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Principaux événements de l’année 2021 dans le monde

Du Covid-19, en passant par les scènes de chaos au Capitole et les différents coups d’État, le monde aura connu une actualité extrêmement dense en 2021.
  • Le Covid toujours là, la course à la vaccination


Malgré l’espoir suscité par le déploiement des vaccins contre le Covid-19, la pandémie a fait davantage de morts dans le monde en 2021 (3,3 millions fin novembre), portant le total officiel des décès, largement sous-évalués selon l’OMS, à plus de 5 millions, notamment sous l’effet du variant Delta plus contagieux. Malgré l’envoi d’experts par l’OMS en Chine, l’origine de la pandémie reste à élucider.
La vingtaine de vaccins reconnus par les uns ou les autres à travers le monde ont permis d’administrer plus de 7,8 milliards de doses, avec des inégalités d’accès criantes entre pays pauvres et pays riches, et non sans résistance des antivax. Le monde a connu à nouveau quarantaines et reconfinements, particulièrement longs dans les principales villes australiennes.
Depuis cet automne, l’Europe est confrontée à une résurgence de la pandémie, entraînant de nouvelles restrictions et contestations. Des essais cliniques réussis de médicaments contre le Covid-19 génèrent de nouveaux espoirs, assombris toutefois par l’apparition d’un nouveau variant Omicron, d’abord détecté en Afrique du Sud, aux multiples mutations et potentiellement très contagieux.

  • Scènes de chaos au Capitole


Le 6 janvier 2021, plusieurs centaines de partisans du président sortant Donald Trump prennent d’assaut le siège du Congrès américain, voulant empêcher les élus de valider la victoire du démocrate Joe Biden à la présidentielle de novembre. Les scènes de chaos suscitent consternation à travers le monde.
Cinq personnes sont mortes pendant ou peu après l’attaque, dont un policier et une manifestante tuée par un agent à l’intérieur du bâtiment. Donald Trump est banni de Twitter, Facebook et YouTube, qui l’accusent d’avoir utilisé leurs plateformes pour inciter ses partisans à la violence avant l’assaut.


Le 20 janvier, Joe Biden prête serment lors d’une cérémonie d’investiture, à laquelle ne participe pas son prédécesseur, qui a refusé d’accepter sa défaite. Accusé par la Chambre des représentants d’«incitation à l’insurrection» dans l’assaut du Capitole, Donald Trump est acquitté par le Sénat en février au terme d’un second procès en destitution.
  • Répression accrue en Russie


Le 17 janvier, l’opposant et militant anticorruption Alexeï Navalny est arrêté dès son retour en Russie de cinq mois de convalescence en Allemagne suite à un empoisonnement, dont il accuse le président Vladimir Poutine et les services secrets d’être responsables.
En février, Alexeï Navalny, visé par de multiples procédures judiciaires, est condamné à deux ans et demi de prison pour une affaire de fraude remontant à 2014, qu’il dénonce comme politique. Ses organisations, désignées comme «extrémistes» par la justice, sont placées en août sur la liste des organisations interdites en Russie.

  • Coups d’État et coups de force
            Le 1er février en Birmanie, l’armée arrête la cheffe du gouvernement civil Aung San Suu Kyi, assignée à résidence, mettant fin à une parenthèse démocratique de dix ans après près d’un demi-siècle de régime militaire.


 Ce putsch déclenche des manifestations violemment réprimées, avec plus de 1100 civils tués et des milliers de contestataires emprisonnés. Aung San Suu Kyi fait l’objet de plusieurs poursuites et encourt des décennies de prison.
             Au Tchad, le général Mahamat Déby est proclamé par l’armée chef de l’Etat le 20 avril, au lendemain du décès de son père, le maréchal Idriss Déby Itno, mort des suites de blessures au combat après 30 ans au pouvoir. 

Le Mali connaît le 24 mai un second putsch militaire en dix mois, consacrant le colonel Assimi Goïta comme président de transition.
             Au Soudan, un accord réinstalle le 21 novembre le Premier ministre civil Abdallah Hamdok, tout en renforçant la mainmise de l’armée après son putsch du 25 octobre.


