La petite fleur bleue pâle au sommet de la bourrache peut très bien s'insérer dans vos plats. Son croquant dégage un surprenant goût iodé comme les huitres. Riche en oméga 6, elle favorise le transit intestinal.
Le romarin
Les petites fleurs du romarin peuvent être consommées en cuisine. Le romarin fleurit de mars à juin, et certaines espèces jusqu'à la fin de l'été.
La capucine
En salade, les feuilles et les fleurs riches en vitamine C s'associent afin d'ajouter un goût légèrement piquant et croquant qui rappelle le cresson alénois
.
La menthe
Si la feuille de menthe s'utilise sous toutes ses formes, les fleurs qui fleurissent de juin à septembre offrent de nombreuses saveurs. Chaque variété dispose de sa particularité (citronnée, piquante...)
La ciboulette
La fleur de la ciboulette rehausse les plats grâce à son goût d'oignon.
Le souci
Le souci est surnommé "le safran des pauvres", il rappelle cette épice dans les plats.
L’aspérule odorante
Cette jolie fleur apporte un goût sucré de vanille dans un plat.
La coriandre
En bouche, les petites fleurs blanches apportent des saveurs fraiches et bien particulières. On les ajoute dans nos plats pour apporter une touche de couleur et un goût légèrement plus relevé.
La violette
Cette fleur parfumée sucrée et légèrement amère ajoute une touche de couleur à vos plats.
Les chrysanthèmes
En soupes ou dans des salades composées, il est tout à fait possible de déguster des chrysanthèmes.
Les roses
On utilise les roses pour faire des confiseries, de la confiture et même des pétales cristallisées.
Les coquelicots
Les pétales de coquelicots se mangent crus en salade, confits au sucre..
Les pissenlits
Les pissenlits sont comestibles, on les déguste en omelette, en salade, en soupe ou en confiture avec des fleurs.
La mauve
On déguste la mauve dans des salades composées ou en décoration sur des pâtisseries.
L’Ail des ours
L'Ail des ours est une fleur comestible que l'on peut consommer seule ou avec ses feuilles. Plus digeste que l'ail, cette plante permet de retrouver le goût de l'ail sans les inconvénients.
La fleur de cerisier
La fleur de cerisier rappelle la fleur d'oranger ou de pommier, on peut l'utiliser pour aromatiser certaines préparations.
La fleur d’églantier
La fleur d'églantier est légèrement acidulée et piquante. On l'utilise comme la rose, pour aromatiser les desserts ou faire de confitures.
La fleur de poireau
La fleur de poireau concentre le goût de la plante. On l'utilise pour retrouver un goût similaire et pour décorer les plats.
La campanule
La campanule est idéale pour décorer les plats. Son goût rappelle celui du petit-pois, elle s'accorde à tous les plats.
Le millepertuis
Le millepertuis est une fleur que l'on utilise dans la Chartreuse. Son goût est similaire au thé noir, on peut s'en servir pour aromatiser des desserts ou pour faire une infusion.
La pâquerette
La pâquerette rappelle légèrement le goût de la mâche. Dans la salade, on la cisèle, mais elle peut également être utilisée comme accompagnement d'un plat chaud.
La fleur de sauge ananas
La fleur de sauge ananas propose un goût qui ressemble à celui de l'ananas. On l'utilise pour relever les plats salés comme les purées, mais aussi pour accompagner des desserts.
La fleur de basilic
La fleur de basilic permet d'utiliser du basilic hors saison. Elle a un goût concentrée qui permet de relever les plats lorsque l'on ne dispose pas de la plante.
La fleur de thym
La fleur de thym s'utilise fraîche pour relever les sauces, pour accompagner les viandes, mais aussi, dans les desserts !
La fleur de trèfle
La fleur de trèfle a un goût sucré. On la consomme dans les préparations de confiture, dans les salades ou dans les desserts.
