Bush est arrivé chez lui au Texas, où il a été acclamé, alors qu'il avait été quelque peu sifflé à Washington.
Et là, il aura tout le temps nécessaire pour méditer sur son cadeau d'adieu et sur ses erreurs impardonnables et monumentales commises ailleurs.
Lors d'une conférence de presse donnée aux côtés du premier Ministre Irakien Nouri al-Maliki, un journaliste de la chaîne Al-Baghdadiya n'a pas hésité à lui envoyer ses deux souliers en pleine figure . Mais, cow-boy dans l'âme, il a réussi à les esquiver.
Aujourd’hui Mardi 20 Janvier 2009, une journée historique qui restera gravé dans la mémoire des citoyens américains. Barack Obama, le premier président noir des Etats-Unis D’Amérique deviendra officiellement président d’Amérique. Devant des centaines de milliers d’admirateurs à la grande esplanade au pied du capitole, Barack Obama prêtera serment une main sur la bible d’Abraham Lincoln, son modèle en politique.
Située à 60 kilomètres de la Province de Sidi kacem, cette région est l’une des communesoù le manque touche tous les secteurs. Malheureusement, et les citoyens le savent, tout est urgent dans notre commune, tant tout est à faire.
Il est temps de lancer des projets pour lui permettre au moins de s’aligner sur le niveau de développement des régions avoisinantes.
Cette ancienne gare de trente hectares non utilisée et abandonnée mérite d’être exploitée par notre pauvre commune. Regardez bien cette photo de 1926 qui montre une toute petite parcelle de cette gare avec ses gigantesques hangars, le restaurant des voyageurs de chemin de fer et les bâtiments neufs de cette nouvelle gare. Et n'oubliez jamais que le 03 août 1925, le premier train (avec ses locomotives à vapeur) entre en gare à Ain Défali (venant de Kénitra) marquant l'ouverture de l'exploitation ferroviaire à voie étroite de 60 centimètres d'écartement.
Actuellement, elle est exploitée dans sa majorité par les héritiers de Fegrouch (propriètaire de la ferme avoisinante).
Les services du domaine public sont priés d'intervenir pour remettre les choses en place.
L’ancienne poste gérée par Mme Robert est partie en éclats. Il ne reste maintenant que cette fameuse école qui fonctionne modestement et que le proche avenir lui réserve une fermeture. Alors, il est temps pour les responsables de reprendre ce grand terrain de la gare pour faire des projets convenables et bénéfiques à Ain Défali , la commune la plus déshéritée de la Province de sidi Kacem.
Après 22 jours de bombardements meurtriers de la bande de Gaza, Israel a mis un terme ce week-end à son offensive et, quelques heures après, Le Hamas a annoncé également un cessez-le-feu immédiat donnant une semaine à Israel pour se retirer de l'enclave.
En 22 jours, 1300 palestiniens ont été tués, dont plus de 410 enfants et 108 femmes, selon le dernier bilan des services d'urgences de Gaza. Plus de 5300 personnes ont été blessées.
Côté israélien, 13 personnes ont été tuées, dont 3 civils. 80 civils ont été blessés, dont quatre très grièvement. 113 soldats israéliens ont été blessés.
De nombreux bâtiments abritant des civils ont été détruits. Des milliers de Palestiniens se retrouvent ainsi à la rue.
Israel a violé le droit international lors de l'attaque de Gaza : punition collective, usage disproportionné de la force et attaque de cibles civiles dont des maisons, des mosquées, des universités et des écoles.
L'armée israélienne vient d'utiliser du phosphore blanc, arme interdite par le droit international contre des civils, dans des zones d’habitation très peuplée.
Depuis le début de l'offensive israélienne, l'ensemble du territoire palestinien a été bouclé avec l'interdiction formelle, pour les journalistes internationaux, d'y pénétrer.
Les correspondants de la presse arabe, déjà sur place, ont travaillé dans des conditions très dures. Quatre journalistes y ont été tués: l'un travaillait pour les télévisions algérienne et marocaine, deux autres pour une radio gazaouie et le quatrième était le caméraman personnel du président palestinien Mahmoud Abbas.
Un proverbe chinois dit que “Le faible se soumettra au plus fort.” Cela signifie que le fort gagnera sur le faible, ou que le faible succombera au fort. Généralement ce proverbe est vrai, mais il y a toujours des exceptions. Dans des conditions extraordinaires, le plus faible « peut » vaincre le fort et le petit « peut » l’emporter sur le plus grand. Il y a de nombreux évènements historiques qui prouvent que le faible a égalé ou même triomphé sur le fort.
L'exemple le plus récent est celui de Ghaza avec Israel.
Le henné est une tradition qui date de l'antiquité. Les vertus médicinales de cette plante merveilleuse sont aujourd'hui incontestables.
