Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Au XVIIe siècle, la république de Salé s’invita à Londres.

En 1627, la république de Salé nouvellement créée dépêcha deux ambassadeurs à Londres pour la négociation d’un traité. En effet, l’Angleterre prévoyait de transformer la cité de la république corsaire en une grande base militaire, dans l’idée de mener une action commune contre l’Espagne.
Au XVIIe siècle, le Maroc et l’Angleterre veillèrent à entretenir leurs relations diplomatiques, même en temps politiquement et économiquement difficiles dans un royaume ou dans l’autre. Dans ce contexte, le sultan saâdien Zidan Abou Maali perdit le contrôle de Salé, cité forte de son port qui devint une plaque tournante des activités corsaires de la région méditerranéenne.
Ainsi, la ville fut proclamée république en 1624. Dans la foulée, Londres n’hésita pas à rallier cette nouvelle force montante de son côté, espérant vaincre l’Espagne, un de ses redoutables ennemis.


Des échanges de visites
Selon les archives historiques, la république de Salé (1627 – 1668) fut habilitée à envoyer des ambassadeurs à l’étranger, pour la représenter lors de négociations de traités, au même titre que les Saâdiens (1554 – 1636). Dans le cadre des missions et des visites échangées entre les pays, c’était au diplomate britannique John Harrisson de se rendre au Maroc en mai 1627.

Au XVIIe siècle, la république de Salé 
s’invita à Londres.
L’objectif était de «conclure un accord relatif à la libération de captifs britanniques, mais aussi pour consolider les alliances avec les différentes factions du pays», selon l’ouvrage de David Thomas et de John A. Chestworth, «Christian-Muslim Relations. A Bibliographical History. Northern and Eastern Europe 1600-1700» (Relations chrétiennes et musulmanes, une histoire bibliographique - Europe du nord et du sud, 1600 – 1700, éd. Brill, 2016).
Lors de cette visite qui n’était pas la première dans le cadre de ces négociations, le représentant britannique vint avec «six canons et des munitions», en guise d’aide à la république du Bouregreg dans sa lutte contre les corsaires espagnols. «Six pièces d’artillerie lourde avaient été fournies aux rebelles marocains de Sidi M’hamed el Ayachi par Harrison, sans l’opposition du souverain marocain», selon la même source.
Dans sa recherche de proximité avec les corsaires de Salé, Londres visait surtout un ennemi commun aux deux parties : le royaume ibérique. Surnommé ‘le saint de Salé’, le chef militaire El Ayachi (1563 – 1641) attaquait en effet les navires espagnols et le port de sa cité constitua un point «stratégique», notamment lors de sa bataille contre les Espagnols au printemps de l’année 1627.
Les ambassadeurs de la république de Salé en mission à Londres
Le succès de ces campagnes militaires donna ainsi lieu à un accord avec Londres. «Harrison négocia un traité avec el Ayachi, et l’été de cette année-là, peu avant la mort de Zidan Abou Maali, accompagna les ambassadeurs de Salé» dépêchés en Angleterre.
A cet effet, Mohammed ben Saad et Ahmad ben Hussein furent envoyés comme ambassadeurs de Salé à Londres «pour discuter de l’utilisation de la plateforme maritime de la cité en tant que base d’une action commune contre l’Espagne», rappelaient les deux historiens dans leur ouvrage.

 Au XVIIe siècle, la république de Salé 
s’invita à Londres.
Cette mission diplomatique fut également mentionné par l’historien libanais Nabil Matar, dans son livre «Turks, Moors, and Englishmen in the Age of Discovery» (Les Turcs, les Maures et les Anglais à l’ère de la découverte, éd. Columbia University Press, 25 octobre 2000). Celui-ci rapporte qu’«en juin 1627, deux ambassadeurs de Salé arrivèrent à Londres. Il s’agissait de Mohammed ben Saad et d’Ahmed ben Hussein, accompagnés de Harrison». Selon Matar, la mission s’articula en effet sur la coopération militaire entre les deux entités afin de vaincre l’armée ibérique.
Les deux parties continuèrent à entretenir de bonnes relations diplomatiques et un livre de l’écrivain Peter Lamborn Wilson revient sur cette continuité. Son ouvrage «Pirate Utopias: Moorish Corsairs & European Renegadoes» (Les utopies des pirates : corsaires maures et renégats européens, éd. Autonomedia, 2003) indique même qu’en 1637, un autre ambassadeur représentant la république de Salé fut envoyé à Londres.
De son côté, un journaliste britannique consacra même un article à ce rapprochement, tout en décrivant les accoutrements, les attitudes de la représentation corsaire et certains aspects de la religion musulmane qui suscitèrent son intérêt.

