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Top 12 superbes insectes photographiés

  • La forme de la carapace de ce coléoptère vivant en Chine lui a valu le surnom de scarabée tortue. Platypria melli est une merveille de complexités. Sa belle carapace cuivrée est marquée d’une multitude de petits trous et hérissée d’épines à ses extrémités. Leurs fonctions ne sont pas claires mais sont probablement défensives ou aident au camouflage de l'insecte parmi la végétation. La lumière qui passe à travers cet échantillon révèle des zones où les ailes sont très fines.
  • Platypria melli, le scarabée tortue
  • Helictopleurus splendidicollis, sans doute le plus beau bousier du monde
  • Belionota sumptuosa, splendide scarabée tricolore
  • Sternotomis sp., un magnifique scarabée à longues cornes
  • Exaerete frontalis, l’étonnante abeille coucou
  • Parnopes grandir, une sublime guêpe à queue rubis
  • Cladonota sp., un insecte très surprenant
  • Coprophanaeus lancifer, le scarabée guerrier violet d’Amazonie
  • Lepidochora porti, le scarabée soucoupe volante
  • Mantispa sp., la mouche mante religieuse
  • Pringleophaga marioni, le papillon de nuit de l'île isolée Marion
  • Une sauterelle qui imite une feuille morte

Tour du monde des uniformes de police.

  • Espagne 

La nation européenne possède plusieurs forces de police. Sur la photo, de gauche à droite, on peut voir la Guàrdia Urbana de Barcelona, les Mossos d'Esquadra, et le Corps de la Police Nationale.

  • Les Bahamas 

La police royale des Bahamas possède sans doute l'un des uniformes les plus cool des Caraïbes !
  • Italie 

Les Carabinieri italiens sont réputés pour être parmi les forces de police les mieux habillées au monde. Ils se distinguent par des uniformes élégants, complétés par des ceintures blanches croisées.

  • Émirats arabes unis 

Les policiers de Dubaï portent des uniformes très particuliers. Ils conduisent également certaines des voitures de police les plus rapides et les plus chères de la planète !

  • France

Les gendarmes français portent à la fois des chapeaux traditionnels appelés képis et ceux que l'on voit sur la photo.

  • Chili 

Comme d'autres gendarmeries nationales, les Carabineros chiliens portent également des uniformes élégants et soignés.

  • Canada 

L'uniforme distingué de la Gendarmerie royale du Canada est célèbre à l'international. En termes de style, elle représente pour l'Amérique du Nord ce que les Carabinieri italiens représentent pour l'Europe.
  • Brésil 

La police militaire brésilienne possède un certain nombre d'uniformes différents, dont celui-ci couleur kaki.
  • Corée du Nord 

Voici les uniformes des agents de sécurité routière de Corée du Nord.

  • Australie 

Les policiers australiens sont facilement reconnaissables grâce à leurs casquettes à carreaux. Le motif du tartan Sillitoe, qui date des années 1930 et était initialement utilisé par la police écossaise, a été repris par d'autres forces, y compris en Australie.

  • Royaume-Uni 

La police britannique arbore également le motif à carreaux, mais avec des variations de couleurs selon les forces. La police métropolitaine de Londres est particulièrement reconnue pour ses casques de gardien, souvent appelés "bobby hats".

  • États-Unis 

Les États-Unis comptent un certain nombre de forces de police, chacune portant un uniforme différent. Sur la photo, des agents de la police de New York portent leur uniforme noir traditionnel.

  • Portugal 

Les forces de police portugaises portent traditionnellement des uniformes bleu marine et bleu clair.

  • Les Fidji 

Les Fidji ont un uniforme de police tout à fait unique. Ils portent un vêtement ressemblant à une jupe, appelé sulu. Le sulu est porté aussi bien par les hommes que par les femmes.

  • Inde 

L'Inde compte de nombreuses forces de police, mais elles ont toutes un point commun : l'uniforme kaki.

  • Belgique 

La police belge est divisée entre la police locale et la police fédérale. Sur cette photo, des officiers belges portant une casquette bleu marine.

  • Irlande 


Le personnel de la Garda Síochána porte une veste de haute visibilité plutôt cool. Ils portent également les casquettes traditionnelles à visière.

  • Mexique 

Le Mexique est surtout connu pour sa police fédérale, mais le pays dispose également de forces de police au niveau des États et des municipalités. La photo illustre un policier en uniforme noir de la ville de Mexico.

  • Malaisie 

La police royale de Malaisie existe depuis 1807. Elle a adopté un uniforme bleu marine foncé dans les années 90.

