Comment faire cesser une guerre de décolonisation que l'on n'accepte pas de désigner par son nom alors que la méfiance s'est accumulée de part et d'autre ? Comment, sinon en faisant appel à de bons offices ? Depuis le discours du 16 septembre 1959 où de Gaulle a proposé l'autodétermination aux Algériens, la liste est longue des contacts noués et dénoués, des interventions venant de personnes diverses, des courtiers bénévoles ou involontaires, des démarches apparemment contradictoires pour trouver une solution négociée au conflit. La publication des Documents diplomatiques français (DDF) nous livre aujourd'hui le contenu des conversations franco-algériennes au cours de cette inter ...
Ain Défali n'a pas de semblable au Maroc et pour découvrir ses merveilles, le meilleur moyen est de la visiter.
Histoire secrète des accords d'Évian
Comment faire cesser une guerre de décolonisation que l'on n'accepte pas de désigner par son nom alors que la méfiance s'est accumulée de part et d'autre ? Comment, sinon en faisant appel à de bons offices ? Depuis le discours du 16 septembre 1959 où de Gaulle a proposé l'autodétermination aux Algériens, la liste est longue des contacts noués et dénoués, des interventions venant de personnes diverses, des courtiers bénévoles ou involontaires, des démarches apparemment contradictoires pour trouver une solution négociée au conflit. La publication des Documents diplomatiques français (DDF) nous livre aujourd'hui le contenu des conversations franco-algériennes au cours de cette inter ...
Chine : naissance des premiers bébés génétiquement modifiés
LES COUTUMES BIZARRES POUR TRINQUER DANS LE MONDE
- Angleterre : “Toaster” tient son origine au 17ème siècle en Angleterre. Un pain épicé était mangé avec du vin pour accroître la saveur et couper l’acidité.
- France : Les Français sont d’honorables buveurs. Les dames sont servies en premier, les verres ne sont jamais remplis plus qu’à moitié et il est considéré comme vulgaire de se servir son propre verre
- Espagne : En Espagne, porter un toast avec un verre d’eau vous apportera sept ans de mauvais sexe. Le dernier verre de la soirée est toujours appelé “penultima”. L’ “ultima” est le dernier verre de votre vie
- Italie : Les italiens ne boivent que de l’eau ou du vin à table. Les autres boissons comme la bière ou le soda sont considérées comme un gros faux-pas
- Portugal : Pour ouvrir une bouteille de Porto sans émietter le bouchon et secouer le dépôt, les Portugais ont inventé une façon théâtrale d’ouvrir une bouteille. Avec des pinces chauffées au rouge et un torchon glacé pour créer un choc thermique.
- Allemagne : La nuit avant le mariage, les garçons d’honneur kidnappent la future mariée et l’emmènent dans un bar. Le jeune marié doit trouver le groupe et leur payer une tourner pour récupérer sa belle et tendre.
- Pays-Bas : Les hollandais ont adopté la méthode du “coup de tête” (cul sec) pour boire du whisky. Le procédé, sans les mains, implique de se pencher pour prendre une gorgée, avant de se redresser et adoucir avec de la bière.
- République Tchèque : Porter un verre est une affaire très sérieuse en République Tchèque. En même temps que vous trinquez, regardez l’autre personne dans les yeux, mais ne croisez jamais votre bras avec quelqu’un d’autre au risque d’être maudit de sept années de mauvais sexe pour vous deux.
- Géorgie : Trinquer est une pratique importante dans la culture géorgienne. Les locaux feront 20 à 30 toasts à chaque repas et ils espèrent que les étrangers et visiteurs en feront de même !
- Ukraine : Aux mariages ukrainiens, les épouses doivent garder les pieds au sol de peur que leurs chaussures soient volées. Si une chaussure est volée, les invités se la passent pour boire du vin directement de celle-ci
