Une opération qui soulève des interrogations au sein de la population des camps, soucieuse de sa propre sécurité. Le secrétariat général de l’organisation politique du Front, que préside Khatri Addouh, a reconnu dans un communiqué l’affaire du vol survenue le mercredi 6 juillet.
Vingt-quatre heures après les faits, les milices du Polisario n’ont pas encore mis la main sur les responsables, confirmant ainsi la règle déjà établie lors de précédents incidents de ce genre. Malgré la succession et l’ampleur de ces attaques, le Polisario n’a pas signalé d'arrestations des auteurs ou commanditaires présumés. De son côté, l’armée algérienne se contente d’observer la situation, préférant concentrer son attention sur la poursuite des orpailleurs sahraouis, notamment ceux opérant à la frontière avec la Mauritanie ou dans le camp Dakhla, ou encore sur les «contrebandiers» d’huile de table.
Au fur et à mesure que s’approche l’échéance de l’organisation du congrès du Polisario, prévu vers la fin de cette année, le chaos sécuritaire dans les camps va crescendo et touche donc, désormais, les membres de la direction.
Au fur et à mesure que s’approche l’échéance de l’organisation du congrès du Polisario, prévu vers la fin de cette année, le chaos sécuritaire dans les camps va crescendo et touche donc, désormais, les membres de la direction.
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