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Ail noir


Trésor venu d’Asie, l’ail noir est un super-aliment qui est en train de connaître un grand succès en Europe. Il est obtenu à partir d’une fermentation longue, un procédé qui lui confère une saveur atypique, une composition nutritionnelle exceptionnelle et des bienfaits non négligeables pour la santé. L’ail noir est particulièrement connu pour son puissant pouvoir antioxydant qui contribue à lutter contre le vieillissement prématuré de l’organisme.


L’ail noir n’est pas une variété particulière d’ail. Il s’agit d’un ail blanc (Allium sativum) vieilli, ou plus exactement un ail blanc fermenté. La fermentation est un procédé de transformation naturel utilisé depuis la nuit de temps.
Il semblerait qu’il ait été produit pour la première fois au Japon en utilisant de l’eau de mer. La fermentation des gousses d’ail nécessite en effet un fort taux d’humidité (entre 60 et 90% d’humidité relative), ainsi qu’une forte température (entre 40 et 90°C).


La fermentation dure plus de dix jours. Les gousses d’ail fraîches vont lentement se transformer. A l’extérieur, leur couleur blanche va laisser place à une couleur marron foncé. A l’intérieur, l’ail prend une couleur noire. L’odeur et le goût changent. D’un point de vue nutritionnel, l’ail noir concentre des vitamines et différents composés antioxydants.
Les Japonais, les Thaïlandais et les Coréens ont été les premiers à constater les atouts de l’ail noir. Aujourd’hui, ce produit unique est consommé dans toute l’Asie et commence à être de plus en plus prisé aux Etats-Unis et en Europe. On présente l’ail noir comme un super-aliment ou encore un aliment fonctionnel, c’est-à-dire un aliment qui une fois ingéré présente des bénéfices au sein de l’organisme.

Apparence, composition et format
L’ail blanc et l’ail noir ont la même forme. On va réellement les distinguer au niveau de la couleur et de la texture.
L’intérieur de l’ail noir est d’une couleur noire intense. Son enveloppe est marron foncé, et sa texture générale est beaucoup plus molle que celle de l’ail blanc. La texture de l’ail noir fait penser à celle d’un pruneau ou d’un abricot sec.
Comme l’ail blanc, l’ail noir peut être utilisé en cuisine. Toutefois, la saveur de l’ail noir est bien particulière.

Sa complexité aromatique mêlant le sucré et l’acidulé n’est pas du goût de tout le monde et doit être délicatement dosée.

L’ail noir renferme différents composants actifs dont :

  • des phénols ;
  • des flavonoïdes ;
  • du pyruvate ;
  • du S-allylcystéine (SAC) ;
  • du 5-hydroxyméthylfurfural (5-HMF).

Ce super-aliment apporte aussi des vitamines et des minéraux.

Propriétés et effets recherchés

     - Pouvoir antioxydant
L’ail noir concentre un arsenal de composés antioxydants. Ces composés bioactifs ont la capacité de s’opposer au stress oxydant, un phénomène qui cause des dommages cellulaires et qui est impliqué dans le vieillissement prématuré de l’organisme.

     - Effets protecteurs
En s’opposant à l’accumulation d’espèces oxydantes néfastes pour la survie des cellules, les antioxydants naturels de l’ail noir présentent un fort potentiel protecteur au sein de l’organisme. On leur attribue notamment des effets protecteurs au niveau du système nerveux, du système cardiovasculaire ou encore du foie.

     - Activité anti-inflammatoire
Présents dans l’ail noir, le pyruvate et le 5-hydroxyméthylfurfural sont deux anti-inflammatoires naturels. Ils sont capables d’inhiber les médiateurs de l’inflammation, et peuvent ainsi contribuer à lutter contre certains processus inflammatoires d’origine pathologique.


Il est aujourd’hui possible de trouver des compléments alimentaires d’ail noir avec des dosages différents. Ces suppléments sont généralement proposés avec une posologie entre 600 et 900 mg par jour. Il convient de se référer aux indications des fabricants et de se rapprocher d’un professionnel de santé en cas de doute.


