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Eplucher les oignons sans pleurer.


Les oignons se prêtent à de nombreuses recettes. Seul problème ? Les larmes montent dès que l’on commence à les découper. Un oignon d’un nouveau genre vient de voir le jour et il ne fait pas pleurer. Une révolution.
« No more tears », pour « plus aucune larme »: voilà la promesse du sunion. Cet oignon d’un nouveau genre garantit zéro larme, c’est la petite révolution qui agite le secteur de l’industrie alimentaire depuis quelque temps. Alors qu’aux États-Unis, le sunion fait partie du panier de la ménagère depuis quatre ans déjà, cet aliment d’un nouveau genre débarque au Royaume-Uni faisant une entrée fracassante sur le marché européen. Car que l’on vive en Europe, aux États-Unis ou n’importe où dans le monde, s’il y a bien une chose pour laquelle tout le monde s’accorde, c’est que cuisiner un oignon peut vite devenir incommodant quand celui-ci nous fait pleurer.


Pleurer en découpant un oignon est tout à fait normal. Une réaction scientifique qui s’explique, car l’oignon classique contient un gaz irritant et volatile, et au contact de l’œil, celui-ci se transforme en acide sulfurique. Et c’est précisément ça qui provoque des larmes et qui pique les yeux. Pour contourner ce problème, on ne compte plus les méthodes de grand-mère qui nous permettraient d’éviter ce désagrément : mouiller la lame de son couteau, couper l’oignon sous un filet d’eau, tirer la langue, porter des lunettes de piscine ou encore tenir une allumette entre ses dents au moment de la découpe. Si certaines astuces fonctionnent, d’autres sont plus douteuses et en pratique, ne fonctionnent pas. Résultat : vos yeux sont rougis et les larmes coulent à flots sur vos joues dès que vous coupez un oignon. La bonne nouvelle, c’est qu’une nouvelle variété d’oignon a vu le jour : le fameux sunion qui laisserait les soucis lacrymaux derrière vous !
Les oignons : Zéro larme
Pleurer en découpant un oignon est tout à fait normal. Une réaction scientifique qui s’explique, car l’oignon classique contient un gaz irritant et volatile, et au contact de l’œil, celui-ci se transforme en acide sulfurique. Et c’est précisément ça qui provoque des larmes et qui pique les yeux. Pour contourner ce problème, on ne compte plus les méthodes de grand-mère qui nous permettraient d’éviter ce désagrément : mouiller la lame de son couteau, couper l’oignon sous un filet d’eau, tirer la langue, porter des lunettes de piscine ou encore tenir une allumette entre ses dents au moment de la découpe. Si certaines astuces fonctionnent, d’autres sont plus douteuses et en pratique, ne fonctionnent pas. Résultat : vos yeux sont rougis et les larmes coulent à flots sur vos joues dès que vous coupez un oignon. La bonne nouvelle, c’est qu’une nouvelle variété d’oignon a vu le jour : le fameux sunion qui laisserait les soucis lacrymaux derrière vous !


À l’origine de cet aliment surprenant ? La société Bayer CropScience qui a travaillé pendant trente ans sur ce type d’oignon. À la fin des années 1980, le sunion est véritablement mis au point par l’entreprise allemande BASF. Pour cette variété d’oignon, l’acrimonie diminuerait avec le temps. Cela signifie qu’entre le moment où l’oignon est récolté et celui où il arrive dans votre cuisine, il a perdu tous ses composants responsables du déclenchement de la réaction chimique à l’origine du gaz irritant qui déclenche nos larmes.

Île de Pâques

 

L'Île de Pâques, qui appartient au Chili, est une île volcanique reculée de Polynésie, dont le nom autochtone est Rapa Nui. Elle est célèbre pour ses sites archéologiques, notamment les quelque 900 statues monumentales (les moaï) créées par ses habitants entre le XIIIe et le XVIe siècle. Les moaï sont des sculptures de silhouettes humaines dotées de têtes surdimensionnées, la plupart du temps posées sur d'immenses piédestaux en pierre appelés "ahus". C'est à Ahu Tongariki que l'on trouve le plus grand nombre de moaï debout.