Les femmes l'adoptent comme moyen de fascination et d'embellissement. Il représente un symbole d'amour, de joie et de bonheur.
Le tatouage au henné est à la mode, temporaire, indolore.
Il permet à tout un chacun de " maquiller " n'importe quelle partie du corps.
-->Mais chez nous, les femmes adorent le tatouage des mains et des pieds.
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Pour préparer la pâte, il faut mélanger un peu de poudre verte avec de l'eau, et éventuellement des huiles essentielles (fleur d'oranger, eau de rose...) qui ont pour effet de prolonger la durée du dessin. La pâte ne doit être ni trop liquide, ni trop sèche... La pâte est déposée sur la peau suivant un dessin ou un pochoir à l'aide d'une seringue (sans l'aiguille bien sûr) qui permet un tracé fin.
La couleur dépend de l'épaisseur de la pâte déposée, du temps de pause avant d'enlever la pâte (au moins une heure, le temps de partager un thé !). La couleur s'estompe au bout de 2 à 3 semaines, peu à peu passant du marron à oranger.
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Le henné noir, pour la teinture des cheveux, est à déconseiller pour les tatouages car ses composants chimiques peuvent entraîner des allergies précoces ou tardives.
Pendant sa phase de croissance (qui est très rapide), le côté à l’ombre du tournesol pousse plus vite que son côté ensoleillé, et sa tige s’incline vers le Soleil.
Ce phénomène est à l’origine du nom donné à cette plante.
Le Manifeste du 11 janvier 1944 ou le Manifeste de l'Indépendance du Maroc est un acte fondateur du Maroc. Il s'agissait de réclamer l’indépendance du Maroc « dans son intégralité nationale sous ll’égide de Sa Majesté Sidi Mohammed Ben Youssef».
La réponse de la Résidence fut une forte pression sur Sa Majesté le Sultan pour qu'il se démarque de l’idée de l’indépendance, et le lancement d'une série d’arrestations de nationalistes. Le 28 janvier de la même année, une large vague d'arrestation a frappé les rangs du Parti de l'Istiqlal et a notamment conduit à l'emprisonnement de son Secrétaire général, feu Ahmed Balafrej. Des vagues de soulèvements et de manifestations se sont soldées par de nombreuses victimes, en particulier dans les villes de Fès, de Rabat ou de Salé ; et de nombreux résistants furent traduits devant le tribunal militaire pour atteindre à l'ordre public et furent mis à mort.
Lors de la deuxième guerre mondiale (1939-1945), le Maroc s’est engagé aux côtés des alliés en participant directement aux combats qui se sont déroulés en Europe et en Afrique. Afin de coordonner leur action, les alliés décidèrent de se retrouver. La Conférence d’Anfa fût alors organisée à Casablanca en janvier 1943. Au moment de cette conférence, Sa Majesté le Sultan Sidi Mohammed Ben Youssef eut une entrevue avec le Président F.D. Roosevelt où ce dernier lui exprima implicitement ses encouragements pour l’indépendance du Maroc
Les 67 personnes qui ont signé ce manifeste sont : Ahmed Mekouar, El Hassan Bouayad, El Hachmi El Filali, Ahmed Balafrej, El Hassan Benjelloun, Abdelaziz Ben Driss, Mohamed Soudi, Ahmed Ben Della, El Aïssaoui El Mestassi, Abdelkbir Ben Mehdi El Fassi, Ahmed Benchekroun El Meknassi, Bouchta El Jamaï, Mohamed Ben Abderrahmane Saâdani, M'hamed Ben Jilali Bennani, Abdeslam El Mestari, Abdellah Benbrahim, Mohamed Lyazidi, Aboubakr El Kadiri, Mohamed Ghazi, Kacem Ben Abdeljalil, Mohamed Bouâmrani, Abderrahim Bouabid, Tahar Ben El Fqih Abi Bakr Zniber, Messaoud Chiguer, Omar Ben Abdeljalil, Ahmed Lyazidi, Abdellah Regragui, Abdeljalil El Kabbaj, Ahmed Cherkaoui, Mehdi Ben Barka,Taib Aouad, Boubker Sbihi, Abdelkrim Benjelloun, Abdelwahab El Fassi, Seddick Benlarbi, Kacem Zhairi, Mohamed El Bakkali, Ahmed El Mandjra, Abdelkader Hassan, Jilali Bennani, El Hafiane Cherkaoui, Si Brick Ben Ahmed, El Houssine Benabdellah El Warzazi, Mohamed El Fassi, Mohamed Ben El Khadr, Malika El Fassi, Mohamed Diouri, Mohamed El Hamdaoui, Bennacer Ben Haj Larbi, Mohamed Benazzou, Haj Othmane Jorio, Mohamed Zeghari, Ahmed El Hamiani, Ahmed Bahnini, Mohamed El Ghzaoui, Abdelhadi Skalli, Omar Benchemssi, Abdelkbir Fassi Fehri Ben Hfid, Driss M’hammedi, Ahmed Ben Bouchta, Abdelhamid Ben Moulay Ahmed, Abdellah Benomar, Omar Ou Benasser, Mohamed Benlarbi Alami, Mohamed El Jazouli, Haj Mohamed Rifaï, Mohamed El Fatimi El Fassi, hassane kassiri ..