Planète Secrète : Les 20 Lieux les Plus Mystérieux de la Terre




Il existe encore, aux quatre coins du monde, des endroits si mystérieux qu’ils défient la logique et l’imagination. Des forêts englouties et des villages abandonnés, des cascades qui disparaissent dans le ciel, des temples sculptés dans la roche sans outils connus… Chaque lieu est une énigme vivante, où la science se heurte au mystère.

Une Mercedes “old school” roule encore après 2 millions de kilomètres et son moteur d'origine

 
Cette Mercedes a battu un record.

Une Mercedes-Benz E 220 CDI tient encore le coup avec son moteur d'origine, même après avoir parcouru plus de 2 millions de kilomètres.
C'est l'histoire d'un modèle comme on n'en fait plus. Une Mercedes-Benz E 220 CDI de 2002 a franchi la barre des 2 millions de kilomètres avec son moteur OM646 d'origine. Cette prouesse mécanique impressionnante a été partagée par le média Diariomotor. Forcément, cette longévité exceptionnelle a été rendue possible par un entretien rigoureux.


Une longévité mécanique rare et propre à Mercedes
Cette Mercedes-Benz E 220 CDI dans sa version W211 sortie en 2002 est propulsée par un moteur diesel OM646 (version OM646.91). Il s'agit d'un bloc quatre cylindres de 2,1 litres en fonte. Il est doté d'un turbocompresseur et équipé d'une vanne EGR pour limiter les émissions. Ce moteur développe 150 chevaux et produit un couple de 340 Nm dès 2 000 tr/min. Avant l'arrivée des filtres à particules en option, cette version plus ancienne ne disposait pas encore de ce système. Cela réduit donc les contraintes sur l'échappement.
L'exemplaire dont il est question a atteint un impressionnant total de 2 190 000 kilomètres avec son moteur originel. Seule la boîte de vitesses a été remplacée une fois, tandis que les injecteurs ont également été changés. Il faut savoir que cette distance équivaut à trois fois l'aller-retour Terre-Lune. Cette longévité impressionnante illustre la fiabilité de cette génération de voitures allemandes, surtout quand elle est bien entretenue.


L'importance de la fiabilité et de l'entretien
Pourtant, il faut savoir que les moteurs OM646 ne sont pas réellement considérés comme inusables comparés aux fameux OM602. Ce sont des moteurs cinq cylindres réputés pour leur "invincibilité". Ce cas démontre néanmoins que, entre de bonnes mains, un moteur quatre cylindres peut atteindre des sommets de durabilité. Cette longévité est intimement liée à un suivi attentif et régulier de l'entretien. C'est clairement un impératif pour les modèles anciens en diesel.
Un parallèle intéressant en provenance de forums comme Reddit souligne également que certains moteurs Mercedes bien entretenus dépassent facilement les 500 000 kilomètres. C'est notamment le cas de ceux utilisés en service taxi en Allemagne, où les voitures tournent presque en tout temps. Bien que ce soit déjà impressionnant, cela reste encore loin du record observé sur cette Mercedes E 220 CDI.
Ce témoignage reste donc bien rare. Il prouve ainsi que certaines constructions d'antan, malgré leur simplicité comparés aux systèmes électroniques modernes, sont capables d'offrir une robustesse inégalée lorsqu'elles sont entretenues avec soin. De nos jours, les véhicules modernes sont bien plus sûrs, propres et connectés. Mais ils ne sont malheureusement pas systématiquement conçus pour durer aussi longtemps.

Les Découvertes Nazis les Plus Étranges et Inattendues Après la Seconde ...


Dans les années qui ont suivi la fin de la Seconde Guerre mondiale, des historiens, des chasseurs de trésors et de simples citoyens sont tombés sur une série d’artefacts nazis aussi étranges qu’inattendus, cachés à travers l’Europe et au-delà. Parmi ces découvertes figuraient des bunkers souterrains secrets remplis de matériel militaire, des caches d’or oubliées et d’étranges technologies expérimentales qui révélaient les tentatives désespérées du régime pour changer le cours de la guerre. Ces trouvailles fascinaient non seulement le public, mais soulevaient également de nouvelles questions sur l’ampleur des opérations et des ambitions nazies. 
L’une des découvertes les plus étonnantes fut un réseau caché d’installations souterraines, parfois enfouies profondément sous les montagnes, abritant des prototypes d’armes avancées et des documents de recherche. Ces lieux avaient été abandonnés à la hâte lors de l’avancée des Alliés, laissant derrière eux des machines, des projets inachevés et des dossiers classifiés. Ces sites offraient aux historiens un rare aperçu des ultimes efforts technologiques du Troisième Reich, dont certains semblaient en avance de plusieurs décennies sur leur époque.

