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8.5 millions d'utilisateurs de Windows affectés par la panne informatique

 

Microsoft annonce que 8,5 millions d'ordinateurs ont été touchés par la récente panne informatique mondiale.
Une mise à jour corrompue du logiciel Crowdstrike a provoqué une panne de Windows. La panne informatique a touché les ordinateurs du monde entier de jeudi à vendredi.
"Nous parlons depuis longtemps dans le secteur, de la fragilité inhérente aux éléments fondamentaux de l'internet, ces petits bouts d'activité et d'infrastructure qui sous-tendent l'ensemble et qui, s'ils tournent mal, peuvent avoir de très graves conséquences à l'échelle mondiale.", a indiqué Ciaran Martin, ancien directeur du Centre national de cybersécurité du Royaume-Uni.
C'est la première fois que l'entreprise chiffre l'ampleur de la panne et laisse entendre qu'il pourrait s'agir du pire cyber-événement de l'histoire.
Des vols n'ont pas pu décoller ou atterrir, certaines entreprises n'ont pas pu accepter les paiements par carte et des hôpitaux et cliniques ont dû annuler leurs activités.

La fusion froide : Qu'est ce que c'est ?


Puisqu’il s’agit d’une source d’énergie renouvelable, la fusion froide est potentiellement une énergie propre disponible en quantité illimitée. Mais qu'est-ce que l’énergie de fusion au juste, comment ça marche et est-ce que la fusion froide ça existe ?
Vous avez peut-être entendu parler de la fusion froide, de l’idée que des atomes peuvent fusionner sans véritable recours à la chaleur ni à d’autres types d’énergie, cette fusion libérant néanmoins une grande quantité d’énergie.
La fusion à chaud, en revanche, est bien réelle. C’est le phénomène qui se produit à l’intérieur du soleil et d’autres étoiles. Des noyaux d’atomes entrent en collision à grande vitesse, entraînant une fusion libératrice d’une grande quantité d’énergie supplémentaire. La recherche-développement dans le domaine de l’énergie de fusion s’efforce de reproduire des réactions similaires sur Terre à plus de 100 millions de degrés Celsius.


À l’opposé de la fission nucléaire
L’énergie de fusion, d’une certaine manière, est à l’opposé de ce que nous avons l’habitude d’appeler « énergie nucléaire », bien que dans les deux types d’énergie il soit question de noyaux d’atomes. Dans les centrales nucléaires actuelles, l’énergie provient de la fission de l’atome. La fusion, comme son nom l’indique, produit de l’énergie non pas en divisant les atomes, mais en les fusionnant.


La véritable différence résulte du type d’éléments qui participent à ces processus. Ce que nous connaissons sous le terme d’énergie nucléaire nécessite l’emploi d’éléments tels que l’uranium ou le plutonium, qui possèdent de gros atomes lourds pouvant se diviser en atomes plus petits. Toutefois, l’uranium, le plutonium et leurs produits de fission sont radioactifs, ce qui signifie qu’en se désintégrant ils émettent des rayonnements ionisants qui, dans certaines circonstances, peuvent se révéler dangereux pour l’homme.
De son côté, l’énergie de fusion résulte de la combinaison de deux atomes légers, généralement d’hydrogène. La fusion de deux atomes d’hydrogène donne naissance à de l’hélium. Ainsi, non seulement l’énergie de fusion repose sur l’élément le plus abondant de l’univers, mais son sous-produit peut être facilement utilisé à des fins médicales voire servir à gonfler des ballons.

Essayez de rapprocher deux aimants
Comment fusionne-t-on deux atomes ? Vos cours de physique vous ont sûrement appris que la difficulté tient au fait qu’un noyau d’atome contient des protons, dont la charge électrique est positive, et des neutrons, qui sont neutres. Ainsi, un noyau atomique sera toujours porteur d’une charge électrique positive. Essayez de l’associer à un autre atome, également porteur d’une charge positive, et vous observerez le phénomène qui se produit lorsque vous tentez de rapprocher deux aimants. Ils se repoussent. C’est la raison pour laquelle l’énergie de fusion utilise des atomes aussi légers que possible. Mais la tâche reste quand même ardue.


À l’intérieur du soleil, la fusion se produit parce qu’une gravité colossale attire les atomes les uns vers les autres, la densité extrême et la chaleur intense provoquant la collision très rapide entre atomes. La force de gravité est bien plus faible sur Terre, en raison de la taille relativement réduite de celle-ci et de sa température qui, en dépit du réchauffement de la planète, n’a rien à voir avec celle du soleil. Alors, comment créer les conditions propices à la fusion ?

Plus chaud que le soleil
La réponse est assez évidente. Pour compenser l’infériorité de la gravité terrestre, il suffira de créer une température de six à dix fois supérieure à celle du soleil, pouvant atteindre 150 millions de degrés Celsius. Sur Terre, cette chaleur colossale créera les conditions permettant aux atomes d’hydrogène d’entrer en collision les uns avec les autres, aboutissant ainsi à une fusion qui libérera encore plus d’énergie. Facile me direz-vous ? Il nous reste encore à régler quelques menus détails.
Première difficulté : où pourrions-nous créer une telle température, en évitant que la substance chauffée ne détruise tout ce avec quoi elle entrerait en contact ? À nouveau, la réponse est simple : aucun contact ne doit se produire. Pour y parvenir, au milieu du XXe siècle, des scientifiques russes ont mis au point le « tokamak », une chambre à vide en forme de bouée entourée de puissants aimants.
C’est à l’intérieur de ce dispositif que l’hydrogène gazeux, après avoir été chauffé à une température extrêmement élevée, passe à l’état plasma. Un des quatre états fondamentaux de la matière, l’état plasma résulte de l’ionisation de la substance gazeuse, lors de laquelle les électrons en orbite autour des noyaux atomiques sont éjectés. La matière ionisée est conductrice d’électricité ; il sera donc possible de contrôler son comportement avec des champs magnétiques. C’est ici qu’entrent en jeu les aimants, à même de maintenir cette substance conductrice d’électricité en suspension et donc à l’écart des parois du tokamak. À l’intérieur du plasma, les conditions sont propices à la collision entre atomes et donc à la fusion libératrice d’énergie.
C’est afin de prouver la faisabilité de la fusion thermonucléaire en tant que source d’énergie à grande échelle et sans émissions de carbone que l’ITER, le plus grand réacteur expérimental à fusion nucléaire à tokamak au monde, est actuellement en construction en France. L’ITER est un mégaprojet international de recherche et d’ingénierie auquel participent l’Union européenne, la Chine, l’Inde, le Japon, la Corée du Sud, la Russie et les États-Unis. En cas de réussite, l’installation sera en mesure de générer 500 MW d’énergie de fusion à partir de 50 MW d’énergie injectée dans le système pour le chauffage initial du plasma.