Reconnaissance française de la marocanité du Sahara


Anticipant toute annoncé officielle de Rabat et/ou Paris, Alger a fait part jeudi de sa « profonde désapprobation » face à une « décision inattendue » du gouvernement français d’apporter son soutien au plan d’autonomie proposé par le Maroc pour le Sahara.
« Cette décision a été communiquée aux autorités algériennes par les autorités françaises ces derniers jours », a indiqué le MAE algérien, dénonçant « un soutien sans équivoque et sans nuance » de Paris à la position marocaine.
Allant encore plus loin, Alger a dénoncé « des puissances coloniales, anciennes et nouvelles, (qui) savent se reconnaître, se comprendre et se tendre des mains secourables ».
En précisant que l’entourage du MAE français, Stéphane Séjourné, s’est refusé à tout commentaire, l’AFP rappelle que ce dernier avait réitéré, lors d’un voyage officiel au Maroc en février dernier, le soutien « clair et constant » de Paris au plan d’autonomie marocain, tout en assurant vouloir « avancer » sur ce dossier.
L’Agence évoque également la visite d’Etat, maintes fois rapportée, que devait effecteur le président algérien Abdelmadjid Tebboune en France, et dont la dernière date fixée est « fin septembre-début octobre ».

Future Station de Service Orbitale Russe (ROSS)

 

La Russie a récemment dévoilé un plan ambitieux pour développer une nouvelle station orbitale qui marquera un tournant significatif dans son programme spatial. Cette structure, connue sous le nom de Station de Service Orbitale Russe (ROSS), sera conçue de manière à renforcer les capacités de recherche spatiale du pays. Le projet, annoncé le 2 juillet par Roscosmos, l’agence spatiale russe, prévoit également un calendrier ambitieux.

Le plan de construction de ROSS

Le premier module de cette station sera un élément central de cette entreprise spatiale. Ce module, qui servira de nœud de recherche et d’énergie, sera conçu avec une structure en forme de X. Mis en orbite en 2027, il sera doté de technologies avancées pour permettre des recherches scientifiques et des opérations énergétiques en espace.
La conception en forme de X permettra également de maximiser l’espace utilisable tout en offrant une configuration idéale pour les amarrages futurs. Quatre autres modules viendront se greffer dessus d’ici 2030. Ces derniers comprendront des installations pour la recherche, la vie à bord et les systèmes de support vital.
La station sera placée en orbite à une altitude similaire à celle de la Station Spatiale internationale (ISS), soit environ 400 kilomètres au-dessus de la Terre. Elle évoluera également sur une trajectoire polaire héliosynchrone. Cette orbite est particulièrement avantageuse, car elle permet une couverture complète de la surface terrestre et une surveillance stratégique de la route maritime du Nord, une voie de navigation de plus en plus importante. Le coût estimé du projet est par ailleurs d’environ sept milliards de dollars, ce qui souligne l’ampleur et l’ambition de l’initiative.