Des phénomènes inexplicables pour la science se produisent dans certains pays.

  • Zone du Silence, Mexique

Souvent comparée au triangle des Bermudes, cette région du Mexique attire non seulement les curieux, mais aussi les scientifiques. Interruption des signaux radio, boussoles déréglées, voitures qui semblent léviter… Si l'on se fie aux études qui y ont été menées, il semble qu'une forte concentration de minéraux et un champ magnétique particulier pourraient en être la cause. Cette région de la planète, située entre les États de Chihuahua, Coahuila et Durango, a été au cœur de nombreuses légendes.
  • Triangle des Bermudes, océan Atlantique

Connue du monde entier, cette étendue marine est le sujet de nombreux ouvrages et adaptations cinématographiques. Attribuée par certains à des anomalies magnétiques et par d'autres à une intervention extraterrestre, elle est délimitée par des points imaginaires à Miami, aux Bermudes et à Porto Rico.
  • Forêt de Hoia Baciu, Roumanie

Des phénomènes étranges se produisent dans cette forêt près de Cluj-Napoca : observations de lumières inexpliquées, visages inconnus apparaissant sur des photographies, visiteurs souffrant de nausées et d'anxiété sans cause apparente. Tous ces phénomènes paranormaux lui ont valu le surnom de "Triangle des Bermudes" de Roumanie.
  • Vallée de la mort, Sibérie

Des théories plausibles ont été avancées pour expliquer les phénomènes étranges qui déroulent dans cette région du monde reculée, mais aucune n'a encore entièrement élucidé le mystère. Que se passe-t-il dans cette vallée russe ? D'énormes rochers atteignant jusqu'à 10 tonnes se déplacent d'eux-mêmes, tout en traçant de longs sillons sur leur passage. Cela fait froid dans le dos !
  • Marfa, Texas

À ce jour, aucune hypothèse n'a été définitivement retenue pour expliquer les phénomènes étranges qui se produisent dans cette ville des États-Unis. Des théories telles que les gaz fantômes, les mirages atmosphériques ou les reflets des lumières des véhicules et des campements ont été avancées pour expliquer les mystérieuses lumières apparaissant à l'horizon du désert de Marfa depuis 1883.
  • Mont Roraim

Entre légendes indigènes et phénomènes météorologiques extraordinaires, tels que des orages intenses, le mont Roraima continue de fasciner les explorateurs et les scientifiques. En effet, ses pics isolés abritent des écosystèmes uniques au monde et une faune endémique. Ce tepuy, c’est-à-dire une montagne tabulaire, est partagé entre le Venezuela, le Brésil et la république coopérative du Guyana.
  • Loch Ness, Écosse

Un lieu incontournable lorsqu'on parle d'endroits étranges sur Terre. Bien que repéré sur des photographies, il n'existe aucune preuve concluante de l'existence du "monstre du Loch Ness" ou "Nessie", signalé pour la première fois en 1933, dans ce lac d'eau douce des Highlands écossais.
  • Volcan Kawah Ijen, Indonésie

Un spectacle naturel impressionnant et mystérieux. Ce volcan émet d'intenses flammes bleues, visibles la nuit, un phénomène unique causé par la combustion des gaz sulfuriques au contact de l'air.

3 Aliments riches en collagène


Le collagène est la protéine la plus abondante dans l'organisme. Il est le principal composant de la peau, des muscles, des os, des tendons, des ligaments et d'autres tissus conjonctifs. On le trouve également dans les organes, les vaisseaux sanguins et la muqueuse intestinale. Toutefois, avec l'âge, la production de collagène diminue et la qualité du collagène restant se détériore également. La bonne nouvelle, c'est qu'il est possible de réduire cette perte de collagène grâce à des habitudes saines et à une alimentation équilibrée. L'intégration des aliments suivants dans votre régime alimentaire peut contribuer à augmenter la production de collagène : Pattes de poulet Les pattes de poulet sont une excellente source de collagène et peuvent être utilisées dans les soupes. Ils sont également riches en protéines, en vitamines et en minéraux. Mocotó Le mocotó est la partie du tibia et de la patte du bœuf qui est riche en cartilage, en tendons et en moelle. C'est une excellente source de collagène, de protéines, de vitamines et de minéraux. Gélatine La gélatine est principalement composée de collagène, obtenu à partir du cartilage animal, qui est sa matière première. Elle est recommandée pour renforcer les os.




Langues et dialectes parlés au Maroc


La diversité linguistique du Maroc est le reflet de son riche patrimoine culturel. De l'arabe à l'amazigh en passant par le français et l'espagnol, les langues et dialectes du pays racontent son histoire et ses traditions.

