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Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Quelques photos exceptionnelles du Maroc.

Roulez seulement à 20 km/h !


Les bus scolaires...


Le marketing...


Le Maroc, ses brouchites de polle...
On ne se laisse jamais surprendre par le désert...


Au Maroc les règles sont claires...


...et les lampadaires !


Au maroc on respecte l'environnement...

Un chien a parcouru 42 kilomètres, d’Ain Défali à Méchra Bel Ksiri, pour retrouver son maître , quarante jours plus tard.

Ce chien a été offert à une personne qui l’a embarqué de nuit dans sa voiture en direction d’Ain Défali. Il s'est évadé et quarante jours plus tard, le chien est apparu devant la porte de la maison de son maitre à Mechra Bel Ksiri.


Tout le monde s’étonne, comment a-t-il pu parcourir tant de kilomètres et retrouver son éleveur d’origine. Toute la famille est heureuse et les voisins viennent lui rendre visite pour faire connaissance de ce grand voyageur !

Les maladies les plus rares du monde


Un jumelage de la commune d'Ain Défali avec une commune étrangère serait souhaitable.


L’idée de jumeler Ain Défali avec une autre commune étrangère est une volonté de créer des relations entre des communautés, pour échanger des idées, des opinions et des expériences. Pour qu’un jumelage soit efficace, il est important que les jumelles se ressemblent en taille et aient des intérêts communs.


Chacune d’elles peut alors apporter à l’autre des idées nouvelles sur la vie de la commune, que ce soit au niveau de l’éducation, de l’économie, de la culture, etc.                                                                                      

Un jumelage, c’est aussi une ouverture d’esprit sur le monde. Cela permet de découvrir un autre mode de vie, avec ses avantages et ses défauts, et d’accepter ces différences.

A 60 kilomètres d'Ain Défali,

Massif montagneux s’étendant au nord de Meknès et à l’ouest de Fès sur une superficie de 275 km², le Zerhoun occupe une position carrefour dans le Maroc du Nord. Ainsi définie, cette région est depuis toujours une terre d'accueil et de brassage entre plusieurs peuples et civilisations partant du néolithique jusqu'à nos jours en passant par la haute antiquité et la période médiévale.




Cette zone recèle un patrimoine culturel et naturel riche et diversifié, il s'agit notamment de : - sites archéologiques, (les derniers témoignages ont permis de porter le nombre de sites antiques reconnus autour de Volubilis à 325).








- tissu urbain traditionnel marqué notamment par la Médinade Moulay Idriss ;








- villages ruraux à savoir les douars de Moussaoua, Mghaçiyine, Hamrawa, Sidi Moulay Ali Chrif et Sidi Ahmed Dghoughi, Kermat Ben Salem, Beni Ammar ; - monuments historiques (kasbah Necrani, kasbah sidi Ali, kasbah Nzalet Beni Ammar,…) ; - patrimoine colonial en particulier les fermes et les ponts remontant au protectorat français ; - moussems religieux (moussem de Moulay Idriss, moussem de Sidi Ali ben Hamdouch,…) ; - fêtes traditionnelles (El miloud, l’Achora, Chaâbana, le 26e jour de Ramadan,…); - savoir - faire ancestral (gastronomie locale, broderie traditionnelle, poterie prérifaine,...) - festivals (festival de Volubilis dédié à la musique méditerranéenne, festival de la musique sacrée à Volubilis, festival du printemps de la poésie à Zerhoun, festival culturel et artistique à Beni Ammar,…) ;- paysages naturels (les forêts, les oliveraies, les sources naturelles, les vues panoramiques,…)
En outre, le nom de Zerhoun reste intimement lié à l'olivier et à l'huile d'olive. Autour du site archéologique de Volubilis et de la ville de Moulay Idris Zerhoun, l'olivier est partout présent dans le paysage, et les techniques traditionnelles rappelant l'antiquité sont, encore en partie, en usage dans ce terroir. Cette région compte plus d'un million d'oliviers. Les oliveraies prospèrent sur les piémonts des massifs et les versants des vallées. Des promenades très agréables peuvent être effectuées dans ces oliveraies.




Entre 1940 et 1948, 200000 marocains sont morts sacrifiés par et pour la France.