- Hongrie : Après la Révolution de 1848, les Autrichiens célébraient la défaite des Hongrois en trinquant avec leurs verres de bière. Depuis cette défaite, les Hongrois évitent de toaster avec de la bière, cela est même banni.
- Islande : Les islandais aiment tellement l’alcool qu’ils ont consacré deux jours fériés à cela. Le 1er Mars est le Jour de la Bière, mais le “Verslunarmannahelgi” est le weekend le plus enivré de l’année (1er weekend d’août).
- Russie : En Russie, il est courant de donner de longs toasts anecdotiques qui se terminent par une chute. Les bouteilles vides doivent être placées par terre, sous la table, et non dessus.
- Kazakhstan : Le koumis, une boisson à base de lait fermenté de jument, est la boisson nationale au Kazakhstan. La coutume impose que tout restes soient reversés dans la carafe de koumis pour que rien ne soit gaspillé.
- Chine : Durant le toast, l’ancien tient son verre plus haut que celui du jeune. Le premier verre est bu d’un trait et doit être retourné sur la table pour montrer que rien n’a été laissé.
- Nigeria : C’est seulement lorsque les jeunes mariés ont pris un verre de vin de palme traditionnel ensemble qu’ils sont considérés comme officiellement mariés.
- Australie : Lors vous buvez un verre avec des amis en Australie, tout le monde est censé payer sa tournée. Ne pas la payer serait considéré comme une très mauvaise manière.
- Suède : Les chansons à boire sont chantées vigoureusement avant, pendant et après chaque tournée d’aquavit. Des gorgées de bière suivent en général chaque shot de cette eau de vie très forte.
- Pérou : Au Pérou, une seule bière et un seul verre sont partagés entre deux amis. La première personne sert un verre de bière et le descend avant de le passer à son acolyte.
- Canada : Au Sourdough Saloon dans le Yukon, vous pouvez entrer dans le “Sour Toe Cocktail Club” en finissant un verre avec un doigt humain déshydraté à l’intérieur, la spécialité locale…
- Inde : Le vin a été une part importante de la mythologie et la spiritualité indienne depuis des millénaires. Encore aujourd’hui, l’alcool est utilisé par beaucoup pour atteindre un niveau supérieur de conscience.
- Japon : Il est impoli de se servir son propre verre. Faites en sorte de garder les verres de vos voisins remplis et ils vous rendront la pareille. Les japonais se tournent légèrement d’un côté en prenant une gorgée, en signe de respect.
- Moldavie : Les moldaves font de nombreux toasts durant un repas, au moins un à chaque verre. Il existe même un toast pour éviter de trinquer, “Hai devai !” qui signifie “Allez !”. Pour dire santé, c’est “Noroc !”.
Mswati III, le roi aux 13 femmes
Il est le dernier monarque absolu d’Afrique. Mswati III règne sans partage sur le Swaziland, un petit état d'à peine 1,5 million d'habitants. L'un des plus pauvres aussi alors que le roi, passionné de voitures de luxe, dépense à lui seul près de 10% des ressources du pays, pour lui et ses treize femmes. Reportage étonnant au pays de ce despote qui nous a ouvert les portes de son palais. Cet extrait vidéo est issu du replay de Sept à Huit, émission d’information et de reportages hebdomadaire diffusée sur TF1 et présentée par Harry Roselmack.
Espagne : Pontevedra, ville sans voitures
En Espagne, Pontevedra, une ville a progressivement banni les voitures de son centre-ville. Cela ne s'est pas fait du jour au lendemain. La commune a progressivement restreint l'accès des véhicules, redessiné le système de circulation, abaissé les limites de vitesse, réduit la largeur des chaussées.
Le maire explique qu'il a souhaité "changer de paradigme, en disant qu'il n'était plus question d'augmenter le trafic mais au contraire de recouvrer l'espace public, en récupérant l'espace pris par les véhicules privés pour le rendre aux gens".