  • L'arabe standard moderne (MSA) est la langue officielle du Maroc, utilisée par le gouvernement, l'éducation et les médias. Cependant, l'arabe parlé dans la vie quotidienne est l'arabe marocain, connu sous le nom de darija.
Ce dialecte est un mélange unique d'influences arabes, berbères, françaises et espagnoles, ce qui le distingue des autres dialectes arabes de la région. La darija est la langue véhiculaire du Maroc, reliant des personnes de différentes régions et origines.
  • L'amazigh, également connu sous le nom de berbère, est la deuxième langue officielle du Maroc, reconnue dans la Constitution de 2011. C'est la langue maternelle du peuple amazigh, qui habite l'Afrique du Nord depuis des milliers d'années.
    Depuis sa reconnaissance comme langue officielle en 2011, l’amazigh a gagné en visibilité au Maroc. Il est désormais enseigné dans les écoles, utilisé dans la signalisation publique et présenté dans les médias et les programmes culturels. Des efforts sont déployés pour intégrer l’amazigh dans tous les aspects de la vie publique, garantissant ainsi sa survie pour les générations futures.
    La langue amazighe, également appelée tamazight, est l'une des plus anciennes langues du monde, ses racines remontant au moins à 2000 avant J.-C. Elle appartient à la famille des langues afro-asiatiques, qui comprend des langues comme l'arabe, l'hébreu et l'égyptien ancien.

    Le peuple amazigh, souvent appelé le « peuple libre », a préservé sa langue et sa culture malgré des siècles d’influences extérieures, notamment la colonisation romaine, arabe et française.
    L'amazigh n'est pas un dialecte unique, mais un groupe de dialectes étroitement liés, chacun ayant ses propres caractéristiques uniques. Ci-dessous, nous approfondissons les origines, les dialectes et la forme écrite de cette langue ancienne.

Les trois principaux dialectes amazighs au Maroc

  1. Tachelhit (ou Chleuh):

    • Région:Parlé dans la région du Souss, du Haut Atlas et de l'Anti-Atlas.

    • Caractéristiques:Connu pour sa riche poésie orale et sa musique, le tachelhit est l'un des dialectes amazighs les plus parlés au Maroc.

  2. Tamazight (Amazigh central):

    • Région:Prédominant dans le Moyen Atlas et certaines parties du Haut Atlas.

    • Caractéristiques:Ce dialecte est souvent considéré comme le dialecte amazigh « standard » et est utilisé dans de nombreuses initiatives éducatives et culturelles.

  3. Tarifit (ou Rifain):

    • Région:Trouvé dans la région du Rif au nord du Maroc.

    • Caractéristiques:Tarifit a de fortes influences espagnoles en raison des liens historiques de la région avec l'Espagne.

Bien que ces dialectes diffèrent en termes de prononciation et de vocabulaire, ils partagent une racine linguistique commune, reflétant l’histoire profonde et l’unité du peuple amazigh.
La langue amazighe est plus qu’un simple moyen de communication : c’est un symbole d’identité et de résilience pour le peuple amazigh. Malgré des siècles de marginalisation, la langue a perduré grâce à la détermination de la communauté amazighe à préserver son patrimoine.
Aujourd’hui, il témoigne de la riche diversité culturelle et de la profondeur historique du Maroc.
  • Le français est une langue très parlée au Maroc, héritage du passé colonial du pays. C'est la langue principale des affaires, de la diplomatie et de l'enseignement supérieur. De nombreux Marocains sont bilingues, passant sans problème du darija au français dans leurs conversations quotidiennes. Le français est également couramment utilisé dans les zones urbaines, ce qui facilite la navigation dans le pays pour les touristes et les expatriés.
  • Bien que moins répandue que l’arabe, le français ou l’espagnol, l’anglais gagne en popularité au Maroc, en particulier auprès des jeunes générations. Il est de plus en plus enseigné dans les écoles et les universités, et de nombreux Marocains apprennent l’anglais pour entrer en contact avec la communauté internationale et profiter des opportunités internationales.

Parc national de Dakhla


Le Parc National de Dakhla s'étend sur une supefflcie de 14160 km2 qui occupe 1/10 de celle de la Province de Oued Eddahab dans l'extrême Sud du pays. ll est célèbre pour sa richesse en groupements végétaux et en faune propre au zones à climat prearide. Sa côte, notamment la presqu'ile du Cap blanc-Aguerguer, est connue pour sa population de Phoques moines Monachus monachus. Elle justifie à elle seule son classement en parc national.