Une bouée géante
Le réacteur de l’ITER sera gigantesque :son tokamak sera trois fois plus lourd que la tour Eiffel ;


la structure de l’électro-aimant de 1 000 tonnes au centre de la machine devra être suffisamment solide pour résister à des forces équivalant à deux fois la poussée des moteurs de la navette spatiale au moment du décollage (soit 60 méganewtons, ou plus de 6 000 tonnes) ;
18 électro-aimants en forme de « D » seront positionnés autour de la chambre toroïdale du tokamak, chacun d’eux mesurant 17 mètres de haut et 9 mètres de large et pesant 310 tonnes, soit le poids approximatif d’un Boeing 747-300 à pleine charge.
Mais comment extraire l'énorme quantité d’énergie de la bouée et l’acheminer en toute sécurité sous la forme d’électricité jusqu'à nos foyers ? C’est le rôle des parois de la chambre et du « diverteur », positionné à la base du tokamak. Le diverteur contrôle l’évacuation de la chaleur, des effluents gazeux et des impuretés provenant du réacteur et résiste aux charges thermiques de surface les plus élevées. Sa surface est recouverte de tungstène, qui possède le point de fusion le plus élevé de tous les métaux (3 422 °C).
En 2019, avec le soutien du Fonds européen pour les investissements stratégiques, la Banque européenne d’investissement a signé un prêt de 250 millions d’euros avec l’agence italienne de recherche ENEA afin de l’aider à construire le centre d’essais pour le diverteur et le tokamak. Ces installations testeront différentes solutions possibles pour évacuer l’énorme quantité de chaleur entrant dans le diverteur d’un réacteur de fusion nucléaire.

Une turbine à vapeur magnifiée


Les chercheurs poursuivent leur recherche de solutions de remplacement, mais, dans l’état actuel des choses, l’ensemble du processus de transformation de la chaleur en électricité reste assez traditionnel. La chaleur reçue par les parois faisant face au plasma et par le diverteur servira à transformer l’eau en vapeur, laquelle entraînera une turbine à vapeur. La turbine est raccordée à un générateur qui produit l’électricité destinée à alimenter un réseau.
« Les progrès scientifiques en matière d’énergie de fusion ne tomberont sans doute pas du ciel comme la pomme sur la tête de Newton », affirme Istvan Szabo, ingénieur principal auprès de la division Sécurité énergétique à la Banque européenne d’investissement. « Une multiplication des ressources sera nécessaire. »
Il reconnaît que demain une solution radicalement différente permettant d’exploiter l’énergie de fusion sera peut-être trouvée, ou qu’une réponse inédite à nos besoins en énergie durable nous fera entrer dans une ère nouvelle. « D’autres pistes existent pour comprimer la matière et fusionner les atomes : les lasers ou la compression mécanique, par exemple. Et quelqu’un trouvera peut-être un jour la clé de la fusion à froid, poursuit Istvan Szabo. Mais des ressources considérables seront nécessaires pour tester l’une ou l’autre de ces idées. La phase de recherche et de développement la plus avancée concerne la fusion thermonucléaire. C’est celle qui offre le plus de perspectives. »

Quand l’investissement alimente l’énergie
Si notre quête nous conduit toujours plus près de l’énergie de fusion, l’énergie d’origine thermonucléaire n’est que l’un des multiples projets innovants financés par la BEI dans le domaine de l’énergie.
La BEI a investi plus de 30 millions d’euros dans des titres de premier et second rang du fonds responsAbility Access to Clean Power Fund. Celui-ci devrait financer des entreprises qui proposent des lanternes solaires avec paiement en fonction de la consommation et d’autres systèmes solaires hors réseau pour particuliers et entreprises, principalement en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud-Est. Ces systèmes permettent notamment à des familles à faibles revenus de faire fonctionner des petits réfrigérateurs et d’autres appareils. Alors que les ménages peuvent payer le dispositif d’énergie solaire en plusieurs petits versements, le fonds finance l’investissement initial du fournisseur qui fait l’acquisition des systèmes.
En raison du risque élevé caractérisant ces investissements, les titres du fonds sont répartis en plusieurs tranches. L’investissement de la BEI porte sur la tranche de rang inférieur, qui est aussi la plus risquée. L’achat de titres de rang inférieur atténue le risque encouru par les autres investisseurs du fonds qui acquièrent des titres de premier rang. La participation de la BEI attire ainsi d’importants capitaux privés. Pendant la durée de vie du fonds, plus de 150 millions de personnes devraient bénéficier d’une énergie propre.
Par ailleurs, dans le cadre du programme InnovFin soutenu par la Commission européenne, la BEI a investi 50 millions d’euros dans un fonds de participation dédié aux innovations visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre de manière significative. Le fonds Breakthrough Energy Ventures Europe compte d’autres investisseurs, notamment Bill Gates et un certain nombre de particuliers extrêmement fortunés.

Top 10 des nouvelles tendances technologiques pour 2024

  • Automatisation des processus robotiques :

RPA automatise les processus métier tels que les tâches répétitives, les tâches standardisées, le traitement des données, voire la réponse aux e-mails, etc. Tout comme nous, les robots RPA ont la capacité de comprendre ce qui se trouve sur un écran, de naviguer dans les différents systèmes, d’effectuer les bonnes frappes, d’extraire des données et même d’effectuer un large éventail d’actions prédéfinies. Cela se traduit par une augmentation des possibilités de collecte de données, une réduction de la charge de travail, de meilleurs résultats commerciaux, un service plus rapide, etc.