Les plus beaux insectes du monde

 

Un bon nombre d'insectes sont beaux, et méritent sans doute un classement. Des Achrioptera Fallax au papillon cobra, le monde regorge d’insectes qui pourraient bien être exposés  dans un musée d’art. Ceci est une compilation des plus beaux insectes du monde.
  • Achrioptera Fallax.


Les phasmes sont connus pour leur camouflage. Cette espèce a des œufs qui passent inaperçus en raison de leur apparence.  Ils ressemblent à des graines et les nymphes sont petites, brunes et ressemblent à des bâtons. Les nymphes finissent par devenir le mâle bleu électrique ou turquoise ou deviennent  la femelle brune beaucoup plus grande. Le mâle et la femelle ont des ailes rouges, minuscules  qui les rendent  incapables de voler au vu de leur long corps. Ils le montrent aux prédateurs pour les effrayer. Ces insectes sont originaires de Madagascar.

  • Mante fleur épineuse.

Le corps adulte de cette mante est blanc avec des rayures orange et vertes. Tirant son nom des structures épineuses de son abdomen, il a des « tourbillons » noirs et jaunes sur ses ailes qui ressemblent à un œil. Lorsqu’elle est menacée, la mante fleur épineuse déploie ses ailes vers le haut pour révéler ses deux « yeux » afin d’effrayer son ennemi. La longueur de cette créature varie de 2,5 cm à 5 cm.
Elles sont pour la plupart noirs et ressemblent à des fourmis à la naissance. Ces minuscules insectes sont originaires des régions du sud et de l’est de l’Afrique.
  • Fourmi panda.

 


Bien que la coloration de ces insectes soit belle et semblable à celle du grand panda de Chine, elle d’une réelle utilité. Elle protège l’espèce des prédateurs. Contrairement à ce que ferait croire le nom, ce n’est pas du tout une fourmi, mais plutôt une guêpe. C’est parce que la femelle de l’espèce n’a pas d’ailes qu’elle est souvent confondue avec une fourmi. La piqûre de cette guêpe est extrêmement douloureuse.
Ces insectes préfèrent résider dans le sable dans des environnements secs et tropicaux comme le désert du Chili.
  • Katydid à larges ailes.



Cet insecte rejoint la liste des belles punaises en raison de sa couleur qui est le vert frais et lumineux d’une nouvelle feuille. En effet, la forme et la couleur du corps de ce katydid le fait presque disparaître quand il repose sur une feuille. Ses habitats préférés sont les prairies et la végétation qui pousse le long des routes et des voies ferrées. En tant que membre du genre Microcentrum, il a un corps comprimé et un angle avec ses ailes qui rend sa forme particulièrement agréable.
Le katydid à larges ailes se trouve principalement dans le sud des États-Unis.

  • Coccinelle.


Les coccinelles ne sont pas seulement jolies. Elles sont aussi mignonnes, avec leur corps rond et les points noirs qui recouvrent leurs élytres, qui sont souvent de joyeux rouge, orange ou jaune. Une autre chose qui fait d’une coccinelle un spectacle bienvenu, en particulier pour les jardiniers, est que de nombreuses espèces sont des prédateurs voraces de « mauvais insectes » tels que les pucerons, les acariens, les cochenilles et autres qui infestent les plantes de jardin.
Si leurs proies régulières sont rares, elles mangent d’autres coccinelles, y compris leurs œufs et leurs larves. Elle mange également les œufs de mites et de papillons, mais l’utilité de la coccinelle pour se débarrasser des parasites compense cela.
  • Papillon de cape de deuil.

Les papillons de la cape de deuil offrent une superbe combinaison de couleurs et de motifs.
Puisqu’aucune liste des plus beaux insectes ne serait complète sans les papillons, celui de cette liste est le Papillon de cape de deuil. Se trouvant en Amérique du Nord et en Eurasie, ce magnifique papillon ne ressemble à aucun autre. Le dessus de ses ailes est d’un marron foncé velouté. Les bords sont déchiquetés et bordés de ce qui ressemble à de la feuille d’or. Il y a des taches bleues irisées entre le marron et l’or. Le dessous des ailes est rempli de stries de gris et les bords dorés des ailes sont visibles. Mâles et femelles se ressemblent.
C’est l’un des papillons avec une forte longévité et peut vivre jusqu’à un an. Une des raisons qui expliquent cela est qu’ils hibernent en hiver, ce qui leur donne un avantage. Parfois, les Papillons de cape de deuil sortent de l’hibernation avant même que toute la neige ne se fonde. Ils ne prennent pas tant le nectar des fleurs que la sève, le liquide des fruits pourris et le miellat des pucerons.
  • Insecte Picasso.


