Le pain blanc grillé est un classique du matin pour les personnes pressées à la recherche d'un petit quelque chose à manger. Leur polyvalence les rend parfaits pour le petit-déjeuner, un en-cas en fin de soirée ou un dîner décontracté. Le pain blanc grillé est un aliment riche en glucides. S'il est fréquemment consommé seul, il peut faire grimper la glycémie et augmenter le risque de diabète de type 2.
Une garniture riche en nutriments est la meilleure solution pour éviter les pics de glycémie et assurer l'équilibre de vos repas à base de pain grillé.
Une portion typique de 10 g de beurre sur une tartine contient 8,2 g de graisses, dont 5,4 g de graisses saturées. Il manque de fibres et de protéines, ce qui en fait un choix moins nutritif.
La confiture est riche en sucre (9 g par portion de 15 g) et pauvre en protéines.
En la combinant avec du beurre d'arachide, vous obtiendrez un apport supplémentaire en nutriments qui vous aidera à rester rassasié
Le miel Bien que le miel soit riche en sucre (11,5 g par portion de 15 g), il peut offrir des avantages supplémentaires pour la santé grâce à ses propriétés anti-inflammatoires, anti-allergènes et antibactériennes.
Nutella et banane Le Nutella est souvent critiqué pour sa douceur chocolatée et sa forte teneur en matières grasses.
Cependant, les noix ont plusieurs effets bénéfiques sur la santé et l'ajout de tranches de bananes sur le dessus augmentera votre apport en potassium.
Les œufs sont riches en neuf acides aminés essentiels, ainsi qu'en vitamine B12 et en fer.
L'avocat est un aliment rassasiant et polyvalent qui regorge de graisses bonnes pour le cœur. L'associer au saumon, riche en oméga-3 et en protéines, est une combinaison délicieuse
Boire autre chose que de l'eau peut nuire à la santé et à la gestion du poids.
Les boissons riches en calories, telles que les sodas, les jus de fruits, l'alcool et le café sucré, n'ont qu'une faible valeur nutritionnelle et apportent rapidement des calories superflues.
Il est facile de consommer ces boissons sans se sentir rassasié, ce qui entraîne des excès alimentaires involontaires et une prise de poids.
L'eau, en revanche, est essentielle à l'hydratation et ne contient pas de calories, ce qui en fait le choix idéal pour toute personne cherchant à maintenir ou à perdre du poids.
Même les boissons apparemment saines, comme les shakes achetés dans le commerce, sont souvent chargées de sucres ajoutés et peuvent contenir autant de calories qu'un repas complet.
Pour ceux qui trouvent l'eau trop ordinaire, l'ajout d'arômes naturels tels que le citron, le citron vert ou une goutte de jus de fruit peut la rendre plus agréable sans les calories supplémentaires.
L'eau pétillante aromatisée est une autre excellente alternative pour satisfaire les envies de boissons gazeuses sans sucre.
Les scientifiques ont réussi à identifier un nouveau groupe sanguin après de longues recherches qui ont commencé en 1972. Ce groupe sanguin, appelé MAL, rejoint ainsi une liste déjà conséquente de différents groupes et sa découverte aidera à la prise en charge des patients possédant des groupes atypiques.
Quand on vous dit « groupe sanguin », vous pensez peut-être spontanément aux groupes O, A, B ou AB ? Ce sont en effet les plus connus, pourtant, il en existe en réalité beaucoup plus ! Certains sont très rares, ce qui peut rendre difficile la prise en charge des patients les possédant. Après 50 ans de mystères et de recherches, les scientifiques ont d’ailleurs réussi à identifier un nouveau groupe sanguin. Ce nouveau groupe, appelé MAL, permet d’en savoir plus sur les groupes rares et sa découverte aidera ainsi à améliorer les soins des patients avec des groupes atypiques.
Groupe sanguin : de quoi parle-t-on ?
