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Les automobilistes chinois ont été confrontés ces derniers jours au plus gros embouteillage au monde ?



Depuis dix jours, les véhicules étaient pare-chocs contre pare-chocs sur une centaine de kilomètres dans le nord du pays. Le bouchon s'était formé le 14 août dernier entre Pékin et la région de la Mongolie intérieure.
Ce bouchon a ressemblé à un énorme parking. Les automobilistes tentaient de prendre leur mal en patience en jouant aux cartes et en dormant. Les villageois voisins profitaient de la situation en les approvisionnant à prix d’or. Ils vendaient les bouteilles d’eau dix fois plus chères que le prix normal. Pour l'heure, sur cette autoroute, les seuls obstacles rencontrés sont les ralentissements habituels aux péages.

Les futurs moyens de contraception masculine.



La contraception hormonale masculine, à base de testostérone, ne sera d'ailleurs sans doute pas une pilule, mais pourrait prendre la forme d'injections administrées chez le médecin tous les 2 ou 3 mois pour empêcher les testicules de fabriquer du sperme, de gel à appliquer quotidiennement sur les bras ou l'estomac, où d'implants sous la peau.

Le contraceptif ne parvient pas à supprimer la production de sperme pour 20% des hommes. Il présente des effets secondaires : acné, prise de poids, augmentation du taux de cholestérol.

La contraception à base d’ultrasons, indolore, au niveau des testicules pourrait être efficace pour rendre stérile un homme, de manière réversible pendant six mois autrement dit la fertilité de l'homme ne serait absolument pas affectée après l'arrêt du traitement.

Le Saint Soufi Sidi El Hadi Ben Aissa ou Sidi M’hammed Ben Aïssa ou Moula Meknasse est surnommé Cheikh El Kamel.

Originaire de la tribu Fahd, Sidi El Hadi Ben Aïssa, de son nom entier, Abou Abd-Allah M’hammed ben Aïssa Fehdi Soufiani Mokhtari est né en 1465, dans la région du Souss et mort à Meknès, vers 1523, soit l’an 933 de l’hégire. Il est plus connu sous le nom de Cheikh El Kamel, une appellation qui veut désigner un homme complet ou parfait. El Hadi Ben Aissa a vécu durant le règne des Ouatassides qui ont conquis la ville de Meknès au XVème siècle. Disciple de Sidi Ahmed Harthi à Meknès, il perfectionne son enseignement sur le jazoulisme à Marrakech auprès de Sidi Abd-el-Aziz Tebbaâ.

Il parcourait le Maroc, prêchant la doctrine islamique, et avait beaucoup de disciples, qui lui témoignaient obéissance et respect. Il a effectué des voyages canoniques en Orient, avant de professer à Fès et à Meknès où il fonde sa zaouïa. Ses adeptes dépassent largement les centres classiques du Aïssaouisme pour fleurir du nord au sud du Royaume, ainsi qu’en Algérie, en Tunisie, en Libye, au Caire, à La Mecque ou en Syrie... Ces zaouïas envoyaient encore au début du XXe siècle d’importantes délégations pendant le Moussem renommé pour ses fameuses Lilas. Le mausolée de Cheikh El Kamel, qui se situe à Bab Siba à Meknès, à 26 km au sud de Volubilis, est le cœur de la rencontre des Aîssaoua. Il fut édifié par le Sultan Sidi Mohamed Ben Abdellah en 1776. Ce bel et superbe édifice, qui fut restauré et embelli, se signale à l’attention des visiteurs. Le tombeau de Cheïkh El Kamel est devenu le lieu annuel de pèlerinage de milliers de fervents des Aîssaoua, qui considèrent le Mouloud comme un passage de l’obscurité à la lumière.

La cité Ismaïlite, Meknès, abrite la zaouia des Aissaouas où est enterré le saint surnommé Cheikh El Kamel, de son vrai nom Sidi El Hadi Ben Aïssa, symbole de délivrance pour des milliers de fidèles qui viennent se recueillir dans ce lieu saint spécialement durant la fête du Mouloud.

