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L’Arabie saoudite relâche le prince Miteb Ben Abdallah arrêté dans la purge anti-corruption

Le prince Miteb Ben Abdallah, ancien chef de la garde nationale, aurait accepté de « restituer » un milliard de dollars aux autorités en échange de sa remise en liberté. 

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Le prince Miteb Ben Abdallah,
ancien chef de la garde nationale.

Il est le premier Saoudien de sang royal à sortir de la prison dorée du Ritz-Carlton. 


L’hôtel Ritz-Carlton, à Riyad, le 5 novembre.

Le prince Miteb Ben Abdallah, 65 ans, ex-ministre de la garde nationale, victime de l’opération anticorruption lancée au début du mois, a été autorisé à quitter le palace de Riyad où des dizaines d’autres VIP, dont le célèbre prince milliardaire Al-Walid Ben Talal, sont toujours détenus et interrogés.
Selon un responsable gouvernemental, cité par l’agence Reuters, la remise en liberté du prince Miteb est la conséquence d’un accord transactionnel passé avec les autorités, qui se chiffrerait à 1 milliard de dollars (845 millions d’euros).


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Dans un récent entretien avec le New York Times, le prince héritier Mohammed Ben Salman, instigateur avec son père, le roi Salman, de cette spectaculaire purge, a estimé à 100 milliards de dollars le montant des fonds frauduleusement acquis qui pourrait être récupéré au moyen de ces arrangements financiers.
Des deux cents dignitaires arrêtés le 4 novembre, le prince Miteb, fils du défunt roi Abdallah, est celui du rang le plus élevé. La garde nationale qu’il commandait, une unité d’élite de 80 000 hommes attachée à la protection des palais royaux et des sites pétroliers, constitue l’un des trois bras armés du royaume, avec les forces du ministère de l’intérieur et celles du ministère de la défense.
Parmi les autres personnalités frappées de disgrâce figurent une dizaine de princes comme Al-Walid Ben Talal, magnat des médias et première fortune du monde arabe, de hauts fonctionnaires comme Adel Al-Faqih, ministre de l’économie, et des hommes d’affaires à la tête d’empires économiques, comme Bakr Ben Laden, patron du géant du BTP du même nom, et Walid Al-Ibrahim, dirigeant du groupe audiovisuel MBC.

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                              Al-Walid Ben Talal                                 Adel Al-Faqih



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Bakr Ben Laden                             Walid Al-Ibrahim

Manœuvre politique La chute de ces puissants a été interprétée par de nombreux analystes comme une manœuvre politique, destinée à neutraliser tous les pôles de pouvoir susceptibles de faire de l’ombre au prince héritier  Mohammed Ben Salman.



Taïwan en ombre chinoise

     
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 La capitale taïwanaise vit la nuit grâce à ses marchés nocturnes
et à ses librairies ouvertes 24 h/24. Un bouillonnement
que l'on peut observer depuis les hauteurs d'Éléphant Mountain
 Des falaises tombant dans la mer, des montagnes creusées de ravins, des collines à thé et une capitale gourmande... Entre la mer de Chine et l'océan Pacifique, l'île de Taïwan surprend par la variété de ses atmosphères. Entre Chine et Japon, l'ancienne Formose invite au voyage, loin des idées reçues...
A quoi ressemble Taïwan? «Demandez à dix Taïwanais quel est leur plat favori et vous aurez dix réponses différentes», répond à sa manière André Chiang, la coqueluche de la nouvelle gastronomie taïwanaise. Une façon de dire que Taïwan ne s'enferme pas dans une boule à neige et qu'elle ne se résume pas à une liste de sites touristiques gravée dans le marbre. L'ancienne Formose possède bien quelques décors de carte postale, mais les visiter à la queue leu leu, parmi les touristes chinois, ne suffit pas à saisir l'esprit des lieux.
Le vrai charme de l'île est ailleurs, et le déceler demande un peu de patience. Commençons par Taipei, la capitale. Le visiteur sera d'abord désarçonné par cette mégapole de 2,7 millions d'habitants (près de 7 millions avec l'agglomération) quadrillée d'autoroutes et d'avenues interminables, hérissée d'immeubles portant leurs climatiseurs extérieurs comme des verrues. Qu'il ne se décourage pas. Taipei cache, sous son manteau gris, mille et une petites perles. Yongkang Street, où les badauds avalent des glaces à la mangue parmi les taxis jaunes, les mamies à vélo et les beautés à scooter.
Le marché de Nanmen, où les étals de fruits grumeleux, de poissons séchés et de baos (brioches farcies) se succèdent sur trois étages. Dihua Street, surtout, où les traces de l'occupation japonaise (de 1895 à 1945) se lisent sur les façades. C'est aujourd'hui une artère vibrante où l'on vient chercher des herbes, des racines et des champignons séchés aux pouvoirs mystérieux. Dans les ruelles adjacentes, la jeunesse taïwanaise ouvre des boutiques indépendantes pas plus grandes qu'un mouchoir de poche et des cafés voulant rappeler l'atmosphère coloniale des années 1920.