Déjà, posons-nous la question : qu’est-ce qu’un groupe sanguin ? Il s’agit d’une classification des globules rouges, les fameuses cellules qui transportent l’oxygène dans notre corps et qui entrent dans la composition de notre sang. Cette classification se fait selon la présence ou l’absence de certaines molécules, qu’on appelle antigènes. Ces molécules, qui peuvent être des protéines, des glucides ou encore des glycoprotéines, sont reconnues par nos anticorps et induisent une réponse du système immunitaire. D’où leur extrême importance en cas de perfusion ! Le groupe sanguin se détermine donc en fonction des antigènes portés par le globule rouge. Le groupe A aura des globules rouges avec un antigène A, le groupe B avec des antigènes B, le groupe O avec des antigènes O, etc… On regroupe ensuite ces différents groupes sanguins en système. Les plus connus sont les systèmes ABO et Rhésus (Rh). Mais, en réalité, il existe des centaines d’antigènes différents et donc autant de combinaisons. Certaines seront ainsi plus rares que d’autres. En Europe, on trouve principalement des individus avec une combinaison des systèmes ABO et Rh. On peut ainsi être du groupe O avec Rh + (plus couramment nommé O+), ; il s’agit des personnes dites « donneuses universelles ». Ces dernières peuvent ainsi donner leur sang à n’importe qui. À l’inverse, les personnes AB+ seront « receveuses universelles » et peuvent recevoir du sang de tous les groupes. Connaître le groupe sanguin d’une personne est donc essentiel, surtout dans le cas d’une transfusion sanguine. En effet, on a dit précédemment que les antigènes induisaient une réponse immunitaire. Ces molécules sont essentielles à l’organisme pour différencier le « soi » du « non soi ». Lorsque l’on se fait transfuser, on reçoit du sang venant d’une autre personne. Du sang alors considéré comme « non soi ». Les globules rouges que l’on reçoit risque donc d’être attaquées et détruites par notre système immunitaire. Connaître le groupe sanguin des personnes est donc vital, car cela permet de connaître sa compatibilité avec les autres groupes. Par exemple, les personnes O- ne peuvent recevoir que du sang O- et risqueraient de graves problèmes de santé si elles recevaient un autre type de globule rouge.
Or, il existe de nombreux groupes, parfois très rares. Les identifier est donc essentiel pour prendre en charge au mieux les patients qui les portent.
Il existe plus de 300 groupes sanguins, mais les plus connus en Europe sont les systèmes ABO et Rh.
Au-delà de A, B et O
Les scientifiques cherchent à connaître les combinaisons les plus rares. C’est d’une importance cruciale pour transfuser les patients porteurs de ces combinaisons. En France, ce sont les personnes originaires d’Afrique subsaharienne, des DROM ou de l’Océan Indien qui sont les plus susceptibles d’être porteuses d’un groupe sanguin, considéré comme rare. On parle de groupe sanguin rare lorsqu’il concerne moins de 4 personnes sur 1000. C’est principalement la génétique qui est à l’origine des différentes combinaisons et donc des différents groupes sanguins. On a déjà identifié près de 250 groupes sanguins rares, qui concerneraient environ 700 000 individus. Mais il en existe en réalité plus de 380 à travers le monde ! Parmi eux, on trouve notamment les groupes YT, MNS, Bombay, Lewis, Duffy ou encore Diego. On découvre souvent ces groupes sanguins par hasard, lors d’un bilan avant une transfusion ou lors d’un suivi de grossesse. Dans tous les cas, il faut réaliser des analyses génétiques pour savoir si l’on fait partie des groupes sanguins rares. En outre, la rareté dépend principalement de la zone géographique où l’on vit. Ainsi, être Rh- en Chine est rare. Pourtant, cela correspond à 15% de la population en Europe. Encore aujourd’hui, des combinaisons rares sont découvertes. C’est notamment le cas de ce nouveau groupe sanguin, mis en évidence par des scientifiques du NHS Blood and Transplant (NHSBT) de South Gloucestershire. Une découverte qui aura pris près de 50 ans !
Un groupe lié à un antigène particulier : AnWj
Des recherches précédentes avaient pu montrer que 99% de la population mondiale portait l’antigène AnWj. Ce qui signifie, que 1% des personnes ne le possèdent pas. Chez elles, cette absence de AnWj peut être liée à une pathologie ou à la génétique.