Des innovations et des partenariats internationaux
La construction de ROSS ne se limitera pas à l’assemblage de modules en orbite. Elle intégrera également des innovations technologiques, notamment l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA), bien que le degré précis de son utilisation reste encore flou.
Une des fonctionnalités innovantes de ROSS sera aussi la gestion d’une flotte de satellites en orbite, une première dans l’histoire des stations spatiales. Traditionnellement, les stations spatiales telles que l’ISS se concentrent en effet principalement sur la recherche scientifique et les expériences en microgravité. Elles ne sont pas équipées pour superviser des satellites en orbite. En revanche, selon les plans dévoilés, la station ROSS inclura un système permettant de contrôler et de gérer une série de satellites qui se déplaceront en orbite autour de la Terre.
Ces satellites pourraient avoir des missions variées comme la surveillance de la Terre, les communications ou la recherche scientifique. La station devra donc posséder les systèmes nécessaires pour interagir avec eux, ajuster leurs orbites et s’assurer qu’ils fonctionnent correctement.
En matière de collaboration, la Russie prévoit de s’associer avec plusieurs pays, dont le Brésil, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud ainsi que d’autres nations africaines, de quoi établir des relations spatiales globales.
Ce projet intervient à un moment crucial pour la Russie, alors que Roscosmos avait annoncé en 2021 son intention de quitter le programme de l’ISS après 2024 en raison de tensions géopolitiques liées à la guerre en Ukraine. Toutefois, l’agence spatiale a depuis modifié son calendrier, indiquant qu’elle resterait sur l’ISS jusqu’en 2028, en attendant la finalisation de sa propre station spatiale. La construction de ROSS s’inscrit malgré tout dans une stratégie plus large visant à assurer l’indépendance spatiale de la Russie et à promouvoir ses propres intérêts scientifiques et sécuritaires.

Ce nouveau virus qui entraîne un vent de panique dans le monde


Un garçon de 14 ans est décédé du virus Nipah dans le sud-ouest de l'Inde. Les autorités indiennes prennent actuellement des mesures pour empêcher une épidémie.
Une centaine de personnes ayant été en contact avec le garçon ont été placées en isolement. En outre, il est conseillé à la population de l’État indien du Kerala de porter des masques dans les lieux publics et d’éviter tout contact avec les personnes vulnérables.
Le « virus du fluage » est présent chez les chauves-souris, mais peut être transmis aux humains. Il peut également être transmis par les porcs. Toute personne infectée court un risque élevé de décès, car il n’existe pas de vaccin contre le virus.
Le virus n'est pas présent en Europe, mais il est présent dans des pays comme l'Inde, la Malaisie, Singapour et le Bangladesh. Le virus, aux propriétés pandémiques, est étroitement surveillé par les virologues du monde entier.

Quelles sont les boissons les plus saines pour la santé ?

  •  L'eau la boisson la plus importante pour la santé

L'eau est un élément essentiel de la vie et l'une des boissons les plus saines pour vous ! Non seulement l'eau ne contient pas de calories, mais elle maintient les fonctions corporelles régulières, favorise une bonne digestion et présente des avantages supplémentaires comme la gestion du poids.
  • Le thé vert

Le thé vert a beaucoup à offrir. Il regorge d'antioxydants, a été associé à une meilleure santé cardiaque et peut même améliorer les fonctions cérébrales. Sans oublier qu'il contient une faible quantité de caféine, ce qui vous permet de bénéficier du meilleur des deux mondes.
  • Jus de légumes

Le jus de légumes frais apporte des vitamines, des minéraux et des antioxydants directement dans votre verre. La consommation régulière de jus de légumes peut également améliorer votre digestion, votre fonction immunitaire et favoriser une peau saine.

  • Kombucha

Le kombucha est un thé fermenté qui regorge de probiotiques. Ces probiotiques favorisent considérablement la santé intestinale et la digestion, ce qui en fait un choix judicieux pour ceux qui souhaitent rester en bonne santé. Le kombucha est également excellent pour la désintoxication et la réduction de l'inflammation.

  • Eau pétillante

Si vous avez envie de saveur ou de gazéification, l'eau pétillante est une excellente alternative à l'eau ordinaire. Elles sont infusées d'une variété de saveurs savoureuses, ne contiennent pas de calories et ne sont pas pleines de sucres cachés.

  • Lait allégé

La santé des os est importante à tout âge. Rempli de vitamines, de calcium et de protéines, le lait écrémé favorise la santé des os et la fonction musculaire. En l'ajoutant à votre régime alimentaire, vous pouvez contribuer à réduire le risque d'ostéoporose et vous procurer une bonne portion de nutriments.
  • Smoothies verts

Les smoothies à base de légumes verts comme les épinards ou le chou frisé contiennent des nutriments et des vitamines essentiels à votre santé. Ajoutez-y des fruits, de l'eau ou du lait écrémé et vous obtiendrez rapidement un regain d'énergie, plus de vitamines et une consommation accrue de légumes.