Lieu de pèlerinage pour beaucoup de Taïwanais, le mémorial Tchang Kaï-chek surplombe un magnifique jardin de 25 hectares.

«Taipei est une ville créative, sympathique, qui bouge», observe la styliste Sophie Hong. Cette petite femme énergique porte haut les couleurs de la haute couture taïwanaise. Ses élégantes vestes en soie laquée à double col, tout en transparence, font mentir l'image de fabrique industrielle qui colle encore à son pays. «Nous ne sommes plus l'usine textile du monde! Nous avons atteint une vraie qualité. Et, au-delà de notre double culture sino-japonaise, nous sommes en train de trouver notre propre voie.»
Découverte en 1542 par les Portugais qui la baptisèrent Formosa («la Belle»), l'île fut d'abord colonisée par les Hollandais avant de devenir une importante terre de migration chinoise après l'accession au pouvoir des Mandchous au XVIIe siècle. Cédée au Japon en 1895, elle connut une seconde vague de colonisation chinoise après 1945. Fuyant le régime communiste de la République populaire de Chine, Tchang Kaï-chek (Jiang Jieshi) s'y réfugia, accompagné de plus de 2 millions de continentaux…

Au beau milieu de Taipei, le mémorial Tchang Kaï-chek célèbre la mémoire de l'ancien président et généralissime de Chine avec une pompe qui n'est pas sans style. Au bout d'une immense esplanade encadrée de deux palais d'architecture chinoise, 89 marches mènent au bâtiment de marbre coiffé de tuiles bleues qui abrite la statue de Tchang Kaï-chek. Celui-ci a le regard orienté pour l'éternité vers le continent qu'il espéra en vain reconquérir depuis la petite Taïwan…
Si l'urbanisme de Taipei a énormément pâti de l'arrivée soudaine et massive des Chinois, la capitale a toutefois gagné un trésor: l'incroyable collection d'art et d'antiquités chinoises transférée à Taïwan en 1948, au plus fort de la guerre civile chinoise. Le Musée national du palais abrite désormais des merveilles de jade, d'ivoire et de porcelaine provenant en grande partie de la Cité interdite de Pékin. «Taïwan a conservé vivant tout ce que la Chine de Mao Zedong a détruit et interdit: les temples, les spectacles de théâtre, d'opéra, de musique ou encore de marionnettes», explique Robin Ruizendaal.

