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En Pologne, des chambres d'hôtel pour les ivrognes

Une des nombreuses échoppes d'alcool de Varsovie.



Les premières cellules de dégrisement de luxe ont ouvert à Sosnowiec. Réservées aux ivrognes qui en ont les moyens...

Se faire ramasser dans la rue et cuver sa vodka dans l'équivalent d'une chambre d'hôtel ? C'est l'idée de Miroslaw Czapla, patron de la société Medics, à Sosnowiec, dans le sud de la Pologne. Sa clinique de traitement de l'alcoolisme accueille les premières cellules de dégrisement privées du pays.
À la différence de la France où « l'ivresse publique manifeste » conduit dans les geôles des commissariats ou des gendarmeries, ce sont les municipalités polonaises qui ont la responsabilité des personnes en état d'ébriété. Les « clients » ne manquent pas : plus de 160 000 interpellations en 2016 !

Salles de bain et téléviseur

Pourtant, pour faire des économies, les municipalités ont tendance à réduire le nombre de locaux de dégrisement. La loi prévoit bien une tarification de la nuitée, jusqu'à 70 €. Mais, dans la pratique, la majorité des pensionnaires sont des sans-abri ou des personnes incapables de régler les « frais de séjour ». Certaines mairies ont commencé à décharger une partie du problème sur la police ou les hôpitaux.
La ville de Sosnowiec a fait un choix singulier. Elle a conservé ses cellules de dégrisement, tout en passant un contrat avec Medics pour y envoyer les VIP. Il en coûte toujours 70 € mais les chambres privées sont équipées d'une salle de bain, d'un téléviseur, d'une connexion Internet et de vêtements de rechange. On peut même commander le petit-déjeuner, facturé en sus.
À quoi servent alors les cellules municipales ? « Nous avons des clientèles différentes, assume leur gestionnaire Grzegorz Zdebelak. Les SDF à la mauvaise odeur décuvent chez nous. » Dans des conditions critiquées par le Défenseur polonais des droits.

Pologne. Le président Duda approuve la loi controversée sur la Shoah

Le président polonais a signé, ce mardi 6 février, la loi controversée sur la Shoah.
Le président polonais a signé, ce mardi 6 février,
la loi controversée sur la Shoah.

Le président polonais a signé, ce mardi 6 février, la loi sur la Shoah destinée à défendre la Pologne contre ceux qui lui attribuent les crimes nazis. Un texte qui provoque des tensions, notamment avec Israël et les États-Unis.
C’était l’étape décisive pour qu’elle entre en vigueur. Le président polonais a signé, ce mardi 6 février, la loi controversée sur la Shoah. Le texte a pour objectif de défendre l’image du pays vis-à-vis du processus d’extermination mis en place par le régime nazi pendant la Seconde Guerre mondiale. La loi prévoit trois ans de prison pour les personnes, y compris les étrangers, qui accusent « contrairement aux faits » la nation ou l’État polonais de participation aux crimes de l’Allemagne nazie

« Qu’on s’abstienne de nous diffamer »

« C’est une solution qui, d’un côté, préserve les intérêts de la Pologne, notre dignité et la vérité historique, pour que les jugements portés sur nous à travers le monde soient honnêtes, qu’on s’abstienne de nous diffamer en tant qu’État et nation, a déclaré le président. Mais, d’un autre côté, elle tient compte de la sensibilité des personnes pour qui la question de la mémoire historique de l’Holocauste reste exceptionnellement importante, et surtout de ceux qui ont survécu et qui, tant qu’ils peuvent, doivent raconter au monde leurs souvenirs de ce passé et leur expérience. »
Cette loi avait mis les conservateurs nationalistes au pouvoir en Pologne dans une situation difficile : en y renonçant ils auraient été accusés de céder aux pressions de l’étranger, mais sa promulgation risque de tendre les relations de Varsovie avec ses alliés israélien et américain.