Les infections nosocomiales sont les infections contractées au cours d’un séjour dans un établissement de santé (hôpital, clinique…). Elle est aussi appelée infection associée aux soins. Ceci veut dire que ces infections sont absentes au moment de l’admission du patient dans l’établissement. Cependant, si l’état infectieux du patient à l’admission est inconnu, l’infection est généralement considérée comme nosocomiale si elle apparaît après 48 heures d’hospitalisation. Si elle apparaît avant un tel délai, on considère en général qu’elle était en incubation lors de l’entrée dans l’établissement.
Le muezzin de la mosquée centrale de Cologne a appelé, pour la première fois ce vendredi, à la prière suite à un accord trouvé entre l'Union turco-islamique (DITIB) et la ville. Selon la presse, le muezzin de la mosquée centrale de Cologne, située dans le quartier d'Ehrenfeld, peut désormais appeler à la prière en utilisant un haut-parleur pour «maximum de cinq minutes et avec un volume limité».
«L'appel public à la prière est un signe que les musulmans se sentent chez eux», déclare Abdurrahman Atasoy, de DITIB, se félicitant de l'accord conclu. «C'est une étape importante dans la perception de la communauté de la foi musulmane comme faisant partie de la société», a-t-il ajouté.
Deux petits haut-parleurs sont montés en haut de la grande porte en bois à l'entrée principale. Selon la ville, l'appel ne doit pas dépasser 60 décibels et donc ne sera probablement audible que jusqu'à la passerelle piétonne de la mosquée. La ville de Cologne justifie le projet par la tolérance et le droit de pratiquer la religion. «L'islam fait partie intégrante de la société allemande depuis de nombreuses années», déclare la maire de Cologne Henriette Reker. «Lorsque nous entendons l'appel du muezzin en plus des cloches des églises de notre ville, cela montre que la diversité est valorisée et vécue à Cologne.» Avant cela, le muezzin appelait à la prière du vendredi mais sans haut-parleur. En Allemagne, l'exemple suivi par la Cologne n'est pas nouveau, l’appel à la prière étant déjà autorisé à Krefeld, à Raunheim en Hesse ou à Oer-Erkenschwick à la limite nord de la région de la Ruhr. Toutefois, le chercheur berlinois sur l'islamisme Ahmad Mansour craint des «conséquences fatales» de la réputation projetée à Cologne. «C'est une démonstration de la puissance de l'Islam politique», avance-t-il en pointant le DITIB comme «bras étendu de l'autorité religieuse turque à Ankara». Il rappelle que le président turc Recep Tayyip Erdogan avait personnellement inauguré la mosquée centrale de Cologne.
Atteignant une hauteur de 250 mètres, la Tour Mohammed VI a été pensée afin d’être visible à 50 kilomètres à la ronde. D’une superficie totale de 102.800 m², l’immeuble est composé d’une tour, elle-même installée sur un podium, le tout évoquant une fusée sur son pas de tir. L’intérieur de l’immeuble a été conçu sur 55 étages, accueillant un hôtel de luxe, des bureaux, des appartements de haut standing ou encore une terrasse d’observation à son sommet, le tout accessible via un total de 40 ascenseurs dont 23 dans la tour et 17 dans le podium. La structure de l’édifice tient non seulement compte de données habituelles, par exemple le vent ou les réalités sismiques, mais également des crues de son voisin, le fleuve Bouregreg. Le contreventement est assuré à 70% par son noyau en béton et à 30% par la structure des portiques acier de la façade. Le haut de la tour accueillant des appartements, un système d’amortisseur harmonique servant à limiter les oscillations sera installé dans les derniers étages. Conçues par le Département BESIX Façade, les façades présentent une esthétique particulièrement fine sur une surface de plus de 70.000 m², en l’occurrence de 41.000 m² pour la tour et de 32.500 m² pour le podium. Transparente au nord, la façade sud de la tour accueille des panneaux photovoltaïques.
Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste,
accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, a adressé,
vendredi, un discours au Parlement à l’occasion de l’ouverture de la
1ère session de la 2ème année législative de la 11ème législature.
Voici le texte intégral du Discours Royal :
"Louange à Dieu,
Paix et Salut sur le Prophète, Sa Famille et Ses Compagnons.
Mesdames et Messieurs les honorables Parlementaires,
L’ouverture
de la nouvelle session parlementaire est, comme le prévoit la
Constitution, l’occasion de célébrer les retrouvailles avec les
représentants de la Nation. Nous y voyons plus particulièrement un
rendez-vous annuel qui donne l’opportunité d’aborder les grandes
questions nationales, et notamment celles qui revêtent un caractère
prioritaire.
Aujourd’hui, Nous avons jugé opportun de mettre l’accent sur deux sujets importants :
- Le premier concerne la problématique de l’eau et les défis urgents et futurs qui s’y rattachent ;
- Le second porte sur la nécessité d’opérer un bond qualitatif en matière de promotion de l’investissement.
Mesdames, Messieurs,
Dieu a dit : « Nous avons créé de l’eau tout être vivant ». Véridique est Sa parole.
En
effet, principe premier de toute forme de vie, l’eau est aussi une
composante essentielle du processus de développement et une ressource
indispensable à la viabilité des projets et activités productives, dans
leur ensemble.
Au Maroc, la
problématique de gestion des ressources en eau se pose avec d’autant
plus d’acuité que le pays traverse actuellement la période de sécheresse
la plus intense qu’il ait connue depuis plus de trois décennies.
Face à cette épreuve, Nous implorons le Seigneur de gratifier notre pays de pluies bienfaisantes.
Afin
de remédier à cet état de fait, Nous avons adopté, dès le mois de
février dernier, dans le cadre du Plan de lutte contre les effets de la
sécheresse, des mesures d’anticipation visant à garantir la
disponibilité de l’eau potable, à soutenir les agriculteurs, à préserver
le bétail.
Conscient que la
sécheresse est un phénomène structurel dans notre pays, Nous avons
toujours attaché une importance capitale à la problématique de l’eau,
sous tous ses aspects.
A cet égard,
Nous avons consacré plusieurs séances de travail à l’examen de cette
question : elles ont abouti à l’élaboration du Programme national
prioritaire de l’Eau 2022-2027.
Depuis
Notre Accession au Trône, Nous avons poursuivi avec constance et
détermination la politique de construction des barrages. C’est ainsi que
plus de 50 nouveaux ouvrages de grande ou moyenne taille ont été érigés
et que 20 autres sont en cours.
Indépendamment
de la pluviométrie qui marquera les années à venir, Nous nous attachons
à accélérer la réalisation de ce Programme dont les projets sont
répartis à l’échelle de tout le Royaume.
Citons
particulièrement l’achèvement de la construction des barrages
programmés, la mise en place d’interconnexions hydrauliques et la
réalisation de stations de dessalement de l’eau de mer. Ajoutons
l’affermissement de l’orientation visant à assurer l’économie de l’eau,
notamment en matière d’irrigation.
Mesdames, Messieurs,
Le
Maroc n’est pas le seul pays touché par la sécheresse et la rareté des
ressources hydriques : sous l’effet du changement climatique, ces deux
problèmes sévissent désormais à l’échelle de toute la planète.
L’état
actuel des ressources hydriques nous interpelle tous, gouvernement,
institutions et citoyens. Il exige de nous, un devoir de vérité et de
responsabilité, dans notre action pour remédier aux faiblesses et aux
carences qu’elle révèle.
De fait, le
Maroc se trouve désormais en une situation de stress hydrique structurel
et la seule construction d’équipements hydrauliques, si indispensable
et importante soit-elle, ne suffit pas à régler tous les problèmes.
Nous
appelons donc à un traitement diligent de la problématique de l’eau,
dans toutes ses dimensions, et notamment à une rupture avec toutes les
formes de gaspillage ou d’exploitation anarchique et irresponsable de
cette ressource vitale.