Depuis les années 90, Pontevedra a réduit de 67% ses émissions de gaz à effet de serre et ne connaît plus aucun accident de la route mortel depuis 2001. Aujourd'hui 73 % des déplacements s'y font à pied ou en vélo.
Avec 80 000 habitants, Pontevedra n'est pas vraiment un petit village, et ce qui plaît en centre-ville agace beaucoup à sa périphérie. Car pour l'instant, le manque de places de stationnements et de parkings y est criant.

Les faits insolites sur Dubai, ville unique en son genre !
Passons en revue les faits insolites sur Dubaï qu'on ignore sûrement.
- Dubaï a inauguré le premier hôtel 7 étoiles en 1999.
Et c’est loin d’être le seul établissement de luxe de la ville ! Dubaï abrite en effet plus de 100 000 chambres d’hôtel dont un nombre exceptionnel sont situées dans des hôtels 5 étoiles.
- Il n’y a pratiquement pas de criminalité à Dubaï

- La police de Dubaï est (presque) aussi riche que ses habitants
- Burj Khalifa, la tour qui bat tous les records

- Il faut un permis pour consommer et posséder de l’alcool.
- Il s’agit de la ville la plus jeune à s’être développée aussi vite.

- Lors des courses, les dromadaires sont montés par des robots
- Dubaï construit le plus gros parc d’attraction au monde.

- Motor City, une ville dédiée aux fans de sports mécaniques.

- On peut acheter de l’or dans un distributeur

- Lyon Dubaï City, ou quand la Capitale des Gaules s’installe à Dubaï


- Une ville écologique surgira bientôt du désert
- Dubaï accumule les records, destinés à attirer l’attention

- Il n’y a pas d’adresse ni de boite aux lettres à Dubaï
Comment donne-t-on rendez-vous à un proche ? En décrivant sa maison et ses environs, pardi ! Et pour recevoir du courrier, on utilise une P.O Box, située dans un bureau de poste ou un immeuble commercial. Facile !

Carburants ; la colère des gilets jaunes en France
HAUSSE • Essence et gasoil : en raison de l'augmentation du prix du pétrole, les tarifs des carburants à la pompe ont sensiblement augmenté cet automne 2018. Cette hausse n’est pas près de s’arrêter : en janvier prochain, la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) va encore cibler le gazole (+6,5 centimes par litre) et l’essence (+2,9 centimes par litre).
COLÈRE • La hausse qui ne plaît pas du tout aux automobilistes, notamment ceux qui roulent au diesel et dont les taxes d’Etat ont augmenté plus vite que celles sur l’essence. Au point que dans 20% des stations environ, le litre de gazole est désormais plus cher que celui de SP. Les Gilets jaunes mènent la fronde et planifient une première journée de blocages le 17 novembre.
BRAS-DE-FER • Alors que plus de 282.000 personnes se sont mobilisées le 17 novembre, le mouvement se poursuit les jours suivant, avec des blocages sur tout le territoire, et élargit ses revendications. Une nouvelle manifestation des Gilets jaunes est programmée, le samedi 24 novembre 2018 à Paris, promet d'être tendue : beaucoup refusent de se rendre au Champ-de-Mars, périmètre autorisé par le gouvernement.
La v ie dans les années 1950
A quoi sert la Station spatiale internationale ?
Émirats arabes unis
C'est où les Émirats arabes unis ?
Côté pays voisins, à l'Ouest, c'est l'Arabie Saoudite, au Sud c'est le sultanat d'Oman, et au Nord, en face du petit bras de mer, c'est l'Iran.
Côté eau, Abu Dhabi, Dubai et les Emirats du Nord sont au bord du golfe Persique. Petite précision à ce propos ; veillez à ne jamais dire Golfe Persique (Persian Gulf en anglais) devant des Emiratis, ceux-ci étant peu amis avec l'Iran et le peuple perse. Dites plutôt Golfe Arabique (Arabian Gulf en anglais).

Quelle taille font les émirats arabes unis ?
Relief des Émirats arabes unis
Géographie administrative
- Abu Dhabi, (ou Abou Dabi ou encore أبو ظبي), le plus grand et qui abrite la capitale,
- Dubaï (ou دبي), peut-être le plus connu,
- Sharjah,
- Ajman,
- Umm Al-Qaïwaïn,
- Ras Al-Khaïmah
- Fujaïrah
Deux hommes tentent de traverser l’Antarctique à pied en solitaire
La vie rurale au Népal