Cette découverte d’un nouveau groupe sanguin s’est faite de manière fortuite. Et, surtout, elle a commencé en 1972. À ce moment-là, une femme enceinte se rendait à l’hôpital en urgence pour des problèmes avec son enfant à naître. Malheureusement, les médecins n’ont pas pu sauver l’enfant, dont les globules rouges étaient attaqués par le système immunitaire de la mère. En cause ? Justement l’absence de cet antigène AnWj. À cette époque, on avait constaté que c’était principalement des pathologies qui supprimaient cet antigène chez les patients, comme des cancers ou des troubles hématologiques. Cependant, dans le cas de cette femme enceinte et d’autres patients issus d’une même famille, on soupçonnait une cause génétique. Les scientifiques ont donc mené l’enquête. Grâce au séquençage des parties du génome qui codent pour les protéines, ils ont pu rechercher de potentielles mutations génétiques qui seraient responsables de l’absence de l’antigène AnWj. L’analyse des échantillons a permis d’identifier des délétions particulières. Il s’agit de pertes de morceaux d’ADN et celles-ci avaient principalement lieu au sein du gène MAL. Ce dernier code pour une protéine présente sur les membranes des globules rouges.
Un nouveau groupe sanguin : le groupe MAL
Les individus AnWj négatif, privés de cet antigène de manière pathologique ou génétique, ne produisent donc pas la protéine MAL.
Cette découverte a donc conduit les scientifiques à identifier et décrire un nouveau groupe sanguin : le groupe MAL. C’est un nouveau pas en avant pour l’étude des groupes sanguins rares. Une telle découverte est importante pour améliorer les transfusions sanguines et assurer une meilleure sécurité des patients. En effet, si les patients AnWj- reçoivent du sang AnWj+ lors d’une transfusion, elles peuvent avoir une réaction immunitaire fatale. Ces résultats permettront ainsi de mettre au point des tests de génotypage pour identifier les personnes avec ce groupe sanguin.
Souvent comparée au triangle des Bermudes, cette région du Mexique attire non seulement les curieux, mais aussi les scientifiques. Interruption des signaux radio, boussoles déréglées, voitures qui semblent léviter… Si l'on se fie aux études qui y ont été menées, il semble qu'une forte concentration de minéraux et un champ magnétique particulier pourraient en être la cause. Cette région de la planète, située entre les États de Chihuahua, Coahuila et Durango, a été au cœur de nombreuses légendes.
Triangle des Bermudes, océan Atlantique
Connue du monde entier, cette étendue marine est le sujet de nombreux ouvrages et adaptations cinématographiques. Attribuée par certains à des anomalies magnétiques et par d'autres à une intervention extraterrestre, elle est délimitée par des points imaginaires à Miami, aux Bermudes et à Porto Rico.
Forêt de Hoia Baciu, Roumanie
Des phénomènes étranges se produisent dans cette forêt près de Cluj-Napoca : observations de lumières inexpliquées, visages inconnus apparaissant sur des photographies, visiteurs souffrant de nausées et d'anxiété sans cause apparente. Tous ces phénomènes paranormaux lui ont valu le surnom de "Triangle des Bermudes" de Roumanie.
Vallée de la mort, Sibérie
Des théories plausibles ont été avancées pour expliquer les phénomènes étranges qui déroulent dans cette région du monde reculée, mais aucune n'a encore entièrement élucidé le mystère. Que se passe-t-il dans cette vallée russe ? D'énormes rochers atteignant jusqu'à 10 tonnes se déplacent d'eux-mêmes, tout en traçant de longs sillons sur leur passage. Cela fait froid dans le dos !
Marfa, Texas
À ce jour, aucune hypothèse n'a été définitivement retenue pour expliquer les phénomènes étranges qui se produisent dans cette ville des États-Unis. Des théories telles que les gaz fantômes, les mirages atmosphériques ou les reflets des lumières des véhicules et des campements ont été avancées pour expliquer les mystérieuses lumières apparaissant à l'horizon du désert de Marfa depuis 1883.
