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Visite «historique» du roi Salmane d'Arabie saoudite à Moscou


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Le roi Salmane accueilli par le Premier ministre russe
Dmitry Rogozin, lors de son arrivée à Moscou, le 4 octobre 2017
Le roi Salman d'Arabie saoudite est attendu jeudi 5 octobre à Moscou, en Russie, où il va être reçu par Vladimir Poutine. Une visite que les autorités saoudiennes qualifient d’historique. De fait, c'est la première fois qu'un souverain saoudien se rend en visite officielle en Russie. Les deux pays n'ont jamais entretenu de relations très proches et la crise syrienne a encore dégradé leurs rapports. Pour Moscou comme pour Riyad, ce déplacement inédit est peut-être l'occasion de resserrer des liens distendus.

Le premier enjeu de la visite du roi Salmane à Moscou, ce sera sans doute le conflit syrien. Russie et Arabie saoudite sont toutes deux parties prenantes de la guerre qui déchire la Syrie : Moscou, du côté de Bachar el-Assad, Riyad, du côté de la rébellion.
A priori, sur ce sujet, tout oppose les deux pays. Mais la Russie de Vladimir Poutine veut trouver une solution politique au conflit syrien, afin de mettre un terme à une intervention coûteuse. Dans ce but, elle a besoin du soutien de Riyad.
L'expert russe Alexandre Choumiline, directeur du Centre pour l'analyse des conflits au Proche-Orient, explique justement que, pour la Russie, reprendre contact avec les monarchies du Golfe est important. « la Russie en intervenant en Syrie s'est opposée au monde sunnite et maintenant Moscou veut restaurer ce lien. Elle a besoin des monarchies sunnites pour financer la reconstruction du pays »

L'Arabie saoudite y trouve aussi son compte : son « objectif est d'empêcher la création d'une relation plus solide entre la Russie et l'Iran, et d'attirer Moscou vers le monde sunnite. En ce moment, les Saoudiens se rendent compte qu'il y a pas mal de tensions entre Moscou et Téhéran autour de la Syrie. Et ils voudraient en profiter pour essayer de neutraliser la Russie, ou même de l'attirer dans son camp ».

L'autre enjeu de cette visite, c'est le pétrole. Depuis le début de l'année, Riyad et Moscou ont imposé aux autres pays producteurs une politique de réduction de l'offre de pétrole. Avec un objectif : faire remonter les cours du brut. Mercredi 4 octobre, Vladimir Poutine s'est déclaré favorable à une reconduction de cette politique « au minimum jusqu’à fin 2018 ». L'enjeu est crucial pour les deux pays, dont les économies sont ultra-dépendantes des revenus de l'or noir.

Feux d’artifice du 870e anniversaire de la ville de Moscou

Regardez les images spectaculaires des feux d’artifice qui illuminent ce 9 septembre le ciel de Moscou à l’occasion du 870e anniversaire de la capitale russe. Les images diffusées en direct sont filmées avec plusieurs caméras.


Six choses à voir sur la place Rouge

La place Rouge est incontestablement « la » place principale de Russie. Son nom vient de l’ancienne signification du mot « krasny » (rouge) en Russe, qui signifiait « beau ». Située tout près des remparts du Kremlin, c’est donc la plus belle place du pays. Tout le monde a au moins une fois dans sa vie rencontré une image de cet endroit ou entendu parler du mausolée du leader de la Révolution russe Vladimir Lénine qui y repose. Mais la place Rouge ne se résume pas au pavé et à la dernière demeure du chef du prolétariat mondial : il y a plusieurs endroits uniques et passionnants à découvrir. En voici quelques-uns.

1 – Le Musée historique d’État.

 Crédit : Ekaterina Tchesnokova/RIA Novosti

Vous ne pouvez pas rater ce bâtiment en briques rouges, c’est le premier que vous croisez lorsque vous entrez sur la place Rouge par le côté des stations de métro Teatralnaïa, Okhotni Riad ou Plochtchad Revolioutsii. 
En fait, le musée n’a que l’apparence des bâtiments de l’ancienne Russie du XVIe siècle, car il fut construit à la fin du XIXe siècle sous les ordres du tsar Alexandre II. On demanda aux architectes de construire dans le même esprit que la place Rouge et que l’ensemble architectural du Kremlin afin de conserver une certaine harmonie. 
L’exposition permanente du musée mérite le détour. À celle-ci, qui présente l’histoire des temps anciens et du XXe siècle, le musée ajoute régulièrement différentes expositions. 

