Tous les jours, on voit apparaître de nouveaux gadgets qui promettent de nous faciliter encore plus la vie. En revanche, nous sommes persuadés que vous n’avez jamais vu des inventions comme celles-ci. Attention! Vous voudrez sûrement toutes vous les procurer!
Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Le Portugal.
Le Portugal est une terre de contrastes. Du nord au sud du pays, en passant par sa capitale, Lisbonne, on trouve les traces des cultures romaines, maures et chrétiennes s'étalant tout au long des siècles. Dans les terres, la Serra da Estrela, permet l'élevage de chèvres. Le poisson est au coeur de la cuisine, avec en particulier la morue. Le Portugal fabrique aussi son propre vin depuis le IIème siècle, grâce aux Romains.
Plages, soleil et fiesta un été brulant au Portugal :
10 avril 1947 : Mohammed V à Tanger pour prononcer son discours historique
Le 10 avril 1947, le sultan Mohammed Ben Youssef se rendait à Tanger, en compagnie du prince héritier Moulay Hassan et de la princesse Lalla Aicha. L’occasion de prononcer un discours historique qui marquera la rupture entre la monarchie alaouite et la Résidence générale. Histoire.
Le Maroc commémore ce 10 avril l’anniversaire de la visite et du discours historique prononcé par le sultan Sidi Mohammed Ben Youssef au jardin de la Mendoubiya à Tanger. Le souverain chérifien s’était rendu juste avant à Casablanca, à Fès puis à Tétouan. Des visites que le Protectorat avait tenté, par tous les moyens, de faire échouer ou même reporter. Finalement, Mohammed V se rendra le 10 avril 1947 au nord du Maroc pour prononcer à Tanger un discours qui marquera le Maroc et la résistance nationale. En effet, entre ses lignes, le souverain rompt officiellement avec la Résidence générale du Protectorat français.
Plusieurs événements pour entravers le déplacement à Tanger
Nous sommes en mars 1946. Après le départ du Général Charles de Gaulle du gouvernement Français, Eirik Labonne est nommé nouveau résident général au Maroc. Une nomination qui intervient au lendemain de plusieurs événements, notamment à l’échelle internationale, dont la victoire des alliés à la deuxième guerre mondiale ainsi que la décoration par l’Elysée du Sultan Mohammed Ben Youssef du «Compagnon de la Libération». Au Maroc et quelques mois plus tard, les partis politiques marocains présentaient, en juillet de la même année, leurs revendications au Résident général. Mais ces grandes lignes d’une réforme déplaisent aux Français qui jugent le projet «précoce et inadapté» à la situation actuelle. Réellement, la France soupçonnait une tentative de saper le corps administratif et renforcer le rôle du sultan.
D’ailleurs, la relation entre le sultan chérifien et le Résident général ne sont pas au beau fixe. Ahmed Rachid rapporte dans les «Mémoires du patrimoine marocain» (Sixième volume, Editions Nord Organisation, 1986) que les relations entre Mohammed Ben Youssef et Eirik Labonne étaient surtout marquées par la méfiance. «Il n’y a pas de doute que le sultan est de plus en plus irrité par l’expression "protectorat" et le système qu’elle impose. Il n’y a pas de doute aussi sur le fait qu’il soit d’accord avec les nationalistes (…) et que le peuple voit en lui un leader qui soutient le gel des relations avec la France», confiait le résident général à l’historien Charles-André Julien.
Une situation qui se confirme dès la visite du sultan à Fès. Il est reçu en salvateur par la population locale, ce qui inquiète de plus en plus les autorités coloniales, marginalisées par le souverain et décriée par les Fassis. C’est après deux semaines de cette visite que Mohammed Ben Youssef annonçait son intention de se rendre à Tanger alors que la dernière visite d’un sultan chérifien dans la ville du Détroit datait de plus de cinquante ans. La France répondait à cette visite par les événements du 7 avril à Casablanca. Dans la nouvelle médina de la ville blanche, des tirailleurs Sénégalais ouvrent le feu sur la foule sans aucun motif apparent. Plusieurs centaines de morts sont alors à déplorer. Les tirailleurs ne sont désarmés qu’après plusieurs heures. Le drame est alors considéré par le mouvement national et l’entourage du sultan comme une tentative pour dissuader Mohammed Ben Youssef de se rendre à Tanger.
