiveloutch, à l'extrême Est de la Russie, est entré en éruption.




Le volcan Chiveloutch, à l'extrême Est de la Russie, est entré en éruption, projetant un nuage de cendres sur une vaste zone de la péninsule du Kamtchatka. Le JT de TF1 vous montre les images spectaculaires de ce phénomène.

 




Arbousier ou Arbre à fraise.

L'Arbousier ou Arbousier commun (Arbutus unedo), parfois appelé Arbre à fraises, est une espèce d'arbustes ou de petits arbres de la famille des Ericaceae, qui pousse sur l'ensemble du pourtour méditerranéen occidental mais aussi dans le nord du pourtour oriental. Son fruit est appelé Arbouse.

l’arbouse reste peu consommée au Maroc. Pourtant, ce petit fruit étonnant possède un goût délicat et un profil nutrition fort intéressant. À commencer par une teneur remarquable en pectine et en antioxydants qui lui confère de nombreux bénéfices pour notre santé.



Les vertus médicinales de l'arbousier

En usage interne

  • Tonique digestif : il stimule les sécrétions digestives et aide en cas de repas trop lourd ou trop copieux ;
  • Antispasmodique : il calme les douleurs de spasmes intestinaux liés aux diarrhées ;
  • Antiseptique, il aide à soigner les infections urinaires comme les cystites 
  • Hypotensif, il aide à diminuer la tension artérielle ;
  • Astringent, l'arbousier aide à resserrer les tissus du corps, en cas de manque de tonicité des veines mais aussi en cas de diarrhées par exemple ;
  • Anti-inflammatoire, il apaise les douleurs ;
  • Diurétique, il soutient l'élimination rénale d'eau et apaise en cas d'hypertrophie de la prostate ou d'urétrite ;
  • Antioxydant et anticoagulant ;
  • Sudorifique ;
  • Dépuratif et décongestionnant, il est aussi un allié pour les troubles de la circulation sanguine.

Les feuilles ont une action antioxydante et anticoagulante, agissantes comme antiagrégants plaquettaires intéressantes pour les cas de thromboses.

En usage externe

L'arbousier peut soulager les douleurs de gorge et les débuts d'angine en gargarisme.

Utilisation et posologie de l'arbousier

Voie interne

En phytothérapie, ce sont essentiellement les feuilles et les racines qui sont employées. Les fruits sont aussi comestibles crus ou cuits, à déguster frais, en jus, en marmelade, en confiture ou en liqueur.

En infusion, on utilise une cuillère à soupe des feuilles pour une tasse de 250 ml d'eau, à consommer 2 à 3 fois dans la journée.

En décoction : entre 5 et 8 grammes de racines pour 250 ml d'eau. Selon l'effet recherché, la prise et la fréquence varient, aussi renseignez-vous auprès d'un professionnel de santé.

L'arbousier se consomme sous forme de tisanes, d'extraits fluides, de teintures-mères et de gélules. Référez-vous aux dosages recommandés inscrits sur les compléments alimentaires par les laboratoires.

Voie externe

On peut utiliser l'arbousier avec les infusions de feuilles pour leurs vertus astringentes, en gargarisme.

Contre-indications de l'arbousier

On déconseille la consommation excessive du fruit frais de l'arbousier au risque de provoquer des troubles digestifs comme des coliques et des vomissements. Les personnes ayant des fragilités intestinales devront faire également attention à la consommation des fruits crus.

L'arbousier est déconseillé aux femmes enceintes et allaitantes. Dans les autres cas, il n'y a pas de toxicité aux dosages recommandés.