La fête du Mouloud, anniversaire de la naissance du Prophète Sidna Mohammed, revêt un caractère particulier à Meknès. C’est l’occasion où les Aîssaoua de tous les coins du Maroc et même d’Algérie, de Tunisie et de Libye, se rassemblent autour du mausolée du cheikh, lieu du pèlerinage. A cette occasion, de nombreuses processions et diverses manifestations religieuses, musicales, folkloriques et commerciales sont organisées dans les parages du mausolée de Cheikh El-Kamel et à travers toute la ville de Meknès. Cette tradition réunit des centaines de milliers de fidèles, aussi bien de la confrérie des Aissaouas que d’autres confréries religieuses, qui accomplissent en groupe les rites de la Zyara (visite) du mausolée du Cheikh et se livrent durant toute la période du Moussem, à de longues nuits de musiques et de danses processionnaires. Les Aîssaoua donnent libre cours à leurs expressions corporelles qui se transforment en transe. A la fin, ils se dirigent vers le mausolée avec les offrandes destinées au Cheikh El Kamel, tout en murmurant des voeux. La légende raconte qu’à la mort du Cheikh, l’un de ses disciples, en état de choc, entra en transe, lacéra ses vêtements et dévora même un mouton cru. Ceci est à l’origine des deux pratiques spécifiques aux Aîssaoua. La «hadra», pratique collective de la transe, et la «frissa», qui consiste à dévorer un animal vivant. Les Aîssaoua peuvent également se rendre à domicile la nuit pour célébrer la lila. Cette danse qui commence après la dernière prière du soir et se termine à l’aube est l’occasion pour les Aîssaouas de danser, de se purifier, de pleurer, de rire et de se soigner. Nombreuses sont les personnes qui participent à cette pratique, notamment les femmes qui veulent célébrer un événement heureux, résoudre un problème ou encore invoquer la bénédiction du Cheikh.

Moulay Abdeslam Ben Mchich Alami, un auguste soufi, descendant de la dynastie idrisside.

Abdeslam Ben Mchich Alami (عبد السلام بن مشيش العلمي) est un saint soufi (1163 - 1228 soit 559-626 de l'hégire), originaire de Jbel Laâlam dans la région de Béni Arouss au Maroc. Du XIIe siècle jusqu'au XIIIe siècle, il se retira à jbel Laâlam au sud de Tanger où est situé actuellement son mausolée modeste de forme carrée construit en pierres et briques et blanchi à la chaux lui offrant un cachet rustique, et couvert des branchages d’un arbre centenaire.
Il est estimé comme étant l’initiateur de plusieurs maîtres du soufisme et parmi eux le très célèbre Alime Al Chadila. Peu de choses sont connues sur la vie de ce personnage.




Moulay Abdeslam ben Mchich Alami est de descendance Idrisside (descendant d’Al Hassan).
Quand Moulay Abdeslam est arrivé à l’âge d’apprendre, son père le fit entrer dans une école coranique. A l’âge de 12 ans, il a déjà appris le Coran dans sept versions phonétiques du saint vertueux Sidi Salim enterré dans la tribu Béni Youssouf. On rapporte également que parmi ses maîtres en matière de sciences religieuses, figure le vertueux faqih al-haj Ahmad sit Aqatrân enterré à proximité du village Aburj dans la tribu des Akhmâs, non loin de Bab Taza. Il a reçu de lui les sciences juridiques selon la moudawana, vulgarisant la doctrine malikite. Il a eu trois autres maîtres dans l’apprentissage du Coran, son frère Al-Haj Mûsa al Ridâ, le cheikh Muhammad ibn Ali al-Misbahi et al-Hasan al-Dawâlî enterré à la grande mosquée de Ouezzane. Quant à son initiation spirituelle, elle fut l’œuvre de Abd al-Rahman al-Madanî al-Hassanî surnommé al-Zayyât.
Les maîtres du soufisme considéraient Moulay Abdessalam comme leur initiateur. Sur le plan local, les Jbalas lui dédient une dévotion toute spéciale et le considèrent comme le protecteur de leur pays ce qui lui vaut le titre posthume de «Cheikh Jbala». La tombe où il est supposé reposer est aujourd’hui l’un des grands lieux de pèlerinage où affluent des centaines d’adeptes au mois de juillet de chaque année. C’est un moment d’intense recueillement religieux mais aussi l’occasion de faire la fête avec de la musique, des danses soufies ainsi que des fantasias.