  • Métaverse :

En révolutionnant notre façon de vivre et de travailler, cette technologie émergente est prête à vous faire passer du monde réel au monde virtuel. un. Avec l’aide de la réalité augmentée et de la réalité virtuelle, les entreprises peuvent créer une version fac-similé du monde réel où les gens peuvent collaborer, organiser des formations et des démonstrations et conclure des transactions en temps réel. Cette dernière technologie gagne du terrain en raison de l’expérience du monde réel qu’elle apporte.
Nike a généré 3 100 Ethereum de revenus (8 millions de dollars) en seulement une semaine en vendant ses baskets virtuelles.
Accenture a déjà construit un habitat métavers appelé Nth Floor, qui reproduit leur bureau du monde réel, où les employés peuvent valser dans l’espace de bureau et effectuer leurs tâches sans avoir besoin d’être physiquement présents dans l’espace de travail. le bureau.
Les géants de la technologie comme Facebook (actuellement appelé Meta), Microsoft, Google et Nvidia investissent déjà massivement dans cette nouvelle technologie et les experts prédisent que cette technologie ajoutera jusqu’à 5 000 milliards de dollars de revenus au secteur. l’économie mondiale d’ici 2030.

  • Télésanté :

Bien que la plupart des plus grands progrès dans le domaine médical soient dus à la technologie, il existe même aujourd’hui un peu de résistance. La pandémie nous a montré à quel point la technologie est cruciale pour le domaine médical. La télésanté est la distribution de services liés à la santé à l’aide de la technologie aux patients qui recherchent des soins sans avoir à sortir de chez eux. Les applications mobiles de santé, la vidéoconférence en direct, la surveillance à distance des patients, etc. sont des exemples de services de télésanté.
  • IA Low-Code et No-Code :

L’intelligence artificielle est passée du jargon technique à une interface conviviale avec des solutions low-code et no-code. La capacité de créer des solutions sans l’expertise en matière de codage ou de savoir-faire technique en a fait le premier choix et le succès parmi les chefs d’entreprise. Le rapport Gartner indique que 50 % des petites et moyennes organisations adopteront des solutions low-code et no-code d’ici 2024. La statistique ci-dessus témoigne du fait que le low-code et le no-code sont là pour rester pendant une période considérable. de temps.

  • Internet des comportements (IOB) :
L’IOB consiste à utiliser les données pour modifier les comportements. Il rassemble des données provenant de différentes sources et utilise ces informations pour influencer le comportement des utilisateurs à l’aide de boucles de rétroaction. Par exemple, un service de taxi peut surveiller le comportement du conducteur, comme la vitesse à laquelle il conduit, les virages agressifs, les pauses brusques, etc. Grâce à ces données, les performances du conducteur peuvent être évaluées et des mesures adéquates peuvent être prises.

  • Cloud distribué :

En cela, les services cloud sont distribués sur différents emplacements physiques, mais l’ensemble des opérations et de la gouvernance est géré par le fournisseur de services cloud public. Lorsque les organisations rapprochent physiquement ces services, cela facilite les scénarios de faible latence, atténue les coûts de données et vous permet également de vous conformer aux lois locales.

  • Edge Computing :

C’est l’une des nouvelles tendances technologiques 2024 qui permet une faible latence et un traitement des données à grande vitesse. Edge Computing permet aux organisations d’effectuer des calculs plus proches des systèmes de stockage de données, améliorant ainsi les performances de l’application. L’objectif de l’edge computing est d’exécuter moins de processus dans le cloud et de les transformer en serveur Edge ou sur l’ordinateur de l’utilisateur. Puisqu’il augmente la vitesse du processus, il vous permet de gérer des données sensibles au facteur temps qui sont stockées dans des zones distantes et ont un accès minimal à l’emplacement central.

  • Augmentation humaine :

L’augmentation humaine est un terme général qui concerne les innovations visant à améliorer les capacités humaines et la productivité. Les lentilles AR, les étiquettes RFID, les prothèses, etc. sont des exemples d’augmentation humaine. Cela peut contribuer à améliorer la cognition humaine et les capacités d’action. Vous pouvez y parvenir grâce à la détection, à la technologie d’actionnement, à l’IA, à la fusion et à la fission.
  • Entreprise composable intelligente :

Une entreprise composable intelligente est une entreprise qui peut s’adapter et se réorganiser en fonction de la situation actuelle. Les entreprises investissent dans la transformation numérique parce qu’elles souhaitent prendre des décisions commerciales rapides qui peuvent être prises avec les données déjà disponibles. Pour y parvenir, les entreprises doivent avoir accès à l’information, l’améliorer en collectant davantage d’informations et en répondant rapidement. Cela aidera les entreprises à prendre des décisions sans avoir à toujours attendre un « Allez-y » de l’équipe de direction.
  • Hyper automatisation :

Avec cette nouvelle tendance technologique 2024, tout peut être automatisé une organisation. De nombreuses organisations utilisent des processus existants qui les mettent à mal. Ces processus créent de nombreux problèmes et sont également extrêmement coûteux rien que pour les maintenir. Des technologies avancées telles que l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique, la RPA, le traitement du langage naturel, l’exploration de processus, etc., sont appliquées pour exploiter au maximum le potentiel d’une entreprise automatisée.
  • Conclusion :
De nombreuses organisations sont coupables d’utiliser des technologies aux applications limitées. Ils ne sont généralement pas allégés ou optimisés spécifiquement pour l’entreprise. Vous devez accélérer l’utilisation des technologies dans votre organisation pour être agile et efficace. Si vous n’investissez pas dans les dernières technologies qui prennent d’assaut le monde, vous risquez d’être distancé par vos concurrents.

Monnaie numérique: le projet de dirham électronique


Le Maroc se tourne vers l'ère numérique en explorant l'adoption du "dirham électronique" en collaboration avec le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale. Cette initiative, annoncée par le Gouverneur de Bank Al-Maghrib, M. Abdellatif Jouahri, vise à insuffler une nouvelle dynamique aux transactions financières dans le pays.
Motivée par l'essor des "monnaies électroniques" à l'échelle mondiale, l'adoption du dirham électronique s'inscrit dans une volonté de moderniser les moyens de paiement et de promouvoir l'inclusion financière. En effet, le dirham électronique ambitionne d'offrir aux citoyens une alternative plus accessible, efficace et sécurisée pour leurs transactions quotidiennes.