Population diversifiée
Véritable carrefour de civilisation, le Népal constitue un point de jonction entre deux grandes aires culturelles : celle de l'Inde hindouiste et celle du Tibet bouddhiste. Majoritairement hindouiste, le bouddhisme y est toutefois fortement enracinée, surtout dans le nord du pays. On y parle au-delà de cinquante langues et dialectes différents. Le nepali, la langue officielle du Népal, est parlé par la majorité de la population.
Le sud du Népal est habité par des populations d'origine indo-européenne. Les populations installées dans les montagnes au nord du pays sont d'origine tibétaine. Ces deux grands groupes cohabitent dans la partie médiane du pays (les collines ou moyennes montagnes) où sont aussi installées des ethnies parlant des langues de souche tibéto-birmane. Toutes ces populations et groupes ethniques ayant conservé, dans une large mesure, leurs langues, leurs croyances, coutumes et modes de vie, le Népal fait figure de véritable mosaïque culturelle.
Société rurale
Le Népal est peu urbanisé. La grande vallée de Katmandou et l'étroite plaine du Teraï comptent quelques villes constituant des pôles d'attraction pour les Népalais. Cependant, la majorité de la population du Népal vit au sein de petits villages dispersés dans les basses terres, perchés dans les collines, accrochés à flanc de montagne ou blottis au creux des hautes vallées himalayennes. Plus on s'élève en altitude en rejoignant le nord, plus l'habitat devient austère, plus les maisons deviennent rustiques, plus les conditions de vie s'avèrent difficiles. Au-delà de la limite des arbres, il n'y a plus que de maigres pâturages et des cabanes temporaires dans lesquelles s'abritent les bergers durant l'été. Plus haut, on débouche dans un monde essentiellement minéral dominé par la roche, les glaciers et les neiges éternelles.
Pays en transition
Depuis la mise en place d'un fragile processus de paix entre les partis politiques et les anciens rebelles maoïstes, une coalition gouvernementale, tout aussi fragile, peine à sortir le Népal de l'immobilisme qui l'a si longtemps caractérisé. Si le changement n'est pas encore perceptible au plan économique, ou si peu, le bouillonnement au plan politique est nettement plus évident et s'accompagne de confrontations entre partis politiques qui paralysent souvent les institutions de l'État et accentuent le caractère désorganisé de ce pays en voie de transition.
L'élaboration d'une nouvelle constitution pour régir un pays dont la population est aussi diversifiée n'allait pas se réaliser sans faire apparaître au grand jour les nombreux clivages ethniques et culturels, les inégalités sociales et un partage du pouvoir marqué par la domination des Paharis, ceux qui habitent les collines centrales, sur l'ensemble des activités socio-économiques et politiques du pays.
Aussi, n'en doutons pas, le Népal d'aujourd'hui est en pleine transition. Dans sa marche en avant pour instaurer une véritable démocratie et un État moderne, saura-t-il préserver l'originalité de sa culture, l'intégrité des paysages uniques qu'il abrite et, qui sait, peut-être même cette part de mystère qui l'enveloppe depuis toujours ?
Resté à l'abri des grandes invasions qui ont marqué l'histoire, plus récemment interdit aux étrangers pendant un siècle par des premiers ministres au pouvoir absolu, le Népal est resté ancré dans le moyen-âge jusqu'au début des années 1950. La population du Népal était majoritairement illettrée. Les technologies et les moyens de communication étaient archaïques. Le roi Tribhuvan, alors confiné à un rôle de second plan, s'enfuit en Inde et obtint le support de celle-ci pour renverser l'autocratie des Premiers Ministres Rana et instaurer la démocratie. Cette démocratie n'a véritablement prit son envol qu'en 1990 sous le règne du roi Birendra. Une démocratie qui depuis s'est avérée bien frileuse !
Isolement historique, pauvreté relative des ressources, géographie superbe mais ingrate, sans accès à la mer, coincé entre deux puissances économiques émergentes, le développement économique du Népal est erratique. La plupart des réformes entreprises au Népal n'ont pas donné les résultats escomptés. Sa dette ne cesse de s'accumuler. Ses infrastructures sont moribondes. L'instabilité politique y est chronique. Une large partie de sa population vit sous le seuil de la pauvreté. Pourtant, le Népal est considéré par tous ses visiteurs comme un pays des plus hospitaliers.
Entre mythes et réalités
Malgré la place peu enviable qu'il occupe sur l'échelle du développement socio-économique, les vestiges culturels du Népal témoignent d'une civilisation riche. Le Népal compte sept sites classés au patrimoine mondial de l'Unesco. Le pays est resté profondément attaché à ses traditions. Sa géographie tourmentée présente des paysages parmi les plus variés du monde. Son histoire est jalonnée d'événements marquants. Le Bouddha historique est né au Népal. Le pays a résisté à la domination de l'Empire britannique des Indes installé à ses portes. L'hindouisme et le bouddhisme y coexistent dans un esprit de tolérance peu commun. Le Néo-Zélandais Edmund Hillary et le Sherpa Tenzing Norgay y ont conquis le sommet du monde. Au cœur de la révolution hippie, Katmandou a été un pôle d'attraction pour la jeunesse occidentale. Tintin y a même découvert le yeti pour le plus grand bonheur de ses lecteurs de 7 à 77 ans !
Luxueux trains de vie, L'Irlande: à bord du Grand Hibernian