Une tentative vouée à l’échec. Le 9 avril 1947, dans la matinée, le sultan chérifien, ses deux fils Moulay Hassan et Moulay Abdallah et sa grande fille Lalla Aicha, étaient à bord d’un train à destination de la ville du Détroit. Ils se rendront d’abord à Tétouan avant de déjeuner à Assilah en compagnie du représentant du sultan à Tétouan, Moulay El Mehdi.
Le lendemain, Mohammed Ben Youssef est chaleureusement accueilli à Tanger. Il se rendra au jardin de la Mendoubiya, bâtiment où siégeait l'équivalent du ministère des Affaires étrangères du Makhzen, pour prononcer un discours chiffré qui redonnera espoir aux Marocains au moment où les mêmes propos tenus par le souverain alaouite provoqueront la colère des Français.
Bras de fer sultan vs Résidence général, acte I
Au début de son discours, le futur Mohammed V s’adressera au peuple marocain avec des mots et des rappels à connotation religieuse, faisant état d’événements tragiques et de catastrophons ayant «éloigné l’Orient du Maghreb avant de diviser l’unité d’un pays qui prônait l’unité». Il insistera par la suite sur le rôle de la Ligue arabe. «Une ligue ayant renforcé les liens entre les pays arabes et permis aux leaders et monarques arabes d’unifier leurs stratégies», poursuit le souverain avec un air de panarabisme.
«Le droit du peuple marocain n’est pas perdu et ne le sera pas. Nous veillerons, si Dieu le veut, à préserver l’unité du pays et à son développement afin de réaliser le rêve qui rafraîchira le cœur de tout Marocain (…) Nous sommes venus à Tanger s'enquérir de la situation du peuple tel un père affectueux, conscient de ses obligations et prêt à les réaliser pour soulager sa conscience et satisfaire son créateur.»
La journée est également marquée par des discours tenus par le prince héritier Moulay Hassan et la princesse Lalla Aicha. Dans son discours, le futur roi Hassan II a rendu hommage aux Tangérois. «Si le roi visite aujourd’hui Tanger, c’est pour rendre hommage à son peuple et leur attachement au trône alaouite et encourager ses hommes (…) Votre roi veille à préserver votre droit à la vie en tant que peuple musulman et arabe qui n’acceptera pas une autre alternative face à l’islam et l’arabisme», déclare-t-il. Sa sœur Lalla Aicha s’illustrera comme symbole de la femme marocaine et arabe, moderne et luttant pour l’indépendance et de l’émancipation féminine au Maroc.
Le sultan chérifien conclura son discours sans mentionner la France ou lui rendre hommage, contrairement à ses précédentes interventions. Il devait pourtant se référer à la France à travers un paragraphe rajouté par la Résidence générale. «Regardez ce monde développé et inspirez-vous de ses sciences. Prenez l’exemple des peuples amis à l’instar du peuple français, épris de liberté ayant conduit leur pays à la prospérité et le progrès», énonçait le texte. Un passage royalement snobé par le souverain tout comme d’autres paragraphes rajoutés aux discours des princes mais qui n’avaient pas été prononcés. Les discours finaux du sultan et de ses enfants comprenaient pourtant des passages faisant référence aux autorités coloniales. Ces omissions constitueront pour la Résidence générale une véritable volte-face et une menace qui se confirment de plus en plus. Mohammed Ben Youssef et les membres de sa famille passeront la journée à Tanger avant de la quitter samedi 12 avril 1947.
Ce déplacement et le discours du souverain chérifien auront par la suite des échos dans presque l’ensemble des pays de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, en passant par le sénat français, ce qui poussera les autorités coloniales à rappeler Labonne et le remplacer avec le Général Alphonse Juin dès mai 1947. La crise entre le sultan et la Résidence générale se poursuivra même après le déplacement du sultan en France en octobre 1950. Un an plus tard, soit en juillet 1951, Juin est remplacé par Augustin Guillaume. Mohammed Ben Youssef est déposé puis remplacé par son oncle Mohammed Ben Arafa.
Le souverain chérifien est alors déporté d’abord en Corse puis à Madagascar. Contrairement à ce qu’attendait la France, la déportation du futur Mohammed V ne fera que mobiliser le peuple et le mouvement nationaliste. Une vague de violences et d’attentats dans les grandes villes se déclenche alors. Les Marocains étaient plus que déterminés à chasser le colonisateur et décrocher l’indépendance du royaume.