Ce lieu constitue une étape incontournable pour les oiseaux migrateurs qui viennent s’y abriter lors de l’hiver.
Dakhla est connue pour sa lagune, les sports nautiques portés par les vents puissants de l'océan, et l'étendue désertique entrecoupée par les dunes mouvantes. Les amoureux de la nature, de la faune et de la flore pourront également choisir la perle du sud pour son parc national.
Il représente 1/10 de la province de Oued Eddahab et représente le 11ème parc national du Maroc. Situé à l'extrême sud du royaume, le lieu fait partie des listes indicatives de l’UNESCO. Le dossier a été soumis en 1998 par la direction du patrimoine culturel.

Des Fous de Bassan

Gazelles
Le parc de Dakhla contient une richesse en groupements végétaux et en faune propre aux zones à climat pré-aride.


La présence de la population de phoques moines Monachus monachus, sur la presqu’ile du Cap blanc-Aguerguer, justifie à elle seule son classement en parc national.

Flamants roses et autres oiseaux migrateurs
Le parc englobe la baie de Dakhla devenue site Ramsar depuis 2005, puisque le site vérifie les critères Ramsar : Présence d’une espèce globalement menacée ou bien 1% du nombre de la population mondiale d’une espèce donnée. En terme de population, de densité et de nombre d’oiseaux, le parc de Dakhla remplit les critères Ramsar. De plus, le lieu se trouve dans l’axe de migration est-atlantique et épouse parfaitement la voie de la migration.



Lors d’une balade au sein de la baie de Dakhla, on peut apercevoir des flamants roses, des fous de bassan, des spatules blanches et beaucoup d’autres oiseaux migrateurs. «Une bonne partie de la population du grand cormoran du Maroc, une espèce endémique, se concentre à Dakhla», précise le scientifique. On compte également une centaine d’espèces d’oiseaux migrateurs, «oiseaux marins, laro-limicoles, limicoles (comme les goélands)».



Lion microbien, une nouvelle forme de vie sur Terre, les Provora


Ce sont des microorganismes, à l'origine d'une toute nouvelle branche dans l'arbre du vivant, décrits par une équipe de scientifiques russo-canadienne : les Provora, deux nouveaux types de microbes jusqu'ici inconnus, les "nibbleridés" (de l'anglais 'nibble' qui signifie 'grignoter') et les "nébulidés", qui se nourrissent respectivement en grignotant des morceaux de leurs proies à l'aide de structures semblables à des dents, ou en les avalant toute entières.Ces organismes constituent, parmi les eucaryotes (domaine du vivant qui comprend notamment les plantes, les champignons et les animaux), un "super-groupe" à part, baptisé "Provora.
Ces "lions microbiens", nt été découvert en analysant des échantillons d'eau provenant d'habitats marins du monde entier, notamment les récifs coralliens de Curaçao (île des Caraïbes néerlandaises), des sédiments de la mer Noire et de la mer Rouge, ainsi que de l'eau des océans Pacifique Nord-Est et Arctique.

Le scientifique russe a remarqué que dans les échantillons où ces microbes étaient présents, presque tous les autres organismes finissaient par disparaître au bout d'un ou deux jours. En fait, ces derniers étaient tout simplement mangés.
Le chercheur a donc fait l'expérience d'isoler les prédateurs et de les nourrir avec des protozoaires - des êtres unicellulaires déjà connus - afin de les cultiver dans le but d'extraire et d'étudier leur ADN.
Les microbes prédateurs diffèrent de 170 à 180 nucléotides par rapport à l'ensemble des autres êtres vivants sur Terre.



Fuites urinaires chez les femmes

L’incontinence urinaire ou fuites urinaires touchent bien plus de femmes que d’hommes. En effet, une femme sur deux est sujette à des fuites urinaires au cours de sa vie. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, l’incontinence urinaire ne concerne pas que les personnes âgées, plusieurs facteurs peuvent conduire à ce symptôme, même dans la jeunesse.

Encore un sujet tabou, et qui pourtant peut représenter un frein dans la vie sociale, l’incontinence urinaire peut se prévenir, et aussi se guérir si les causes sont bien définies. De cette façon, la solution ou le traitement proposé sera mieux adaptée au cas, pour des résultats plus efficaces. Dans un premier temps, il est important d’en parler à son médecin.


Les fuites urinaires ont plus de risque de survenir après une grossesse multiple, un accouchement difficile, en cas de prolapsus génital chez la femme ou après une chirurgie de la prostate chez l'homme.

Qu’est-ce-que l’incontinence urinaire ou fuites urinaires ?