Trek dans le désert marocain
James Harrison, le donneur de sang


James Harrison naît en 1936. À l'âge de quatorze ans, il subit une chirurgie thoracique majeure pour retirer les deux tiers de son poumon gauche. La réussite de l'opération nécessite une transfusion de treize litres de sang. James reste alité à l'hôpital pendant trois mois pour se rétablir complètement. Prenant conscience que c'est la transfusion sanguine qui lui a sauvé la vie, il fait le serment de donner son sang dès qu'il aura atteint la majorité.
En 1954, il commence à donner régulièrement de son sang. C'est ainsi que des chercheurs découvrent qu'il contient un anticorps anti-D rare et particulièrement puissant pouvant éviter aux femmes enceintes de développer des anticorps anti-D, déclencheur de la maladie hémolytique du nouveau-né (MHN). Grâce au don de son plasma, Harrison prévient la mort par MHN de dizaines de milliers d'enfants. Cette propriété de son sang est jugée si unique que sa vie est couverte par une police d'assurance d'un million AUD. Les recherches sur son sang mènent à la création du RhoGAM, une immunoglobuline anti-D synthétique. Une femme enceinte sur dix, dont le sang est potentiellement incompatible avec celui de son enfant à naître, a reçu du plasma sanguin de James Harrison, y compris sa propre fille Tracey. Ses dons auraient sauvé plus de 2,4 millions d'enfants à naître.
En 2007, Harrison critique le projet d'autoriser des entreprises étrangères de participer à la collecte et à la gestion du sang en Australie. Il croit que cela diminuera le nombre de volontaires. Sa lettre ouverte paraît à la suite d'une politique d'ouverture des marchés dans le cadre d'une entente de libre-échange avec les États-Unis.
Puisque le plasma sanguin peut être donné toutes les deux semaines, il a fait son 1000 ème don en mai 2011. Il a donc donné en moyenne une fois toutes les trois semaines pendant 57 ans. Il a commenté : « Je puis dire que c'est le seul record que je souhaite voir battu, parce que s'il l'est, quelqu'un aura donné mille fois.»
Il a été décoré de l'ordre d'Australie le 7 juin 1999.
James Harrison a donné le 11 mai 2018 son plasma pour la dernière fois dans un centre de la Croix rouge. Après 1 170 dons en un peu plus de 60 ans, juste avant ses 81 ans, la limite autorisée.
Diplomates marocains : Mohamed Ben Hadou, le membre honorifique de la British Royal Society
Mohamed Ben Hadou Al Attar est un ambassadeur marocain dépêché par le sultan alaouite Moulay Ismail à la cour anglaise du roi Charles II de 1681 à 1682. Le Maroc lui doit notamment la libération de la ville de Tanger et le titre de «premier marocain» à devenir membre honorifique de la prestigieuse Royal Society en Angleterre.
Nous sommes en 1661. Le roi du Portugal, Jean IV alias Jean le Restaurateur offre la ville de Tanger au roi Charles II d'Angleterre dans le cadre d'une dot de mariage entre le monarque anglais et la princesse Catherine Henriette de Bragance. Le 29 janvier 1662, 3 000 soldats anglais arriveront dans la baie de Tanger pour occuper la ville. Les relations entre l’empire chérifien et l’Angleterre seront dorénavant marquées par une longue période de tensions suite à l'occupation anglaise de la ville du Détroit. Une occupation qui ne prendra fin qu’en 1684.
Au Maroc, le décès de Moulay Rachid, premier sultan alaouite du royaume chérifien, le 9 avril 1672 à Marrakech, sera vite comblé par le couronnement, le 14 avril 1672 à Meknès, de son demi-frère, Moulay Ismail. Son règne correspond alors à une période d’apogée de la puissance marocaine, avec des succès militaires dus à la création d'une armée forte et des «guichs» et sur une garde royale composée d’esclaves noirs connus sous l’appellation de «Abid al-Bukhari».