Ce Hollandais installé sur l'île depuis vingt-cinq ans dirige le musée des Marionnettes de Taipei, qui présente la collection la plus complète du genre de toute l'Asie. «A Taïwan, il existe encore plus de 300 compagnies traditionnelles qui jouent dans la rue, devant les temples. Ce n'est pas un art mineur, mais au contraire un art religieux et populaire central, très vivant.» Même sans marionnettes, les temples de Taipei demeurent un spectacle en soi. On y vient à toute heure s'incliner devant les divinités bouddhistes placées au fond de chapelles surchargées d'or et saturées d'encens.
Le temple Longshan (1738) est le plus célèbre et le plus fréquenté, mais on lui préfère celui de Dalongdong Bao'an, juste à côté du majestueux temple de Confucius. Sous le rougeoiement des lanternes en tissu, les fidèles accomplissent les gestes rituels dans un décor peuplé de dragons, de tigres et des huit immortels de la légende chinoise. On agite les baguettes d'encens, on fait bénir son plateau d'offrandes, on jette les blocs de divination, croissants de bois servant à poser une question aux dieux…

Quand on ressort dans la rue, c'est pour tomber sur une autre agitation, celle du quartier de Datong. Devant les échoppes ouvertes sur la rue, les vendeurs ambulants proposent des boules de riz gluant, des bouillons bruns, des œufs marbrés au thé noir, du foie de porc et des calamars frits. Les casseroles bouillent, les poêles fument et grésillent, les scooters vrombissent, les néons clignotent… Taipei se dévoile la nuit. Dès 18 heures, des marchés nocturnes, temples de la cuisine de rue, ouvrent dans chaque quartier.
On dévore des omelettes aux huîtres au marché de Ningxia, du tofu fermenté à celui de Shilin, des calamars caramélisés à celui de Raohe Street, notre préféré. Bao poivré au porc, haricot noir givré, bâtonnet de durian, rouleau de printemps glacé à la coriandre et au taro, nouilles sautées et abats: de bouchée en gorgée, on se dépayse en quelques mètres pour une poignée de dollars taïwanais. Quand on a assez bu et mangé, on part se faire masser les pieds ou prédire son avenir par des petits oiseaux en cage aux dons divinatoires…


Sous leur apparence anarchique et négligée, les marchés nocturnes de Taipei offrent le meilleur de Taïwan. Des produits frais, inattendus, cuisinés minute et servis avec le sourire: la bienveillance des Taïwanais n'est pas légendaire. «Ici, on mange 24 heures sur 24! sourit le chef André Chiang. Les produits qui ne sont pas vendus sur le marché le jour sont cuisinés le soir même. Notre cuisine respecte les 24 jalons (microsaisons) du calendrier chinois.
Certains produits n'ont pas plus de trois semaines de vie, ce qui donne une grande richesse à nos assiettes. Et, contrairement à Singapour ou Hongkong, nous avons un vrai terroir avec la mer et la montagne.» Taïwan la gastronome est une montagne plongée dans la mer. Pas besoin de traverser l'île pour en juger. A la sortie de Taipei, les collines du Parc national de Yangmingshan font le dos rond face aux pluies de la mousson. Les petites montagnes sont tapissées d'un maquis de bambous et de roseaux de Chine aux fins panaches blancs.

Au printemps, les jeunes mariés viennent poser devant les champs d'arums blancs. Un décor bucolique qui sent le soufre (au sens propre): les fumerolles sulfureuses qui s'échappent des flancs de la montagne rappellent que nous foulons une terre volcanique vieille de plus de 2 millions d'années. Au fond des mares, l'eau mijote comme dans les casseroles de Raohe Street. Une petite marche mène au mont Qixing, modeste sommet de 1 120 mètres qui domine la mer de Chine et les collines bosselées du parc.
Plus à l'est, le mont Keelung, un autre ancien volcan, fut le théâtre d'une ruée vers l'or qui culmina en pleine période japonaise, de la fin du XIXe siècle aux années 1930. La petite ville de Jiufen, amphithéâtre perché face à la mer, prospéra puis déclina lorsque l'exploitation des mines cessa. On l'oublia jusqu'à ce que le cinéaste Hou Hsiao-hsien y tourne La Cité des douleurs, lion d'or à la Mostra de Venise en 1989. Avec ses vieilles demeures en bois et ses ruelles pentues illuminées de lanternes dès la tombée de la nuit, Jiufen est devenue l'un des sites les plus photographiés de Taïwan.