  • Bouillon d'os

Le bouillon d'os regorge de nutriments sains tels que le collagène, les acides aminés et les minéraux, qui contribuent à maintenir vos articulations et votre digestion en bon état. Sa consommation régulière a également été associée à une réduction de l'inflammation.

  • Jus de cerises acidulées

Les cerises en général sont riches en antioxydants et en composés anti-inflammatoires qui soulagent les douleurs musculaires et articulaires. Boire régulièrement du jus de cerises acidulées peut non seulement aider à résoudre ces problèmes, mais aussi promouvoir la santé en général.

  • Thé à la menthe

                       
La menthe poivrée est une plante apaisante en soi et son infusion ne fait que l'améliorer. Vous constaterez peut-être que le thé à la menthe aide à lutter contre les ballonnements, soulage l'inconfort digestif et peut même atténuer les symptômes du syndrome de l'intestin irritable.

  

15 découvertes incroyables en Antarctique

L'Antarctique, le continent glacé au bout du monde, ne cache pas seulement de la glace et des pingouins. Des explorateurs ont fait des découvertes troublantes sous sa surface, remettant en question notre compréhension du monde. Des anomalies anciennes mystérieuses aux étranges lacs souterrains, ces découvertes révèlent un monde caché rempli de secrets fascinants. Rejoignez-nous dans cette vidéo pour explorer les 15 découvertes les plus incroyables de l'Antarctique. Vous serez surpris par ce que nous avons trouvé !

8.5 millions d'utilisateurs de Windows affectés par la panne informatique

 

Microsoft annonce que 8,5 millions d'ordinateurs ont été touchés par la récente panne informatique mondiale.
Une mise à jour corrompue du logiciel Crowdstrike a provoqué une panne de Windows. La panne informatique a touché les ordinateurs du monde entier de jeudi à vendredi.
"Nous parlons depuis longtemps dans le secteur, de la fragilité inhérente aux éléments fondamentaux de l'internet, ces petits bouts d'activité et d'infrastructure qui sous-tendent l'ensemble et qui, s'ils tournent mal, peuvent avoir de très graves conséquences à l'échelle mondiale.", a indiqué Ciaran Martin, ancien directeur du Centre national de cybersécurité du Royaume-Uni.
C'est la première fois que l'entreprise chiffre l'ampleur de la panne et laisse entendre qu'il pourrait s'agir du pire cyber-événement de l'histoire.
Des vols n'ont pas pu décoller ou atterrir, certaines entreprises n'ont pas pu accepter les paiements par carte et des hôpitaux et cliniques ont dû annuler leurs activités.

La fusion froide : Qu'est ce que c'est ?


Puisqu’il s’agit d’une source d’énergie renouvelable, la fusion froide est potentiellement une énergie propre disponible en quantité illimitée. Mais qu'est-ce que l’énergie de fusion au juste, comment ça marche et est-ce que la fusion froide ça existe ?
Vous avez peut-être entendu parler de la fusion froide, de l’idée que des atomes peuvent fusionner sans véritable recours à la chaleur ni à d’autres types d’énergie, cette fusion libérant néanmoins une grande quantité d’énergie.
La fusion à chaud, en revanche, est bien réelle. C’est le phénomène qui se produit à l’intérieur du soleil et d’autres étoiles. Des noyaux d’atomes entrent en collision à grande vitesse, entraînant une fusion libératrice d’une grande quantité d’énergie supplémentaire. La recherche-développement dans le domaine de l’énergie de fusion s’efforce de reproduire des réactions similaires sur Terre à plus de 100 millions de degrés Celsius.