Tous font partis du panthéon marocain : grands résistants avant l'indépendance, les signataires sont devenu ensuite les symboles du Maroc libre et les hommes clés de la construction du nouveau Maroc. Il faut noter que Malika El Fassi était la seule femme signataire dudit manifeste. Les signataires du Manifeste avaient alors réclamé la fin du régime de protectorat imposé au Maroc par le traité du 30 mars 1912.
Alors que les principales capitales européennes s’adonnent aux festivités de la nouvelle année 2009 par des feux d’artifices qui illuminent le ciel aux couleurs féériques de l’arc en ciel… Dans la bande de Gaza, un autre ciel brûle lui aussi de mille feux qui jettent l’effroi et offrent le spectacle de la barbarie dans sa splendeur : le noir des fumées s’échappent des explosions et le rouge sang des innocents sauvagement tués, sur fond sonore des déflagrations des bombardements israéliens, des sirènes d’ambulances, des cris de douleur des parents, des pleurs d’enfants…
Il s’agit bel et bien d’un face-à-face entre l’une des plus fortes armées du monde et une population civile, faite d’un million et demi de femmes, d’hommes, d’enfants, de vieillards. Une armée dont l’aviation a bombardé, pendant plusieurs jours, la bande de Gaza, région dont la densité de population est l’une des plus fortes au monde ; une armée qui utilise l’artillerie, dont tous les experts reconnaissent l’absence de précision ; une armée qui, en lançant l’opération terrestre, annonce ouvertement que tout ce qui se trouvera sur son chemin sera considéré comme une cible légitime.
Il s’agit donc bel et bien d’un carnage, d’un massacre prémédité et
planifié.
Parler de guerre signifierait un minimum de capacité de contre-attaque de la part des Palestiniens de Gaza. Or, ils n’ont à leur disposition qu’un armement primitif, dont la capacité de nuisance est minimale.
En ce sens, comparer le bombardement massif de Gaza et les roquettes tirées par quelques petits groupes militants comme le Jihad islamique est pour le moins indécent, ces dernières ayant fait jusqu’à présent que quelques victimes israéliennes, alors que la seule frappe aérienne du samedi 27 décembre a fait plus de 200 victimes. Il n’y a pas de symétrie militaire entre la Palestine et Israël, mais surtout, il n’y a aucune symétrie morale. La punition collective imposée à la population de Gaza pendant un an et demi d’embargo total par Israel a poussé les Gazaouis qui n’étaient pas favorables au Hamas à faire front avec lui et l’aspiration à l’union nationale est quasiment unanime. Si le but de l’opération militaire israélienne est de séparer la population du gouvernement qu’elle a démocratiquement élu, elle a d’ores et déjà échoué. Tôt ou tard, le gouvernement israélien va négocier, sous la pression internationale, un cessez-le-feu…avec le Hamas, comme il avait été obligé de le faire avec l’OLP au Liban dans les années 1970 et avec le Hezbollah en 2006. L’échec annoncé de l’offensive israélienne réside précisément dans le fait qu’il n’y a pas de « bout » à cette offensive, car tant que des hommes et des femmes, des jeunes et des vieux, des ouvriers et des paysans vivront sur les côtes de Gaza, sur les monts de Hebron et dans les belles vallées qui entourent Naplouse, la guerre coloniale d’Israël sera mise en échec par une résistance populaire, civile ou armée, offensive et défensive, à laquelle aucune répression, aussi sanglante serait-elle, ne pourra jamais mettre fin.
Finalement le débat sur la légalisation du cannabis au Maroc est devenu une réalité, la 2 éme chaîne de télévision nationale marocaine (2M) a programmé le Mercredi 3 décembre 2008 un débat en direct sur les approches possibles pour la culture du cannabis au Maroc, intitulé « Cannabis et haschisch : Quelle approche adopter ? ».
Le débat avait comme but de faire savoir a l’opinion public la réalité de la culture de cannabis et de tenter d’abords de dresser le bilan de la stratégie gouvernementale d’éradication de cette culture et de la lutte contre le trafic du haschich, on posant les questions : a quel point les projets et les cultures alternatives ont-ils permis aux populations de subvenir à leurs besoins en remplacement des "traditions" illicites ? Peut-on orienter la culture de cannabis vers des usages thérapeutiques et industriel et, d’une façon générale, vers une économie alternative dans ces régions ? Quel est le rôle de la coopération régionale et internationale dans ce domaine ?