Une ville luciole brillant de mille feux sur la montagne exsangue d'or. Reste à partager ce magot avec les foules de visiteurs, coups de coude et perches à selfie inclus. Dans un pays comptant l'une des plus fortes densités de population du monde (636 habitants au kilomètre carré), s'extraire de la foule est un art martial dont on ne sort pas souvent vainqueur… à moins de se lever tôt. Le Sun Moon Lake, au cœur de l'île, mérite un tel effort.
Le soleil y a rendez-vous avec la lune puisque sa forme rappellerait, vue du ciel, celle des deux astres. Les montagnes couvertes d'une forêt touffue lui font un bel écrin. Il n'en faut pas plus pour attirer les couples en lune de miel de tout le pays. Des bateaux sillonnent le lac à toute heure, emmenant les visiteurs jusqu'à l'un des temples de la montagne Cinglong, en forme de dragon. A son sommet, Tchang Kaï-chek fit ériger une pagode de neuf étages en mémoire de sa mère.
De l'autre côté du lac, les jeunes couples attachent à l'aide d'un fil rouge des médailles dorées au temple de Long Fong, dédié au «vieillard sous la lune», personnage censé aider les alliances matrimoniales. Le lac nuptial ne retrouve sa quiétude que le soir, et plus encore à l'aube. Il faut alors s'asseoir pour contempler en silence le jeu du brouillard au-dessus du miroir d'eau. Les nuages cotonneux dévoilent les formes, couvrent et découvrent les épaules des montagnes, révèlent les carrelets des pêcheurs, pareils à des araignées d'eau. On tremble à l'idée qu'une bise vienne froisser ce décor d'estampe japonaise.

Au-dessus des cyprès millénaires de la forêt d'Alishan, dans le centre de l'île, le belvédère de Zhushan domine la fameuse mer de nuages.

Plus au sud, la montagne d'Alishan invite à une contemplation tout aussi atmosphérique: celle de la mer de nuages. A l'aurore, un petit tortillard grimpe jusqu'au belvédère du mont Zhushan. Les touristes asiatiques viennent y admirer le lever de soleil au-dessus du Yushan («montagne de jade»), point culminant de Taïwan (3 952 mètres). Les autres préfèrent contempler les nappes de nuages qui inondent la vallée d'Alishan. La chaîne de cimes bleutées, qui couvre 60 % du pays, rappelle le caractère profondément montagneux de l'île.
Dans ces hauteurs poussent des cyprès millénaires, certains atteignant plus de 3 000 ans. Ceux de la forêt nationale d'Alishan furent en partie coupés par les colons japonais, qui installèrent un chemin de fer pour mieux exploiter ces bois sacrés. Les troncs éléphantesques, sur lesquels poussent d'autres générations de cyprès, font désormais l'objet de tous les soins. Plus bas dans la vallée, tapies sous les nuages, s'étagent les meilleures plantations de thé Oolong de l'île.

Récolte du fameux thé Oolong. Il se déguste comme un grand vin, à l'issue d'un cérémonial pointilleux.

Cette variété de thé originaire de la province chinoise du Fujian s'acclimate parfaitement à la fraîcheur montagneuse de Taïwan. Dans sa plantation de Sheng Le Farm, Hwang Zhou-zhen, 67 ans, vient de terminer sa récolte d'hiver, la meilleure de l'année avec celle du printemps. Son thé multiprimé se déguste selon un processus complexe pour le néophyte: le jus jaune pâle, à peine infusé, circule de pots miniatures en théières lilliputiennes, et de théières en tasses si minuscules qu'on les croirait destinées à des enfants.
Le thé Oolong exhale un délicat parfum de châtaigne, mais Hwang y décèle aussi des soupçons de longane, de fleur de gingembre et de jasmin. Depuis trois générations, sa famille cultive les arbustes en terrasses, récoltant à la main, un panier de bambou sous le bras. Les feuilles sont tour à tour séchées, brassées, roulées, chauffées en fonction de l'oxydation désirée. Les connaisseurs dégustent le thé Oolong comme le vin, en notent les arômes, l'amertume, la couleur…
Sourcils broussailleux et sourire aux lèvres, Hwang balaie des yeux ses montagnes bosselées à demi noyées par la brume. «Pour faire le meilleur thé, il faut le ciel, la terre et l'homme. L'un ne va pas sans les deux autres», laisse-t-il tomber comme un Lao-tseu du thé. A l'ouest du pays, la montagne s'efface devant la plaine mitée de villes tentaculaires. A l'est, c'est autre chose. De Taitung à Qingshui, la route en corniche se fraie un chemin étroit entre la falaise et l'océan Pacifique.