C’est un trouble qui entraîne des pertes ou fuites involontaires d’urine. La plus grande frustration des femmes, face à ce trouble physique, c’est qu’il est tout à fait incontrôlable. Ce qui est très incommodant, dans la vie quotidienne. On distingue, généralement, trois formes d’incontinence, à savoir :

L’incontinence urinaire due à l’effort

C’est la forme la plus fréquente. Il s’agit de jets brutaux d’urine en petite quantité, par la voie de l’urètre. Il survient surtout lors d’efforts physiques, des éternuements, des rires ou encore des toux. Il se produit sans que la personne ne ressente l’envie d’uriner et le plus souvent en étant debout.

L’incontinence par urgence mictionnelle

Cette forme d’incontinence urinaire est également appelée : hyperactivité vésicale ou incontinence par impériosité. Elle se caractérise par une fuite, toujours, involontaire d’urine. Mais préalablement accompagnée d’une envie pressante, voire urgent, d’uriner. Dans ce cas, il est impossible de retenir la miction, et les fuites peuvent s’échapper en quantité importante.

L’incontinence urinaire mixte

Elle combine les deux formes d’incontinence décrites ci-dessus.

Qu’est-ce qui provoque l’incontinence urinaire ?

Chez la femme, plusieurs facteurs peuvent entraîner une incontinence, en voici donc les principales causes :

Muscles du périnée affaiblis

Au bas du bassin, le périnée ou plancher pelvien, assure le maintien de la vessie en place et permet de contrôler l’évacuation urinaire. Lorsque ces muscles sont affaiblis, l’incontinence peut survenir. Comme ce qui peut être le cas pendant d’une grossesse ou lors d’un accouchement. Et bien évidemment, dans un âge avancé, les muscles se relâchent avec le vieillissement du corps.

La descente de la vessie

L’incontinence est causée par l’incapacité des tissus se trouvant entre la vessie et le vagin de soutenir la vessie. Plus ces tissus sont faibles plus la vessie ne tient pas à sa place, et provoque ainsi des fuites incontrôlables.

Les maladies chroniques

Certaines maladies peuvent empêcher le contrôle de la vessie, en passant par les nerfs. Pourquoi ? Parce que c’est dans le lobe frontal du cerveau que résident les commandes sur le contrôle de la miction. Si cette partie est affectée, le cerveau ne peut envoyer des signaux à la vessie pour se retenir d’un besoin. C’est le cas pour le diabète, la maladie de parkinson, la sclérose en plaques, la lésion de la moelle épinière…

D’autres facteurs peuvent également être à l’ origine d’une incontinence urinaire :

  • la constipation. chronique, la constipation affaiblit les muscles du plancher pelvien. Ils sont très sollicités lors des évacuations de selles
  • La prise de médicaments comme les antidépresseurs, les relaxants musculaires, les décongestionnants nasaux, etc
  • la ménopause
  • post-accouchement
  • le tabagisme
  • la sédentarité
  • certaines boissons comme le café, le thé et les boissons gazeuses favorisent l’hyperactivité de la vessie

Comment traiter l’incontinence urinaire ?

Il existe un traitement pour chaque type d’incontinence, en allant des solutions simples à des solutions radicales :

Pour l’incontinence d’effort

Plusieurs solutions sont possibles :

  • La rééducation périnéale
La rééducation consiste à effectuer de la kinésithérapie en musclant les muscles du périnée, du sphincter et de l’urètre. C’est une méthode qui consiste à utiliser les techniques suivantes : les contractions volontaires sur une base journalière et l’électrostimulation en plusieurs séances.
  • les médicaments

Un traitement hormonal s’avère utile pour les femmes en ménopause, afin d’augmenter la tonicité des muscles du périnée.

  • la chirurgie

La chirurgie est utilisée en dernier recours, avec la pose d’une bandelette sous l’urètre permet de prévenir les fuites.

Pour l’incontinence par urgence mictionnelle

  • les médicaments
Certains médicaments sont prescrits pour réduire les impériosités dues à l’instabilité vésicale. Notamment les anticholinergiques, utilisés sur une longue période, peuvent bloquer les contractions et empêcher les fuites urinaires. Les médicaments les plus courants sont : l’oxybutynine, le flavoxate et la toltérodine.
  • la rééducation

Il est possible d’essayer trois différentes techniques : la kinésithérapie accompagnée de biofeedback, l’électrostimulation, et les techniques comportementales (types exercices de Kegel).

  • la chirurgie

La cystopexie permet de remonter la vessie si elle n’est pas à sa place. Il est également possible de réaliser la mise en place de dispositif permettant de suspendre le col de la vessie.

Pour l’incontinence mixte

La rééducation peut s’avérer efficace. Les médicaments indiqués dans le cas d’incontinence d’effort ou par impériosité peuvent être essayés.

Comment prévenir l’incontinence urinaire ?