Cet insecte exotique, dont le nom scientifique est Sphaerocoris annulus, ressemble à un enfant qui a ramassé de la peinture et soigneusement peint toutes sortes de motifs abstraits sur son dos. Se trouvant en Afrique subsaharienne, l’insecte Picasso ne dépasse pas quelques centimètres de long. Sa couleur de fond est verte mais il a onze taches bordées de rouge et de noir et une bande ondulée rouge bordée de jaune et de noir près de la tête. Ces couleurs avertissent les prédateurs que l’insecte est toxique. Mais si cela ne fonctionne pas, l’insecte émet une odeur rebutante.
  • Mante orchidée


Ayant une ressemblance frappante avec une orchidée, la mante orchidée peut facilement se camoufler parmi les fleurs.
L’étonnante mante orchidée fait partie d’un groupe de mantes qui imitent les fleurs, notamment les orchidées Phalaenopsis que l’on trouve dans les forêts tropicales humides d’Asie du Sud-Est. Il est presque impossible de voir cet insecte coloré lorsqu’il se pose sur les pétales de cette orchidée. Quatre de ses six pattes ressemblent aux pétales de l’orchidée et les deux autres attrapent des proies. Les proies varient des papillons aux papillons de nuit, passant par les mouches, les abeilles et les coléoptères.
Le reste du corps est comparable au vert pâle des tiges de l’orchidée, bien que la mante puisse changer de couleur. Comme pour beaucoup d’autres mantides, la femelle est beaucoup plus grosse que le mâle.
  • Chrysina aurigans.

L’un des joyaux des scarabées, ce petit coléoptère exotique n’est pas seulement l’un des plus beaux insectes du monde, c’est aussi sans doute l’un des plus beaux animaux. La raison est simple. Cela ressemble à une goutte d’or fondu.
Même s’il possède un exosquelette en chitine comme le moindre cafard, la lumière joue sur lui de manière à lui donner son aspect chatoyant. Chrysina aurigans est originaire des forêts tropicales du Costa Rica. Les autres coléoptères dorés de son genre sont C. resplendens et C. limbata.
  • Fourmi de velours.


Le fait que la fourmi de velours délivre une piqûre infernale ne la rend pas moins belle à voir. De plus, ce ne sont pas du tout des fourmis, mais des guêpes sans ailes. Ces beaux insectes colorés sont recouverts d’une fourrure en peluche qui leur faire mériter leur nom. La fourrure est souvent rouge, dorée, noire, argentée ou orange et joliment décorée. Les mâles ont des ailes, et ils attrapent parfois les femelles et les emmènent pour s’accoupler. Les fourmis de velours se trouvent aux États-Unis.
  • Graphosome rayé (Graphosoma lineatum).


Présentant une coloration très vive, c’est une punaise assez trapue. Il avertit les prédateurs de sa toxicité : son corps est rouge-orangé, ou jaune, rayé de bandes noires sur le dos (ce qui lui vaut le nom vernaculaire de punaise arlequin). En ce qui concerne son ventre, il est tacheté de points noirs.
Cet insecte est morphologiquement très proche des Graphosoma italicum. Mais il se distingue notamment par la coloration de ses pattes, jaunes orangés sur les tibias et fémurs avec des tarses noirs alors qu’elles sont entièrement noires chez Graphosoma italicum.
  • Libellules.