Mont Roraima, Venezuela-Brésil-Guyana
Entre légendes indigènes et phénomènes météorologiques extraordinaires, tels que des orages intenses, le mont Roraima continue de fasciner les explorateurs et les scientifiques. En effet, ses pics isolés abritent des écosystèmes uniques au monde et une faune endémique. Ce tepuy, c’est-à-dire une montagne tabulaire, est partagé entre le Venezuela, le Brésil et la république coopérative du Guyana.
Loch Ness, Écosse
Un lieu incontournable lorsqu'on parle d'endroits étranges sur Terre. Bien que repéré sur des photographies, il n'existe aucune preuve concluante de l'existence du "monstre du Loch Ness" ou "Nessie", signalé pour la
Volcan Kawah Ijen, Indonésie
Un spectacle naturel impressionnant et mystérieux. Ce volcan émet d'intenses flammes bleues, visibles la nuit, un phénomène unique causé par la combustion des gaz sulfuriques au contact de l'air.
La forêt de Tijuca déploie ses 32 km² de nature luxuriante, faisant d’elle la plus grande forêt urbaine de la planète. Riche en biodiversité et accessible aux visiteurs, c’est une échappée verte incontournable à Rio de Janeiro !
Située à seulement quatre kilomètres des plages de Copacabana, la forêt de Tijuca incarne un équilibre fragile entre urbanisme et nature. Cet espace vert massif, au cœur de la mégalopole brésilienne, rappelle que Rio de Janeiro n’est pas seulement une ville de plages et de gratte-ciel, mais aussi un lieu où la nature a une place prépondérante. Tijuca est la plus grande forêt urbaine du monde, logée au cœur de Rio dans le sud de la ville, et le fruit d'un reboisement historique. Installée sur le site d’une ancienne forêt primaire dévastée au XIXe siècle, la forêt de Tijuca a été replantée à l’initiative de l’empereur Pedro II à partir de 1861 : cette année-là, le dernier empereur brésilien charge l’ingénieur Manuel Gomes Archer de replanter quelque 100 000 arbres de différentes essences locales – eucalyptus, jacarandas, manacas – afin de donner un nouveau souffle à cette zone dévastée par l’exploitation agricole du café. Désormais, le site est placé sous la protection des parcs nationaux brésiliens et abrite une mosaïque végétale et animale très diversifiée.
On y trouve une grande concentration d'espèces tropicales et une faune variée, comprenant des singes hurleurs, des oiseaux colorés et des papillons rares, comme le papillon bleu-morpho, l’un des plus grands au monde.
Tijuca est également ponctuée de quelques cascades, dont les célèbres Cascatinha Taunay, les plus hautes de la forêt avec leurs 30 mètres de chute.
Dans le parc national, 16 sentiers de randonnée serpentent à travers les vallées et sommets de la forêt.
Le Pico da Tijuca, à 1 012 mètres d'altitude, et la Pedra da Gávea figurent parmi les itinéraires les plus spectaculaires, offrant des panoramas impressionnants sur la ville, la mer et les montagnes environnantes. Si la plupart des sentiers sont adaptés aux marcheurs de tous les niveaux, il est conseillé de les parcourir avec un guide, pour éviter de se perdre. Une alternative à la marche consiste à explorer la forêt en voiture. En partant de Laranjeiras, l’Estrada das Paineiras mène à l'Alto da Boa Vista, avec quelques arrêts mémorables tels que la Vista Chinesa et la Mesa do Imperador, deux des points de vue les plus célèbres de la forêt.
Lorsqu’il s’agit de s’hydrater, notre premier réflexe est souvent de boire un grand verre d’eau. Après tout, elle est essentielle à notre survie et largement recommandée pour maintenir un bon équilibre hydrique. Mais, contre toute attente, l’eau n’est pas la boisson qui hydrate le mieux ! Alors, quelle est vraiment la boisson la plus hydratante ?
Le café : hydratant ou déshydratant ?
Une consommation modérée de café peut en réalité contribuer à l’hydratation, presque autant que l’eau. Par exemple, une tasse de 350 ml (12 oz) contenant environ 80 milligrammes de caféine n’aura qu’un faible effet diurétique et participera à l’apport quotidien en liquides.