Les enseignements de Moulay Abdessalam Benmchich Al Alami ont formé les bases de plusieurs écoles ou voies du soufisme et, de nos jours, ses disciples continuent d’en diffuser les principes. Il méditait et priait au sommet de sa montagne. C’est aussi là qu’il mourut. De là haut, il pouvait veiller d’un simple coup d’œil sur toute la région.
Pendant la décadence almohade, Ibn Abî Al-Taouâjin qui était le gouverneur du sultan Yahya al-Mutasim, s’est déclaré prophète et a vu en Moulay Abdessalam Benmchich un ennemi, et dans son activisme un sérieux obstacle à ses projets. Il l’a fait assassiner non loin de la source où il avait l’habitude de faire ses ablutions.
Il y a eu parmi ses descendants et ceux de ses frères et oncles un nombre incalculable de savants confirmés qui se sont arrêtés aux limites de ce qui a été rapporté à son sujet, et ils n’ont consigné que ce qui revient à sa généalogie, à sa voie, à ses vestiges à Jbel Alam, à sa tombe, aux circonstances de son assassinat, au désaccord sur la date de sa mort, et à ce qui a été rapporté par ceux qui ont fait connaître son disciple, le pôle Abû-l-Hasan al-Shâdili, concernant ses conseils et ses dires. Quant à sa prière authentifiée et connue dans toutes les régions du monde, la beauté de sa rhétorique frise l’inimitable, et tous ceux qui la récitent témoignent de ses effets bienfaisants.

Le Doum ou l’alfa à la grande époque du crin végétal à Ain Défali et plus exactement à Jennaoua.

L’espèce de palmiers la plus ancienne dans la région d’Ain Défali, endémique, c’est le Doum. Les habitants de notre région allaient dans les alentours de Yaccor, de Laâmirat pour en cueillir les dattes (fruit, charnu, sucré et farineux, est comestible). Une petite graine, ni douce ni agréable au goût, dont l’albumen fournit un ivoire végétal, le corozo d’Abyssinie…Mais c’est un arbre très utile. On utilise ses feuilles ( lanières et fibres) pour faire des corbeilles et des nattes, des balais, des moules à fromages, etc...Les fruits sont utilisés en pharmacie. On utilisait le crin végétal tiré du Doum pour la fabrication de textile, le remplissage des matelas et des sièges de voitures et de nitrocellulose.

Les années d’avant 1950, c’était l’époque où les fauteuils étaient rembourrés par les poils arrachés à la crinière et à la queue de cheval et les matelas par de la laine, ce qui les rendait fort onéreux. La toute nouvelle industrie automobile commençait à se développer, et le rembourrage des sièges de voitures était à prévoir. Une usine de crin végétal était installée sur la route d’Ouezzane, à Jennaoua, près de la ferme de Lambert, à 10 kilomètres d’Ain Défali.

Des petits fagots d’environ 15 cm de diamètre, palmes toutes rangées dans le même sens, joints deux par deux, étaient ensuite assemblés en ballots bien solides, réguliers, et d’un poids facilement transportable. 20 à 30 kg. Ces ballots étaient ensuite livrés chaque jour, à dos d’ânes. Afin de permettre aux douars éloignés (Kranes, Laamirate, Jennaoua, Lafssahiyène, Kraoucha, etc…) de l’usine d’avoir un certain revenu, une bascule était mise à leur disposition sous la responsabilité d’une personne résidente qui pesait et payait les achats de palmiers, acheminés ensuite à l’usine par camion. Ces ramassage et livraisons de palmier permettaient à des centaines de familles de percevoir un revenu non négligeable.

Les ballots arrivés à destination étaient entreposés dans un hangar à l’entrée de l’usine, avant de subir les différentes manipulations qui allaient aboutir au crin, à la ficelle et à la corde.

Mais pour cela, il fallait d’abord passer les palmes à la machine à effilochage : Cette machine était constituée d’une table de 50 cm de large, sur 6m de long et sur laquelle étaient fixées 5 grandes pinces pivotant sur un axe, permettant à 5 hommes de travailler. Cette table faisait partie intégrante sur toute sa longueur d’un coffre fermé dans lequel un arbre en acier, monté sur roulement à billes tournant à plus de 1000 tours par minute, entraînait 5 tambours , hérissés d’alênes extrêmement pointues et affûtées. C’était un véritable travail de spécialiste, qui nécessitait la plus grande vigilance, car à la moindre distraction, c’était l’accident grave. Cette machine, avec ses 5 employés, produisait environ une tonne de fibre par jour.
Derrière l’effilocheuse, se trouvait une machine moins volumineuse, la cardeuse qui était alimentée par les rejets de l’effilocheuse. La fonction de cette cardeuse était d’aérer les fibres et de finir de les nettoyer de ses éventuels déchets.
Les femmes étendaient ensuite cette filasse sur une aire, la secouaient, pour l’aérer et la sécher avant de la rentrer dans l’atelier de filature.