Composition et présentation de l'arbousier

L'arbousier contient de nombreuses substances actives dont les principales sont :

  • des glycosides et bioflavonoïdes (quercétine, hypérine) ;
  • des glycosides phénoliques (arbutine) ;
  • des lipides, des tanins ;
  • des vitamines E, C ;
  • de l'acide ascorbique, déhydroascorbique ;
  • des composés phénoliques, caroténoïdes et lycopènes ;
  • des glucides, du potassium ;
  • de la gaulterine et de l'arbustérine (feuilles).
Histoire de l'arbousier

Origines

L'arbousier est un arbuste de la famille des Ericacées, appelée communément arbousier commun. Son nom latin "Arbutus unedo" signifie l'arbre dont-on-ne-mange-qu'un-fruit, description faite par Pline l'Ancien. L'arbousier est en effet connu et utilisé depuis l'Antiquité. En Grèce antique, il était surnommé l'arbre miracle, associé à l'immortalité, certainement du fait de sa richesse en antioxydants.

On l'appelle aussi l'arbre aux fraises, arbre-fraise, car son fruit, l'arbouse, ressemble à une fraise. On le surnomme également tarboussier, olonier ou bien encore frôle.

L'arbousier pousse sur le pourtour méditerranéen occidental, dans les Pyrénées orientales, les Cévennes , le Var, la Corse, mais aussi dans les Landes jusqu'au littoral de la Loire-Atlantique. Ailleurs, on le trouve en Algérie et une espèce voisine pousse aussi en Grèce et en Turquie.

Botanique

Préférant les sols calcaires ou acides, plutôt bien drainés et ensoleillés, l'arbousier est un arbre pouvant atteindre 5 à 10 mètres de haut. Il possède une profonde racine pivotante de la même taille dans le sol.

En septembre et octobre, il se pare de nombreuses petites fleurs vert-blanc qui poussent en même temps que les fruits charnus. Ses feuilles dentées, ovales et vert foncé, sont persistantes et riches en tanins.

Usages

Le bois de l'arbousier est utilisé en marqueterie et pour la création d'objets tournés. En France, il pousse à l'état sauvage dans la partie sud du pays mais il est surtout utilisé comme plante ornementale, résistant jusqu'à -15°C.

Usage culinaire de l'arbousier

L'arbousier entre dans la composition de plusieurs pâtisseries et de boissons alcoolisés, de liqueurs, d'eau-de-vie, de vin distillé, apportant une note sucrée et acidulée.

La ménopause


La ménopause est la période de la vie d'une femme marquée par l'arrêt de l'ovulation et la disparition des règles. Elle survient généralement vers l'âge de 50 ans, mais peut se produire naturellement entre 40 et 55 ans. Les symptômes incluent bouffées de chaleur, fatigue, irritabilité et troubles du sommeil. La ménopause est causée par l’arrêt du fonctionnement du cycle ovarien et une baisse des taux d’œstrogènes circulants dans le sang.
La ménopause est un processus physiologique naturel, c'est-à-dire une étape obligatoire dans le vieillissement. Elle consiste en un arrêt de l'ovulation à cause d'un épuisement de tous les follicules primordiaux situés dans les ovaires qui sont responsables de la libération des ovocytes dans les trompes utérines. Il y a donc un arrêt définitif des règles et donc des cycles menstruels à cause de l'arrêt de la sécrétion d'œstrogènes. La ménopause est confirmée avec certitude après une période d'absence de règles de 12 mois consécutifs.

• Préménopause

La ménopause est souvent précédée par la préménopause ou "périménopause", période pendant laquelle les activités ovariennes sont ralenties et les hormones féminines diminuent. Les cycles menstruels sont alors irréguliers, d'abord raccourcis puis allongés avec des règles de plus en plus espacées. Elle dure environ 5 ans avant l'interruption définitive des règles, et peut parfois déjà donner quelques bouffées de chaleur, de la fatigue, une irritabilité, ou des troubles du sommeil.

• Ménopause précoce

La ménopause précoce survient avant 40 ans, touchant 1 à 2% des femmes. Les fumeuses peuvent présenter une ménopause avancée de 1 à 2 ans. Elle est directement liée au stock d'ovules qui s'épuise.