Bouddhisme et taoïsme font bon ménage dans les temples de Taïwan (ici, celui de Nankunshen, sur la côte occidentale).

Une végétation exubérante, composée de pandanus et de roseaux, s'accroche aux pentes abruptes avant de se jeter dans une eau bleu foncé frangée de turquoise. Les surfeurs y batifolent, jusqu'à ce que les rafales de vent deviennent trop fortes. Typhons, séismes et glissements de terrain, les trois fléaux naturels de Taïwan, frappent régulièrement le pays. Les Taïwanais ont appris à vivre avec et à s'en protéger. A Taipei, l'interminable tour Taipei 101 (509 mètres), qui fut le plus haut gratte-ciel du monde jusqu'en 2009, n'a pas la forme d'une tige de bambou pour rien.
Tel le roseau, elle plie mais ne rompt pas quand la terre s'agite. Le mérite en revient à une boule de stabilisation, accessible au public. Suspendue au bout de huit câbles d'acier, cette sphère de 660 tonnes, joliment pailletée d'or, réduit les vibrations du bâtiment de 40 %. Pour observer ce génial amortisseur, il faut prendre l'ascenseur le plus rapide du monde: 37 secondes pour avaler 89 étages. Le panorama à 360 degrés sur Taipei y est époustouflant. A moins de lui préférer celui qu'on a, le soir, depuis les hauteurs d'Elephant Mountain: une ville lumière semblant surgir d'une végétation touffue et exotique. A Taïwan, décidément, tout est une question de regard.



Taipei cache sous son manteau gris mille et une petites perles comme ici : Yongkang Street, où les badauds avalent des glaces à la mangue parmi les taxis jaunes.

Incroyable ! Un serpent retrouvé dans l'estomac d'une femme !




Una américaine de 49 ans, Maria Tsotesie, a appris qu'elle vivait avec un serpent dans l'estomac. Maria qui semble être enceinte (comme vous le voyez sur la photo ci-dessus), a été à l'hôpital où les médecins lui ont dit qu'il y avait effectivement de la vie dans son ventre.
"Ils m'ont dit que j'avais perdu beaucoup de sang et qu'ils voulaient m'opérer d'urgence mais, rien n'a changé après ça. Les infirmières m'ont mis sous perfusions mais quelques jours plus tard les médecins m'ont laissé partir" a t-elle déclaré.

Comment ce serpent est-il arrivé dans son ventre me demandez-vous ? Et bien c'est une histoire assez insolite !

Quelques mois avant, alors que Maria se plaint de douleur à l'estomac, son ex petit ami a décidé de l'emmener voir un évêque. Ce dernier lui a demandé d'enlever ses vêtements et lui a donné du Muthi (plante médicinale) à prendre.
"Le Muthi était recouvert par une peau de serpent blanche et marron. L'évêque m'a tout de suite dit que cela allait vite me guérir".
Mais quelques jours après, la pauvre Maria s'est rendue compte qu'elle avait quelque chose dans son corps et que ses dents ont commencé à tomber.
"Je crois que le Muthi m'a fait perdre mes dents. Suite à ça, mon petit ami m'a quitté après quatorze ans de vie commune et depuis je suis seule dans la vie." a-t-elle dit. " Je voudrais qu'il revienne et enlève le serpent qu'il a mis dans mon estomac. Je crois qu'il est responsable !" a-t-elle ajouté.
Un guérisseur du nom de Ntsimbi Ngema a déclaré : " ce genre de chose est pratiqué par des amoureux jaloux. Maria ne pourra pas avoir un autre petit ami parce qu'il pourrait mourir après avoir fait l'amour avec elle".
Un docteur qui a préféré rester anonyme a annoncé que Maria pourrait souffrir de toutes sortes de choses, y compris des calculs rénaux et des calculs biliaires.