Par mesure de sécurité, cet atelier était séparé de la fabrication de la fibre afin d’éviter tout risque d’incendie, car la filasse était très sèche. C’était un hangar de 20m de large sur 60 m de long, avec des fileuses où des poulies s’enchevêtraient dans un savant jeu technique et d’où sortaient, après diverses manipulations, des cordes que l’on mettait en balles de 50 Kg pour être livrées à la Coopérative de Kénitra qui se chargeait de la commercialisation et de l’exportation.

Le 11 janvier est officiellement jour férié au Maroc


Le Manifeste du 11 janvier 1944 ou le Manifeste de l'Indépendance du Maroc est un acte fondateur du Maroc. Il s'agissait de réclamer l’indépendance du Maroc « dans son intégralité nationale sous ll’égide de Sa Majesté Sidi Mohammed Ben Youssef».



La réponse de la Résidence fut une forte pression sur Sa Majesté le Sultan pour qu'il se démarque de l’idée de l’indépendance, et le lancement d'une série d’arrestations de nationalistes. Le 28 janvier de la même année, une large vague d'arrestation a frappé les rangs du Parti de l'Istiqlal et a notamment conduit à l'emprisonnement de son Secrétaire général, feu Ahmed Balafrej. Des vagues de soulèvements et de manifestations se sont soldées par de nombreuses victimes, en particulier dans les villes de Fès, de Rabat ou de Salé ; et de nombreux résistants furent traduits devant le tribunal militaire pour atteindre à l'ordre public et furent mis à mort.



Lors de la deuxième guerre mondiale (1939-1945), le Maroc s’est engagé aux côtés des alliés en participant directement aux combats qui se sont déroulés en Europe et en Afrique. Afin de coordonner leur action, les alliés décidèrent de se retrouver. La Conférence d’Anfa fût alors organisée à Casablanca en janvier 1943.
Au moment de cette conférence, Sa Majesté le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef eut une entrevue avec le Président F.D. Roosevelt où ce dernier lui exprima implicitement ses encouragements pour l’indépendance du Maroc


Les 67 personnes qui ont signé ce manifeste sont :
Ahmed Mekouar, El Hassan Bouayad, El Hachmi El Filali, Ahmed Balafrej, El Hassan Benjelloun, Abdelaziz Ben Driss, Mohamed Soudi, Ahmed Ben Della, El Aïssaoui El Mestassi, Abdelkbir Ben Mehdi El Fassi, Ahmed Benchekroun El Meknassi, Bouchta El Jamaï, Mohamed Ben Abderrahmane Saâdani, M'hamed Ben Jilali Bennani, Abdeslam El Mestari, Abdellah Benbrahim, Mohamed Lyazidi, Aboubakr El Kadiri, Mohamed Ghazi, Kacem Ben Abdeljalil, Mohamed Bouâmrani, Abderrahim Bouabid, Tahar Ben El Fqih Abi Bakr Zniber, Messaoud Chiguer, Omar Ben Abdeljalil, Ahmed Lyazidi, Abdellah Regragui, Abdeljalil El Kabbaj, Ahmed Cherkaoui, Mehdi Ben Barka,Taib Aouad, Boubker Sbihi, Abdelkrim Benjelloun, Abdelwahab El Fassi, Seddick Benlarbi, Kacem Zhairi, Mohamed El Bakkali, Ahmed El Mandjra, Abdelkader Hassan, Jilali Bennani, El Hafiane Cherkaoui, Si Brick Ben Ahmed, El Houssine Benabdellah El Warzazi, Mohamed El Fassi, Mohamed Ben El Khadr, Malika El Fassi, Mohamed Diouri, Mohamed El Hamdaoui, Bennacer Ben Haj Larbi, Mohamed Benazzou, Haj Othmane Jorio, Mohamed Zeghari, Ahmed El Hamiani, Ahmed Bahnini, Mohamed El Ghzaoui, Abdelhadi Skalli, Omar Benchemssi, Abdelkbir Fassi Fehri Ben Hfid, Driss M’hammedi, Ahmed Ben Bouchta, Abdelhamid Ben Moulay Ahmed, Abdellah Benomar, Omar Ou Benasser, Mohamed Benlarbi Alami, Mohamed El Jazouli, Haj Mohamed Rifaï, Mohamed El Fatimi El Fassi, hassane kassiri ..


Tous font partis du panthéon marocain : grands résistants avant l'indépendance, les signataires sont devenu ensuite les symboles du Maroc libre et les hommes clés de la construction du nouveau Maroc. Il faut noter que Malika El Fassi était la seule femme signataire dudit manifeste. Les signataires du Manifeste avaient alors réclamé la fin du régime de protectorat imposé au Maroc par le traité du 30 mars 1912.