Par ailleurs,
le problème de l’eau ne doit pas servir de prétexte à la surenchère
politique, ni d’argument pour alimenter des tensions sociales.
Il
nous incombe, à nous tous, en tant que Marocains, de redoubler
d’efforts pour faire un usage responsable et rationnel de l’eau.
Cela
passe par un changement véritable de comportement dans notre rapport à
l’eau. Et en la matière, les administrations et les services publics se
doivent de donner l’exemple.
Il faut
également assurer une gestion optimale de la demande, en concomitance
avec les réalisations en cours, en matière de mobilisation des
ressources hydriques.
A moyen terme, il conviendra de renforcer notre politique volontariste de l’eau et de rattraper le retard dans ce domaine.
Le
devoir de responsabilité impose désormais des choix durables et
intégrés, ainsi que davantage de solidarité et d’efficacité et ce, dans
le cadre du nouveau Plan national de l’eau dont Nous appelons de nos
vœux la mise en œuvre diligente.
Dans ce contexte, Nous voulons mettre l’accent sur les principales orientations suivantes :
-Premièrement
: il est nécessaire de lancer des initiatives et des projets plus
ambitieux, par le recours aux innovations et technologies nouvelles,
dans le domaine de l’économie de l’eau et de la réutilisation des eaux
usées.
-Deuxièmement : il est
impératif d’accorder une attention particulière à une exploitation
rationnelle des eaux souterraines et à la préservation des nappes
phréatiques, en mettant fin au phénomène de pompage illégal et au
creusement de puits anarchiques.
-Troisièmement
: il est essentiel de garder à l’esprit que la question de l’eau n’est
pas l’affaire exclusive d’une politique sectorielle isolée, mais qu’elle
constitue une préoccupation commune à de nombreux secteurs.
Il
en résulte que les stratégies sectorielles doivent être constamment
mises à jour en fonction de la pression exercée sur les ressources en
eau ainsi que sur leur évolution future.
-Quatrièmement
: il est indispensable de prendre en compte le coût réel de l’eau à
chaque étape de la mobilisation de cette ressource, de considérer ce que
cela implique en termes de transparence et de sensibilisation aux
différents aspects de ce coût.
Mesdames, Messieurs,
Le second volet de ce Discours porte sur le thème de l’investissement auquel Nous attachons un intérêt tout particulier.
Aujourd’hui,
Nous misons sur l’investissement productif en tant que levier essentiel
pour la relance de l’économie nationale et l’ancrage du Maroc dans les
secteurs prometteurs.
En effet, ces
filières offrent des opportunités d’emploi aux jeunes et apportent des
sources de financement aux différents programmes sociaux et de
développement.
A cet égard, Notre
souhait est que la nouvelle Charte nationale de l’investissement donne
une impulsion tangible à l’attractivité du Maroc pour les
investissements privés, tant nationaux qu’étrangers.
Aussi,
il convient de lever les obstacles qui continuent d’entraver une
relance effective de l’investissement national, sur tous les plans.
Les
Centres régionaux d’investissement (CRI) sont donc appelés à superviser
l’intégralité du processus d’investissement et à en accroître
l’efficience; ils sont également chargés d’assurer de meilleurs services
d’accompagnement et d’encadrement au profit des porteurs de projets,
jusqu’à leur concrétisation finale.
Pour cela, les CRI doivent bénéficier de l’appui de l’ensemble des parties prenantes, tant au niveau central que territorial.
S’agissant
du climat des affaires, les réformes structurelles engagées sous Notre
impulsion ont permis d’améliorer l’image et la performance du Maroc dans
ce domaine.
Cependant, malgré les
résultats obtenus, Il reste beaucoup à accomplir pour libérer les
énergies, tirer le meilleur parti des potentialités nationales,
encourager l’initiative privée, drainer davantage d’investissements
étrangers.