À l’opposé de la fission nucléaire
L’énergie de fusion, d’une certaine manière, est à l’opposé de ce que nous avons l’habitude d’appeler « énergie nucléaire », bien que dans les deux types d’énergie il soit question de noyaux d’atomes. Dans les centrales nucléaires actuelles, l’énergie provient de la fission de l’atome. La fusion, comme son nom l’indique, produit de l’énergie non pas en divisant les atomes, mais en les fusionnant.


La véritable différence résulte du type d’éléments qui participent à ces processus. Ce que nous connaissons sous le terme d’énergie nucléaire nécessite l’emploi d’éléments tels que l’uranium ou le plutonium, qui possèdent de gros atomes lourds pouvant se diviser en atomes plus petits. Toutefois, l’uranium, le plutonium et leurs produits de fission sont radioactifs, ce qui signifie qu’en se désintégrant ils émettent des rayonnements ionisants qui, dans certaines circonstances, peuvent se révéler dangereux pour l’homme.
De son côté, l’énergie de fusion résulte de la combinaison de deux atomes légers, généralement d’hydrogène. La fusion de deux atomes d’hydrogène donne naissance à de l’hélium. Ainsi, non seulement l’énergie de fusion repose sur l’élément le plus abondant de l’univers, mais son sous-produit peut être facilement utilisé à des fins médicales voire servir à gonfler des ballons.

Essayez de rapprocher deux aimants
Comment fusionne-t-on deux atomes ? Vos cours de physique vous ont sûrement appris que la difficulté tient au fait qu’un noyau d’atome contient des protons, dont la charge électrique est positive, et des neutrons, qui sont neutres. Ainsi, un noyau atomique sera toujours porteur d’une charge électrique positive. Essayez de l’associer à un autre atome, également porteur d’une charge positive, et vous observerez le phénomène qui se produit lorsque vous tentez de rapprocher deux aimants. Ils se repoussent. C’est la raison pour laquelle l’énergie de fusion utilise des atomes aussi légers que possible. Mais la tâche reste quand même ardue.


À l’intérieur du soleil, la fusion se produit parce qu’une gravité colossale attire les atomes les uns vers les autres, la densité extrême et la chaleur intense provoquant la collision très rapide entre atomes. La force de gravité est bien plus faible sur Terre, en raison de la taille relativement réduite de celle-ci et de sa température qui, en dépit du réchauffement de la planète, n’a rien à voir avec celle du soleil. Alors, comment créer les conditions propices à la fusion ?

Plus chaud que le soleil
La réponse est assez évidente. Pour compenser l’infériorité de la gravité terrestre, il suffira de créer une température de six à dix fois supérieure à celle du soleil, pouvant atteindre 150 millions de degrés Celsius. Sur Terre, cette chaleur colossale créera les conditions permettant aux atomes d’hydrogène d’entrer en collision les uns avec les autres, aboutissant ainsi à une fusion qui libérera encore plus d’énergie. Facile me direz-vous ? Il nous reste encore à régler quelques menus détails.
Première difficulté : où pourrions-nous créer une telle température, en évitant que la substance chauffée ne détruise tout ce avec quoi elle entrerait en contact ? À nouveau, la réponse est simple : aucun contact ne doit se produire. Pour y parvenir, au milieu du XXe siècle, des scientifiques russes ont mis au point le « tokamak », une chambre à vide en forme de bouée entourée de puissants aimants.
C’est à l’intérieur de ce dispositif que l’hydrogène gazeux, après avoir été chauffé à une température extrêmement élevée, passe à l’état plasma. Un des quatre états fondamentaux de la matière, l’état plasma résulte de l’ionisation de la substance gazeuse, lors de laquelle les électrons en orbite autour des noyaux atomiques sont éjectés. La matière ionisée est conductrice d’électricité ; il sera donc possible de contrôler son comportement avec des champs magnétiques. C’est ici qu’entrent en jeu les aimants, à même de maintenir cette substance conductrice d’électricité en suspension et donc à l’écart des parois du tokamak. À l’intérieur du plasma, les conditions sont propices à la collision entre atomes et donc à la fusion libératrice d’énergie.
C’est afin de prouver la faisabilité de la fusion thermonucléaire en tant que source d’énergie à grande échelle et sans émissions de carbone que l’ITER, le plus grand réacteur expérimental à fusion nucléaire à tokamak au monde, est actuellement en construction en France. L’ITER est un mégaprojet international de recherche et d’ingénierie auquel participent l’Union européenne, la Chine, l’Inde, le Japon, la Corée du Sud, la Russie et les États-Unis. En cas de réussite, l’installation sera en mesure de générer 500 MW d’énergie de fusion à partir de 50 MW d’énergie injectée dans le système pour le chauffage initial du plasma.