Le Maroc commémore ce 10 avril l’anniversaire de la visite et du discours historique prononcé par le sultan Sidi Mohammed Ben Youssef au jardin de la Mendoubiya à Tanger. Le souverain chérifien s’était rendu juste avant à Casablanca, à Fès puis à Tétouan. Des visites que le Protectorat avait tenté, par tous les moyens, de faire échouer ou même reporter. Finalement, Mohammed V se rendra le 10 avril 1947 au nord du Maroc pour prononcer à Tanger un discours qui marquera le Maroc et la résistance nationale. En effet, entre ses lignes, le souverain rompt officiellement avec la Résidence générale du Protectorat français.
Plusieurs événements pour entravers le déplacement à Tanger
Nous sommes en mars 1946. Après le départ du Général Charles de Gaulle du gouvernement Français, Eirik Labonne est nommé nouveau résident général au Maroc. Une nomination qui intervient au lendemain de plusieurs événements, notamment à l’échelle internationale, dont la victoire des alliés à la deuxième guerre mondiale ainsi que la décoration par l’Elysée du Sultan Mohammed Ben Youssef du «Compagnon de la Libération». Au Maroc et quelques mois plus tard, les partis politiques marocains présentaient, en juillet de la même année, leurs revendications au Résident général. Mais ces grandes lignes d’une réforme déplaisent aux Français qui jugent le projet «précoce et inadapté» à la situation actuelle. Réellement, la France soupçonnait une tentative de saper le corps administratif et renforcer le rôle du sultan.
D’ailleurs, la relation entre le sultan chérifien et le Résident général ne sont pas au beau fixe. Ahmed Rachid rapporte dans les «Mémoires du patrimoine marocain» (Sixième volume, Editions Nord Organisation, 1986) que les relations entre Mohammed Ben Youssef et Eirik Labonne étaient surtout marquées par la méfiance. «Il n’y a pas de doute que le sultan est de plus en plus irrité par l’expression "protectorat" et le système qu’elle impose. Il n’y a pas de doute aussi sur le fait qu’il soit d’accord avec les nationalistes (…) et que le peuple voit en lui un leader qui soutient le gel des relations avec la France», confiait le résident général à l’historien Charles-André Julien.
Une situation qui se confirme dès la visite du sultan à Fès. Il est reçu en salvateur par la population locale, ce qui inquiète de plus en plus les autorités coloniales, marginalisées par le souverain et décriée par les Fassis. C’est après deux semaines de cette visite que Mohammed Ben Youssef annonçait son intention de se rendre à Tanger alors que la dernière visite d’un sultan chérifien dans la ville du Détroit datait de plus de cinquante ans. La France répondait à cette visite par les événements du 7 avril à Casablanca. Dans la nouvelle médina de la ville blanche, des tirailleurs Sénégalais ouvrent le feu sur la foule sans aucun motif apparent. Plusieurs centaines de morts sont alors à déplorer. Les tirailleurs ne sont désarmés qu’après plusieurs heures. Le drame est alors considéré par le mouvement national et l’entourage du sultan comme une tentative pour dissuader Mohammed Ben Youssef de se rendre à Tanger.
Une tentative vouée à l’échec. Le 9 avril 1947, dans la matinée, le sultan chérifien, ses deux fils Moulay Hassan et Moulay Abdallah et sa grande fille Lalla Aicha, étaient à bord d’un train à destination de la ville du Détroit. Ils se rendront d’abord à Tétouan avant de déjeuner à Assilah en compagnie du représentant du sultan à Tétouan, Moulay El Mehdi.
Le sultan Mohammed Ben Youssef en compagnie
de son représentant à Tétouan,
Moulay El Mehdi, le 9 avril 1947 à Assilah.
Bras de fer sultan vs Résidence général, acte I
Au début de son discours, le futur Mohammed V s’adressera au peuple marocain avec des mots et des rappels à connotation religieuse, faisant état d’événements tragiques et de catastrophons ayant «éloigné l’Orient du Maghreb avant de diviser l’unité d’un pays qui prônait l’unité». Il insistera par la suite sur le rôle de la Ligue arabe. «Une ligue ayant renforcé les liens entre les pays arabes et permis aux leaders et monarques arabes d’unifier leurs stratégies», poursuit le souverain avec un air de panarabisme.
«Le droit du peuple marocain n’est pas perdu et ne le sera pas. Nous veillerons, si Dieu le veut, à préserver l’unité du pays et à son développement afin de réaliser le rêve qui rafraîchira le cœur de tout Marocain (…) Nous sommes venus à Tanger s'enquérir de la situation du peuple tel un père affectueux, conscient de ses obligations et prêt à les réaliser pour soulager sa conscience et satisfaire son créateur.»