Algérie : Les boulangers annoncent une hausse de 50% des prix du pain

Les boulangers annoncent une hausse de 50% des prix du pain


La période de vaches maigres semble s’installer. La cure d’austérité s’aggrave à un mois de l’entrée en vigueur d’une loi de Finances controversée.
L’avenir socio-économique de l’Algérie semble des plus incertains avec le nouveau rebondissement qui vient d’être enregistré ce vendredi 1er décembre 2017. En effet, sans avoir l’aval du gouvernement, comme stipulé par la loi, les boulangers ont décidé unilatéralement d’augmenter le prix de la baguette de pain à raison de 50 % à partir de cette journée. Ainsi, le pain qui se vendait auparavant à 10 DA la baguette est depuis ce vendredi cédé à pas moins de 15 DA.

Marrakech se dote d'arbres connectés pour recharger vos smartphones





Très pratique. Des arbres solaires ont été installés dans divers endroits de la ville ocre pour recharger les batteries de vos smartphones et autres tablettes.
Ces arbres au feuillage photovoltaïque emmagasinent l’énergie solaire pendant la journée afin d’éclairer la nuit.


Opérationnels 24h/24, ils permettent également de se protéger du soleil et de sauver, d’ici 2030, plus de 11 tonnes de CO2.


Arbres connectés Marrakech

Installés en 2016 durant la COP22, ces arbres photovoltaïques ont été fabriqués par l’entreprise croate Solvis, parrainée par l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI).
Où les trouver ? Près de la place Jemaa El-Fna, la Baladia de la médina, en face du cyber-parc Arsat Moulay Abdessalam et avenue Mohammed VI, près de la
Radema.
A reproduire dans toutes les villes du royaume.

Le pangolin est le mammifère le plus braconné au monde

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Douze tonnes de ses écailles ont été saisies en Chine, un record.




Douze tonnes d’écailles de pangolins, c’est la saisie record réalisée le 29 novembre, en Chine, sur un cargo en provenance d’Afrique. Un stock qui représente 20 000 pangolins. Cet animal, unique au monde, a la particularité d’être un mammifère recouvert d’écailles. Des écailles très prisées pour leurs vertus thérapeutiques ou aphrodisiaques en Chine et au Vietnam.
Même s’il est classé sur la liste rouge des espèces menacées d’extinction, le pangolin est aujourd’hui le mammifère le plus braconné au monde : plus d’un million d’entre eux ont été chassés et capturés au cours de la dernière décennie. Depuis 2016, son commerce est interdit mais il fait toujours l’objet de nombreux trafics. Selon les experts, sa disparition modifierait l’écosystème des forêts tropicales, en augmentant les populations de fourmis et de termites dont ils se nourrissent.

Cette femme a vécu 40 ans seule sur une île




Zoe Lucas vit sur l’île de Sable, au large du Canada, depuis les années 1980. Perdu dans l’Atlantique, cet îlot, qui abrite des chevaux sauvages et des phoques, est plongé dans le brouillard plus de 120 jours par an. Pourtant, l’exploratrice ne reviendrait parmi les hommes pour rien au monde.


« Le cimetière de l’Atlantique », c’est ainsi qu’est surnommée l’île
de Sable, un morceau de terre en forme de croissant de 42 km de
long et de jamais plus de 1,3 km de large, à 300 km des côtes

canadiennes.Noyée dans le brouillard plus de 120 jours par an, l’île
est connue pour ses nombreuses épaves qui dorment autour d’elle.
Plus de 300 naufrages y ont eu lieu. Les histoires de fantômes qui
hantent Sable Island sont aussi légion. Pourtant, quand Zoe Lucas,
originaire de Halifax (Nouvelle-Écosse), découvre le caillou en 1971,
à 21 ans, elle ne veut plus le quitter.