L’eau pétillante : une alternative rafraîchissante
L’eau pétillante reste une excellente option d’hydratation, à condition de la tolérer. Pour ceux qui apprécient les bulles sans les effets indésirables, privilégiez une eau pétillante naturelle et non sucrée, afin d’éviter les boissons gazeuses trop riches en additifs.
L’eau plate : un pilier de l’hydratation, mais pas toujours suffisante
L’eau plate reste la boisson la plus naturelle et essentielle pour notre organisme. Elle joue un rôle clé dans la régulation de la température corporelle, l’élimination des toxines et le bon fonctionnement des organes. Boire suffisamment d’eau chaque jour est indispensable pour maintenir une bonne santé et éviter la déshydratation, notamment chez les personnes âgées, dont le besoin en eau est parfois sous-estimé. Cependant, l’eau seule ne contient ni électrolytes ni nutriments qui pourraient ralentir son absorption et prolonger ses effets hydratants. Cela signifie qu’elle traverse rapidement l’organisme, entraînant des mictions plus fréquentes. Pour une hydratation plus durable, il peut être utile d’alterner l’eau avec des boissons contenant des minéraux naturels, comme certaines eaux minérales ou des infusions légères, qui aident à retenir l’eau plus longtemps dans le corps. Ainsi, boire de l’eau régulièrement est indispensable, mais elle n’est pas toujours suffisante pour une hydratation optimale. L’important est d’écouter son corps et d’adapter sa consommation selon ses besoins.
Les boissons pour sportifs
Ils sont utiles après un effort prolongé, mais elles ne conviennent pas à une consommation quotidienne pour tout le monde. Pour une hydratation saine au quotidien, mieux vaut privilégier l’eau et les boissons naturellement riches en minéraux.
Le thé : une boisson hydratante
Le thé est une boisson idéale pour s’hydrater tout en profitant de ses nombreux bienfaits. Pour une consommation équilibrée, l’idéal est de varier les types de thé et de ne pas en abuser, afin de bénéficier de ses vertus sans ses éventuels inconvénients.
Les sodas sucrés : une fausse bonne idée pour s’hydrater
Les sodas comme le cola contiennent une grande quantité d’eau, ce qui leur permet de contribuer à l’apport en liquides. Cependant, leur forte teneur en sucre peut provoquer un effet inverse : au lieu d’hydrater efficacement, ces boissons peuvent en réalité favoriser la déshydratation. En effet, le sucre attire l’eau hors des cellules, ce qui peut réduire l’hydratation globale du corps. Si ces boissons peuvent offrir un regain d’énergie rapide grâce aux glucides qu’elles contiennent, elles ne sont pas adaptées à une hydratation optimale, surtout pour les personnes qui surveillent leur apport en sucre ou qui ont un mode de vie sédentaire. Une consommation excessive peut également augmenter les risques de diabète, de prise de poids et de troubles cardiovasculaires. Ainsi, bien que rafraîchissants et agréables au goût, les sodas ne sont pas les meilleurs alliés pour maintenir un bon niveau d’hydratation. Pour une hydratation saine et efficace, il est préférable de privilégier l’eau, les tisanes ou les boissons pauvres en sucre.
Le jus d’orange : hydratant, mais à consommer avec modération
Le jus d’orange est une boisson naturellement riche en eau, ce qui en fait une bonne source d’hydratation. En plus de son apport en liquides, il contient des vitamines et des minéraux essentiels, notamment la vitamine C, qui renforce le système immunitaire, et le potassium, qui joue un rôle clé dans l’équilibre des fluides et la régulation de la pression sanguine. Cependant, malgré ses bienfaits, le jus d’orange est aussi très sucré, ce qui peut poser problème, surtout pour les personnes surveillant leur glycémie ou leur apport en sucre. Une consommation excessive peut entraîner des pics de sucre dans le sang, favorisant la prise de poids et augmentant les risques de diabète. Pour en profiter sans inconvénients, il est préférable de choisir un jus d’orange 100 % pur, sans sucre ajouté, et de le consommer en petites quantités, idéalement accompagné d’un repas pour éviter un effet trop rapide sur la glycémie.