La journée est également marquée par des discours tenus par le prince héritier Moulay Hassan et la princesse Lalla Aicha. Dans son discours, le futur roi Hassan II a rendu hommage aux Tangérois. «Si le roi visite aujourd’hui Tanger, c’est pour rendre hommage à son peuple et leur attachement au trône alaouite et encourager ses hommes (…) Votre roi veille à préserver votre droit à la vie en tant que peuple musulman et arabe qui n’acceptera pas une autre alternative face à l’islam et l’arabisme», déclare-t-il. Sa sœur Lalla Aicha s’illustrera comme symbole de la femme marocaine et arabe, moderne et luttant pour l’indépendance et de l’émancipation féminine au Maroc.
Le prince héritier Moulay Hassan
et sa sœur Lalla Aicha,
le 10 avril 1947 à Tanger.
Le sultan Mohammed Ben Youssef
quittant Tanger samedi 12 avril.
Le souverain chérifien est alors déporté d’abord en Corse puis à Madagascar. Contrairement à ce qu’attendait la France, la déportation du futur Mohammed V ne fera que mobiliser le peuple et le mouvement nationaliste. Une vague de violences et d’attentats dans les grandes villes se déclenche alors. Les Marocains étaient plus que déterminés à chasser le colonisateur et décrocher l’indépendance du royaume.
Poveglia, l'île maudite de Venise (Italie)
L'île de Poveglia se situe en Italie, non loin de Venise, la ville des amoureux. C'est une île hantée qui regorge d'histoires sordides.
L'île de Poveglia est dans la lagune de Venise et elle ne parait pas aussi idyllique qu'elle ne le montre.
Si l'on en croit les habitants des alentours, l'île serait hantée et il y aurait des phénomènes étranges qui y seraient constatés depuis des décennies.
Les visites sur l'île sont autorisées uniquement durant la saison des vendanges. Poveglia n'a plus de propriétaire et son accès est interdit.
Il existe des histoires macabres qui planent sur cette île, même les pêcheurs ont peur de l'approcher par peur de découvrir des ossements humains dans leurs filets.
La réputation de l'île date depuis l'époque de l'Empire Romain. Les personnes victimes de la peste y étaient alors isolées.
Puis au XIVe siècle, l'île eut la même fonction que lors de l'époque de l'Empire Romain, mais cette fois-ci, Poveglia accueillera des victimes de la peste noire. Cette peste noire fut l'une des pandémies les plus dévastatrice de l'histoire.
Au cours de cette triste période, 160 000 personnes y auraient été brûlées vives après avoir été jetées dans des fossés, creusés sur l'île.
La peur d'avoir cette peste noire créa la panique un peu partout et la panique fut telle qu'il suffisait de montrer une petite défaillance physique pour être envoyé sur l'île.
Encore de nos jours, l'on peut y voir des épaisses couches de cendre visqueuse. La cause étant la terre mêlée aux restes carbonisés des corps humains, victimes de la peste. La couche supérieure de cendre a séchée pour former une très fine poussière qui, lorsqu'il y a du vent, va agresser les poumons.
Une partie du coeur de l'île de Poveglia est constitué de restes humains. Parfois les vagues rejettent des restes humains, c'est pour cela en grande partie que les pêcheurs ne vont pas dans cette zone. Le risque de pêcher des ossements est bien trop grand.
L'île fut vendue dans les années 60 par l'Etat italien à un acheteur privé. Ensuite de nombreux propriétaires se sont succédé mais tous ne voulant pas garder l'île plus de quelques jours.
Les différents propriétaires auraient raconté que des phénomènes inexplicables et très étranges se dérouleraient sur l'île. On peut trouver l'explication si l'on cherche au niveau de la fondation d'un hôpital psychiatrique sur l'île en 1922. Les patients de l'époque se plaignaient déjà des fantômes victimes de la peste.
Bien sûr, personne n'a cru aux histoires de ces patients et leur médecin qui était devenu fou à ensuite commencé à procéder à des lobotomies ainsi que des expériences médicales sur eux.
Certaines personnes un peu plus téméraires qui ont osé s'aventurer sur l'île, on raconté par la suite, qu'ils avaient entendu des gémissements et des cris étranges.
L'hôpital psychiatrique fut construit en 1922 et abandonné en 1968. Lors de la construction, le bâtiment était composé d'un campanile, c'est-à-dire, une grande tour. Le bâtiment était imposant et superbe.