  • Corée du Sud 

L'un des uniformes portés par la police nationale coréenne se compose d'une chemise à carreaux, d'une casquette et de gants blancs.
  • Japon 

Les policiers japonais portent une couleur commune aux forces de l'ordre du monde entier : le bleu.

  • Allemagne

Comme dans de nombreux autres pays européens, l'uniforme des policiers allemands se caractérise par sa simplicité et sa clarté, avec des couleurs sombres et des éléments à haute visibilité, y compris un motif à carreaux.
  • Danemark

Les uniformes de la police danoise sont à la fois simples et élégants. Le logo jaune de Politiet est bien visible.
  • Afrique du Sud 

Les policiers sud-africains portent généralement des uniformes comme celui illustré. Le gilet de haute visibilité est utilisé lorsqu'ils régulent la circulation.
  • Suède 

Les autorités policières suédoises portent des vestes et des casquettes traditionnelles à haute visibilité.
  • Pérou 

Certains policiers péruviens portent des bérets rouges. Leur uniforme peut être gris, bleu marine ou noir.
  • Tchéquie 

La police tchèque porte des uniformes noirs, gris et bleu marine.
  • Pays-Bas 

Les origines de la police nationale néerlandaise remontent à 1581. Leurs uniformes, en revanche, sont plutôt modernes.
  • Finlande 

Le logo de la police finlandaise est assez particulier. Il se compose d'une tête de lion, tirée des armoiries du pays, et d'une épée. Quant à l'uniforme, il est de couleur bleu marine.
  • Norvège 

Les policiers norvégiens s'habillent le plus souvent en noir. Toutefois, certains policiers norvégiens portent des chemises bleu clair et des pantalons bleu marine.
  • Pologne 

La police polonaise reste simple, avec des uniformes de couleur marine et des casquettes pratiques.

Les Philippines 


Les policiers philippins portent des chemises bleues rayées à manches courtes.

Shibam, ancienne ville fortifiée du Yémen

Cette cité antique aux gratte-ciel en terre est le "Manhattan du désert" et la plus ancienne métropole au monde construite à la verticale.



Au cœur de la vallée du Wadi Hadramaout, au Yémen, une cité de grattes-ciels en torchis s'élève au-dessus du sol du désert, un modèle d'adaptabilité humaine aux environnements les plus extraordinaires.
En bordure d'une étendue de désert désolée connue sous le nom de « Quart Vide », Shibam, ville fortifiée datant du 17ème siècle, reste la plus ancienne métropole du monde construite à la verticale. En 1930, l'exploratrice britannique Freya Stark avait même baptisé la cité de « Manhattan du désert » lors de son passage en caravane sur la route des épices et de l'encens au nord de l'Arabie.
Chaque aspect de l'architecture de Shibam est stratégique. Perchée sur un éperon rocheux entouré du lit gigantesque d'un oued inondé, sa position élevée la protège des inondations tout en préservant une proximité avec sa principale source d'eau et d'agriculture. La ville a été fondée sur une grille rectangulaire à l'arrière d'un mur fortifié, une construction défensive qui protégeait ses habitants des tribus rivales et offrait un point de vue élevé à partir duquel il était possible de voir les ennemis approcher.
Ces grands immeubles en torchis, qui s'élèvent jusqu'à sept étages, ont été bâtis à partir du sol fertile entourant la ville. Les briques ont été fabriquées à partir d'un mélange de terre, de foin et d'eau puis ont été cuites au soleil pendant des jours. Les rez-de-chaussées sans fenêtres étaient utilisés pour le bétail et le stockage du grain, tandis que les niveaux supérieurs servaient généralement d'espaces communs pour sociabiliser. Les passerelles ainsi que les portes communicantes entre les bâtiments étaient conçues de manière à permettre une évacuation rapide, une autre des caractéristiques impressionnantes de défense de la ville.
Les structures sont constamment menacées par le vent, la pluie et l'érosion thermique et nécessitent un entretien régulier. En 2008, un cyclone tropical a inondé Shibam, endommageant plusieurs structures et menaçant de renverser ses tours de terre.

ETHIOPIE : GARÇONS BANNA MARCHANT SUR DES ÉCHASSES


L'extraordinaire tribu Banna, également connue sous le nom de tribu Bena, dans la vallée de l'Omo, au sud-ouest de l'Éthiopie, où de jeunes hommes marchent sur des échasses.
La tribu Banna, parfois également appelée Benna, se distingue dans les vastes paysages d'Éthiopie par sa tradition culturelle impressionnante de marche sur échasses.
Depuis des générations, le peuple Banna a perfectionné ses compétences dans cette forme unique d’expression artistique, captivant les spectateurs par ses mouvements gracieux et sa présence imposante.
Les échassiers de la tribu Banna sont devenus des symboles de fierté culturelle, préservant leur patrimoine et captivant le monde avec leurs performances fascinantes.