L’île est uniquement peuplée par 250 chevaux sauvages, des phoques et

 plus de 350 espèces d’oiseaux. « Après avoir écrit plusieurs fois à la garde côtière, j’ai été autorisée à me rendre sur l’île mais seulement pour trois jours.
Quand j’ai quitté l’île, la seule pensée d’en être éloignée m’était
devenue intolérable ! J’ai donc recommencé à harceler la garde
côtière pour pouvoir y retourner. C’est comme ça que tout a
commencé. Mon deuxième séjour a duré quelques semaines au
cours du même été », raconte Zoe Lucas, 67 ans aujourd’hui,
dans une interview pour la série documentaire québécoise
Humanima.
Pour retourner sur l’île de Sable, qui n’est accessible que par
avion ou par bateau, elle se porte volontaire comme cuisinière
pour une équipe de chercheurs de l’université Dalhousie qui
venaient effectuer des relevés sur les phoques, en 1974.
« Ensuite, vers 1982 ou 1983, j’ai commencé à séjourner
dix à onze mois par an sur l’île. »
L’étudiante en art, à l’époque, s’intéresse alors à l’écosystème
particulier de l’île, participe à des projets de recherche durant
les 9 ou 10 mois qu’elle passe sur l’île : les chevaux sauvages,
les attaques de requins contre les colonies de phoques, la
sauvegarde des oiseaux mazoutés, les cétacés échoués, l’étude
de la biodiversité…



Zoe Lucas donne des conférences à propos de l’écosystème de l’île de Sable.
L’ensemble des résultats a été publié dans des revues scientifiques,
des magazines etc. Et Zoe Lucas anime des conférences sur
ces sujets quand elle rentre quelques semaines sur le continent.
Collection de crânes de chevaux
Au pied de sa maison de bois nichée dans les dunes, Zoe Lucas
entrepose des crânes de chevaux. Les équidés ont été amenés
sur l’île au début du XVIIIe siècle pour aider aux travaux des
champs quand quelques hommes s’étaient installés sur l’île de
Sable. Ils sont retournés à leur état sauvage après le départ
des hommes. Aujourd’hui, personne ne les approche vraiment.
La collection de crânes de l’unique habitante permanente de
l’île a permis aux scientifiques de comprendre l’adaptation
de l’animal sur l’île.
Elle collecte également les déchets qui échouent sur la rive.
Et au cours de ces 40 ans de vie insulaire, elle a trouvé
quelques pépites. « Une fausse jambe, un sac contenant
de la drogue, un réfrigérateur, une caisse de poivrons frais
provenant d’un cargo qui avait perdu sa cargaison… »



L’île de Sable, en forme de croissant, s’étend sur 42 km de long et 

jamais plus de 1,3 km de large.
Ce qui lui est essentiel pour survivre sur l’île ? « Un carnet et
des jumelles », assure-t-elle au site britannique MailOnline.
Car les années passées à explorer l’île et assister les universitaires
ont fait d’elle une vraie scientifique. En 2004, elle est devenue
chercheuse associée avec le Musée de Nouvelle-Écosse et en
2008, elle a même reçu le titre de professeur émérite de
l’université de Dalhousie. Au même moment, le gouvernement
fédéral suggère de changer le statut de refuge d’oiseaux
migrateurs de l’île pour celui de réserve nationale de faune.
En 2013, l’île de Sable obtient le statut de réserve de par
c national. Depuis, Zoe Lucas partage la solitude de « son
île paradisiaque, les palmiers en moins », avec quatre ou
cinq personnes qui se relaient.



