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Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.

L’infrastructure routière à Ain Défali est d’une importance primordiale dans la chaine des transports. Elle joue de toute évidence un rôle moteur dans l’activité économique et sociale de notre région et contribue fortement à son développement. Les routes d’Ain Défali sont destinées à assurer une desserte en profondeur du pays, un désenclavement des populations pour leur permettre d’accéder au reste du réseau et par là à la vie économique du pays.

La campagne électorale législative va bientôt commencer et on va voir l’afflux en masse de parlementaires à Ain Défali pour essayer de séduire la pauvre population en vue de leur élection.
Ces candidats parlementaires vont trouver beaucoup de difficultés pour se rendre à Ain Défali car ils ont oublié d’attirer l’attention du département ministériel de Mr. Ghallab pour la réparation du pont, situé sur la route de Had kourt, emporté par les pluies torrentielles des Béni Sennana pendant ces dernières années. Une autre route goudronnée, sur la route d’Ouezzane, est presque rongée à moitié à Jennaoua par l’Oued R’dat, à hauteur de l’habitation de monsieur Alami. Que viendront-ils nous raconter ces parlementaires ? Peut-être, ils nous proposeront la réparation de ces routes abimées pendant leurs prochains mandats.
No comment sur sur l'état piteux des routes d'Ouled Ktir et du douar Slim. Ce sont des routes goudronnées qui sont devenues des routes tertiaires. Il vaut mieux avoir une piste que d'avoir d'avoir des routes soi-disant goudronnées pleines de crevasses.
Nos parlementaires n'ont jamais emprunté ces routes de peur d'abimer leur voitures luxueuses. Mais la prochaine campagne électorale législative va les forcer à venir voir ce qui l'en est dans cette contrée oubliée du monde.
C’est aussi un acte éminemment civique, à travers lequel vous assumez votre responsabilité dans le choix des orientations politiques, économiques et sociales du Maroc.
Les élus de notre région étaient aux abonnés absents et ont brillé par leur absence et leur rendement insignifiant, pendant le mandat écoulé, au profit des pauvres électeurs qu'ils sont censés représenter.





C'est aux jeunes de se décider à assumer pleinement leurs responsabilités vis à vis de leur avenir et celui de leurs enfants et de par là celui des générations à venir.



Un pourcentage important de notre population rurale, qui ne dispose d’aucun moyen légal de transport, ignore qu'il n’est pas assuré en cas d'accidents et se déplace à bord de pick-up, de camionnettes 207 et de tous moyens de transports disponibles.











Aucune explication n'est donnée aux enfants sur le Coran, qu'ils apprennent ainsi par coeur ; le maître qui le leur apprend serait d'ailleurs très embarrassé d'expliquer le moindre passage de ce qu'il enseigne. Toute sa science consiste à savoir le Coran par coeur d'un bout à l'autre, à en connaître admirablement l'orthographe exacte, toutes les intonations, tous les accents ; mais il n'y comprend rien, et ne cherche pas à comprendre, pas plus que ses élèves. Si l'un d'eux, ce qui n'arrive d'ailleurs jamais, s'avisait de demander une explication sur le sens des phrases qu'on lui fait apprendre par coeur, par lambeaux, il serait d'abord battu, pour le bon exemple, et ensuite certainement exorcisé, car seule la présence en lui d'un démon pourrait expliquer sa curiosité. On n'apprend pas le Coran pour le comprendre, mais pour le savoir, pour le posséder, non parce que cela peut être d'une utilité quelconque dans la conduite de la vie, mais pour le mérite, El Ajar, et pour la bénédiction, El Baraka, qui sont attachés au fait de posséder dans sa mémoire tout le livre sacré.
La principale préoccupation de tous ceux qui sont arrivés, après bien des années, à réaliser ce tour de force de mémoire, consiste à ne pas oublier ce qu'ils ont appris, et à entretenir leur mémoire par une continuelle récitation du Coran, de façon à n'en pas perdre un seul mot. C'est que, par une singulière interprétation de quelques versets de la quinzième sourate, les Marocains en sont arrivés à croire que ceux qui, ayant appris le Coran, l'auraient oublié, seront frappés de cécité dans l'autre monde. 
L'école, appelée M'sid, se compose d'une pièce, généralement au rez-de-chaussée, souvent sans fenêtres et ne recevant la lumière que par la porte. Le mobilier de l'école se compose universellement d'une simple natte achetée par les élèves, et d'une sorte de banc très bas sur lequel le professeur est assis, les jambes repliées sous lui. Les élèves sont assis de la même façon sur la natte. Il n'y a jamais ni bancs ni pupitres. L'éclairage, en hiver, se fait au moyen d'une lampe qui se compose d'un verre suspendu au plafond par un fil de fer, et dans lequel se trouve de l'huile d'olive et une mèche faite d'un bout de chiffon de coton.



Situé au cœur de l’ancienne médina et dominant le détroit de Gibraltar, le Musée Américain ou l’ancienne Légation Américaine de Tanger a une histoire unique. Sa structure originelle date du 18ème siècle. Le bâtiment fut offert par le Sultan du Maroc, Moulay Souleiman, en 1821,
à la jeune république américaine alors sous la présidence Monroe.
Ce fut la première propriété américaine à l'étranger. Durant 140 ans, elle hébergea la représentation diplomatique et consulaire des USA au Maroc. Il s’agit d’ailleurs du seul et unique monument historique américain situé en dehors du territoire des Etats-Unis. C’est aujourd’hui, un musée relatant l’histoire des relations américaines et marocaines. Les liens d’amitié entre le Maroc et les Etats-Unis sont proches et cela n’est sans doute pas étranger au fait que le Maroc fut l’un des premiers pays au monde à reconnaître l’indépendance des Etats-Unis en 1778.

En 1976, 200ème anniversaire de l'indépendance américaine, des dons privés permirent la création d'une Fondation transformant l'Ancienne Légation Américaine en un Musée et un centre culturel. Le Musée présente une collection de peintres marocains et étrangers résidant à Tanger.