 Les manifestations contre l’armée continuent alors que le pays était engagé dans une transition vers un pouvoir civil après le renversement de l’autocrate Omar el-Béchir en 2019. La répression des manifestations a fait plusieurs dizaines de morts.
                 Coup d'état en Guinée :

  • Guerre entre le Hamas et Israël


Le 3 mai, des heurts éclatent à Jérusalem-Est, secteur palestinien de la ville occupé par Israël, en marge d’une manifestation de soutien à des familles palestiniennes menacées d’éviction au profit de colons juifs. Des affrontements opposent ensuite Palestiniens et forces israéliennes sur l’esplanade des Mosquées ainsi qu’en Cisjordanie occupée.
Le mouvement islamiste Hamas, au pouvoir dans la bande de Gaza, lance à partir du 10 mai des salves de roquettes vers Israël qui réplique, donnant lieu à 11 jours de guerre entre les deux camps. 260 Palestiniens sont tués dans la bande de Gaza, selon les autorités locales. En Israël, les tirs de roquettes font 13 morts, d’après l’armée. Le 13 juin, Israël se dote d’un nouveau gouvernement, dirigé par le chef de la droite nationaliste Naftali Bennett, allié au centriste Yaïr Lapid dans le cadre d’une coalition mettant un terme à 12 ans de règne de Benjamin Netanyahu.

  • Phénomènes climatiques extrêmes


Un réchauffement climatique durable supérieur au seuil souhaitable de 1,5°C, fixé par l’accord de Paris, aurait des «impacts irréversibles pour les systèmes humains et écologiques», avertit un projet de rapport des experts climat de l’ONU obtenu en juin par l’AFP.
Les phénomènes climatiques extrêmes se multiplient : fin juin, un «dôme de chaleur» provoque des dizaines de morts au Canada (jusqu’à 49,6°C) et dans l’Ouest américain. L’Allemagne et la Belgique subissent des inondations catastrophiques (plus de 200 morts, des milliards d’euros de dégâts) en juillet, mois le plus chaud jamais enregistré sur Terre selon une agence scientifique américaine.
En août, des températures record attisent les incendies en Turquie, Grèce, Espagne et Algérie. La Californie subit également un immense feu de forêt. Madagascar connaît la première famine due selon l’ONU au réchauffement climatique. En novembre, la COP26 adopte un accord pour accélérer la lutte contre le réchauffement climatique. Mais le «Pacte de Glasgow» n’assure pas le respect des objectifs de l’accord de Paris et ne répond pas aux demandes d’aide des pays pauvres.
  • Victoire éclair des talibans


Le 15 août, les talibans entrent dans Kaboul sans rencontrer de résistance, à l’issue d’une offensive éclair entamée en mai à la faveur du début du retrait des forces américaines et de l’Otan, vingt ans après avoir été chassés du pouvoir par une coalition internationale menée par les Etats-Unis.
Un gigantesque pont aérien est mis en place dans l’urgence à Kaboul pour évacuer des milliers d’Américains et d’Afghans ayant collaboré avec les Etats-Unis. Le 31, au lendemain du départ des derniers soldats américains, Joe Biden défend sa décision de mettre fin à la plus longue guerre de l’Amérique, malgré les vives critiques autour des opérations d’évacuation.
Le pays, exsangue, est confronté à une crise sécuritaire en raison de l’activité de groupes jihadistes, en particulier aux attentats sanglants de l’État islamique — Khorasan (EI-K). Face au spectre d’un drame humanitaire, la communauté internationale s’interroge sur la position à adopter envers le régime tant que les talibans n’auront pas donné des gages, notamment sur le respect des droits des femmes et des minorités.
  • Scènes de guerre à Beyrouth


Le 14 octobre, le Hezbollah fait défiler ses partisans et ceux de son allié, le mouvement Amal, dans la capitale libanaise pour exiger le remplacement du juge chargé de l’enquête sur l’explosion au port de Beyrouth en 2020 (plus de 210 morts), qui veut interroger de hauts responsables.
Des manifestants essuient des tirs, déclenchant des violences qui font sept morts, pour la plupart des membres des deux formations chiites, et ravivent le spectre de la guerre civile (1975-1990). Le Hezbollah et Amal accusent des francs-tireurs du parti chrétien des Forces Libanaises, qui dément.
Ces violences viennent s’ajouter à la grave crise politique, économique et sociale dans laquelles est plongé le Liban, où la classe politique est accusée de corruption et d’incompétence.

  • Crise migratoire à la frontière Bélarus-Pologne


En novembre, des milliers de migrants, originaires principalement du Moyen-Orient, campent par des températures glaciales le long de la frontière polonaise, du côté du Bélarus, dans l’espoir d’entrer dans l’UE.
L’Occident accuse Minsk d’avoir orchestré depuis l’été cet afflux, en réponse à des sanctions occidentales contre le Bélarus après la répression en 2020 d’un mouvement d’opposition historique. Le Bélarus et la Russie, qui nient être l’origine de la crise, critiquent l’UE pour ne pas avoir accueilli ces populations. Au moins une douzaine de migrants sont morts des deux côtés de la frontière, selon des organisations humanitaires.

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