Les solutions de réhydratation orale : l’arme efficace contre la déshydratation
Contrairement aux boissons classiques, elles contiennent un équilibre précis d’électrolytes essentiels (comme le sodium et le potassium) et une petite quantité de sucre, qui facilitent l’absorption et la rétention de l’eau dans l’organisme. Ces solutions sont particulièrement recommandées en cas de déshydratation due à des maladies, notamment la diarrhée ou les vomissements, qui entraînent une perte rapide de liquides et de minéraux. Elles permettent de réhydrater le corps plus efficacement que l’eau seule, qui ne contient pas ces nutriments essentiels. Bien qu’extrêmement efficaces, les SRO ne sont pas destinées à une consommation quotidienne, mais plutôt à un usage médical ou dans des situations spécifiques de déshydratation. Pour un usage préventif ou quotidien, il est préférable de maintenir une bonne hydratation avec de l’eau et des boissons naturelles riches en minéraux.
Le lait entier : une hydratation prolongée et nutritive
Le lait entier est une boisson hydratante complète, qui apporte non seulement de l’eau, mais aussi des nutriments essentiels pour le corps. Le lait entier est l’une des boissons les plus efficaces pour maintenir une hydratation durable. Contrairement à l’eau, qui est rapidement absorbée par l’organisme, le lait contient un mélange unique de lactose (sucre naturel), de protéines et de matières grasses. Cette combinaison ralentit la vidange gastrique, ce qui signifie que l’eau contenue dans le lait reste plus longtemps dans le corps, assurant ainsi une hydratation prolongée. Un autre atout du lait est sa teneur en sodium, un électrolyte essentiel qui aide à retenir l’eau dans l’organisme. Cela en fait une excellente option pour les personnes ayant besoin d’une hydratation plus soutenue, notamment après une activité physique ou en cas de fortes chaleurs. En plus d’être hydratant, le lait est aussi riche en nutriments essentiels, comme le calcium et la vitamine D, qui contribuent à la santé des os. Toutefois, pour ceux qui ont des intolérances au lactose ou qui préfèrent éviter les produits laitiers, des alternatives enrichies en calcium et en électrolytes, comme certains laits végétaux, peuvent être envisagées.
Le lait écrémé : la boisson la plus hydratante ?
Le lait écrémé est une boisson complète et efficace pour l’hydratation, offrant une alternative nutritive et faible en calories aux autres boissons traditionnelles. Parmi toutes les boissons testées, le lait écrémé arrive en tête des plus hydratantes. Comme le lait entier, il contient du lactose (sucre naturel), des protéines et des électrolytes, qui permettent de ralentir l’élimination des liquides par l’organisme, prolongeant ainsi l’hydratation bien plus longtemps que l’eau seule. La grande différence avec le lait entier réside dans l’absence de matières grasses, ce qui en fait une option plus légère en calories, tout en conservant les mêmes bienfaits nutritionnels. Il reste riche en calcium, vitamines et sodium, contribuant ainsi à la santé des os et à la rétention des liquides dans l’organisme. Grâce à son effet hydratant prolongé, le lait écrémé est un excellent choix pour les personnes qui ont du mal à boire de l’eau en grande quantité, notamment les personnes âgées, qui ont souvent une sensation de soif moins prononcée. Il peut également être une bonne alternative après une activité physique, car il aide à réhydrater et reconstituer les réserves en nutriments. L’eau est essentielle, mais d’autres boissons peuvent mieux hydrater L’eau reste la base incontournable de l’hydratation, mais saviez-vous que certaines boissons peuvent être encore plus efficaces pour maintenir l’équilibre hydrique du corps ? Des boissons comme le lait écrémé ou les solutions de réhydratation orale permettent une hydratation prolongée en aidant l’organisme à retenir l’eau plus longtemps grâce à leur teneur en électrolytes, en protéines et en sucres naturels. Toutefois, le choix de la boisson idéale dépend des besoins individuels. Certaines personnes doivent faire attention à leur apport calorique ou en sucre, notamment les diabétiques ou ceux qui surveillent leur poids. L’eau reste la solution la plus simple, accessible et économique, et ne doit jamais être négligée. Mais dans certaines situations – après une activité physique intense, en période de forte chaleur ou en cas de déshydratation – des alternatives comme le lait, les boissons pour sportifs ou les solutions de réhydratation peuvent être plus adaptées. Si vous avez des doutes sur vos besoins spécifiques en hydratation, n’hésitez pas à consulter un professionnel de santé, comme un médecin, un diététicien ou un nutritionniste, qui pourra vous conseiller la meilleure approche selon votre situation.