Très rapidement les premiers patients ont commencé à raconter qu'ils voyaient des fantômes en décomposition et qu'ils entendaient aussi des voix. Comme je l'ai noté plus haut, ces personnes ne furent pas crédibles car il ne faut pas oublier qu'elles étaient enfermées dans un hôpital psychiatrique et qu'elles étaient jugées comme folles. Donc personne ne les a écoutées.
L'hôpital était dirigé par un médecin plutôt ambitieux, et comme dit plus haut, il pratiqua des expériences sur ses patients. Le but était de découvrir la cause de la folie dont ils étaient malade.
Les méthodes de ce médecin étaient monstrueuses car il pratiquait les lobotomies en utilisant un trépan à manivelle ou encore avec un marteau et un burin.
Les patients qui étaient déjà atteints de délires, subissaient d'atroces tortures lorsqu'on les emmenait dans la tour d'observation.
Ce médecin fit ces expériences durant plusieurs années, jusqu'à ce que lui aussi commence à voir les fantômes du passé de l'île qui avaient rendu leur dernier souffle durant la période de la peste noire.
On raconte alors que ces mêmes fantômes auraient conduit ce médecin jusqu'à la grande tour et qu'il se serait alors jeté dans le vide.
Malheureusement, le médecin n'est pas décédé sur le coup et une infirmière dira qu'alors qu'il agonisait, une étrange brume fine l'aurait entouré et puis étouffé.
L'hôpital a fermé ces portes depuis ce jour. L'île n'a jamais plus été habitée et ses plages cendrées restent désertes.
Une anecdote :
Une famille a demandé à visiter l'île de Poveglia dans le but de l'acheter a un prix vraiment dérisoire pour y construire u ne maison de vacances.
La famille est partie brusquement avant la fin de la nuit mais elle a toujours refusée de dire pourquoi ils étaient partis si brusquement.
La seule chose connue venant de cette famille est une chose particulièrement terrible. Leur fille aurait eut le visage griffé très profondément par "quelque chose". Elle aurait d'ailleurs 14 points de suture.
Parfois des petits malins arrivent à aller sur l'île de Poveglia et à leur retour, ils ont jurés qu'ils n'y mettraient plus jamais les pieds. D'après leurs dires, ils auraient entendu des cris et des gémissements sur toute l'île. Des cris insupportables à entendre.....
Le gouvernement a restreint Poveglia de tous les visiteurs. Cependant, si vous insistez sur le paiement de l'île folle une visite, vous aurez besoin d'obtenir un permis spécial qui nécessite beaucoup de paperasse. À l'heure actuelle, l'île est utilisée comme une vigne et d'autres fins agricoles avec les gens d'aller là que pour récolter les raisins.
Poveglia, en effet, a une histoire sombre, tragique et morbide. Il mérite vraiment sa réputation comme l'un des endroits Creepiest et plus hantés du monde et seuls les plus braves oseraient pas le pied dessus.
Découvrez les îles les plus effrayantes du monde
L'île d'Hashima, au Japon : ancienne île minière abandonnée
Quand on vous parle d'îles, vous imaginez tout de suite la plage, les cocotiers, et un cocktail qui vous attend près de votre transat...Alors, ces îles n'ont rien à voir avec ça... Des îles terrifiantes qu'on vous a sélectionnées, comme l'île d'Hashima, au Japon, désertée après avoir été surpeuplée lors de l'exploitation de sa mine de houille. Il ne reste plus aujourd'hui que les squelettes démembrés des immeubles.
L'île d'Hashima au Japon est un bout de caillou qui pourrait faire penser à Alcatraz ou à un navire de guerre (c'est même là qu'elle trouve son nom). Des 1810, la mine de houille présente sur l'île est exploitée, d'immenses constructions y sont érigées et Hashima devient l'endroit le plus densément peuplé du monde. Pendant la guerre, les Japonais y font travailler 800 prisonniers coréens, 120 n'en reviendront pas. Aujourd'hui totalement abandonnée, Hashima est une effrayante île fantôme où la nature reprend peu à peu ses droits.
L'île des poupées, au Mexique : des poupées abîmées accrochées partout dans les arbres
Voici une histoire qui va vous donner des frissons ! L'île aux poupées se trouve dans le district de Xochimilco à côté de la très touristique ville de Mexico.
Bien connue pour ses balades en barques, l'île est habitée depuis 1950 par Don Julian, un ancien paysan venu vivre en ermite.
