Le pouvoir absolu a permis à certains hommes d'organiser leur environnement à leur guise, de contrôler le rythme de leur journée et de choisir chaque bouchée avec la même précision que lorsqu'ils ordonnaient des opérations militaires. Certains vivaient entourés de luxe; d'autres optaient pour la frugalité comme forme de discipline.
Tous ne mangeaient pas la même chose, ni de la même manière, mais chacun imposait des règles à table, un reflet direct de sa manière de gouverner. En temps de guerre, la nourriture n'était pas rare pour eux. Ils avaient des cuisiniers personnels, des menus de choix et des horaires qui étaient respectés même sous les bombardements. Même arrêtés, malades ou acculés, ils ont maintenu des rituels minimaux avant la fin.
Dans les cellules, les bunkers ou les maisons détruites, ils ne cessaient de manger. Certains ont refusé de goûter une seule bouchée, d'autres ont exigé leur plat habituel. Chaque décision alimentaire au bord de la mort a révélé une partie de leur caractère, de leur contrôle, de leur peur ou de leur indifférence.
Rien n'était le fruit du hasard : ni la faim, ni la gourmandise. Qu'a mangé chacun d'eux dans sa dernière heure, alors que plus rien ne pouvait changer son destin ?
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