2 – La Cathédrale de Kazan  

Crédit : Iliya Chtcherbakov/TASS

Juste à droite de l’entrée de la place Rouge par les Portes Voskressenskie, vous trouverez une petite église intimiste, c’est la Cathédrale de Notre-Dame-de-Kazan, également appelée Cathédrale de Kazan. Vous pourrez admirer l’icône de Notre-Dame de Kazan juste au-dessus de la porte, c’est une des icônes orthodoxes les plus vénérées de Russie. L’église a été construite tout d’abord en 1625, et a ensuite été rénovée à maintes reprises avant d’être détruite par les autorités soviétiques en 1936. Mais elle a été reconstruite selon son aspect d’origine au début des années 1990. 

3 – Le GOuM  

Crédit : Mikhaïl Voskresenskiy/RIA Novosti

À travers son histoire, la place Rouge fut un grand marché et un espace de commerce. Il l’est encore aujourd’hui. Un autre fruit des différentes époques sur la place Rouge, le Magasin d’État universel, ou GOuM, est un exemple du style pseudo-russe. Le bâtiment abrite un passage surmonté d’une voute d’acier et de verre réalisée par le célèbre ingénieur Vladimir Choukhov. 
Le GOuM est le magasin le plus important de Russie. En plus de vivre une expérience de shopping unique et de découvrir son intérieur impressionnant, il faut s’y rendre ne serait-ce que pour manger une glace vendue sous des tentes spéciales. Ces glaces ont le goût de l’époque soviétique, et sont un des desserts les plus appréciés des Russes, leur rappelant leur enfance à l’époque du déficit.
Il y a également un grand café offrant une vue spectaculaire sur la place Rouge et les murs du Kremlin. Les prix y sont abordables. Passez également par l’épicerie Gastronom No 1, où vous pourrez acheter du caviar, de la vodka, ou autre. 

4 – Lobnoïe Mesto 

Crédit : Vassili Egorov, Alexeï Stoujin/TASS

La place Rouge a été le témoin de siècles d’événements historiques, en tant que place principale du pays. Lobnoïe Mesto est d’abord mentionné dans les chroniques comme l’endroit d’où Ivan le Terrible annonça la victoire contre le Khanat de Kazan. Une légende raconte que c’est le lieu où se déroulaient les exécutions publiques, mais c’était rarement le cas. C’était plus probablement le lieu des discours officiels (à l’époque soviétique, c’est la tribune du Mausolée qui occupait cette fonction). 
Mais en 1698, la place a été le témoin d’une exécution de masse, lorsque les Strelsy (la division moscovite des tireurs), qui avaient participé à un soulèvement, furent exécutés à cet endroit.  

5 – La Cathédrale Saint-Basile 

Crédit : Panthermedia / Vostock-photo

Cette cathédrale à l’aspect d’un grand gâteau est sûrement un des symboles les plus reconnaissables de Moscou et de la Russie, représentée sur des milliers de cartes postales et de souvenirs. Saint-Basile fut construite par Ivan le Terrible entre 1555 et 1561, en mémoire de l’annexion de Kazan et de la victoire sur le Khanat de Kazan. En plus de l’aspect extérieur et des photos souvenirs, nous vous conseillons d’entrer admirer les fresques à l’intérieur des coupoles, les portes des autels dans les différentes chapelles et l’iconostase. 

6 – La nécropole dans les remparts du Kremlin 

Crédit : Vladimir Fedorenko/RIA Novosti

Certains hauts dignitaires et héros soviétiques ont trouvé leur dernier refuge dans les remparts du Kremlin. On y trouve notamment Joseph Staline, qui était allongé aux cotés de Lénine jusqu’en 1961 dans le Mausolée avant d’y être retiré. Un parcours dans la nécropole du Kremlin vous présentera toute l’histoire de l’URSS, les ministres, généraux, le premier cosmonaute Iouri Gagarine, l’écrivain Maxime Gorki et beaucoup d’autres ont eu l’honneur d’être enterrés ici. Le dernier à y avoir été inhumé fut le leader soviétique Konstantin Tchernenko en 1985. 

Pourquoi les Russes appellent-ils Moscou la «Troisième Rome»?

Pourquoi la capitale russe est comparée à la Rome antique ?