A ce propos, Nous
aimerions insister à nouveau sur la nécessité de la mise en œuvre
effective de la Charte de déconcentration administrative, la
simplification et la digitalisation des procédures, la facilitation de
l’accès au foncier et aux énergies vertes, l’appui financier aux
porteurs de projets.
Afin de
renforcer la confiance de ceux qui veulent opérer des investissements
productifs dans notre pays, Nous appelons à la consolidation des règles
de la concurrence loyale, à la mise en œuvre effective des mécanismes de
médiation et d’arbitrage pour le règlement des litiges.
L’investissement
étant l’affaire de toutes les institutions et de tous les acteurs du
secteur privé, Nous soulignons que chacun doit rester mobilisé et
afficher une attitude responsable à l’effet de promouvoir ce secteur
vital pour l’essor de notre pays.
L’objectif
stratégique recherché est que le secteur privé occupe la place qui lui
échoit dans le domaine de l’investissement, celle d’une force motrice
effective de l’économie nationale.
Par
ailleurs, il convient que les entreprises marocaines et leurs
organisations nationales, régionales et sectorielles assument leur
fonction de catalyseurs de l’investissement et de l’entrepreneuriat.
De
son côté, le secteur bancaire et financier national se doit de soutenir
et financer la nouvelle génération d’entrepreneurs et d’investisseurs,
notamment les jeunes ainsi que les petites et moyennes entreprises.
Dans
ce cadre, Nous préconisons, à nouveau, qu’une attention particulière
soit portée aux investissements et aux initiatives des membres de la
communauté marocaine résidant à l’étranger.
Pour
atteindre les objectifs souhaités, Nous avons exhorté le gouvernement,
en partenariat avec les secteurs privé et bancaire, à traduire leurs
engagements respectifs dans un «Pacte National pour l’Investissement».
Ce
dispositif vise à mobiliser 550 milliards de dirhams d’investissements
et à créer 500 mille emplois, au cours de la période 2022-2026.
Mesdames, Messieurs,
Comme
vous le savez, étant donné les compétences de législation, d’évaluation
et de contrôle qui sont les siennes, l’institution parlementaire assume
un rôle-clé dans le traitement judicieux des questions et
préoccupations de la Nation et des citoyens, et plus particulièrement,
des problématiques de l’eau et de l’investissement.
Soyez
donc, que Dieu vous garde, à la hauteur de la grande responsabilité qui
vous incombe, particulièrement dans le contexte national actuel et au
vu des fluctuations de la conjoncture internationale.
Il
n’est point de meilleure conclusion que ce verset du Saint-Coran où
Dieu décrète: « (et c’est Lui) Qui fait descendre du ciel de l’eau et
par elle fait surgir toutes sortes de fruits pour vous nourrir ».
Véridique est la parole de Dieu.
Le Roi Mohammed VI a été vu vendredi en fin d’après-midi, se promenant dans les rues de Rabat à bord d’un 4×4 sans aucune garde rapprochée.
Quelques heures après avoir prononcé son discours devant le Parlement pour l’ouverture de la session d’automne, le Roi Mohammed VI a en effet été aperçu dans les rues de la capitale, précisément dans le quartier Agdal. Assis sur le siège passager, le Roi gardait la fenêtre ouverte et n’avait aucun dispositif sécuritaire autour de lui lors de cette balade, comme le montre cette vidéo, devenue virale sur les réseaux sociaux.
Nous sommes loin d'être la seule espèce intelligente sur la Terre. Voici les dix animaux considérés comme les plus intelligents par la science. L'intelligence humaine se caractérise ainsi, notamment, par la capacité à communiquer, la conscience de soi, la créativité, la capacité à penser de manière abstraite, le language ou encore le fait de pouvoir résoudre des problèmes. L'intelligence animale pourrait ainsi être mesurée d'autres manières, mais en l'absence de connaissances suffisantes, nous la mesurons pour le moment avec les mêmes critères que la nôtre. Et les récentes découvertes scientifques montrent, l'une après l'autre, que les espèces avec qui nous partageons la planète sont bien plus intelligentes que ce que l'on a longtemps pensé.