Israël ne voit pas cette loi d’un bon oeil

Ce texte irrite et inquiète en effet ces pays. Les dirigeants israéliens y voient une tentative - que Varsovie dément - de nier la participation de certains Polonais au génocide des Juifs, voire d’empêcher les survivants de la Shoah de raconter leur expérience. Dès le vote du texte par la chambre basse du parlement polonais fin janvier, Israël l’avait vivement dénoncé. « Nous ne tolérerons pas qu’on déforme la vérité et réécrive l’Histoire ou qu’on nie l’Holocauste », avait lancé le Premier ministre Benjamin Netanyahu.
Andrzej Duda a demandé au Tribunal constitutionnel de vérifier sa conformité avec la loi fondamentale en ce qui concerne la liberté d’expression et la précision - qu’il trouve imparfaite - du passage imposant des peines de prison aux auteurs d’accusations. Il faut que toute personne « ayant lu la loi, soit en mesure d’identifier les comportements entraînant une responsabilité pénale et ceux qui ne l’entraînent pas », a dit le chef d’État polonais, réagissant implicitement aux critiques, notamment israéliennes. Selon elles, l’imprécision de la loi ouvrirait la voie aux poursuites contre toute personne évoquant un crime commis par des Polonais.
Après celle de Netanyahu, la réaction du ministère israélien des Affaires étrangères à la décision d’Andrzej Duda, a paru modérée, voire conciliante. « Nous espérons que dans le délai imparti avant que le Tribunal n’achève ses délibérations, nous parviendrons à nous mettre d’accord sur les changements et les corrections », indique-t-il mardi dans un communiqué.
De son côté, le mémorial de la Shoah à Jérusalem, Yad Vashem, a rappelé dans un communiqué avoir « mis en garde les autorités polonaises à plusieurs reprises contre les erreurs dans la formulation de la loi », erreurs qui « pourraient fausser la vérité historique ».

Contre l’expression « camps de la mort polonais »

Pour leur part, les États-Unis avaient exprimé leur « inquiétude » en des termes énergiques à la veille du vote du Sénat polonais le 1er février. La loi risque d’avoir des « répercussions » sur « les intérêts et relations stratégiques de la Pologne, y compris avec les États-Unis et Israël », avait mis en garde la porte-parole du département d’Etat Heather Nauert. Estimant que d’éventuelles divisions entre alliés « ne profiteraient qu’à nos rivaux ».
Aux yeux des conservateurs au pouvoir, il s’agit en priorité d’empêcher qu’on utilise l’expression « camps de la mort polonais » pour les installations des nazis allemands en Pologne occupée. Le président du Conseil européen Donald Tusk a estimé sur Twitter qu’au contraire « les auteurs de la loi ont promu dans le monde entier cette vile calomnie comme personne ne l’a fait jusqu’à présent ».

Une décision condamnée par l’opposition au pouvoir polonais

Sans changer leur position sur le fond, les dirigeants polonais ont cherché à minimiser la crise et à l’expliquer par un malentendu. Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a qualifié vendredi de « temporaire » la tension avec Israël et les États-Unis. « C’est un affaiblissement temporaire des relations avec Israël et les États-Unis, mais j’espère qu’elles vont s’améliorer bientôt, lorsque nous expliquerons notre position », a estimé Mateusz Morawiecki. Il a, par ailleurs, invité un groupe de journalistes étrangers à l’accompagner à Markowa, un village du sud-est du pays où un musée préserve la mémoire d’une famille polonaise exterminée pour avoir caché des Juifs sous l’occupation allemande.
« La Pologne a terriblement compliqué ses relations avec ses partenaires clés, les États-Unis, Israël et l’Ukraine, alors que déjà les relations au plan européen sont au plus bas. La situation est vraiment mauvaise, analyse dans ce contexte Stanislaw Mocek, politologue de l’Académie polonaise des Sciences. Le président ne pouvait pas faire autrement s’il veut être réélu. […] Envoyer la loi au Tribunal constitutionnel n’a aucune signification, c’est une institution de façade », a-t-il conclu.
L’opposition a condamné la décision d’Andrzej Duda. Selon Slawomir Neumann, un des ténors de la Plateforme civique (PO, centriste), elle « ne fera qu’approfondir la crise diplomatique et envenimer les relations internationales de la Pologne avec son partenaire le plus important pour sa sécurité, les États-Unis ».


En Pologne, la bagnole comme symbole de réussite

Varsovie et ses embouteillages.
Varsovie et ses embouteillages

La voiture est un « symbole d'élévation sociale » pour les Polonais. Un héritage de la période soviétique où seuls quelques-uns pouvaient s'offrir un modèle étranger.
Les routes sont larges, très larges. Mais rien n'y fait. Aux heures de pointe, Varsovie bouchonne. Et les métropoles polonaises ne quittent plus le haut du classement TomTom des villes les plus embouteillées d'Europe. En dix ans, le nombre de voitures pour 1 000 habitants est passé de 314 à 546. Autant qu'en Allemagne et plus qu'en France (484).
La voiture est un « symbole d'élévation sociale » pour les Polonais. « C'était déjà le cas dans les années 1980 : à l'époque communiste, très peu pouvaient s'offrir une automobile. Les modèles étrangers, très rares, étaient le signe le plus visible de la réussite. »
Après le passage à l'économie de marché (1990), « le haut niveau des inégalités entre Polonais a fait de la consommation un champ de rivalités sociales, comme aux États-Unis dans les années 1960. » La priorité donnée à la construction d'autoroutes plutôt qu'aux transports en commun n'a rien arrangé.
Avec des revenus bien en deçà des standards européens (950 € brut par mois en moyenne), tous les Polonais ne peuvent pas s'offrir une voiture neuve. Un million de véhicules d'occasion ont été importés en 2016 et la Pologne conserve le plus vieux parc d'Europe : la moyenne d'âge des voitures atteint ici 17,2 ans, contre 10,7 dans l'UE. Les 500 000 véhicules produits chaque année sur place portent des marques étrangères et sont voués à l'export.
La Pologne n'a plus de constructeur auto depuis 2002. Désireux de « repoloniser » l'économie, le gouvernement ultraconservateur promet de créer un champion polonais capable de mettre en circulation jusqu'à un million de véhicules électriques d'ici à 2025. Plus facile à dire qu'à faire.