L’Hôpital Universitaire International Cheikh Khalifa à Casablanca a annoncé avoir réalisé, mardi, sa toute première intervention de chirurgie robotique, menée avec succès par une équipe médicale 100% marocaine.
L'intervention, une chirurgie de la prostate, a été conduite par le Pr Abdejalil Heddat, spécialiste en chirurgie urologique, à l’aide du robot chirurgical Da Vinci, reconnu mondialement pour sa précision. Il s’agit de la première opération robotique réalisée au sein de cet établissement, à l’aide d’un système permettant au praticien de manipuler les instruments à distance, depuis une console équipée d’une vision 3D en haute définition. Ce dispositif offre une visibilité accrue, une extrême finesse de mouvement et un meilleur confort pour le chirurgien, tout en réduisant la taille des incisions pratiquées sur le patient. Dans une déclaration à la presse, le directeur général du Site Casablanca de la Fondation Mohammed VI des sciences et de la santé, Pr Khalid Sair, a souligné que cette première opération robotique marque "un événement très important dans l'évolution de l’écosystème hospitalier", précisant qu'elle est l’aboutissement d’un long processus de préparation et de formation du personnel opératoire. "L’arrivée du robot chirurgical permet une amélioration significative de la qualité des soins : une chirurgie moins invasive, avec moins de saignements, un séjour hospitalier plus court et un retour plus rapide à la vie active", a-t-il affirmé.
Pr. Sair a également indiqué que, au-delà de la chirurgie urologique, plusieurs autres spécialités bénéficieront de cette technologie, notamment la chirurgie digestive (colorectale, pancréatique, hépatique, gastrique), la chirurgie thoracique, la chirurgie gynécologique, et potentiellement, dans un avenir proche, l’ORL et la chirurgie cardiovasculaire.
Par cette première, l’Hôpital Cheikh Khalifa franchit un nouveau cap dans la modernisation de son plateau technique et réaffirme son engagement en faveur d’une médecine d’excellence, conjuguant innovation technologique et expertise marocaine.
Le poivron marocain continue de s’imposer dans les rayons des marchés espagnols. En l’espace de dix ans, les exportations marocaines de poivrons vers le voisin ibérique ont enregistré une hausse spectaculaire de près de 200 %, faisant du Maroc le principal fournisseur de ce légume sur le marché espagnol. En une seule année, le Maroc a exporté vers l’Espagne 101,11 millions de kilos de poivrons, représentant à lui seul 92,36 % des importations espagnoles de ce produit. Cette performance impressionnante marque une progression de 199,9 % par rapport à 2015.
L’Agence nationale de la sécurité routière (NARSA) a annoncé, mardi, la mise en service du système de contrôle par radars automatisés des infractions routières, permettant de détecter les excès de vitesse dans les deux sens de circulation.
Dans un communiqué, la NARSA indique que ce dispositif, qui sera opérationnel à partir du 16 juin, s’inscrit dans le cadre des efforts soutenus de l’Agence pour la mise en œuvre des mesures et dispositions visant à renforcer la sécurité routière dans le Royaume.
Ce dispositif permettra de capter simultanément les excès de vitesse des véhicules s’approchant et de ceux s’éloignant du radar, garantissant une plus grande équité en matière de contrôle des infractions routières et la consolidation du principe d’égalité parmi les usagers de la route, en ce sens qu’il portera sur le contrôle de l’ensemble des infractions quel que soit le sens de circulation des véhicules, souligne la même source. Dans ce sens, la NARSA rappelle à l’ensemble des conducteurs, la nécessité de respecter les limites de vitesse et les règles de circulation.
