Bien connu des radioamateurs, le "pic vert" de Tchernobyl a cessé toute communication lors de l'évacuation de la zone en 1986. Il aura fallu l'abandon de la zone après la catastrophe nucléaire pour que les autorités soviétiques admettent l'existence d'une base militaire de détection de missiles à Gomel, près de Tchernobyl. Une base installée en pleine guerre froide, vers 1970, occupée par 1 500 personnes, et équipée d'un radar transhorizon tourné vers le nord. Sa mission : repérer des missiles intercontinentaux à plusieurs milliers de kilomètres. Depuis 2013, des visites sont organisées par des agences de voyages.
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