LES PIEUVRES
Considérée comme l'invertébré le plus intelligent, la pieuvre possède un immense cerveau, qui comme le notre est composé de deux parties. Elles sont capables d'utiliser des outils, d'élaborer des stratégies complexes pour se cacher ou se protéger du danger, et même de s'échapper d'un aquarium.
Plus fascinant encore, elle peuvent se montrer joueuses, et certaines ont même été observées en train de jouer à la balle. Elle sont également capable de reconnaître un humain particulier.
LES COCHONS
Non contents d'être les animaux les plus proches génétiquement de l'humain, les cochons comptent parmi les animaux les plus intelligents et sociables de la planète.
La science a ainsi pu établir qu'ils ont une excellente mémoire à long terme, sont capables de comprendre un langage symbolique, ont la notion du temps (ils sont capables de se souvenir de leur passé et d'anticiper le futur), et disposent d'une excellente capacité pour s'orienter. Etres sociaux, ils savent distinguer les individus, que ce soit de leur espèce ou les humains, et évoluent dans des communautés sociales complexes. Ils sont également capables de faire preuve d'empathie, ressentent des émotions, ont chacun une personnalité distincte, et ont conscience d'eux-mêmes (face à un miroir, ils se reconnaissent). Ils savent aussi monter des stratagèmes pour duper autrui, ce qui prouve qu'ils sont capables de se mettre à la place de l'autre.
LES CORBEAUX
Les oiseaux en général disposent d'une grande intelligence, mais les corbeaux se distinguent à plus d'un titre. Ils sont ainsi les seuls vertébrés en dehors des primates (dont nous faisons partie) capables d'inventer et d'utiliser des outils. Une étude célèbre a ainsi qu'un corbeau pouvait s'emparer d'un fil métallique, le plier à l'aide du bord d'une table pour fabriquer un crochet, et ainsi aller récupérer un fruit inaccessible au départ. Plus étonnant encore, les corbeaux sont capable d'apprendre des techniques à leurs petits.
Ils savent aussi reconnaître différents visages humains, échanger des concepts complexes avec leurs congénères, et ont la capacité d'imaginer le futur. Selon les scientifiques, l'intelligence d'un corbeau adulte est ainsi comparable à celle d'un enfant de sept ans.
LES PIGEONS
Des recherches récentes ont établi que les pigeons étaient capables de comprendre des concepts comme le temps et l'espace.
«La capacité cognitive des oiseaux est encore plus proche de celle des humains et des grands singes», expliquait ainsi en 2017 Edward Wasserman, professeur de psychologie expérimentale à l'université de l'Iowa (États-Unis) et auteur d'une étude sur la question publiée dans Current Biology. «En fait, ces systèmes nerveux aviaires ont beaucoup plus de capacités que ne le suggère l'expression péjorative 'avoir une cervelle d'oiseau' », avait-il ajouté. Une autre étude avait démontré qu'un cerveau de pigeon présente une densité de neurones six fois plus élevée qu'un cervau humain. La distance moyenne entre deux cellules nerveuses de pigeon est 50% plus courte qu'entre deux neurones humains, ce qui fait que l'information peut être traitée plus rapidement.
LES VACHES
Si l'on considère souvent la vache comme uniquement bonne à fabriquer du lait ou à être mangée, on a moins souvent conscience qu'il s'agit d'un animal extrêmement intelligent et social.
