Des images et des vidéos montrant des hôpitaux débordés en Chine ravivent les craintes d’une nouvelle crise sanitaire. Le métapneumovirus humain (HMPV), un virus respiratoire touchant surtout les jeunes enfants, est pointé du doigt. Mais faut-il vraiment s’inquiéter ? Depuis quelques jours, les réseaux sociaux s’emballent évoquant une prétendue recrudescence des infections au métapneumovirus humain (HMPV) en Chine, un virus respiratoire qui affecte principalement les jeunes enfants. Des vidéos circulant en ligne montrent des files d’attente dans les hôpitaux, rappelant les débuts de la crise sanitaire liée à la Covid-19. Ces images ont alimenté l’inquiétude des internautes, certains redoutant un retour au scénario pandémique et ses bouleversements. Il n’y a pas lieu de s’inquiéter. Les données disponibles actuellement, qu’elles proviennent de la Chine ou de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ne signalent aucune augmentation inhabituelle des infections au HMPV.
Un phénomène saisonnier, rien d’alarmant. L'hiver favorise naturellement une hausse des infections respiratoires, ce qui inclut le HMPV. Ce pic saisonnier n’est pas un phénomène spécifique à la Chine. Ce type d’augmentation est courant et observé dans le monde entier, y compris au Maroc. L’augmentation des cas d’infections respiratoires n’est pas forcément liée à un seul virus. Elle peut concerner plusieurs virus, comme le métapneumovirus humain, le virus respiratoire syncytial (VRS) et même la Covid-19. Il ne faut pas céder à la panique ni à la désinformation en insistant sur le fait que les fake news constituent un problème croissant, parfois plus difficile à gérer que les maladies elles-mêmes.
Un phénomène saisonnier, rien d’alarmant. L'hiver favorise naturellement une hausse des infections respiratoires, ce qui inclut le HMPV. Ce pic saisonnier n’est pas un phénomène spécifique à la Chine. Ce type d’augmentation est courant et observé dans le monde entier, y compris au Maroc. L’augmentation des cas d’infections respiratoires n’est pas forcément liée à un seul virus. Elle peut concerner plusieurs virus, comme le métapneumovirus humain, le virus respiratoire syncytial (VRS) et même la Covid-19. Il ne faut pas céder à la panique ni à la désinformation en insistant sur le fait que les fake news constituent un problème croissant, parfois plus difficile à gérer que les maladies elles-mêmes.
Quand s’inquiéter d’une infection au HMPV ?
Le HMPV affecte principalement les nourrissons et les enfants de moins de cinq ans. Chez eux, l’infection peut provoquer des symptômes parfois graves, tels que fièvre, toux, nez qui coule, respiration sifflante ou voix rauque. Toutefois, ces risques diminuent avec l’âge, grâce à l’immunité qui se renforce naturellement. Le virus devient plus préoccupant pour les personnes âgées de plus de 65 ans ou les individus immunodéprimés, qui sont plus vulnérables aux complications sérieuses en cas d’infection.
Comment se protéger ?
Pour limiter la propagation des virus respiratoires, il est recommandé de faire quelques gestes simples mais efficaces. Outre, le lavage régulier des mains et la distanciation physique, il s’agit d’éviter d’exposer un enfant malade à d’autres enfants. Et de réduire les contacts rapprochés, comme les bisous, surtout avec les nourrissons, dont le système immunitaire est encore immature. Ces précautions, largement mises en avant durant la pandémie de la Covid-19, restent d’une grande pertinence pour toutes les infections respiratoires. Par ailleurs, la hausse saisonnière des infections respiratoires tend à diminuer naturellement avec l’arrivée du printemps, offrant un retour progressif à la normale.
Comment se protéger ?
Pour limiter la propagation des virus respiratoires, il est recommandé de faire quelques gestes simples mais efficaces. Outre, le lavage régulier des mains et la distanciation physique, il s’agit d’éviter d’exposer un enfant malade à d’autres enfants. Et de réduire les contacts rapprochés, comme les bisous, surtout avec les nourrissons, dont le système immunitaire est encore immature. Ces précautions, largement mises en avant durant la pandémie de la Covid-19, restent d’une grande pertinence pour toutes les infections respiratoires. Par ailleurs, la hausse saisonnière des infections respiratoires tend à diminuer naturellement avec l’arrivée du printemps, offrant un retour progressif à la normale.
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