En Russie, on appelle Moscou de différentes façons, la capitale ayant de nombreux noms et sobriquets. On trouve ainsi de respectueux épithètes tels que « la capitale originelle », qui indique que c'est bien Moscou qui fut le premier centre du jeune État russe, tandis que « la ville couronnée d'or » se réfère aux coupoles dorées des cathédrales moscovites. Il y en a des plus moqueurs comme « la ville pas élastique », faisant allusion au fait que malgré sa taille, il n'y a pas assez de place pour tous ceux désirant y vivre, ou encore « le grand village ». Mais « la Troisième Rome », surnom apparu dès le Moyen Âge, est l'un des plus répandus. D'où vient-il ?

Héritière de Rome et de Constantinople

Le premier à avoir qualifié Moscou de « Troisième Rome » fut le moine Philothée qui, dans des missives adressées au Grand Prince de Moscou datant de 1523–1524, appelait à lutter contre l'hérésie. La principauté de Moscou était, selon le religieux, le dernier bastion de la véritable foi. « Tous les royaumes chrétiens ont disparu et sont à présent réunis au sein de votre empire, affirmait-il dans l'une de ses lettres. Deux Rome sont tombées, mais la troisième est debout, et il n'y en aura pas de quatrième ».
Dans la terminologie de Philothée, la « Première Rome » désigne la véritable Rome, capitale de l'Empire romain ayant rassemblé sous son pouvoir des dizaines de peuples. Au IVe siècle, la Chrétienté est progressivement devenue la religion dominante dans cet empire initialement païen et Rome fut alors proclamée capitale du monde chrétien. Lui succéda ensuite Constantinople, principale ville de l'Empire byzantin, dans laquelle s'est enracinée l'orthodoxie suite au schisme ayant séparé les Églises d'Orient et d'Occident en 1054. Du point de vue des orthodoxes, la Rome catholique étant tombée et ayant sombré dans l'hérésie, Constantinople devint la « Deuxième Rome », capitale du véritable monde chrétien.
Après le baptême de la Rous' au Xe siècle, les Russes reconnurent l'autorité de l'Empereur byzantin comme protecteur de tous les chrétiens, remarque l'historienne Svetlana Lourié. Mais quelques siècles plus tard, la cité chuta à son tour : en 1453 l'Empire ottoman conquiert Constantinople, affaiblie par plusieurs crises politiques, et la renomme Istanbul. Moscou devient alors le centre de l'Orthodoxie, après avoir justement, aux XV-XVIèmes siècles, uni autour d'elle les terres divisées de Russie.

Un concept oublié

Comme l'écrit l'Américain Marshall Poe, historien et auteur de « Moscou, la Troisième Rome : Origines et Transformations d'un « moment décisif » », en Occident, le concept de « Troisième Rome » est souvent utilisé pour expliquer la politique extérieure de l'URSS, puis de la Russie, qui se base soi-disant sur des idées expansionnistes ayant pour finalité la construction d'un Empire semblable à l'Empire romain. De son côté, Poe considère cette approche comme incohérente : « Cela [le concept de Troisième Rome] ne nous apprend rien sur les tendances à long terme de la politique extérieure russe ou sur la psychologie nationale en Russie ».   
L'historien assure que la signification du concept est exagérée. En réalité, après que le moine Philothée eut émis au XVIe siècle son idée de Troisième Rome, elle fut oubliée au cours des 300 ans qui suivirent. Si l'État russe s'élargissait, cela ne se faisait pas dans le but de satisfaire un quelconque fantasme de ses dirigeants visant à construire un empire orthodoxe, mais pour des raisons bien plus terre-à-terre : une lutte pour des ressources, des accès à la mer, etc. 
C'est au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, sous le règne d'Alexandre II, lorsque les missives du moine furent publiées à gros tirage, que l'on redécouvrit la théorie de Philothée. Le concept de « Moscou – Troisième Rome » fut ensuite repris par les mouvements panslaves, qui rêvaient d'une unification des peuples slaves sous l'égide de l'Empire de Russie. Mais suite à la révolution de 1917 et à l'arrivée au pouvoir des communistes, les idées panslaves furent réduites à néant.

« La ville aux sept collines » 

Au delà de son statut de capitale impériale, apparu au Moyen Âge, Moscou ne ressemble guère à Rome : la capitale russe possède une architecture totalement différente et un climat bien plus rude. Cependant, l'un des rares points communs dont on parle le plus est le fait que Moscou a soit-disant été bâtie sur sept collines, tout comme le fut la capitale romaine. 
Alexandre Frolov, historien et spécialiste de Moscou, affirme que l'expression de « ville aux sept collines » ne correspond néanmoins pas à la réalité. Il explique en effet que dans les chroniques, on a inclus lors du décompte des « collines » de petites hauteurs que l'on peut difficilement qualifier de collines. L'unique colline de Moscou est celle de Borovitski, sur laquelle se dresse aujourd'hui le Kremlin. Selon Frolov, le reste n'est rien de plus qu'une belle légende, « le fruit de l'imagination des romantiques », dit-il. « Même si j'aimerais vraiment pouvoir qualifier Moscou de +Troisième Rome+ ».