Zoe Lucas a participé à de nombreuses recherches sur la faune locale 

et a fondé une ONG « Friends of the Green Horse Society », pour
 soutenir la recherche sur l’île.
L’île de Sable aurait été découverte par deux navigateurs
portugais et plus certainement par Joao Alvares Fagundes,
qui y effectua une première expédition en 1521. Le gouvernement
anglais qui met à mal une tentative de colonisation par la France,
construit un premier phare sur l’île, en 1790.



L’île est souvent engloutie par des brouillards. Comme
les naufrages sont fréquents, un poste de secours y est
établi en 1801, jusqu’en 1958. En 1944, les Canadiens y
établissent une station météo. C’est la seule installation
permanente qui subsiste. Ses données sont précieuses
pour les ministères de l’Environnement du Canada et de
la Pêche et des Océans.

Le Maroc et l'Afrique du Sud normalisent leur relation

 
Rabat et Pretoria ont décidé de mettre fin à une longue brouille qui aura duré plusieurs années, en raison des positions hostiles et contraires aux intérêts du Maroc, principalement sur le dossier du Sahara.
L’alignement inconditionnel du gouvernement sud-africain sur les positions du Polisario et de l’Algérie avait fini par exaspérer les autorités marocaines d’autant plus que les attaques étaient devenues suffisamment nombreuses pour pousser ces dernières à fermer sa représentation diplomatique au pays de Nelson Mandela. De plus, Rabat a estimé qu’elle n’était pas payée en retour pour son grand soutien au libérateur de l’Afrique du Sud du joug de l’Apartheid et à son mouvement de l’ANC qui ont fait preuve d’amnésie.
 
 
 
 
 
A Abidjan et en marge du sommet Europe-Afrique, le roi Mohammed Vi et le président sud-africain , Jacob Zuma, ont décidé d’un commun accord, de tourner définitivement la page de ce passé tumultueux et de rouvrir leurs ambassades dans les deux pays, décision qui conforte la stratégie marocaine de marginalisation des séparatistes en renouant avec tous les pays les encourageant, dans la droite ligne du retour du royaume au sein de l’Union Africaine. Cette réconciliation entre Rabat et Pretoria constitue un coup dur pour la diplomatie algérienne qui en avait fait son principal allié dans son offensive anti-marocaine en Afrique.

Aid El Mawlid, une fête religieuse célébrant la naissance du prophète Muhammad

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L'Aïd Al Mawlid Annabawi sera célébré au Maroc ce vendredi 1er décembre 2017. D’où vient cette fête et que signifie-t-elle ?

Origine de Mawlid
Le Mawlid, connu aussi sous le nom d'El Mawlid Annabawi, Mouloud, Mouled ou Maoulide est une fête religieuse célébrant la naissance du prophète Muhammad (Mahomet en français). Il s'agit d'une commémoration qui connut bien des vicissitudes au cours de l'Histoire puisqu'elle fut de nombreuses fois autorisée, puis supprimée.

Célébrée semble-t-il pour la première fois en 972 en Egypte, elle fut très tôt l'objet de préoccupations théologiques. Certains groupes religieux la considéraient en effet comme légitime, alors que d'autres voyaient en elle un apport externe à l'Islam fait à l'imitation de célébrations non musulmanes. 


Célébration de Mawlid

Mawlid est une fête plutôt controversée quant à sa célébration. Pour certains, c'est une journée où il convient de se recueillir, de transmettre aux plus jeunes l'histoire du prophète. Pour cela sont organisées des lectures du Coran, des prières ou encore des chants religieux.

Pour d'autres, c'est une journée festive qui doit être célébrée dans la joie. C'est l'occasion alors de partager un festin, d'allumer des bougies, et d'offrir des cadeaux aux enfants.


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A l’occasion de la célébration de l’Aïd El Mawlid Ennabaoui, Ould Lablad présente ses voeux déférents à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Amir Al Moumine, à SAR le Prince héritier Moulay Al Hassan, à SAR la Princesse Lalla Khadija ainsi qu’à tous les membres de la Famille Royale.

Mes souhaits les meilleurs vont également à tous mes amis.