Une bouée géante
Le réacteur de l’ITER sera gigantesque :son tokamak sera trois fois plus lourd que la tour Eiffel ;


la structure de l’électro-aimant de 1 000 tonnes au centre de la machine devra être suffisamment solide pour résister à des forces équivalant à deux fois la poussée des moteurs de la navette spatiale au moment du décollage (soit 60 méganewtons, ou plus de 6 000 tonnes) ;
18 électro-aimants en forme de « D » seront positionnés autour de la chambre toroïdale du tokamak, chacun d’eux mesurant 17 mètres de haut et 9 mètres de large et pesant 310 tonnes, soit le poids approximatif d’un Boeing 747-300 à pleine charge.
Mais comment extraire l'énorme quantité d’énergie de la bouée et l’acheminer en toute sécurité sous la forme d’électricité jusqu'à nos foyers ? C’est le rôle des parois de la chambre et du « diverteur », positionné à la base du tokamak. Le diverteur contrôle l’évacuation de la chaleur, des effluents gazeux et des impuretés provenant du réacteur et résiste aux charges thermiques de surface les plus élevées. Sa surface est recouverte de tungstène, qui possède le point de fusion le plus élevé de tous les métaux (3 422 °C).
En 2019, avec le soutien du Fonds européen pour les investissements stratégiques, la Banque européenne d’investissement a signé un prêt de 250 millions d’euros avec l’agence italienne de recherche ENEA afin de l’aider à construire le centre d’essais pour le diverteur et le tokamak. Ces installations testeront différentes solutions possibles pour évacuer l’énorme quantité de chaleur entrant dans le diverteur d’un réacteur de fusion nucléaire.

Une turbine à vapeur magnifiée


Les chercheurs poursuivent leur recherche de solutions de remplacement, mais, dans l’état actuel des choses, l’ensemble du processus de transformation de la chaleur en électricité reste assez traditionnel. La chaleur reçue par les parois faisant face au plasma et par le diverteur servira à transformer l’eau en vapeur, laquelle entraînera une turbine à vapeur. La turbine est raccordée à un générateur qui produit l’électricité destinée à alimenter un réseau.
« Les progrès scientifiques en matière d’énergie de fusion ne tomberont sans doute pas du ciel comme la pomme sur la tête de Newton », affirme Istvan Szabo, ingénieur principal auprès de la division Sécurité énergétique à la Banque européenne d’investissement. « Une multiplication des ressources sera nécessaire. »
Il reconnaît que demain une solution radicalement différente permettant d’exploiter l’énergie de fusion sera peut-être trouvée, ou qu’une réponse inédite à nos besoins en énergie durable nous fera entrer dans une ère nouvelle. « D’autres pistes existent pour comprimer la matière et fusionner les atomes : les lasers ou la compression mécanique, par exemple. Et quelqu’un trouvera peut-être un jour la clé de la fusion à froid, poursuit Istvan Szabo. Mais des ressources considérables seront nécessaires pour tester l’une ou l’autre de ces idées. La phase de recherche et de développement la plus avancée concerne la fusion thermonucléaire. C’est celle qui offre le plus de perspectives. »