Les libellules se présentent dans une multitude de couleurs vives qui scintillent lorsqu’elles prennent leur envol.
Contrairement aux coccinelles qui sont des prédateurs terrestres efficaces, les libellules sont des prédateurs de l’air. Ils peuvent être facilement identifiés par leurs longs abdomens en forme de fuseau, leurs yeux énormes et leur agilité en vol, propulsés par d’énormes ailes transparentes qu’ils tiennent horizontalement lorsqu’ils sont au repos. Les libellules font également partie des plus beaux insectes.
On les retrouve partout dans le monde et, comme les abeilles, ils remplissent une fonction de pollinisation.
Bien sûr, leur apparence de guêpe leur permet d’être ignorées par les prédateurs, car ils confondent ces mouches avec des animaux dangereux et évitent de les attaquer pour ne pas être mordus. Cette stratégie est connue sous le nom de mimétisme batésien.
  • Cafard (Prosoplecta).

Oui, il est assez curieux qu’un cafard puisse être parmi les plus beaux insectes du monde. Mais il a été constaté que les spécimens du genre Prosoplecta le méritaient. Ces insectes incapables de voler rappellent les coccinelles et s’éloignent du cafard en termes d’apparence.
  • Guêpe à queue rubis.

La beauté de cet insecte est indiscutable, car sa couleur verte et rose lui donne un aspect brillant. La guêpe à queue rubis fait partie de la famille des chrysididés, insectes parasitoïdes. Cela signifie qu’il pond ses œufs dans des nids appartenant à d’autres insectes et, lorsque les larves éclosent, elles se nourrissent du couvain des hôtes.
Ces insectes sont également connus sous le nom de guêpes coucous ou guêpes dorées. Ils présentent une grande diversité dans les zones désertiques (plus de 3000 espèces) et leur taille n’est pas très grande (de 6 à 12 millimètres).
  • Atlas ou papillon cobra (Atlas d’Attacus)


Avec environ 30 centimètres d’envergure, ce papillon est considéré comme l’un des plus grands qui existent. Pour voir cet insecte voler dans son habitat naturel, vous devez vous rendre dans les forêts tropicales d’Asie.
Les couleurs du corps lui ont valu la reconnaissance bien méritée d’être l’insecte le plus beau du monde. Cependant, il n’y a pas que cela qui a rendu ce papillon célèbre : la soie de ses larves est très convoitée.

L'enfance de Vladimir Poutine

  • Un enfant pauvre en Union soviétique
Bien que les inégalités n'existaient pas officiellement dans l'ex-URSS (le prétendu paradis socialiste), la réalité est qu'une partie de la population était défavorisée et que Vladimir Poutine a grandi dans un environnement plutôt pauvre. Il est né à Leningrad (aujourd'hui Saint-Pétersbourg) le 7 octobre 1952.


  • Une histoire familiale tragique
La mère de Vladimir Poutine (sur la photo) travaillait dans une usine et son père était soldat dans la marine soviétique (il a été gravement blessé au combat pendant la Seconde Guerre mondiale), puis ouvrier. Il avait deux frères mais ils sont morts (tous deux de maladie, l'un de diphtérie en temps de guerre). Sa grand-mère maternelle et deux de ses oncles sont morts pendant la Seconde Guerre mondiale.


  • Le traumatisme de la Seconde Guerre mondiale
Dans une interview accordée à la BBC, le journaliste Steven Lee Myers (correspondant à Moscou du New York Times pendant sept ans et auteur d'une biographie intitulée "Le nouveau tsar") a souligné que l'empreinte tragique d'une guerre mondiale, qu'il n'a pas vécue, mais dont il a subi les conséquences au sein de sa famille, a été cruciale dans l'enfance de Poutine : "Je pense que cette expérience, cette mythologie autour de la guerre est quelque chose avec laquelle Poutine a grandi et qui est fondamentale pour son caractère".

  • Le Leningrad des années 50
Poutine a grandi dans un quartier pauvre de Leningrad et son principal passe-temps était la chasse aux rats, selon ses propres dires, qui sont repris dans une sorte d'autobiographie intitulée "First Person : An Astonishingly Frank Self-Portrait by Russia's President Vladimir Putin".

  • La célèbre histoire du rat qui a attaqué Poutine
L'histoire du rat qui a attaqué Poutine est célèbre et souvent répétée. Comme le rapporte le Daily Mirror (tiré du livre autobiographique cité plus haut), "Une fois, j'ai vu un énorme rat et je l'ai poursuivi dans le couloir jusqu'à ce qu'il soit coincé dans un coin. Soudain, il s'est retourné et s'est jeté sur moi. J'ai été surpris et effrayé. Désormais le rat me poursuivait".