Des études ont ainsi montré comment des vaches sont capable d'actionner des mécanismes complexes pour obtenir de la nourriture (tirer un loquet avec la langue pour ouvrir un portail, par exemple). Elles disposent aussi d'une «excellente capacité à l'apprentissage spatial et à la connaissance de l'espace», comme l'explique le Dr Rebecca Doyle, de l'Université de Melbourne. Dotées d'une ouïe et d'une vue excellentes, elles sont également très curieuses et apprécient de découvrir des situations nouvelle. Elles ressentent aussi des émotions, notamment la vache avec son veau. Ainsi, lorsque les deux sont séparés par les éleveurs pour prendre leur lait le la mère, les deux meuglent de détresse durant plusieurs jours. Evoluant dans des environnements sociaux complexes et hierarchisés, elles établissent des amitiés et sont stressées lorsqu'on les sépare d'une de leurs congénères dont elles sont proches. Enfin, sensibles à leur environnement, elles n'apprécient pas certaines surface trop dures et n'aiment pas évoluer sur un sol jonchés d'excréments, comme c'est souvent le cas dans les fermes d'élevage.
LES ÉLÉPHANTS
L'expression «une mémoire d'éléphant» est hautement justifiée. Leur cortexe cérébral est le plus volumineux parmi les mammifères terrestres. Cela lui permet par exemple de se souvenir de la localisation exacte d'une source d'eau et de nourriture dans un rayon de 600 km, de mémoriser des sons et même de distinguer les langages humains. Les éléphants sont aussi dotés de capacités émotionelles développées. A plusieurs reprises, des «funérailles d'éléphants ont ainsi été obervées. Plusieurs individus se réunissent autour du cadavre de l'un des leurs, le recouvrant parfois de terre et de feuilles.
Et lorsqu'un éléphant est malheureux, il n'est pas rare de voir d'autres individus l'entourer en le frottant, comme pour le consoler. Enfin, ils sont capables de transmettre des savoirs à leurs petits, comme par exemple comment creuser un trou pour trouver de l'eau, ou encore fabriquer une boule avec de l'écorce pour reboucher ce même trou pour ne pas que l'eau s'évapore.
LES CHIENS
Le meilleur ami de l'Homme se retrouve sans surprise dans cette liste - subjective - des animaux les plus intelligents.
Premier animal domestiqué par l'humain, il y a 20.000 à 40.000 ans, il a développé une capacité exceptionnelle à comprendre ses émotions et même son langage. On considère ainsi qu'un chien est capable de comprendre en moyenne près de 165 mots humains. Le record, détenu par un chien de berger, est même de 1.022 mots. Très observateurs, ils savent ainsi interprêter non seulement les émotions des humains, mais aussi les relations qu'entretiennent deux humains entre eux. Il est à noter que leur odorat exceptionnel fait qu'ils évouent dans un univers sensoriel différent du nôtre, étant capable de percevoir des subtilités liées aux odeurs dont nous n'avons même pas conscience. Il est ainsi conseillé aux propriétaires de chiens de les stimuler le plus possible, en interagissant avec eux ou en leur faisant découvrir de nouveaux lieux.
LES CHATS
Les chats possèdent près de deux fois plus de neurones que le chiens (300 milions contre 160 millions). On estime aussi qu'ils sont aussi intelligents qu'un enfant humain de deux ans.
Comme les humains, ils sont capables d'apprendre grâce à l'observation. Ouvrir une porte, actionner une sonnette, allumer une lumière sont ainsi des tâches qu'ils peuvent accomplir. Et leur mémoire leur permettrait de se souvenir des évènements dix ans plus tard, soit plus de la moitié de la vie d'un chat. Ils vont ainsi associer une sensation de plaisir avec un bruit, une odeur... ce qui explique qu'ils accourent systématiquement lorsqu'on manipule leur sac de croquettes. Comme les posséseurs de chats ont aussi pu le constater, ils se souviennent précisément des objets et de l'endroit où ils se trouvent, ayant ainsi tendance a se faire une petite cachette où ils rassemblent des objets divers.
LES DAUPHINS
Certains scientifiques vont jusqu'à estimer qu'on devrait traiter les dauphins comme des «personnes non-humaines».