Un océan gigantesque à 700 km sous la surface de la Terre


Un réservoir d'eau contenant l'équivalent de trois fois le volume de l'ensemble des océans de la planète a été découvert sous la surface de la Terre. Retrouvé sous une couche de roches à plus de 700 km de profondeur, il pourrait permettre aux scientifiques d'en savoir plus sur l'origine de l'eau sur Terre.
Et si l'eau sur Terre provenait d'un gigantesque réservoir souterrain ? C'est en tout cas ce que pense une équipe de chercheurs, après avoir découvert un océan situé à plus de 700 km de profondeur, et contenant près de trois fois le volume d'eau présent sur Terre.
Les scientifiques espèrent d'ailleurs que cela leur permettra de mieux comprendre le cycle de l'eau sur Terre mais aussi comment la tectonique des plaques déplace l'eau entre la surface et ce réservoir.

Un réservoir gigantesque
Ce mystérieux réservoir est en réalité dissimulé au cœur d'une roche bleue, connue sous le nom de ringwoodite, à 700 km de profondeur dans le manteau terrestre, c'est-à-dire la couche de roches brûlantes située entre la surface de la Terre et son noyau.


La taille impressionnante du réservoir, trois fois le volume des océans de la planète, pourrait permettre d'en savoir un peu plus sur l'origine de l'eau sur Terre. En effet, certains géologues estiment que l'eau est arrivée sur Terre suite à l'impact de comètes. Mais cette découverte vient plutôt apporter du crédit à une autre théorie selon laquelle les océans ont progressivement suinté de l'intérieur de la Terre. Une origine provenant des comètes est un peu mise à mal.
"C'est une preuve tangible que l'eau sur Terre est venue de l'intérieur", estime Steven Jacobsen, de la Northwestern University dans l'Illinois, et auteur principal de l'étude. Selon lui, cette eau cachée pourrait également servir à maintenir les océans, en restant d'une certaine manière connectée à eux. Cela expliquerait ainsi pourquoi leur taille n'a pratiquement pas changé depuis des millions d'années.


Le parcours des ondes sismiques révèle la présence d'eau
L'équipe de Steven Jacobsen a utilisé pas moins de 2.000 sismographes à travers les États-Unis afin d'étudier les ondes sismiques générées par plus de 500 tremblements de terre. Ces ondes se déplacent à l'intérieur de la Terre, y compris dans le noyau. Toutefois, elles peuvent être largement détectées à la surface. "Après un séisme, les ondes font sonner la Terre comme une cloche pendant plusieurs jours", précise Steven Jacobsen, repris par le New Scientist.
En mesurant la vitesse de ces ondes, en fonction de la profondeur, les chercheurs ont pu déterminer quel type de roches elles traversaient. Le réservoir d'eau s'est ainsi révélé de lui-même, car les ondes ont ralenti lorsqu'elles ont traversé la roche humide.
Cela nous indique que s'il y a des ringwoodites humides similaires dans la zone de transition, nous nous attendons à ce qu'elles produisent un liquide. Et puisque les liquides transforment la façon dont les ondes sismiques se propagent, c'est une cible que je peux viser avec un sismographe.
Résultat, les scientifiques ont rapidement trouvé des signes de ringwoodites dans la zone de transition entre le manteau supérieur et le manteau inférieur. À cette profondeur, la pression et la température sont assez élevées pour extraire l'eau des roches. "C'est une couche de roche avec de l'eau le long des arêtes entre les grains, un peu comme si elles transpiraient", détaille le chercheur.

Un réservoir bénéfique
Ces découvertes des deux chercheurs viennent soutenir une étude récente menée par Graham Pearson, de l'Université d'Alberta. Le scientifique avait pu étudier un diamant provenant de la zone de transition et amené jusqu'à la surface grâce à un volcan. Il avait ainsi découvert qu'il contenait des ringwoodites porteuses d'eau. Ses résultats constituaient la première preuve réel qu'un large volume d'eau était dissimulé dans la zone de transition.
Résultat, les scientifiques ont rapidement trouvé des signes de ringwoodites dans la zone de transition entre le manteau supérieur et le manteau inférieur. À cette profondeur, la pression et la température sont assez élevées pour extraire l'eau des roches. "C'est une couche de roche avec de l'eau le long des arêtes entre les grains, un peu comme si elles transpiraient", détaille le chercheur.
"Nous devrions nous réjouir de la présence de ce réservoir. S'il n'était pas là, il serait à la surface de la Terre et les sommets des montagnes constitueraient la seule terre visible", explique Steven Jacobsen. "La zone de transition peut contenir beaucoup d'eau, peut-être le même volume que l'ensemble des océans de la planète", affirme Brandon Schmandt.
Cette étude apporte un soutien expérimental au rôle important que joue la zone de transition dans le contrôle du flux d'hydrogène sur Terre
ajoute Graham Pearson. L'équipe de chercheurs espère désormais pouvoir récolter d'autres données sismiques à travers le globe pour déterminer si la fonte du manteau est commune ou non.
Les résultats devraient également aider les scientifiques à comprendre le cycle de l'eau sur Terre. "L'eau de la surface que nous possédons actuellement provient du dégazage de l'eau des roches fondues. Quel volume d'eau est toujours présent à l'intérieur de la Terre par rapport à la surface ?", s'interroge Brandon Schmandt.