Dès les premières années de son règne, Moulay Ismaïl combat victorieusement les Ottomans d'Alger et leurs vassaux. Il arrive même à chasser les Européens des ports qu'ils occupent depuis plusieurs années, à l’instar de celui de Mehdia, de Larache, d’Assilah, d’El-Mamoura.
Un ambassadeur hors du commun
Mais Tanger est occupée depuis déjà une dizaine d’années et les relations maroco-anglaises sont déjà perturbées par l’épineuse question des captifs britanniques au Maroc. Connu pour épuiser toutes les solutions possibles avant de faire appel à son armée, le sultan alaouite décide alors d’envoyer un émissaire à la Cour de Charles II. Le choix est vite fait : Moulay Ismail dépêche alors Mohamed Ben Hadou Al Attar, originaire de la ville de Safi et issu d’une grande famille ayant soutenu depuis toujours le Makhzen.
Mohamed Ben Hadou Al Attar, célèbre émissaire et deuxième ambassadeur du Maroc de Moulay Ismail en Angleterre est arrivé à Londres en décembre 1681 et a été reçu par le roi Charles II le 11 janvier 1682», rapporte le chercheur et professeur à l’Institut des études africaines de l’Université Mohammed V de Rabat, Mohamed Laamiri dans un article intitulé «Moroccan British Relations : A Brief Survey».
«Ben Hadou a impressionné les Londoniens par ses robes exotiques et son équitation. Un événement immortalisé par une peinture célèbre de l'ambassadeur du Maroc sur son cheval à Hyde Park par Sir Godfrey Kneller.»
Mohamed Laamiri.
Une version confirmée par l’historien Nabil Matar dans son ouvrage «Turcs, Maures et Anglais à l'âge de la découverte» (Turks, Moors, and Englishmen in the Age of Discovery, Editions Columbia University Press, 2012). «Il y avait des poèmes écrits à propos de l'occasion, des descriptions dans des correspondances privées et des journaux intimes, et surtout, des reportages sur l'ambassadeur dans La Gazette de Londres (l’un des premiers journaux britanniques, ndlr)», rapporte-t-il. Nabil Matar raconte aussi que Mohamed Ben Hadou «a été amusé par les nobles et les pauvres (…) se baladait dans le Palais et la ville (de Londres, ndlr)». «Il a voyagé à Oxford et à Cambridge avant de visiter la Royal Society (la Société royale de Londres pour l'amélioration des connaissances naturelles, ndlr), rencontrer quelques-uns de ses membres, examiner ses recherches».
«Premier marocain à devenir membre honorifique de la Royal Society»
L’émissaire de Moulay Ismail a même visité la Lincoln’s Inn, prestigieux collège judiciaire de Londres à l’époque, rapporte cet institut sur son site. «Pendant sa visite en Angleterre, Ben Hadou visita non seulement Lincoln's Inn, mais aussi les Universités Cambridge et Oxford et la Royal Society, ainsi que de nombreux rassemblements à Whitehall, le Palais de Westminster et Westminster Hall qui abritait des audiences avec Charles II, des concerts et des représentations théâtrales», écrit la Lincoln’s Inn.
«Avec sa suite, il a été largement observé et scruté. Il a été rapporté par John Evelyn qu'il (Mohamed Ben Hadou, ndlr) ne buvait pas de vin, qu'il était courtois envers les femmes, qu'il était magnifique à cheval à Hyde Park et qu’il s’intéressait aux manuscrits arabes et à l'innovation scientifique. Pendant la durée de leur séjour en Angleterre, l'ambassadeur et les Maures devinrent ‘’la mode de la saison’’, suscitant tellement d'enthousiasme [parmi les] Londoniens.»