L'introduction du dirham électronique escomptée par le Maroc vise à pallier les limitations des méthodes de paiement traditionnelles. Les transactions électroniques, par nature, se veulent plus rapides, moins coûteuses et plus efficientes, ce qui se traduirait par un gain de temps et d'argent non négligeable pour les citoyens et les entreprises.
Lors d'une conférence de presse tenue à Rabat, M. Jouahri a déclaré : "Nous coopérons avec le FMI et la Banque mondiale pour explorer les voies et moyens d'adopter le projet de dirham électronique. Une commission dédiée travaille sur ce sujet depuis plus d'un an."
M. Jouahri souligne que les aspects juridiques, réglementaires et les implications sur les missions fondamentales de la banque centrale et la politique monétaire constituent les principaux défis à relever. Des adaptations législatives et une réflexion approfondie sur le cadre réglementaire seront nécessaires pour garantir un environnement propice au déploiement du dirham électronique.
Il a ajouté : "Nous avons d'abord étudié l'objectif de l'adoption de la monnaie électronique en nous inspirant des expériences internationales, et nous avons mené une expérience interne pour tester l'utilisation du dirham électronique sur une plateforme de la Banque mondiale à Washington."

"Nous avons également testé la méthode de paiement par acomptes en monnaie électronique et évalué le parcours opérationnel de son système de négociation", a-t-il poursuivi.
Selon M. Jouahri, "le plus difficile reste à venir, à savoir les questions juridiques et réglementaires, ainsi que les répercussions sur les missions fondamentales de la banque centrale et sur la politique monétaire." Il a conclu en affirmant que "le projet ne peut être mis en œuvre demain, mais plutôt à moyen ou long terme, et nous devons nous préparer minutieusement pour être prêts."
L'adoption du dirham électronique s'inscrit dans la volonté du Maroc de moderniser son système de paiement et de promouvoir l'inclusion financière, en offrant aux citoyens une alternative plus accessible, efficace et sécurisée pour leurs transactions quotidiennes.

À quoi ressemblera le plus haut gratte-ciel du monde ? Tokyo dévoile son projet ambitieux de 1700 mètres pour 2045 !

Le gratte-ciel, d'une hauteur de 1 700 mètres, pourra accueillir plus de 50 000 résidents et sera de forme hexagonale, l'une des formes les plus résistantes au vent dans la baie de Tokyo.

Une fois réalisé, ce gratte-ciel dépassera le Burj Khalifa en hauteur
(au moins deux fois plus), devenant ainsi le nouveau gratte-ciel le plus haut du monde.

Le Burj Khalifa, connu à l'origine sous le nom de Burj Dubai, est le plus haut gratte-ciel du monde, construit et réalisé en seulement cinq ans. Le bâtiment, situé à Dubaï et devenu un symbole de cette ville futuriste, porte le nom de l'émir d'Abou Dhabi Khalifa bin Zayed Al Nahyan, président des Émirats arabes unis de 2004 à 2022.
C'est l'un des bâtiments les plus colossaux créés par l'homme. Pourtant, le record du plus haut gratte-ciel du monde pourrait être menacé. En effet, il existe un projet de construction d'un super gratte-ciel de 1700 mètres de haut, qui devrait être achevé en 2045, dans la ville de Tokyo.
Une fois réalisé, ce gratte-ciel dépassera le Burj Khalifa en hauteur (au moins deux fois plus), devenant ainsi le nouveau gratte-ciel le plus haut du monde.

Que prévoit le projet ?
La société américaine Kohn Pedersen Fox Associates a annoncé que la construction de ce qui devrait être le plus haut gratte-ciel du monde, d'une hauteur de 1 700 mètres, pourrait être achevée d'ici 2045. Le bâtiment en question s'appellera la Sky Mile Tower et fera partie du projet plus vaste Next Tokyo.
Dans la baie de la capitale japonaise, il est prévu de construire non seulement le Sky Mile, mais aussi une ville dans la ville, dont l'objectif est de s'adapter au changement climatique.

Ce projet verra la naissance de la tour Sky Mile et d'un nouveau quartier
futuriste axé sur les transports en commun, prêt à changer
le visage de la métropole japonaise.

Ce sont précisément les conséquences de l'élévation du niveau de la mer ou de l'activité sismique majeure qui caractérisent le littoral japonais qui ont incité ce groupe de concepteurs à élaborer un mégaprojet visant à améliorer la baie face à ces catastrophes naturelles.
Ce projet verra la naissance de la tour Sky Mile et d'un nouveau quartier futuriste axé sur les transports en commun, prêt à changer le visage de la métropole japonaise.

Système de refroidissement aux réfrigérants solides

Des scientifiques de l'Université de Harvard ont présenté ce qui semble être le premier prototype de système de refroidissement aux réfrigérants barocaloriques solides.
Dans cette installation, tout est une question de structure moléculaire. Contrairement au système de refroidissement au gaz liquide traditionnel qui impacte la forme du réfrigérant, ici le produit solide le reste. Contrairement aux gaz, les « solides » ne fuiront pas dans l'environnement depuis les appareils.
Ces fameux réfrigérants solides barocaloriques contiennent de longues chaînes moléculaires flexibles qui sont généralement souples et désordonnées. Mais sous la pression, les chaînes deviennent plus ordonnées et rigides, dégageant ainsi de la chaleur. « Le processus de passage d'une structure ordonnée à une structure détendue est similaire à la fonte de la cire, mais sans qu'elle devienne liquide, explique Jarad Mason, chercheur principal du projet à l'Université de Harvard. Lorsque la pression est relâchée, le matériau réabsorbe la chaleur, complétant le cycle ». Un certain nombre de travaux ont déjà été publiés sur ce type de refroidissement comme en parlait la revue Nature dès 2019 dans laquelle était évoquée la propriété des cristaux « plastiques ».

Vers une pression « normale »
Les systèmes barocaloriques étaient auparavant victimes d'une obligation de pression importante pour générer des cycles thermiques. Mais Jarad Mason en fait fi avec des réfrigérants pouvant fonctionner dans un système de refroidissement construit avec son équipe. « Les matériaux que nous avons signalés peuvent fonctionner à pressions auxquelles un système hydraulique typique peut fonctionner », explique Adam Slavney, collaborateur sur le projet.

Maroc : Confronté à une nouvelle vague de chaleur avec des pics à 47°C de samedi à lundi


Une nouvelle vague de chaleur est annoncée par la Direction générale de la météorologie (DGM) du samedi 13 juillet au lundi 15 juillet, affectant plusieurs provinces du Maroc.