Varsovie reine des bouchons

La capitale de la Pologne n’a pas bonne réputation chez les automobilistes. A en croire le guide destination de la compagnie aérienne KLM, se déplacer en voiture dans Varsovie peut être chaotique.
Conduire dans Varsovie peut être un cauchemar en raison des mauvaises conditions des routes, des bouchons, du manque de places de stationnement dans le centre-ville, de l'agressivité des conducteurs et du problème grandissant des vols de voitures.
Et malgré la construction de nouveaux ponts autoroutiers, les choses ne semblent pas s’améliorer :
Depuis dix ans, les embouteillages n’ont fait qu’empirer à Varsovie […] L’absence de périphérique fait que tout le trafic est aspiré vers le centre-ville, ce qui rend les conditions de circulations encore pires
Une situation qui ne touche pas seulement la capitale du pays mais aussi Wroclaw et Cracovie, deux des agglomérations les plus importantes de la Pologne. En 2010, Wroclaw figurait à la troisième place du classement TomTom.

La première Miss Monde en fauteuil roulant a été élue à Varsovie




La joueuse de football et mannequin française Nadjet Meskine a été élue Miss sourire.
Une compétition inédite s'est tenue samedi 7 octobre au soir à Varsovie où 24 jeunes femmes de 19 pays, ont concouru pour décrocher le titre de Miss Monde en fauteuil roulant. La Bélarusse a été couronnée mais le résultat compte peu car toutes ont été "gagnantes".

La couronne de Miss Monde est allée à la Bélarusse Alexandra Chichikova, 23 ans, étudiante en psychologie et pédagogie sociale. La Sud-Africaine Lebohang Monyatsi et la Polonaise Adrianna Zawadzinska sont respectivement première et deuxième dauphine. La joueuse de football et mannequin française Nadjet Meskine a été élue Miss sourire.

"Le fauteuil roulant reste un luxe"

"Luttez contre vos angoisses et vos peurs", a appelé la reine de la soirée dans un discours. Lors de la soirée de gala, devant un millier de spectateurs, les candidates ont comparu dans trois tenues différentes: costume national, tenue de cocktail et tenue de soirée.

Organisé à l'initiative de la fondation polonaise Jedyna Taka, le concours avait pour objectif de "changer l'image des femmes en fauteuil roulant, pour qu'elles ne soient pas définies à travers cet attribut, mais aussi d'insister sur le fait que, dans certaines parties du monde, le fauteuil roulant reste un luxe", a déclaré à l'AFP Katarzyna Wojtaszek-Ginalska, co-fondatrice du projet et co-présidente du jury.

"C'est un manifeste commun des femmes handicapées, pour dire qu'on n'a jamais demandé à être handicapées et (...) qu'on veut être considérées comme des personnes tout à fait ordinaires", insiste cette femme de 36 ans, elle-même en fauteuil.

La beauté, oui, mais surtout les activités



Les candidates ont été soit pré-sélectionnées dans des concours nationaux soit choisies par des ONG contactées par la fondation polonaise. Chaque pays pouvait être représenté par deux candidates. Dans ce concours, ce n'est pas le physique qui compte le plus. Certes, avoir un beau visage est important mais on se penche énormément sur la personnalité des filles, leur activité quotidienne, leur engagement, leur vie sociale, leurs projets.

Les candidates ont passé huit jours chargés dans la capitale polonaise avec des répétitions, des séances photo, des conférences et des visites de la ville. Elles n'ont payé que le trajet vers la Pologne.

C'est avant tout une rencontre entre vingt-quatre femmes, avec autant d'histoires poignantes : comme celle de la Finlandaise Kati van der Hoeven communiquant avec son mari avec des mouvements de pupilles, ou de la kinésithérapeute polonaise Beata Jalocha, blessée en 2013 lorsqu'un homme est tombé sur elle en se suicidant du septième étage d'un immeuble, ou de la Néerlandaise Mirande Bakker, victime d'une erreur médicale.