Les villes les plus honnêtes selon le Reader's Digest.

1. Helsinki (Finlande)
La capitale finlandaise arrive en tête des villes testées en termes d’honnêteté, puisque 11 portefeuilles sur les douze laissés ont été rapportés à leur propriétaire.

 


2. Bombay (Inde)
9 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire.




3. Budapest (Hongrie)
8 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire




3. ex æquo: New York (Etats-Unis)
8 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire.




4. Moscou (Russie)
7 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire




4. ex æquo: Amsterdam (Pays-Bas)
7 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire.




5. Berlin (Allemagne)
6 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire.




5. ex æquo: Ljubljana (Slovénie)
6 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire




6. Londres (Royaume-Uni)
5 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire.




6. ex æquo: Varsovie (Pologne)
5 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire.




7. Bucarest (Roumanie)
4 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire.




7. ex æquo: Rio de Janeiro (Brésil)
4 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire.



7. ex æquo: Zurich (Suisse)
4 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire.



8. Prague (République Tchèque)
3 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire.



9. Madrid (Espagne)
2 portefeuilles sur les 12 "perdus" ont été remis à leur propriétaire



10. Lisbonne (Portugal)
Seul un portefeuille sur les 12 "perdus" a été remis à son propriétaire.

Les 8 villes les plus chères d'Europe en 2012.


Londres : 10.000 euros/m2
 Paris : 8300 euros/m2.
 Munich : 5000 euros/m2.
 Moscou : 4000 euros/m2.
 Milan : 4000 euros/m2.
 Rome : 4000 euros/m2.
 Lyon : 4000 euros/m2.
 Marseille : 4000 euros/m2.



 

La place Rouge de Moscou.

La Place Rouge marque le centre de Moscou.
Immense esplanade de 52 000 m² interdite aux voitures, la place Rouge s'étend près du mur est du Kremlin. La place principale de Moscou est déjà au XVe siècle le centre de la vie publique où sont organisées les cérémonies les plus solennelles. On y fait lecture des oukases (édits du tsar) et l'on y rend la justice. Au XVIIe siècle, elle est définitivement devenue la place Rouge (Krasnaïa), autrement dit la belle place ("rouge" et "beau" sont des mots presque identiques en russe), aujourd'hui encadrée par la basilique Saint-Basile-le-Bienheureux au sud, le grand magasin Goum à l'est, le musée Historique au nord et la muraille du Kremlin à l'ouest.
 
 
La basilique Saint-Basile,
 
 
édifiée au XVIe siècle sur l'ordre d'Ivan le Terrible, est sans conteste le monument le plus féerique de Moscou avec ses bulbes polychromes et ses dômes torsadés d'une exubérance digne d'un palais des Mille et Une Nuits. Les fresques intérieures offrent un spectacle tout aussi magique tandis que devant le monument, un bloc de vieilles pierres blanches, de forme circulaire, signale l'ancien lieu des supplices.
 
 
A l'ouest de Basile-le-Bienheureux,
 

on aperçoit la tour du Sauveur, la plus belle du Kremlin, d'où sortaient autrefois les processions religieuses qui se dirigeaient vers la place Rouge. Elle est ornée d'un magnifique carillon, d'une horloge massive et, bien sûr, surmontée d'une immense étoile rouge.



 
De l'autre côté de la place, à droite du musée Historique,
 
 
on remarque un autre monument, l'église de la vierge de Kazan, élevée en 1993 sur l'emplacement d'une ancienne église du XVIIe siècle démolie en 1936.
 
Adossé à la muraille du Kremlin,
 
le mausolée de Lénine, aux lignes austères et aux matériaux de marbre et de granit, tranche par sa sobriété.
 
Le Goum, ancien grand magasin d'Etat, occupe les parties supérieures des galeries marchandes, à l'est de la place.
 

Depuis sa privatisation en 1993, on y trouve désormais les boutiques les plus diverses proposant un grand choix de vêtements de mode, produits de beauté, articles de luxe et souvenirs.