Selon le bulletin d’alerte météo de niveau «Orange», les températures devraient atteindre entre 43 et 47°C dans les provinces de Zagora, Tinghir, Errachidia, Tata, Assa-Zag, Es-Semara, Boujdour, Oued Ed-Dahab et Aousserd.


Parallèlement, il prévoit entre 38 et 43°C à Figuig, Taourirt, Guercif, Jerada, Boulemane, Azilal, Khouribga, Fquih Ben Salah, Beni Mellal, Khenifra, Settat, Al Haouz, Youssoufia, Chichaoua, Rehamna, Marrakech, El Kelaa des Sraghna, Ouarzazate, Midelt, Essaouira, Agadir-Ida-Ou-Tanane, Taroudant, Guelmim, Tan-Tan et Laayoune.

Pollution en Méditerranée : Contamination dramatique aux microplastiques

Les microplastiques sont de petites particules de matière plastique qui s’amassent en grande quantité dans les profondeurs de la mer Méditerranée, menaçant la faune et la flore marines mais également la santé des humains riverains. WWF Italie a tiré la sonnette d'alarme dans un nouveau rapport récemment dévoilé.


La pollution en mer Méditerranée atteint des sommets, s’alarme le Fonds mondial pour la nature dans un récent rapport en italien dédié à l’eau, publié le 8 juillet et intitulé « Il n’y a pas de santé dans un environnement malade ». Un « constat accablant », pointe l’ONG qui signale que la pollution touche 87% de la mer Méditerranée et menace gravement l’environnement marin et la santé des populations riveraines.


Avec 1,9 million de fragments de microplastiques par mètre carré, la Méditerranée, relève le WWF, détient le « triste record » de la plus forte concentration de microplastiques jamais mesurée dans les profondeurs marines.
Les microplastiques sont des petites particules de matière plastique dispersées dans l’environnement. Ces polluants minuscules se retrouvent dans les objets du quotidien, notamment les cigarettes, les vêtements et les produits cosmétiques, selon une étude menée en 2021 par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).


Les microplastiques, pouvant mesurer jusqu’à cinq millimètres de diamètre, pénètrent dans le milieu marin par l’intermédiaire des déchets plastiques en décomposition provenant de diverses sources. Lorsqu’ils sont ingérés par des espèces marines telles que des oiseaux, des poissons, des mammifères et des végétaux, les microplastiques ont des répercussions toxiques sur ces êtres vivants, mais aussi sur les humains riverains, souligne le rapport du PNUE.

L'horloge atomique, la plus précise au monde !



Des scientifiques ont mis au point une horloge atomique qui repousse les limites du possible en matière de mesure du temps. Elle ne se décalerait que d’une seconde toutes les 30 milliards d’années.


Existe-t-il un temps quantique ?
La mécanique quantique a bouleversé une grande partie de nos certitudes dans le domaine de la physique mais a-t-elle révolutionné par la même occasion notre perception du temps ? Futura-Sciences a posé la question à Étienne Klein, physicien, afin qu’il nous donne son avis sur la question.


Un « tic-tac » qui se fait exactement 9 192 631 770 fois par seconde, c'est ce que les horloges atomiques sont capables de faire. Une précision qui assure un décalage de seulement une seconde sur 300 millions d'années. Pour y parvenir, elles comptent les crépitements constants et prévisibles des atomes de césium 133. Ils sont mesurés à l'aide de micro-ondes.
Depuis 1960, c'est ce chiffre qui permet de définir officiellement la durée d'une seconde. Mais aujourd'hui, des scientifiques du JILA, sont allés beaucoup plus loin dans la précision. L'horloge atomique, mise au point au cœur de cet institut d'études issu du National Institute of Standards and Technology (NIST) et de l'Université du Colorado à Boulder aux États-Unis, ne se décalerait que d'une seconde sur 30 milliards d'années. Une durée ahurissante qui représente deux fois l'âge connu de l'univers. Pour y parvenir, les chercheurs n'ont pas utilisé de césium, mais des atomes de strontium. Ils font leur transition énergétique précisément 429 milliards de fois par seconde.

Une seconde de décalage en 30 milliards d’années
Pour mesurer cette fréquence, l’horloge piège des dizaines de milliers d'atomes de strontium dans un filet laser. Ce dernier constitue un réseau optique qui les maintient en place afin d'éviter les collisions qui viendrait perturber la précision. Avec cette finesse, l'horloge pourrait faire avancer les travaux scientifiques sur la déformation du flux du temps sur des distances submillimétriques en raison de la gravité. Elle pourrait ainsi permettre de mesurer l'influence de la gravité sur l'écoulement du temps sur des distances de l'ordre de l'épaisseur d'un cheveu. Plus simplement, elle servirait également à améliorer la précision des systèmes de positionnement par satellite et la synchronisation des réseaux de communication.

Crise dans les facultés de médecine : C’est parti pour durer ?

La crise profonde qui secoue les facultés de médecine a poussé les étudiants à boycotter, depuis six mois, cours, stages et examens. Ces derniers protestent contre la « non interaction » du gouvernement avec leurs revendications, en tête desquels le rejet de la réduction de la durée de leur formation de sept à six ans. Le ministre de la Santé qui a pris part à une réunion au parlement a multiplié les appels aux étudiants pour qu’ils rejoignent les bancs. Devant un silence du ministre en charge de l’Enseignement supérieur.


La crise qui couve depuis des mois s’est matérialisée, le 26 juin dernier, par le boycott massif des examens dans les facultés de médecine. Une progression à laquelle le gouvernement ne s’attendait pas en imaginant avoir trouvé la solution en faisant valoir sa réforme et en annonçant la date des examens de printemps. L’affaire a pris d’autres dimensions en alimentant le débat, y compris dans l’enceinte parlementaire où l’opposition a quitté l’hémicycle en signe de protestation contre le dédain affiché par les ministres face à un problème d’une grande gravité à l’heure où le pays peine à disposer de ressources humaines à même d’assurer la pérennité au projet de couverture sociale tant loué. Ce n’est qu’après qu’Abdellatif Miraoui, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, et Khalid Ait Taleb, ministre de la Santé et de la Protection sociale, ont répondu présents en se joignant à une réunion conjointe des commissions des secteurs sociaux et de la culture. Pour lançer un appel aux étudiants en médecine pour qu’ils fassent confiance au gouvernement et passent leurs examens.