• Ménopause tardive

La ménopause tardive survient après 55 ans, voire 60 ans. Elle est souvent familiale ou causée par une obésité.

Quels sont les symptômes de la ménopause ?

La ménopause entraîne une grande variété de symptômes. Heureusement, la majorité des femmes ne connaîtront que quelques uns d'entre eux :

  • - bouffées de chaleur,
  • - changements du cycle menstruel,
  • - troubles du sommeil,
  • - troubles de l'humeur,
  • - sécheresse de la peau, des cheveux et du vagin,
  • - incontinence urinaire,
  • - maux de tête, fatigue, prise de poids,
  • - ostéoporose.

Les risques de maladies cardiovasculaires augmentent après la ménopause. Dix ans après celle-ci, les risques encourus par les femmes sont aussi élevés que ceux encourus par les hommes du même âge.

Les bouffées de chaleur

Présentes chez 75 % des femmes, les bouffées de chaleur s'accompagnent parfois de rougeur du visage et d'accélération du pouls. Elles durent de 30 secondes à deux minutes. Elles peuvent être spontanées ou être déclenchées par des aliments épicés, des boissons chaudes, l'alcool, la caféine ou le stress. Elles commencent à apparaître plutôt la nuit pour se manifester ensuite dans la journée. La nuit, elles s'accompagnent parfois d'une forte transpiration : les sueurs nocturnes, qui perturbent le sommeil. Les bouffées de chaleur durent en général quelques mois, puis s'atténuent.

Les changements du cycle menstruel

  • Ils commencent avant la menopause proprement dite. Les règles deviennent plus ou moins abondantes, leur fréquence est irrégulière. Attention, consultez votre médecin si :
  • vous observez des saignements après les rapports sexuels, entre les règles, ou de manière inattendue ;
  • les règles sont très abondantes à moins de trois semaines d'intervalle, avec présence de caillots de sang.

Les troubles du sommeil

Outre l'inconfort des sueurs nocturnes, les modifications hormonales de la ménopause peuvent être à l'origine d'insomnies, avec des conséquences négatives sur la vigilance et sur la mémoire.

Les troubles de l'humeur

Les sautes d'humeur et l'irritabilité observées avant et pendant la ménopause sont dues à la fois aux changements hormonaux et aux troubles du sommeil. Parfois, des épisodes dépressifs sont également observés.

La sécheresse vaginale

La chute du taux d’estrogènes dans le sang entraîne une baisse de la lubrification vaginale ainsi qu’un amincissement et une perte d’élasticité des parois du vagin. Ces changements peuvent avoir un impact sur la vie sexuelle, aggravé parfois par une diminution du désir lié aux changements hormonaux de la ménopause.

Les troubles urinaires

La ménopause peut s'accompagner d'incontinence urinaire si les muscles du périnée perdent de leur tonus. De trop nombreuses femmes continuent à passer sous silence ces troubles, parfois très invalidants. Pourtant, des traitements existent et il ne faut pas hésiter à en parler avec son médecin.

Les autres signes

Au cours de la ménopause, certaines femmes se plaignent également de maux de tête, de fatigue, de douleurs musculaires, prise de poids et de sécheresse de la peau et des cheveux.

Quelles sont les complications éventuelles de la ménopause ?

L’abaissement du taux d'estrogènes a des conséquences à long terme sur les os, les vaisseaux sanguins et le cœur. Après la ménopause, le risque de déminéralisation des os est plus élevé, entraînant leur fragilisation et leur fracture en cas de chute : c'est l'ostéoporose.

Si les risques de maladies cardiovasculaires (hypertension artérielle, maladie coronarienne, athérosclérose, infarctus, accident vasculaire cérébral) sont plus faibles chez les femmes que chez les hommes, ils augmentent néanmoins après la ménopause. Dix ans après celle-ci, les risques encourus par les femmes sont aussi élevés que ceux encourus par les hommes du même âge.