Quand l’investissement alimente l’énergie
Si notre quête nous conduit toujours plus près de l’énergie de fusion, l’énergie d’origine thermonucléaire n’est que l’un des multiples projets innovants financés par la BEI dans le domaine de l’énergie.
La BEI a investi plus de 30 millions d’euros dans des titres de premier et second rang du fonds responsAbility Access to Clean Power Fund. Celui-ci devrait financer des entreprises qui proposent des lanternes solaires avec paiement en fonction de la consommation et d’autres systèmes solaires hors réseau pour particuliers et entreprises, principalement en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud-Est. Ces systèmes permettent notamment à des familles à faibles revenus de faire fonctionner des petits réfrigérateurs et d’autres appareils. Alors que les ménages peuvent payer le dispositif d’énergie solaire en plusieurs petits versements, le fonds finance l’investissement initial du fournisseur qui fait l’acquisition des systèmes.
En raison du risque élevé caractérisant ces investissements, les titres du fonds sont répartis en plusieurs tranches. L’investissement de la BEI porte sur la tranche de rang inférieur, qui est aussi la plus risquée. L’achat de titres de rang inférieur atténue le risque encouru par les autres investisseurs du fonds qui acquièrent des titres de premier rang. La participation de la BEI attire ainsi d’importants capitaux privés. Pendant la durée de vie du fonds, plus de 150 millions de personnes devraient bénéficier d’une énergie propre.
Par ailleurs, dans le cadre du programme InnovFin soutenu par la Commission européenne, la BEI a investi 50 millions d’euros dans un fonds de participation dédié aux innovations visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre de manière significative. Le fonds Breakthrough Energy Ventures Europe compte d’autres investisseurs, notamment Bill Gates et un certain nombre de particuliers extrêmement fortunés.

Top 10 des nouvelles tendances technologiques pour 2024

  • Automatisation des processus robotiques :

RPA automatise les processus métier tels que les tâches répétitives, les tâches standardisées, le traitement des données, voire la réponse aux e-mails, etc. Tout comme nous, les robots RPA ont la capacité de comprendre ce qui se trouve sur un écran, de naviguer dans les différents systèmes, d’effectuer les bonnes frappes, d’extraire des données et même d’effectuer un large éventail d’actions prédéfinies. Cela se traduit par une augmentation des possibilités de collecte de données, une réduction de la charge de travail, de meilleurs résultats commerciaux, un service plus rapide, etc.

  • Métaverse :

En révolutionnant notre façon de vivre et de travailler, cette technologie émergente est prête à vous faire passer du monde réel au monde virtuel. un. Avec l’aide de la réalité augmentée et de la réalité virtuelle, les entreprises peuvent créer une version fac-similé du monde réel où les gens peuvent collaborer, organiser des formations et des démonstrations et conclure des transactions en temps réel. Cette dernière technologie gagne du terrain en raison de l’expérience du monde réel qu’elle apporte.
Nike a généré 3 100 Ethereum de revenus (8 millions de dollars) en seulement une semaine en vendant ses baskets virtuelles.
Accenture a déjà construit un habitat métavers appelé Nth Floor, qui reproduit leur bureau du monde réel, où les employés peuvent valser dans l’espace de bureau et effectuer leurs tâches sans avoir besoin d’être physiquement présents dans l’espace de travail. le bureau.
Les géants de la technologie comme Facebook (actuellement appelé Meta), Microsoft, Google et Nvidia investissent déjà massivement dans cette nouvelle technologie et les experts prédisent que cette technologie ajoutera jusqu’à 5 000 milliards de dollars de revenus au secteur. l’économie mondiale d’ici 2030.