Peu de temps après s'être installé, Don Julian est persuadé que l'île est hantée par le fantôme d'une petite fille morte noyée dans le lacquelques années plus tôt. Pour calmer l'esprit, il lui offre une poupée en signe de paix. Voyant que cela a l'air de marcher, Don Julian commence une collection qu'il ne cesse de faire grandir.
Si vous aviez peur de Chucky, on vous déconseille l'île aux poupées car avec le temps, les poupées de chiffon comme de porcelaine ont pris une allure encore plus terrifiante. L'île est depuis une curiosité locale.
L'île d'Izu, au Japon : quasi-irrespirable à cause de nombreuses éruptions volcaniques et du rejet de gaz sulfurique.
L'archipel d'Izu regroupe plusieurs petites îles volcaniques, mais celle qui nous intéresse est la belle Miyakejima. Pourrie par les régulières éruptions volcaniques et le rejet de gaz sulfureux, l'atmosphère y est quasi-irrespirable. À tel point qu'en 2000 l'île fut évacuée et interdite d'accès pendant 5 ans. Aujourd'hui, les anciens habitants sont revenus sur Miyakejima, mais leur vie a légèrement changé puisqu'ils sont obligés de porter un masque à gaz en permanence. De quoi faire de belles photos bien flippantes.
L'île de Proveglia, en Italie : on y envoyait les malades d'épidémies, puis on y a ouvert un hôpital psychiatrique.
L'île de Poveglia posée dans la lagune de Venise est un petit condensé d'histoire glauque et morbide. Les Romains s'en servirent pour isoler les victimes de la peste et la tradition est restée : lors des épidémies de peste noire qui jalonnèrent le Moyen-Âge, on déposa sur Poveglia les personnes atteintes par la maladie, vivantes ou mortes. Pour parfaire le tableau, c'est un hôpital psychiatrique qui y ouvre ses portes en 1922. La légende locale affirme que les patients y voyaient les fantômes des victimes de la Peste. Elle raconte aussi qu'un docteur y torturait ses patients avant de tomber (ou d'être poussé) du haut du clocher. Fermé en 1968, l'hôpital est aujourd'hui à l'abandon, tout comme l'île, interdite aux visiteurs.
L'île Guinard, en Ecosse : l'Angleterre y avait effectué des tests d'anthrax sur des moutons, puis a "dépollué" l'île seulement plus de 40 ans plus tard, dans les années 80.
Gruinard ou quand une île relativement sympa avec des petits moutons se transforme en enfer chimique quand l'armée britannique décide de se chauffer à la guerre bactériologique "juste pour voir". En 1942, les Anglais balancent donc des bombes à l'anthrax et regardent comment réagissent les moutons. (Plutôt mal.) L'île est placée en quarantaine et le gouvernement n'entamera le processus de décontamination qu'en 1986 en arrosant l'île de formol. De nouveaux moutons y sont placés sans qu'aucun problème de santé ne soit constaté. En 1990, l'île est rouverte au public, mais personnellement on passera notre tour.
Great Isaac Cay, aux Bahamas : un phare situé au milieu du Triangle des Bermudes où les deux seuls gardiens ont disparu mystérieusement.
À force de paumer des bateaux dans le triangle des Bermudes, des mecs ont décidé de faire un phare sur un tout petit îlot nommé Great Isaac. Pendant près d'un siècle, le phare était donc occupé par 2 gardiens, jusqu'au 4 août 199, date à laquelle les 2 hommes de service de mois-là ont disparu. Personne ne sait vraiment ce qui s'est passé même si la thèse la plus probable est celle d'un ouragan ayant emporté les 2 hommes quelques jours avant. Après cela, le phare est devenu automatique. S'il n'y avait que ça, ça pourrait encore aller, mais la légende raconte qu'un navire se serait échoué au XIXe sur l'îlot, tuant tous ses passagers sauf un très jeune enfant, et que sa mère, la "Grey Lady" peut encore être vue et entendue les soirs de pleine Lune. Parfait parfait.
L'île de North Sentinel, en Inde : une population autochtone absolument pas accueillante.
Si vous voulez passer de petites vacances au soleil, on vous déconseille d'aller sur l'île de North Sentinel dans le golfe du Bengale. Officiellement administrée par l'Inde, l'île de 72km2 est dans les faits habitée et contrôlée par une tribu autochtone nommée "Les Sentinelles" refusant tout contact avec le monde extérieur. Ils ont d'ailleurs déjà tué des pêcheurs un peu trop aventureux et tiré à l'arc sur les hélicoptères venus photographier leur territoire. Si l'accès à l'île est interdit, des braconniers s'y aventurent, mettant en danger la survie des chasseurs-cueilleurs.