Rhinite saisonnière, rhinite des foins ou rhinite allergique.


La rhinite saisonnière, aussi appelée rhume des foins, est une réaction allergique causée par l’exposition aux pollens.
La rhinite saisonnière débute habituellement au printemps, lorsque certains arbres pouvant causer des allergies libèrent leur pollen dans l’air. Par la suite, d’autres plantes allergènes libèrent leur pollen tout au long de l’été, et ce, jusqu’à la mi-octobre. Les réactions allergiques causées par les différents pollens se manifestent à peu près aux mêmes périodes chaque année, soit :
     - de mars à juin (pollen des arbres et des arbustes);
     - de mai à octobre (pollen des graminées, tels que le gazon, le foin, 
        le pâturin et le brome);
     - de juillet à octobre (pollen de l’herbe à poux).


Les changements climatiques allongent la période pendant laquelle les plantes et les arbres produisent du pollen. Par conséquent, la période des allergies risque elle aussi de se prolonger au cours des prochaines années.
    💨LES SIGNES CLINIQUES 


La rhinite saisonnière cause différents symptômes, qui sont principalement provoqués par l’inhalation du pollen. Les symptômes peuvent prendre les formes suivantes :
  • aggravation de l’asthme, si la personne en souffre déjà;
  • congestion nasale;
  • signes de conjonctivite :

        - démangeaisons des yeux
        - écoulement purulent des yeux;
        - gonflement des paupières;
        - larmoiement;
        - rougeur des yeux;
        - écoulement nasal clair et abondant;
        - éternuements à répétition;
        - maux de tête;
        - picotements et démangeaisons du nez, de la gorge et des oreilles.
Les effets secondaires de la rhinite saisonnière affectent aussi la qualité de vie de la personne allergique et de sa famille. Du printemps à l’automne, les activités quotidiennes ou sportives, les loisirs et le rendement au travail ou à l’école peuvent ainsi être perturbés par :
  • de la fatigue;
  • de l’irritabilité;
  • des problèmes de concentration;
  • des troubles du sommeil
  • 💨Quand consulter un médecin ?
 Vous devez consulter un médecin si :
     - vos symptômes persistent et nuisent à votre qualité de vie;
     - vos symptômes ne sont pas soulagés par les médicaments en vente         libre;
     - vous tolérez mal les effets secondaires des médicaments.

    💨Traitements
Certains médicaments sont offerts en vente libre pour soulager les réactions allergiques de la rhinite saisonnière. Avant de les utiliser, consultez un professionnel de la santé, par exemple un pharmacien.
Le médecin peut prescrire d’autres traitements et d’autres médicaments que ceux qui sont offerts en vente libre aux personnes souffrant d’allergies graves aux pollens. Ces traitements varient d’une personne à l’autre. Le médecin les propose et les ajuste selon l’intensité des symptômes et la réaction de la personne allergique aux différents médicaments.
Lorsqu’une personne souffre d’allergies respiratoires graves qui ne sont pas soulagées par les médicaments, le médecin peut suggérer une désensibilisation, parfois appelée immunothérapie. Ce traitement vise à réduire la sensibilité de l'organisme de la personne à la substance responsable de l’allergie et à faire diminuer de façon importante les réactions allergiques. Le traitement consiste à administrer à la personne une petite dose de la substance à laquelle elle est allergique. Cette dose est introduite dans l’organisme de la personne par injection, c'est-à-dire par une piqûre faite à l’aide d’une seringue. La personne reçoit plusieurs injections pendant plusieurs mois ou années. La dose administrée est progressivement augmentée d’une visite à l’autre.

      💨Complications
Les complications de la rhinite saisonnière peuvent prendre la forme :
  1. de sinusites à répétition;
  2. de symptômes d’asthme allergique :
     - toux,
     - essoufflement rapide,
     - respiration sifflante.