K. Ait Taleb a reconnu mercredi « l’existence d’une crise de communication qui a conduit à un manque de confiance entre les étudiants et le gouvernement ». Dans une démarche plus conciliatrice, il s’est empêché de trancher en soulignant que la réforme est là : à prendre ou à laisser ! « Nous avons demandé aux étudiants de participer à cette réforme. Nous ne voulons que le bien des étudiants et, en tant que professeurs, nous ne leur imposerons jamais une réforme qui pourrait les contraindre, car le professeur est le premier garant de la qualité de la formation de l’étudiant« , a-t-il déclaré. Le gouvernement avait présenté une offre aux étudiants et que les problèmes liés aux stages n’existent plus, a-t-il rappelé, précisant qu’il y avait une réponse positive de la part du ministère de l’Enseignement supérieur concernant les aspects pédagogiques, et que le système 4+2 ne s’appliquerait qu’aux nouveaux étudiants.
Le ministre a aussi insisté sur le fait que le gouvernement avait demandé aux étudiants de lui faire confiance et de reprendre les cours, notant que « les obstacles seraient surmontés, les notes +zéro+ seraient supprimées et les étudiants expulsés réintégrés ».
Concernant la question du calendrier, il a été demandé aux étudiants de passer les examens, et les doyens de chaque faculté auraient la flexibilité nécessaire pour s’adapter aux besoins des étudiants. K. Ait Taleb a également mentionné que la réforme en cours pourrait évoluer dans quelques années, car la médecine est en constante évolution. Cette réforme, a-t-il dit, repose sur un diagnostic de la situation actuelle du système de santé et des besoins de la population. « Le monde entier procédera à des réformes du système de santé, qu’on le veuille ou non, car la médecine évolue rapidement avec les avancées technologiques, la médecine génétique et l’intelligence artificielle », a-t-il encore fait valoir.
Aussi, le ministre a insisté sur le fait que les étudiants en médecine d’aujourd’hui devraient être des acteurs du changement, appelant les futurs médecins à faire preuve de confiance et à s’engager dans cette dynamique. Les professeurs sont les garants du bon déroulement des choses, a-t-il réitéré. « Ce qui nous manque pour sortir de cette impasse, c’est que les étudiants nous fassent confiance et passent les examens, et les doyens et les directeurs des hôpitaux universitaires les accompagneront », a-t-il affirmé, avant de souligner : « Nous ne voulons pas que les étudiants échouent, nous voulons leur réussite car nous avons un besoin urgent de diplômés en nombre suffisant ».
Le ministre a prié les étudiants à retourner en cours « car plus nous retardons, plus les choses deviennent difficiles, même pour les doyens, en raison des questions de programmation, des nouvelles entrées et des concours, qui créent des problèmes de planification ». Et de rappeler: « Nous sommes ici pour résoudre les problèmes des étudiants. Le chef du gouvernement a présidé plusieurs séances pour apporter des solutions (…) Ce qui a été présenté est très important et changera leur parcours et leur vie. Nous ne freinons pas l’ambition des étudiants marocains, nous voulons qu’ils deviennent des ambassadeurs du Maroc dans le monde. S’ils veulent émigrer, qu’ils le fassent, mais nous voulons former suffisamment de médecins pour qu’ils restent au Maroc ».
A rappeler que la Coordination nationale des étudiants en médecine (CNEM) avait établi un programme de lutte dans toutes les facultés de médecine et de pharmacie du pays. Programme qui comporte un rassemblement local à Rabat le 7 juillet, un rassemblement régional à Agadir le 8 juillet, une marche régionale à Marrakech le 10 juillet, une marche locale à Tanger et un rassemblement à Casablanca le 11 juillet, un rassemblement à Fès et une marche à Oujda le 12 juillet, ainsi qu’un rassemblement à Marrakech.

                                    Perspectives.

Covid-19 : connaissez-vous le phénomène des «novid» ?

Il y a quatre ans débutait la crise sanitaire du Covid-19. Depuis, certaines personnes n’ont jamais contracté le virus. On les appelle les novid. Une nouvelle étude vient donner de nouvelles explications sur la raison de leur non-infection. 

Il y a plus de quatre ans, La lutte contre le Covid-19 était engagée. Quelques années plus tard, des patients contractent encore le virus. Toutefois, certains n’ont jamais été infectés par le SARS-CoV-2. On les appelle les novid, Des chercheurs ont mené de nombreuses études pour tenter d’en déterminer la cause. Ils ont mis en lumière que 5 à 10 % de la population britannique n’a jamais eu le Covid-19.

Dans une étude publiée dans la revue Nature, des chercheurs ont cherché à comprendre si l’explication génétique, qu’ils privilégiaient, était la bonne. 




Cannabis légal à l’export : Les premiers kilos des produits marocains déjà expédiés


Le Maroc se lance dans la course frénétique au marché européen de cannabis légal. Les premiers kilos de produits légaux, vendus entre 1 400 et 1 800 euros, ont été exportés. Les acteurs tablent sur la légalisation de 21 des 27 pays membres de l’UE pour capter entre 400 et 600 millions d’euros par an d’ici à 2028.


La Fédération marocaine de l’industrie et de l’innovation pharmaceutiques (FMIIP) mise sur un flux de revenus annuel de 4,2 à 6,3 milliards de dirhams, environ 400 à 600 millions d’euros d’ici quatre ans, signale le quotidien français du soir Le Monde. Selon l’instance, cela pourrait se réaliser si le Maroc atteint « une part de marché européenne de 10 à 15% ».
Des médicaments à base de cannabis sont aussi développés, pour « traiter des pathologies douloureuses telles que les cancers, la sclérose en plaques ou l’épilepsie ».
L’Allemagne, le Danemark, la Suisse, l’Italie et la France sont les débouchés européens ciblés par les exportateurs marocains.

Fièvre dans le secteur de la santé : Canons d’eau et arrestations parmi les manifestants attisent la colère

Etonnant ! Les autorités ont fait usage de la force pour empêcher une marche nationale initiée par la Coordination des syndicats du secteur de la santé, mercredi 10 juillet à Rabat. 


Des canons à eau ont été utilisés pour forcer les manifestants à interrompre leur rassemblement qui, à partir de Bab El Had, devait s’ébranler vers le Parlement où un sit-in était prévu. Tout cela s’est déroulé non loin de l’enceinte parlementaire qui avait accueilli le chef du gouvernement venu louer les bienfaits du « dialogue social » !