L'île de Clipperton, en France : une centaine de morts et des viols sur cette île isolée où seuls quelques survivants ont été retrouvés.
Clipperton est une petite île française paumée dans le Pacifique qu'on pourrait vous décrire comme "un tas de caillou tout plat avec quelques arbres et pas d'eau douce." C'est pourtant là que le Mexique décida d'implanter une exploitation de guano en 1906, une exploitation totalement dépendante des ravitaillements de la marine mexicaine. Sauf qu'en 1914, la révolution mexicaine a un peu occupé la marine qui a oublié d'aller filer de l'eau et de la bouffe aux 100 personnes de Clipperton. Après avoir refusé d'être évacués par un navire américain en 1915, tous les hommes de l'île moururent de carences diverses ou en tentant de quitter l'île sur un radeau de fortune. Le gardien du phare, Alvarez, se proclama alors "Roi" et se mit à violer et tuer toutes les femmes de l'île, avant d'être lui-même tué par une de ses victimes, Tirza Rendon. Le 18 juillet 1917, un navire américain secourut les derniers rescapés : 4 femmes et 7 enfants.
Île de Queimada Grande - Brésil.
Si on vous dit que ce petit paradis au large des côtes du Brésil est interdit au public, vous allez dire que c'est vraiment trop injuste. Si on vous dit maintenant que son surnom c'est "l'Île aux Serpents" et qu'on y trouve la densité de Bothrops insularis la plus élevée au monde (entre 1 et 5 par m2) et qu'on en trouve sur la plage comme dans les arbres ou au sommet de la montagne, vous changez d'avis ? Voiiilà.
Île de Ramree en Birmanie
Parfois, il suffit d'un seul petit fait divers pour faire la réputation d'un endroit. Pour l'île de Ramree, le petit fait divers en question est inscrit au Guinness des records comme étant le plus grand massacre d'êtres humains par des animaux. Février 1945 : fuyant les forces anglaises, 1000 soldats japonais s'enfoncent dans la mangrove. Au petit matin, quand les anglais pénètrent dans l'épaisse forêt, ils ne retrouvent que 20 soldats apeurés. Les autres avaient été boulottés par des milliers de crocodiles. De quoi bien vous dégoûter des rando en forêt.
Top 4 : les armes de destruction massive les plus dangereuses.
C'est durant la seconde guerre mondiale qu'on découvre la terrible puissance des armes de destruction massive (ADM), ces armes dites non conventionnelles. Nous nous rappelons surtout des bombes nucléaires envoyées par les américains sur les villes d'Hiroshima et Nagasaki, ce qui a obligé les Japonais à capituler et donc mis un terme à la seconde guerre mondiale.
N°4. Armes sismiques :
comment mettre à genoux un pays, ou... le rayer de la carte !
Pour commencer, l'arme sismique est réelle ! Il s'agit d'une grosse bombe conventionnelle destinée à exploser dans le sol pour y provoquer une onde de choc bien plus efficace sur les structures lourdes (tunnels, ponts, barrages, bâtiments enterrés...) que l'onde de choc dans l'air provoquée par une explosion en surface. D'un point de vue technique, c'est une bombe à charge pénétrante.
N°3. Armes chimiques :
C'est une arme utilisant des produits chimiques, toxiques pour les êtres humains. L'arme peut être létale ou simplement neutralisante, et peut se révéler toxique pour la faune et la flore.
Exemple d'utilisation : le 16 mars 1988, l'armée irakienne a bombardé à l'arme chimique la ville kurde d'Halabja, il y eut plus de cinq mille morts et environ sept mille blessés et handicapés à vie.
Exemple d'utilisation : le 16 mars 1988, l'armée irakienne a bombardé à l'arme chimique la ville kurde d'Halabja, il y eut plus de cinq mille morts et environ sept mille blessés et handicapés à vie.
armes chimiques de la premiiere guerrre mondiale |
N°2. Armes biologiques :
C'est une arme utilisant des germes pathogènes destinés à affaiblir les armées ou les populations ennemies par la propagation de maladies pouvant être mortelles ou simplement incapacitantes. Leur potentiel de nuisance est tel qu'elles ont été classées dans les armes de destruction massive. Les armes biologiques comprennent les armes bactériologiques et les armes virologiques.