  • Vivre dans un "appartement communautaire"
Dans le Leningrad de l'enfance de Poutine, il y avait de nombreux "appartements communautaires" où plusieurs familles vivaient ensemble, et Poutine a grandi dans l'un d'eux. Vera Dmitrievna Gurevich, une ancienne enseignante de l'actuel président russe, a décrit ces logements au Daily Mirror : "Il n'y avait pas d'eau chaude, pas de baignoire. La salle de bain était horrible. Et il faisait si froid, affreux."

  • Son grand-père était le cuisinier de Staline
Un autre détail révélateur des origines familiales de Poutine est la profession de son grand-père paternel : il était le cuisinier de Staline, selon un profil biographique de Roger Cohen dans le New York Times.

  • La grandeur de l'empire soviétique
Vladimir Poutine a donc grandi, bien que pauvre, au milieu des récits familiaux sur la grandeur de l'empire soviétique et sur la façon dont, au prix d'énormes sacrifices, l'URSS a gagné la guerre contre les Allemands. C'est cette grandeur impériale que, devenu adulte, il a toujours été déterminé à reconquérir pour son pays.

  • Un étudiant appliqué
La vérité est que l'Union soviétique a donné à Poutine l'occasion d'étudier et qu'il l'a bien saisie. Il a étudié l'allemand au lycée et parle couramment cette langue. Après l'école, il s'est inscrit à la faculté de droit, mais son destin n'était pas d'être avocat. En fait, en 1975, il a rejoint le redoutable KGB, les services secrets soviétiques.

  • Un enfant toujours prêt à en découdre
Un autre facteur déterminant de la personnalité de Poutine, forgé dans l'enfance, était sa volonté de se battre, sa détermination à ne jamais tourner le dos à la confrontation si l'occasion l'exigeait. C'est pourquoi il a pratiqué les arts martiaux dès son plus jeune âge. Il est ceinture noire de judo.

  • Une carrière en demi-teinte au KGB
Si Poutine rêvait depuis son enfance de devenir un héros de l'Union soviétique, sa carrière au KGB a dû le frustrer. Il est affecté non pas à Berlin-Est, le paradis des grands espions soviétiques, mais à Dresde, alors terne, où il fait plus de paperasse qu'autre chose.

  • La fin d'une ère
À Dresde, Poutine a assisté à l'effondrement du communisme dans toute l'Europe. Il renonce au socialisme soviétique pour s'adapter aux temps nouveaux et retourne dans sa ville natale, Leningrad, déjà en passe de redevenir Saint-Pétersbourg, comme à l'époque des tsars.

  • Un militant tardif
Poutine a-t-il des croyances communistes profondément ancrées ? On peut en douter. Son idéologie a plus à voir avec le pur nationalisme russe. En fait, selon Wikipedia même, à l'âge de 12 ans, il était l'un des rares enfants de sa classe à ne pas être membre des Jeunes Pionniers, l'organisation de jeunesse communiste de l'URSS.

  • L'ascension au pouvoir
Le pouvoir a attiré Poutine dès son plus jeune âge et, après son départ du KGB (alors qu'il commence à se forger une biographie familiale), il entre dans la politique locale à Saint-Pétersbourg et devient proche de Boris Elstine, l'homme fort de la transition de la Russie du socialisme à un nouveau régime.

  • Une enfance difficile qui a façonné son caractère
Toutes les biographies de Poutine s'accordent à dire qu'il a eu une enfance difficile, avec de nombreuses bagarres de rue et une vie de famille plutôt négligée. Cela fait partie de son caractère, cela l'a façonné.

  • Frapper en premier
Masha Gessen, auteur de "The Man Without A Face: The Unlikely Rise Of Vladimir Putin", affirme que Poutine était un enfant "livré à lui-même". Et que son expérience l'a amené à croire que, dans la vie, il faut toujours frapper le premier. Cela l'a sûrement guidé dans son règne et sa guerre. Mais maintenant, il est adulte et ses décisions ne se limitent pas à savoir si un rat périt ou si un autre enfant rentre chez lui avec un visage meurtri.