Cette marche a été convoquée après une série de manifestations et de grèves régionales, en signe de protestation contre la non-mise en œuvre de l’accord signé entre le ministère de la Santé et la coordination syndicale, en janvier dernier.
La Coordination a signalé dans un communiqué qu’« au moment où le personnel de la santé attend l’application juste de l’accord, les huit syndicats du secteur ont été surpris par la sortie unilatérale de trois décrets gouvernementaux, en l’absence totale de données détaillées et sans démarche participative ».
Il s’agit du décret d’application de la loi 08.22 relative à la création des groupements territoriaux de santé, le décret d’application de la loi 10.22 relative à la création de l’Agence marocaine du médicament et le décret d’application de la loi 11.22 relative à la création de l’Agence marocaine du sang et ses dérivés.
La Coordination avait précédemment appelé à la mise en œuvre d’un « programme de lutte », les 9, 10 et 11 juillet. Un canevas qui englobe « une grève nationale de 3 jours à l’exception des services d’urgence et de garde, une marche nationale massive à Rabat, mercredi 10 juillet, et une grève nationale de 3 jours à l’exception des services d’urgence et de garde, les 16, 17 et 18 juillet ».
Devant la réaction musclée des autorités, les syndicats ayant signalé plus d’une vingtaine d’interpellations, on est en droit de nous interroger sur la logique qui préside au « dialogue social » tel qu’il est prévu par la majorité. Comme on est en droit d’interpeller l’Exécutif sur le bien-fondé du slogan retenu pour son action au service de « l’Etat social »…

Les 15 plus beaux endroits à voir et visiter en Malaisie.


La Malaisie est une destination enchanteresse où la diversité culturelle, les paysages et la cuisine exotique se rencontrent harmonieusement. Des plages de sable fin aux jungles luxuriantes, en passant par les temples ancestraux, ce pays d'Asie du Sud-Est offre des vacances inoubliables.

  • Kuala Lumpur, capitale incontournable à visiter en Malaisie.


La grande ville de Kuala Lumpur, parmi les capitales incontournables d’Asie, semble évoluer entre modernité et traditions. Parmi les incontournables à visiter, nous pouvons citer : 
   - les Tours Jumelles Petronas,
   - Little India et China Town,
   - la Tour de communication KL,
   - le Jardin des orchidées,
   - Jalan Bukit Bintang, le royaume du shopping et de la food street.
Temples bouddhistes, temples maoïstes et mosquées se partagent par ailleurs harmonieusement le terrain, offrant des visites culturelles très diversifiées. Si vous ne pouvez en voir qu’un, nous conseillons le temple Sri Mahamariamman, une véritable splendeur.
D’une manière générale, il fait bon vivre à Kuala Lumpur. D’ailleurs, si vous envisagez de partir à l'étranger, elle fait partie des meilleures villes où s’expatrier.

  • Malacca, la Venise d’Asie

Après 130 ans de colonisation portugaise, suivis de 150 ans de colonisation néerlandaise, la ville se pare de cultures de tous horizons. Au cours de votre visite, vous aurez l’occasion de passer par Dutch square. Avec ses vélo-taxis aux couleurs de dessins animés colorés, l’endroit ne passe pas inaperçu ! Malacca est par ailleurs un haut lieu du street art en Malaisie. Au fil de votre balade, vous découvrirez de superbes dessins sur les façades de la ville, illustrant généralement des scènes de la vie quotidienne. En fin de journée, nous vous invitons à admirer la vue sur la mosquée du détroit de Malacca, depuis l’autre côté de la rive. Splendide !
  • Penang, une architecture étonnante.

L’île ne manque pas de charme, offrant un véritable voyage des sens aux voyageurs émerveillés. Au cours de votre visite, vous pourrez découvrir la ville de George Town, une capitale multiculturelle abritant encore de nombreux bâtiments datant de l’époque coloniale. La vieille ville se partage le terrain avec les gratte-ciel modernes, offrant une découverte culturelle riche. Non loin de là, le temple Kek Lok Si se détache sur fond de nature, plus vivant et coloré que jamais. Enfin, toujours du côté de George Town, l’ancien fort britannique Cornwallis vous offre une visite riche en événements historiques. Les bâtiments coloniaux et les statues, parfaitement conservés, vous plongent dans l’ambiance et la vie quotidienne des gouverneurs et des fonctionnaires britanniques de l’époque coloniale. Vous pourrez également y admirer 17 canons, dont le canon Sri Rambai, le plus grand du fort.

  • Les grottes de Batu, splendides et mystérieuses

À seulement 15 kilomètres au nord de Kuala Lumpur, impossible de passer à côté des mystérieuses grottes de Batu, un trésor hindou hors du commun. Égayées par d'éclatantes fresques représentant des divinités, elles offrent un spectacle inoubliable. Ici encore, la couleur est partout, partout, partout. On en prend plein les yeux ! Ce lieu grandiose accueille les visiteurs avec une statue en or de 43 mètres de haut représentant le dieu Murugan.
L'ascension vers la plus grande caverne, accessible par un colossal escalier coloré de 272 marches, est une aventure en soi. En plus de vous armer de votre meilleur souffle, vous évoluerez aux côtés de petits singes espiègles. Aussi étonnant qu’insolite ! Chaque année, le Festival de Thaipusam, célébré au cœur de ces cavernes, intensifie encore davantage l'attrait mystique de cet endroit.

  • Les îles Perhentian, petit coin de paradis en Malaisie

Les îles Perhentian sont composées de Pulau Kecil, la plus petite des deux, et Pulau Besar.
À Pulau Kecil, vous pourrez vous prélasser sur une belle plage de sable doré : Long Beach. Sur place, bars et restaurants locaux vous régaleront. La vie nocturne y est d’ailleurs très animée : à bon entendeur ! Vous préférez être au calme ? Direction Coral Bay, un lieu propice à la reconnexion avec la nature, loin de la frénésie de Long Beach.
De son côté, Pulau Besar est la destination idéale pour les familles. Hôtels, restaurants et vie animée vous y attendent, pour passer des vacances idylliques (et au calme !).

  • Le parc national de Gunung Mulu.

Le Parc national du Gunung Mulu, situé dans l'État de Sarawak en Malaisie, est une merveille naturelle d'une beauté exceptionnelle. Célèbre pour ses formations karstiques, ses immenses grottes et sa biodiversité, le parc est classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. Autant le dire : c’est un lieu à voir absolument pour les amateurs de beaux paysages ! 