Plantes de cannabis
A été présent dans ce débat, Khalid Zerouali gouverneur directeur de la migration et de la surveillance des frontières, Chakib Al Khayari Président de l’Association Rif des Droits Humains, Pr.Mohamed Hmamouchi directeur de l’Institut National des Plantes Médicinales, Hamid El Farouki directeur de développement à l’Agence pour la Promotion et le Développement du Nord, Abderrahman Merzouki Enseignant-chercheur.
L’éradication des Champs de Cannabis
Dans leurs interventions, Khalid Zerouali et Hamid El Farouki, ont dressés le bilan des opérations de l’éradications des superficies cultivées en cannabis dans le nord du pays on annonçant qu’elles a été diminué a 55%, mais Chakib Al Khayari a refusé la prise au sérieux de ses chiffres contradictoire avec la réalité, on signalant l’existence des nouveaux champs cultivés qui sont pas encore compter,qui se trouvent dans les régions au nord du Ketama vers Al-Jabha et la commune rurale Beni Abdallah (35 km à l’ouest d’Al Hoceima), et c’est la même idée que Abderrahman Merzouki a défendu. Ce dernier a dénoncé les diverses violations des droits humains commis envers les pauvres cultivateurs lors de l’éradication, et il a demandé de remplacer cette approche sécuritaire par une approche sociale.
D’autre part, Khalid Zerouali a déclaré que l’éradication des champs a bien atteint les résultats escomptés dans la région de Larach qui a été déclaré comme une province sans cannabis, et que les opérations à Taounate et Chaouen vont bientôt aboutir au même résultats, et il a bien clarifié que le cannabis dans ses régions a été cultivé au détriment des cultures licites productif et les forêts, se que les autres participants ont confirmés aussi, et ont exprimés leur refus de laisser le même chose se reproduire, pour la protection de l’environnement et pour ne pas touché la sécurité alimentaire au niveau régional.
Les projets alternatifs
Dans ce cadre, Chakib Al Khayari a cité quelques essaies que l’Etat marocaine a entamé en collaboration avec des instances unisiennes depuis 1980, on essayant de remplacer la culture du cannabis par des cultures dites licites et aussi on distribuant quelques bétails, mais sans avoir les objectifs escomptés, comme il a été déjà mentionné dans les rapports de situation de ses projets qui ont montrés que les expériences des programmes préventifs de développement alternatif dans la région du Rif marocain est également limitée ou bien a échoué, cela est dû a des entraves économiques et culturelles et géographiques qui sont pas pris en considération lors de montage et l’exécution de ses programmes.
Al Khayari a bien souligné qu’il est impossible d’éradiquer les champs du cannabis à Ketama a cause de la dimension culturelle de cette plante qui remonte a des siècles même avant les invasions arabes au Rif, se qui est clair dans le moussem de Tidghin où les porteurs du coran prient dieu pour protéger leur plante sacré.
Dans le même sens, Khalid Zerouali a déclaré que l’Etat dans tous les cas et dans toutes ses stratégies prennent en considération le contexte culturel qui ne peut jamais être dépassé, et que le manque de l’infrastructure est un réel problème pour faire réussir les expériences des cultures alternatifs, tout en insistant sur les autres activités rentables possibles dans le cadre du tourisme montagnard.
D’autre part, le Pr.Hmamouchi a montré qu’il y a des vraies difficultés pour l’instauration d’une économie alternative surtout dans les régions de Ketama, dans l’absence total des infrastructures de base a cause de la marginalisation historique de la région de Rif en général, et il a proposé d’exploiter l’Initiative nationale pour le développement humain (INDH) pour crée des projets qui peuvent aider les régions du cannabis soit les nouvelles ou bien les historiques de sortir de l’isolation et de la marginalisation.
La légalisation du cannabis
Après avoir discuter les divers problèmes liés au développement alternatif basé sur l’éradication des champs de cannabis, Chakib Al Khayari a proposé l’idée de la légalisation du cannabis comme étant la seul solution pratique pour les régions historique de cannabis, en instituant un cadre légal qui réglemente ces plantations au vu des résultats de la recherche scientifique en les utilisons dans les domaines médicaux, industriels et le développement humain.
Cette idée a été bien appui par l’intervention de Pr.Hmamouchi qui a cité quelques utilisations de la plante de cannabis dans le domaine médical et industriel, et il a insisté sur l’obligation d’offrir un cadre juridique pour l’exploitation de cette plante pour l’intérêt du pays.
De son côté, Khalid Zerouali a bien apprécie cette idée pour les régions historiques de cannabis, et il a déclarer son accord pour discuter cette idée d’une manière plus profond en collaboration avec la société civile, pour mettre fin au trafic illicite de drogue.