Chez les enfants, une rhinite saisonnière non traitée peut causer :
     - des sinusites à répétition;
     - des otites.

      💨Protection et prévention
Plusieurs mesures simples et efficaces visant à éviter le contact avec le pollen peuvent vous permettre de réduire les symptômes de la rhinite saisonnière :
  • Évitez d’aller à l’extérieur lorsque la concentration de pollen est plus élevée, c’est-à-dire :
       - entre 7 h et 13 h;
       - par temps chaud ou sec;
       - lors des journées venteuses.
  • Si possible, gardez les fenêtres de votre résidence et de votre voiture fermées.
  • Utilisez un système d’air conditionné qui recycle l’air ambiant de votre résidence ou qui comporte un filtre à pollen.
  • Portez des lunettes de soleil à l’extérieur.
  • Changez de vêtements et lavez-vous dès votre arrivée à la maison.
  • Ne faites pas sécher vos vêtements à l’extérieur.
  • Évitez les activités qui favorisent la dispersion des pollens comme la tonte de la pelouse ou le ramassage des feuilles mortes.
  • Évitez de fréquenter les lieux où la concentration de pollen est élevée.
  • Évitez le contact avec d’autres irritants, comme la fumée de tabac, qui peuvent augmenter les symptômes d’allergie.
La meilleure façon de prévenir les effets de la rhinite saisonnière sur votre santé est de réduire la quantité de pollen dans l’air en éliminant l’herbe à poux sur votre terrain.

Une tempête de grêle paralyse l'Arabie Saoudite

 

Une violente tempête de grêle s'est abattue sur le nord de l'Arabie saoudite, ensevelissant le désert et plusieurs villes sous une épaisse couche de glace. 

 

       

 

RDC : Ituri: un vieillard de 145 ans tire sa révérence au village Nderi


Un vieillard du nom de Aubabe Giridubho Mooro, est décédé dimanche à 146 ans à Nderi, village se trouvant dans le territoire d’Aru, dans la province de l’Ituri, a appris l’ACP de la radio Tangazeni Kristo de cette entité coutumière captée à Bunia.


A en croire la source, cet homme est considéré comme le plus vieux de la RDC voire même de l’Afrique. Il est né à Nderi en 1877 en territoire d’Aru, dans la province de l’Ituri où il a vécu seul sans femme. Sa survie dépendait de la charité de la population, a affirmé la même source, qui signale que son inhumation est prévue au courant de cette semaine.

Fleur d'oranger

    


La fleur d'oranger ou fleur d'oranger amer est la fleur blanche parfumée du bigaradier. On utilise cette fleur pour produire l'eau de fleur d'oranger.
Elle est utilisée depuis l'Antiquité pour ses vertus aromatiques, médicinales et cosmétiques, notamment par les civilisations arabes et persanes.

Aujourd’hui, le Maroc est l’un des premiers producteurs de cette fleur dont les produits obtenus sont divers et très recherchés : néroli (pour laquelle 1 000 kg de fleurs sont nécessaires pour produire 1 litre), eau de fleur d’oranger, absolue de fleurs d’oranger (obtenue par extraction aux solvants volatils des fleurs). C'est non loin de Rabat, dans la région de Khémisset, que sont plantés des milliers d’arbustes et d’arbres aux feuilles en fuseau, persistantes et luisantes : les Citrus aurantium — plus communément appelés bigaradiers, issus de la grande famille des Rutacées qui compte 900 espèces, réparties en 150 genres, à l’instar des agrumes. Si les uns sont tantôt intenses et doux, tantôt relevés et léchés, le bigaradier, qui mesure entre 5 et 10 mètres, se distingue autant par les notes amères de son petit fruit — la bigarade ou orange amère, dont la chair est acide, peu juteuse et emplie de pépins — que par ses fleurs blanches, plus grandes que celles de l’oranger doux.


QUELQUES EAUX FLORALES D'ORANGER DU MAROC :