Peu de gens le savent mais entre 1940 et 1948 la France au travers de sa résidence générale a fait réquisitionné dans tout le Maroc un maximum de ressources naturelles et humaines pour son effort de guerre.
Ces réquisitions créèrent des pénuries alimentaires qui pour la population marocaine se transformèrent rapidement en l'une des pires famine que connu le Maroc. Cette famine provoqua à elle seule la mort d'environ 200000 marocains qui aujourd'hui encore restent des anonymes sacrifiés qui n'auront jamais été honorés dignement par la France.



Evolution de l'état civil au Maroc.

L’histoire de l'état-civil au Maroc a connu une importante évolution depuis le protectorat jusqu'à l'indépendance du pays et même après cette étape.

Le premier régime d'état-civil au Maroc date de 1915. Il était accessible uniquement aux étrangers résidant au royaume pour les besoins d'enregistrement des naissances et décès, ainsi que pour la célébration des mariages.

 En 1931, seuls les Marocains bénéficiant d'une aide familiale ont pu accéder à ce service.

 Ce n'est qu'en 1950 que le premier régime de l'état-civil propre aux Marocains a pu être instauré. Depuis, de profonds changements ont été opérés pour l'extension de ce régime aux zones sud et nord du pays.

Une révision globale des textes relatifs à l'état-civil n'a été réalisée qu'en 2003, avec la promulgation de la loi 37-99, qui a instauré une nouvelle procédure pour le choix des prénoms. Cette évolution des textes a été accompagnée par une évolution du nombre des bureaux d'état-civil, qui est passé de 112 en 1915 à 2.172 en 2008.

D'ici 2011,  des millions de citoyens seront enregistrés dans un système d'état civil modernisé par l’intermédiaire d’une base de donnée informatisée et interconnectée. Il offrira une meilleure qualité de suivi personnalisé.


Ces photos qui ont marqué l'histoire nationale...

Une photo est plus parlante que des mots, figeant une fraction de seconde, elle reste encore plus parlante qu'une vidéo de plusieurs minutes. La magie et la force de la photo permettent de capturer les instants les plus marquants de l'histoire des 100 dernières années depuis l'invention de la photographie.
  • 5 août 1912 : Le sultan MOULAY HAFID vient de signer le 30 mai le traité de protectorat, dit traité de Fès, mais sa personnalité inquiète Lyautey, qui lui préfère son jeune frère MOULAY YOUSSEF, et il le force à abdiquer pour "raisons de santé".


  • 18 novembre 1927 : Mort du Sultan MOULAY YOUSSEF. Les Français imposent comme Sultan son 3ème fils Sidi Mohammed, âgé de 17 ans, censé être plus docile.

  • 1934 : Le sultan Sidi Mohammed accompagné du jeune prince Moulay Hassan rend visite à Lyautey dans sa résidence de Thorey. Le jeune souverain ne connaissait que très peu Lyautey, mais il avait une grande admiration pour lui.Lyautey mourut quelques semaines plus tard le 27 juillet 1934, Lyautey fut enseveli à Rabat. En 1961, sa dépouille sera ramenée en France pour être déposée à l'Hôtel des Invalides.

  • 22 janvier 1943 : Le futur roi Mohammed V et le Président américain Roosevelt se rencontrent et dînent en apparté à Casablanca. Roosevelet apporte son soutien tacite dans le combat futur que mènera le souverain pour l'indépendance du Maroc.
  • 16 novembre 1955 : Retour triomphal de Mohammed Ben Youssef, futur roi Mohammed V, à Rabat.

  • 29 février 1960 : A 23h 40'15" un tremblement de terre d'une durée de 15 secondes et d'une magnitude de 6,7 sur l'échelle de Richter frappe Agadir.
Les quartiers de Founti, Talbordj, Yachech et la Kasbah sont détruits à 90-95%, la ville nouvelle à 50%. Le nombre de victimes est estimé entre 12.000 et 15.000 personnes.



  • 6 novembre 1975 : La marche Verte (مسيرة خضراء) désigne une marche pacifique lancée par le roi marocain Hassan II le 6 novembre 1975 dans le but de récupérer le territoire du Sahara occidental occupé par l'Espagne. Les Marocains considèrent cette Marche Verte comme une récupération de territoires qui historiquement étaient marocains.

  • 23 Juillet 1999 mort de feu sa majesté le roi Hassan II.