L’Éléona : qu’est-ce que ce domaine français en plein cœur de Jérusalem ?


L’Éléona est un domaine qui appartient à la France depuis plus de 150 ans et est géré par elle. Le lieu de pèlerinage est situé au sommet du mont des Oliviers, dans la partie palestinienne de Jérusalem, occupée et annexée par Israël depuis 1967. Il fait partie des quatre domaines nationaux français en Terre sainte avec le Tombeau des rois, la Basilique Sainte-Anne et l’abbaye bénédictine d’Abou Gosh
Le site, dont le nom signifie « l’oliveraie », est construit sur la grotte du Pater, dans laquelle, selon le christianisme, Jésus se serait retiré avec ses disciples. Plusieurs édifices religieux ont été bâtis autour de cette grotte à partir du IVe siècle pour commémorer l’Ascension du Christ.
Le domaine entre dans le giron de la France grâce à Aurélie de la Tour d’Auvergne. L’aristocrate française l’achète au XIXe siècle et y fait construire un cloître dont les plans sont attribués à Eugène Viollet-le-Duc, le fameux architecte qui avait fait construire la flèche de Notre-Dame. En 1868 Aurélie de la Tour d’Auvergne fait don d’une partie du terrain à la France. Il est depuis administré par le consulat général de France à Jérusalem.

L’échelle de Kardashev : toute l’énergie mondiale proviendra du solaire


Elon Musk est une figure emblématique du monde technologique et il a récemment fait une déclaration audacieuse concernant l’avenir énergétique mondial via une publication sur X (ex-Twitter). Selon lui, l’humanité pourrait un jour tirer toute son énergie des panneaux solaires – une fois qu’elle aura pleinement compris et maîtrisé l’échelle de Kardashev.


L’échelle de Kardashev a été conçue par l’astrophysicien russe Nikolai Kardashev et classe les civilisations selon leur capacité à exploiter l’énergie disponible, allant de l’échelle planétaire à l’échelle galactique.


Musk base son optimisme sur des calculs simples mais impressionnants : il affirme qu’une surface de seulement 2,5 kilomètres carrés de panneaux solaires pourrait générer 3 gigawatts-heures d’énergie.
Extrapolé à grande échelle, ce calcul suggère qu’un déploiement massif de panneaux solaires pourrait théoriquement couvrir les besoins énergétiques d’un pays entier, voire du monde. L’an dernier, il avait aussi affirmé lors d’une conférence : “Si vous voulez alimenter la totalité des Etats-Unis avec des panneaux solaires, ça nécessiterait un tout petit bout du Nevada ou du Texas, de l’Utah, n’importe où. Tout ce dont vous avez besoin c’est environ 160 km sur 160 km de panneaux solaires, pour alimenter tous les Etats-Unis”.

Cependant, cette vision ambitieuse se heurte à plusieurs défis pratiques : l’intermittence de l’énergie solaire due aux variations météorologiques et au cycle jour-nuit reste un obstacle majeur. Pour surmonter ce problème, des solutions de stockage d’énergie à grande échelle sont nécessaires. Les technologies de batteries actuelles ne sont pas encore suffisamment avancées pour répondre à cette demande massive.
De plus, l’intégration de l’énergie solaire à grande échelle dans les réseaux électriques existants pose des défis techniques et financiers considérables. La rentabilité du stockage de l’énergie excédentaire, notamment lorsque les prix de l’électricité solaire sont bas ou négatifs, est un autre facteur à prendre en compte.
Musk souligne l’importance d’une approche systémique de la transition énergétique. Il ne s’agit pas seulement de déployer des panneaux solaires mais aussi de développer des technologies de stockage performantes, créer des réseaux électriques plus flexibles et résilients et mettre en place des réglementations et des incitations appropriées. A ce sujet, Musk a tenté à plusieurs reprises dans la dernière décennie de développer des outils pour maitriser l’énergie solaire (SolarCity, Solar Roof) sans jamais y arriver.