Il est désormais établi qu'ils possèdent des personnalités distinctes, sont dotés d'un fort sens de soi, et qu’ils sont capables de se projeter dans le futur. On sait également que ce sont des êtres «culturels», c'est-à-dire qu'ils peuvent apprendre de nouveaux types de comportements auprès d'un autre dauphin. Ainsi, un dauphin à qui ont avait appris à nager sur sa nageoire caudale a ensuite transmis ce savoir à ses congénères. Diana Reiss, professeur de psychologie à l’Université de New York, a aussi démontré que les dauphins pouvaient se reconnaître dans un miroir et l’utiliser pour inspecter différentes parties de leurs corps, comme le font les hommes et les grands singes. Capables de coopérer, comme lorsqu'ils chassent, ils évoluent dans des environnements sociaux complexes, et sont dotés d'un haut nieau de sophistication émotionnelle.
LES SINGES
Enfin, finissons avec notre cousin et ancêtre, le singe. L'expression «malin comme un singe» n'est pas galvaudée.
Ainsi, les chimpanzés, avec qui nous partageons 99,4% de notre ADN, manient les règles de la politique, utilisent des outils, savent apprendre de leurs erreurs, et même se soigner. Des chercheurs ont obeservé des chimpanzés utiliser certaines écorces d'arbres pour se purger de leurs parasites. Certains scientifiques estiment ainsi qu'il faudrait les inclure dans le genre Homo, au côté de Sapiens. Capable de reconnaître certains mots humains, ils disposent aussi d'un langage propre, que l'on commence à peine à comprendre. Des chercheurs ont ainsi distigué jusqu'à six cris d'alarme émis en séquences de 25 vocalisations successives, ces dernières variant en fonction de la nature de la menace, du type de prédateur en cause ou encore de la manière dont ils ont repéré le danger (bruits, indices visuels...). Enfin, une expérience fascinante menée récemment a montré que les singes se montraient plus flexibles au niveau cognitif que les humains lorsqu'il s'agit de résoudre un problème. Ce qui leur permet d'arriver à leurs fins plus rapidement que nous lorsqu'ils sont confrontés à certaines situations.
Dans le Terminal 2 de l’aéroport International de São Paulo-Guarulhos au Brésil, vous pourrez vous faire soigner par un dentiste.
L’aéroport de Qamdo Bamda au Tibet a la plus longue piste d’atterrissage du monde (5500 mètres de long !).
Dans l’aéroport International Austin-Bergstrom au Texas, vous aurez la chance d’assister à des concerts live au Music In The Air – six scènes disséminées dans le Terminal.
L’aéroport International Hartsfield–Jackson d’Atlanta est officiellement le plus fréquenté du monde depuis 1998. En 2015, ce sont 100 millions de voyageurs qui y ont transité.
La conception de l’aéroport de Madrid-Barajas a valu à ses créateurs, le célèbre cabinet d’architectes Richard Rogers Partnership, le prestigieux prix RIBA Stirling en 2006. Selon les juges, « Le bâtiment présente un diagramme linéaire franc sous forme d'ordre clair, ainsi que des espaces spectaculaires pour les passagers partant et arrivant ».
L’aéroport International King Fahd d’Arabie Saoudite est le plus grand du monde avec ses 4.265 hectares.
A l’aéroport International de Princess Juliana, sur l’île de Saint-Martin aux Caraïbes, vous pourrez bronzer tranquillement en regardant les avions décoller ou atterrir. Ils passeront juste au-dessus de votre tête sur la plage.
A l’aéroport de Barra dans les Hébrides Extérieures (des îles écossaises), les avions atterrissent pour de bon sur le sable.
La Chine peut se vanter de posséder une demi-douzaine d’aéroports perchés en altitude, dont l’aéroport Daocheng Yading qui culmine à 4411 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Les pistes de l'aéroport de Gibraltar sont traversées par l’unique route qui relie la péninsule à l’Espagne et un système de passages à niveaux pour avions.