Le professeur Ibrahim Kredya, l’historien marocain ayant consacré trois livres à l’histoire de l’ambassadeur Mohamed Ben Hadou Al Attar, affirme de son côté que l’émissaire de Moulay Ismail aurait été le «premier marocain à devenir membre honorifique de la Royal Society». «Homme de grande culture et parfait anglophone, l’ambassadeur Ben Hadou allait dans son temps libre au théâtre, à l’opéra et visitait le pays. Ses qualités ont été vite remarquées à l’Académie des Sciences, The Royal Society où il sera reçu avec les honneurs le 26 avril 1682. L’ambassadeur a donné une conférence dans les locaux de la bibliothèque de l’Académie et a produit sur l’assistance un immense attrait», poursuit-on de même source.
Libération de Tanger : échec ou réussite ?
Le 23 Juillet 1683, Mohamed Ben Hadou rentre au Maroc, avec plusieurs cadeaux offerts par Charles II à Moulay Ismail ainsi qu’un projet de traité de paix et de commerce, comme le rapporte l'historien marocain Khalid Ben-Srhir dans son livre «La Grande-Bretagne et le Maroc sous l'ambassade de John Drummond Hay 1845-1886» (Edition Routledge Curzon, 2005, traduit en anglais par Malcolm Williams et Gavin Waterson).
«Mohamed Ben Hadou est revenu avec un projet de traité de paix et de commerce. Le sultan, cependant, a refusé de ratifier ce traité en raison de la présence continue des Anglais à Tanger et de la complexité croissante des problèmes des captifs. En raison de problèmes interdépendants, qui comprenaient les graves difficultés que Moulay Ismail avait causées à Tanger en 1679 (…) [La ville du Détroit] sera abandonnée en 1684.»
Les "gilets jaunes" : Qui sont-ils ? Que veulent-ils ?
Environ 1.500 actions sont attendues sur le territoire et seulement un peu plus d'une centaine auraient été déclarées", selon une source policière.
Depuis trois semaines, la colère gronde en effet chez les automobilistes. En cause : les prix des carburants qui se sont envolés à la pompe. Alors que l’exécutif a prévu d’augmenter les taxes sur l’essence et le diesel en 2019, pour financer la transition écologique, une partie des Français s’organise derrière une bannière commune, "les gilets jaunes". Ils souhaitent mettre en place des blocages dans tout le pays le 17 novembre.
Qui sont les "gilets jaunes" ?
A l’instar du bonnet rouge, signe de ralliement des opposants aux portiques écotaxe en Bretagne en 2013, le gilet jaune fait office d’étendard pour les automobilistes en colère. Obligatoire dans tous les véhicules, ce gilet fluorescent est désormais exhibé fièrement par nombre d’automobilistes derrière leur pare-brise. Ils protestent ainsi contre l’augmentation du prix des carburants à la pompe. Selon l’Union française des industries pétrolières, le litre de SP95 coûtait en moyenne 1,54€ fin octobre et le litre de diesel 1,51€, en hausse respectivement de 14% et 22% en un an. Les automobilistes critiquent avec virulence le gouvernement qui a décidé d’une nouvelle hausse des taxes au 1er janvier (6,5 centimes par litre de gazole et 2,9 centimes par litre d’essence).
L’appel initial à manifester le 17 novembre a été lancé sur Facebook par deux chauffeurs routiers de Seine-et-Marne, le 10 octobre. Leur événement, intitulé "Blocage national contre la hausse du carburant", a rapidement été relayé sur les réseaux sociaux et rassemble à présent 200.000 personnes "intéressées". En parallèle, d’autres événements ont été créés pour appeler à des blocages nationaux et locaux, les organisateurs étant parfois en lien les uns avec les autres.

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