La prévention de l’incontinence urinaire passe par quelques mesures de base :

  • l’excès de poids exerce une pression constante sur la vessie, donc il faut retrouver son indice de masse corporelle idéale
  • après l’accouchement, il est important de pratiquer des techniques comportementales,
  • éviter la constipation
  • traiter rapidement les infections urinaires qui entraînent des pertes d’urine
  • s’hydrater suffisamment sans faire d’excès
  • prendre en compte les médicaments qui causent l’incontinence comme les antidépresseurs, les somnifères, les médicaments pour l’hypertension, etc
  • éviter le tabagisme qui provoque des toux chroniques conduisant à l’aggravation d’une incontinence déjà existante

Comment se protéger en cas d’incontinence urinaire ?

Les produits absorbants à usage unique sont les plus efficaces en ce qui concerne la protection, de plus ils offrent plus de confort que les autres produits présents sur le marché. il existe deux types de protection contre les fuites urinaires dont :

  • les protections pour incontinence légère (par effort)

Il s’agit de produits ayant une capacité d’absorption d’environ 500 ml, ce sont les serviettes périodiques, les protège-slips, …

  • et les protections pour incontinence forte à modérée comme les protections.

La capacité d’absorption peut aller jusqu’à 2000 ml. On retrouve dans cette catégorie les changes complets, les protections anatomiques, les slips absorbants, etc.

Comment gérer les fuites urinaires ?

Pour vous aider à mieux gérer votre situation, voici quelques astuces :

  • si vous souffrez d’incontinence et que vous devez effectuer des sorties, anticipez et portez des protections absorbantes. N’oubliez pas d’apporter des lingettes intimes pour la toilette, dans le cas votre trajet est de longue distance
  • ne pas pousser en urinant et évitez de vous retenir tout le temps
  • choisissez un sport qui ne provoque pas des à-coups
  • effectuez des musculations de votre périnée
  • évitez de porter des talons hauts

Un circuit royal à travers la ville de Meknès

Ce circuit fait écho à la riche histoire de la ville, autrefois ancienne capitale du Maroc, qui a été bâtie et repensée par le sultan Moulay Ismail.
La ville de Meknès a été pensée comme le Versailles du Maroc. Une volonté de sultan Moulay Ismail (1672-1727) qui en fera lors de son accès au trône, la capitale du royaume, se lançant ainsi dans de vastes projets qui remodèleront profondément la ville. Pour replonger dans l’ambiance impériale de l’époque, nous partons alors à la découverte des monuments emblématiques de la ville composant le circuit royal de Meknès.
En effet, la ville doit une grande partie de ses monuments à Moulay Ismail, plus célèbre sultan de la dynastie alaouite. Après en avoir fait la capitale, le sultan repense la ville afin de créer un complexe palace qui surpasserait celui de Louis XIV à Versailles.

Sahrij Souani ou bassin de l'Agdal à Meknes.

Cette ambition découlerait de la rivalité et l’admiration qu’il y avaient entre les deux monarques. Parmi les anecdotes, l’histoire retient le refus de Louis XIV d’accorder la main de sa fille, Marie-Anne de Bourbon, au sultan Moulay Ismail, qui avait, pour ce faire, dépêché Abdellah Benaïcha qui officiait en tant qu’ambassadeur à la cour de France.

En faire le Versailles du Maroc.
Ainsi après la construction de son palais tout le paysage environnant sera lui aussi remodeler pour s’acclimater aux exigences du sultan connu par sa dureté, nous explique Zakaria Haddani de l’association Rouh de Meknes. Notre premier arrêt pour ce circuit royal est le mythique bassin de l’Agdal appelé également Sahrij Souani, qui servait autrefois à l’irrigation des jardins du palais.

De plus de 140 mètres de long, le bassin était alimenté par l’oued Boufekrane et relié à des conduits qui s’avancent jusqu’aux jardins du Palais. Le bassin est doté d’un système très avancé pour l’époque où il a été construit. Il avait plusieurs usages, en plus d’irriguer et stocker l’eau, la population y avait recours pendant les périodes de sécheresse.
Resté intact mais d’usage décoratif désormais, le bassin est resté un des lieux emblématiques de la ville impériale. D’ailleurs, si vous êtes intrigué par cette statue qui trône sur l’une des rives du bassin, elle représente un guerrab (porteur d’eau) que l’on trouve encore dans la ville.