Accidents bactériologiques : l'usine de production d'armes bactériologiques de Sverdlovsk (actuellement Ekaterinbourg) qui laisse échapper de l'anthrax le 30 mars 1979 ; l'épidémie fait entre 66 et 600 morts selon les sources.
Accidents bactériologiques : l'usine de production d'armes bactériologiques de Sverdlovsk (actuellement Ekaterinbourg) qui laisse échapper de l'anthrax le 30 mars 1979 ; l'épidémie fait entre 66 et 600 morts selon les sources.
variole |
Peste |
Charbon |
N°1. Armes nucléaires :
Elles utilisent l'énergie dégagée par la fission de noyaux atomiques lourds (uranium, plutonium dans le cas des bombes A), par la fusion de noyaux atomiques légers (hydrogène dans le cas des bombes H) ou par une combinaison des deux phénomènes.
Exemple d'utilisation : les bombardements des villes d'Hiroshima et de Nagasaki, entraînant plusieurs centaines de milliers de morts.
Exemple d'utilisation : les bombardements des villes d'Hiroshima et de Nagasaki, entraînant plusieurs centaines de milliers de morts.
La bombe H, 10 à 100 fois plus puissante que la bombe A
Les différences entre une bombe-A et une bombe-H sont profondes, et permettent surtout de gagner en puissance tout en réduisant l'encombrement.
Bombe H |
Les bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki |
La Grande Quemada ! L’ile aux serpents !
Plus de 4000 serpents mortels qui contiennent le poison le plus fort et le plus dangereux pour les humains vivent sur cette petite île, qui ne dépasse pas une superficie de 110 hectares, elle est appelé Grande Quemada qui est réputé comme l’île de serpents.
Cette Île Vipère se situe au large de la côte de l’État de Sao Paulo au Brésil, elle est le foyer de plus de 4000 serpents mortels, et certains rapports indiquent que vous pouvez trouver un serpent dans chaque mètre carré, ce qui la classe l’ile la plus sanglante dans le monde
Et Le plus frappant, c’est que cette île abrite principalement le serpent doré, qui est l’un des serpents les plus venimeux au monde, ce genre de venin est plus efficace à environ 3 à 5 fois par rapport à tout autre poison du reste des serpents dans le monde, et ce poison peut être en mesure de dissoudre la chair humaine, je pense que juste l’idée de se mettre en face de se serpent n’est pas du tout envisageable.
Ce Serpent à couleur dorée est responsable de 90% de tous les décès par morsure de serpent au Brésil, principalement dans cette île effrayante dont laquelle quelques gens seulement ont osé aller là-bas, et parmi des histoires au sujet de cette île légendaire en racontent que l’un des pêcheurs s’était rendu à l’île involontairement pour ramasser des bananes et bien sûr, aussitôt que ce pauvre pêcheur à mit ses pieds sur l’Île, il s’est rapidement fait mordre en raison de la population denses des serpents, et malgré qu’il est rapidement allé à son bateau pour essayer de rejoindre l’hôpital le plus proche, il a été trouvé plus tard, mort et baignant dans son sang sur la surface du bateau.
Un autre effrayant incident, c’est passé dans cet endroit terrible pour un travailleur dans un phare sur l’île, lui et sa famille, où il est entré par la fenêtre de sa maison un groupe de serpents qui ont attaqués l’homme et sa femme et leurs trois enfants, et dans une tentative désespérée de s’échapper et fuir vers le bateau, le pauvre homme et sa famille n’étaient pas en mesure de s’échapper de ces serpents mortels et ils ont tous été mordu et trouvé mort dans un état catastrophique
Cette l’île était dans environ 11 000 ans une partie reliée à la terre ferme sur le territoire du Brésil et même dans cette période, la région abritée de nombreux serpents venimeux, dont le serpent doré et tous ça avant de se séparer et devenir une île isolée, mais tous les habitants savent le danger qui règne sur cette zone et aucun d’eux ne pense plus s'en approcher, en raison des choses atroces qui peuvent leur arriver.
Mais malgré la gravité de cet endroit, certains scientifiques ont osé aller à cette île pour faire des études sur ces serpents, et l’Île de Vipère ne contient aucun type de mammifère, probablement en raison des serpents qui peuvent les avoir totalement tué, comme aussi certains oiseaux visitent cette île effrayante mais avec intermittence, surement à cause du haut risque de cette île.
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