Comme en 2016, la victoire de Trump a été nette et rapide, l'ancien président raflant en une poignée d'heures les deux Etats disputés de Caroline du Nord et de Géorgie, avant que la Pennsylvanie ne lui serve de tremplin, et que le Wisconsin ne vienne enterrer les derniers espoirs de la démocrate Kamala Harris.
Mercredi matin, le républicain de 78 ans cumulait un total de 276 grands électeurs contre 219 pour sa rivale, au-delà donc du seuil de 270 requis pour remporter ce scrutin au suffrage indirect.
Dans son discours de victoire, Donald Trump, qui prêtera serment le 20 janvier, a lancé un appel à l'"unité", exhortant les Américains à mettre "les divisions des quatre dernières années derrière nous".
Donald Trump, deuxième président américain de l'histoire à remporter deux mandats non-consécutifs, avait quitté la Maison Blanche il y a quatre ans, sans reconnaître sa défaite.
Mais le tribun républicain est parvenu, comme en 2016, à convaincre les Américains qu'il comprenait leurs difficultés du quotidien mieux que personne. Ou mieux, en tout cas, que Kamala Harris qui a mené une campagne éclair après le retrait spectaculaire de Joe Biden.
Les marchés ont accueilli favorablement la nouvelle, avec des gains très prononcés du dollar et une ouverture nettement dans le vert prévue à Wall Street.
Le nouveau président pourra s'appuyer sur le Sénat, que les républicains ont repris dans la nuit aux démocrates. Et son triomphe sera complet si son parti conserve la Chambre des représentants.
Jusqu'ici peu de détails ont filtré sur le casting de la future administration Trump. A une exception notable pour le milliardaire Elon Musk, qui a dépensé plus de 110 millions de dollars pour la campagne du républicain.
En élisant Donald Trump, les Américains ont décidé de placer aux commandes de la première puissance mondiale un homme de 78 ans, qui deviendra en janvier le plus vieux président à prêter serment.
Mais le tribun républicain est parvenu, comme en 2016, à convaincre les Américains qu'il comprenait leurs difficultés du quotidien mieux que personne. Ou mieux, en tout cas, que Kamala Harris qui a mené une campagne éclair après le retrait spectaculaire de Joe Biden.
Les marchés ont accueilli favorablement la nouvelle, avec des gains très prononcés du dollar et une ouverture nettement dans le vert prévue à Wall Street.
Le nouveau président pourra s'appuyer sur le Sénat, que les républicains ont repris dans la nuit aux démocrates. Et son triomphe sera complet si son parti conserve la Chambre des représentants.
Jusqu'ici peu de détails ont filtré sur le casting de la future administration Trump. A une exception notable pour le milliardaire Elon Musk, qui a dépensé plus de 110 millions de dollars pour la campagne du républicain.
En élisant Donald Trump, les Américains ont décidé de placer aux commandes de la première puissance mondiale un homme de 78 ans, qui deviendra en janvier le plus vieux président à prêter serment.
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