L’eau aux reflets verts nous mène jusqu’à notre deuxième arrêt pour ce circuit, Hri Souani, à quelques mètres du bassin. Ces premières salles où nous nous rendons servaient autrefois d’entrepôts où était stockées les denrées alimentaires ; cet espace est d’ailleurs toujours appelé le grenier royal. «La température et le peu de luminosité qui traversaient ces épaisses parois, permettait de conserver durant de longues périodes le blé et toute autre denrée», poursuit le natif de la région.
Depuis cet espace, nous nous rendons vers les fameuses écuries de Moulay Ismail. «Après un tremblement de terre qui a fini par détruire toute la toiture, seule ces grandes arcades ont été préservées», nous explique Zakaria Haddani. A l’époque, comme le veut la légende ce site accueillait plus de 10 000 chevaux de l’armée Abid Al Boukhari, formée par des esclaves dépêchés par le sultan pour unifier le pays.

Hri Souani à Meknes. 

Après une vie de conquêtes et de faste, le sultan succombera à un abcès au bas-ventre. Aux côtés d’une de ses épouses et ses enfants, le corps du sultan alaouite repose au mausolée qui lui est dédié à Meknès. Pour visiter ce troisième monument de notre parcours, on emprunte une imposante porte en bois surplombée d’entrelacs très raffinés.
Au nombre de quatre, des horloges sont disposées aux quatre coins du mausolée, une pratique pour le moins inhabituelle, nous explique Zakaria Haddani. La légende veut que ce fut Louis XIV qui les avait offert au sultan après son refus de lui accorder la main de sa fille. Preuve que les vies de ces deux souverains sont restés intimement entremêlées jusqu’à la mort.

Mausolée Moulay Ismail à Meknes.

Le Dernier Garde du Corps d’Adolf Hitler Révèle Toute la Vérité !

Dans les derniers jours du Troisième Reich, alors que Berlin brûlait sous les bombes soviétiques, Rochus Misch — téléphoniste, messager et membre de la garde personnelle d’Adolf Hitler — fut témoin direct de l’effondrement du régime depuis le cœur du Führerbunker. Son récit, unique et saisissant, reconstitue de l’intérieur la routine claustrophobique du bunker, l’isolement absolu du Führer, les discussions finales avec son cercle rapproché et les instants précédant le suicide de Hitler et d’Eva Braun le 30 avril 1945. Misch n’entendit pas seulement le coup de feu marquant la fin du dictateur : il assista aussi à l’exécution de ses dernières volontés : brûler son corps pour qu’il ne tombe pas entre les mains ennemies. Le témoignage de Misch révèle également la tragédie la plus bouleversante de ces heures : le meurtre des six enfants de Joseph et Magda Goebbels, empoisonnés par leur propre mère avant que le couple ne se suicide dans le jardin de la Chancellerie. Entre murs de béton, couloirs sombres et l’écho constant de l’artillerie soviétique, le dernier garde du corps de Hitler vit s’éteindre non seulement un régime, mais toute une idéologie poussée à ses extrêmes. La paranoïa, les trahisons internes et le désespoir façonnèrent une atmosphère où la mort était la seule issue.
Après la guerre, Rochus Misch passa huit ans prisonnier en Union soviétique avant de revenir dans une Allemagne divisée. Pendant des décennies, il garda le silence, jusqu’à décider de raconter son histoire dans des interviews et ses mémoires, défendant son rôle comme celui d’un soldat qui « ne faisait qu’obéir aux ordres » et rejetant les théories du complot sur une éventuelle fuite de Hitler. Ce documentaire expose, sans fioritures ni détours, ce qu’a vécu le dernier témoin du bunker : une chronique de routine, de peur et de mort au cœur même de
l’effondrement nazi.

La mort brutale de Joseph Staline

Entre 1945 et 1953, Joseph Staline a transformé son pouvoir en un culte de la personnalité absolue. Il a éliminé des ennemis réels et imaginaires, a orchestré des purges secrètes, des déportations massives et des persécutions ethniques, tandis que sa santé se détériorait en silence. Sa folie des grandeurs s'est aggravée avec son isolement. Il a espionné ses ministres, craignant l'empoisonnement, allant jusqu'à emprisonner ses médecins. L'État soviétique est devenu le reflet de son esprit malade. Le 1er mars 1953, le dictateur s'est effondré seul chez lui. Pendant quatre jours, sa cour a hésité à agir. La médecine est arrivée trop tard, la politique aussi. Sa souffrance a révélé le vide laissé par un système basé sur la peur. Staline est mort, mais son ombre est restée : des funérailles majestueuses, une lutte violente pour le pouvoir, et une purge rétroactive qui a mis fin à sa vie. Huit ans plus tard, il sera enterré à nouveau. Pas avec de la terre, mais dans le silence. Qui a permis à Staline de mourir ? Comment son corps a-t-il été utilisé comme un outil politique ? Et pourquoi l'État qu'il avait lui-même créé a-t-il décidé de le rayer de son histoire ?