La Grotte de Sarawak, la plus grande de toutes, mesure près de 600 mètres de long et abrite des formations rocheuses étonnantes. Envie d’explorer ce paradis naturel ? Suivez les sentiers bien entretenus, qui vous offriront des vues imprenables sur la canopée luxuriante. Les amateurs de trekking et de spéléologie vont s'en donner à cœur joie !

  • L’île de Pangkor

Le mot Pangkor signifie “belle île”… Elle porte magnifiquement bien son nom, puisque de superbes plages de rêve se trouvent sur l’île de Pangkor, située au large de la côte Lumut. Prenez le temps de profiter des plages, en vous baignant ou en vous promenant les pieds dans l’eau. De nombreuses activités aquatiques sont par ailleurs accessibles : 

  • plongée sous-marine,
  • plongée en masque et tuba,
  • jet-ski,
  • bateau-banane,
  • parachute ascensionnel, etc.

Partez ensuite visiter la forteresse néerlandaise, vestige colonial. La jungle sauvage vous tend elle aussi les bras, pour une visite plus approfondie et plus authentique de l’île.

  • L’île de Tioman

Sur l’île de Tioman, la forêt tropicale rencontre les cocotiers, les plages de sable fin et une eau bleu azur. Le résultat ? Un paysage à couper le souffle ! Nichée au cœur de la mer de Chine méridionale, elle offre un cadre agréable pour passer quelques jours au calme. La plage de Juara est notamment assez calme, par rapport à d’autres, plus touristiques. Vous souhaitez changer de plage ? Grimpez à bord d’un bateau-taxi. Une courte balade insolite à souhait ! 

L’île de Tioman est surtout le paradis des amateurs de beaux fonds marins. Le snorkelling est une belle option pour observer coraux et poissons exotiques, mais nous vous conseillons l’excursion à Coral Island. Une pure merveille ! Si vous restez assez longtemps, vous pourrez également faire un trek dans la jungle, ou encore suivre les nombreux sentiers aménagés.

  • L’île de Langkawi et ses plages idylliques.

L'île de Langkawi est une perle tropicale entourée de plages. Elle offre un paysage époustouflant, où les eaux cristallines du détroit de Malacca rencontrent une végétation luxuriante. Vous pourrez explorer le légendaire SkyBridge, suspendu entre les montagnes et offrant une vue panoramique à couper le souffle. Les amateurs de nature peuvent quant à eux se perdre dans les mangroves du Kilim Karst Geoforest Park, tandis que les passionnés d'histoire visiteront le musée Mahsuri. Immersion assurée dans les contes locaux ! Un petit tour sur la plage de Cenang sera le point final de cette excursion.

  • Les Cameron Highlands, un lieu totalement dépaysant

 Le paysage semble morcelé, le sol semble fragmenté, offrant de superbes camaïeux de verts… Il s’agit de plantations de thé à perte de vue, qui façonnent le paysage pour créer une ambiance féerique. En ces terres profondes malaisiennes, l’homme a façonné la nature, sans toutefois la détruire. L’endroit est vallonné, le sol semblant se tordre parfois de façon étonnante. L’ambiance est un peu magique, résolument magnifique !

Cerise sur le gâteau : il y fait un peu moins chaud que dans la capitale et d’autres parties très tropicales de la Malaisie.

  • Le Mont Kinabalu

Le Mont Kinabalu se trouve au cœur du Parc National de Kinabalu. Le Parc en lui-même est superbe. Il est possible d’en visiter les principaux points d’intérêt grâce à une visite guidée. Les plus courageux se lanceront quant à eux à l’assaut du sommet du mont : Low’s Peak. L’ascension en elle-même ne présente pas de difficulté particulière, sauf la dernière partie qui est plus ardue. Prévoyez deux jours et une nuit pour parvenir au sommet (eh oui, une vue pareille, ça se mérite !). Si possible, calculez votre itinéraire pour être au sommet du Mont Kinabalu au lever du soleil… Le spectacle naturel et coloré qui s’offre à vous est une pure merveille, un enchantement qui vous laissera des souvenirs mémorables.

  • La rivière Kinabatangan, découverte en bateau

C'est la plus longue rivière de Sabah, située dans le Parc National de Kinabatangan. Armez-vous de votre meilleur appareil photo, car l’écosystème est très riche, accueillant des animaux sauvages que vous verrez rarement dans leur habitat naturel. L’éléphant d’Asie, par exemple, fait partie des animaux en danger, que l’on a rarement l’occasion d’observer de nos jours. Au fil de votre balade, vous pourrez également apercevoir des rhinocéros de Sumatra, des serpents, ou encore des singes. Envie d’un petit vent de frisson et d’inconnu ? Cette excursion peut se faire de nuit !

  • Kuala Selangor, un joyau dans la mangrove

Ce sont principalement des plantations de cocotiers, hévéas et autres cacaotiers qui peuplent cette zone.

  • Le parc national Taman Negara

Sur plus de 4 000 m², la forêt vierge du Parc National Taman Negara s’épanouit depuis des millions d’années. S’il est possible de préparer cette excursion soi-même, il est toutefois recommandé de faire appel à un guide. Que vous préfériez suivre les sentiers touristiques ou au contraire vous en éloigner pour profiter au maximum de la faune sauvage, il vous sera d’une grande aide. Loin des foules, vous avez en effet toutes les chances de pouvoir apercevoir des tigres, des éléphants, des léopards et autres espèces animales. La faune et la flore sont variées sur ces terres ancestrales, qui vous promettent une excursion hors du commun.

  • Les maisons traditionnelles des tribus indigènes

Au sein de Sarawak, dont la capitale est Kuching, vivent encore des tribus indigènes dans leurs maisons traditionnelles. Tout en longueur, elles sont constituées de plusieurs appartements, répartis entre les différentes familles. Ici, la vie authentique est préservée autant que possible. 


Les habitants, les Dayaks, sont des gens extrêmement accueillants. Loin de vouloir vivre reclus, ils sont ravis d’accueillir des visiteurs et de partager leur culture. Ce mélange culturel est fascinant, offrant une journée riche en découvertes et en émotions. Sûrement l’un de vos plus beaux souvenirs de vacances, l’un des plus authentiques.