  • Télésanté :

Bien que la plupart des plus grands progrès dans le domaine médical soient dus à la technologie, il existe même aujourd’hui un peu de résistance. La pandémie nous a montré à quel point la technologie est cruciale pour le domaine médical. La télésanté est la distribution de services liés à la santé à l’aide de la technologie aux patients qui recherchent des soins sans avoir à sortir de chez eux. Les applications mobiles de santé, la vidéoconférence en direct, la surveillance à distance des patients, etc. sont des exemples de services de télésanté.
  • IA Low-Code et No-Code :

L’intelligence artificielle est passée du jargon technique à une interface conviviale avec des solutions low-code et no-code. La capacité de créer des solutions sans l’expertise en matière de codage ou de savoir-faire technique en a fait le premier choix et le succès parmi les chefs d’entreprise. Le rapport Gartner indique que 50 % des petites et moyennes organisations adopteront des solutions low-code et no-code d’ici 2024. La statistique ci-dessus témoigne du fait que le low-code et le no-code sont là pour rester pendant une période considérable. de temps.

  • Internet des comportements (IOB) :
L’IOB consiste à utiliser les données pour modifier les comportements. Il rassemble des données provenant de différentes sources et utilise ces informations pour influencer le comportement des utilisateurs à l’aide de boucles de rétroaction. Par exemple, un service de taxi peut surveiller le comportement du conducteur, comme la vitesse à laquelle il conduit, les virages agressifs, les pauses brusques, etc. Grâce à ces données, les performances du conducteur peuvent être évaluées et des mesures adéquates peuvent être prises.

  • Cloud distribué :

En cela, les services cloud sont distribués sur différents emplacements physiques, mais l’ensemble des opérations et de la gouvernance est géré par le fournisseur de services cloud public. Lorsque les organisations rapprochent physiquement ces services, cela facilite les scénarios de faible latence, atténue les coûts de données et vous permet également de vous conformer aux lois locales.

  • Edge Computing :

C’est l’une des nouvelles tendances technologiques 2024 qui permet une faible latence et un traitement des données à grande vitesse. Edge Computing permet aux organisations d’effectuer des calculs plus proches des systèmes de stockage de données, améliorant ainsi les performances de l’application. L’objectif de l’edge computing est d’exécuter moins de processus dans le cloud et de les transformer en serveur Edge ou sur l’ordinateur de l’utilisateur. Puisqu’il augmente la vitesse du processus, il vous permet de gérer des données sensibles au facteur temps qui sont stockées dans des zones distantes et ont un accès minimal à l’emplacement central.

  • Augmentation humaine :

L’augmentation humaine est un terme général qui concerne les innovations visant à améliorer les capacités humaines et la productivité. Les lentilles AR, les étiquettes RFID, les prothèses, etc. sont des exemples d’augmentation humaine. Cela peut contribuer à améliorer la cognition humaine et les capacités d’action. Vous pouvez y parvenir grâce à la détection, à la technologie d’actionnement, à l’IA, à la fusion et à la fission.
  • Entreprise composable intelligente :

Une entreprise composable intelligente est une entreprise qui peut s’adapter et se réorganiser en fonction de la situation actuelle. Les entreprises investissent dans la transformation numérique parce qu’elles souhaitent prendre des décisions commerciales rapides qui peuvent être prises avec les données déjà disponibles. Pour y parvenir, les entreprises doivent avoir accès à l’information, l’améliorer en collectant davantage d’informations et en répondant rapidement. Cela aidera les entreprises à prendre des décisions sans avoir à toujours attendre un « Allez-y » de l’équipe de direction.
  • Hyper automatisation :

Avec cette nouvelle tendance technologique 2024, tout peut être automatisé une organisation. De nombreuses organisations utilisent des processus existants qui les mettent à mal. Ces processus créent de nombreux problèmes et sont également extrêmement coûteux rien que pour les maintenir. Des technologies avancées telles que l’intelligence artificielle, l’apprentissage automatique, la RPA, le traitement du langage naturel, l’exploration de processus, etc., sont appliquées pour exploiter au maximum le potentiel d’une entreprise automatisée.
  • Conclusion :
De nombreuses organisations sont coupables d’utiliser des technologies aux applications limitées. Ils ne sont généralement pas allégés ou optimisés spécifiquement pour l’entreprise. Vous devez accélérer l’utilisation des technologies dans votre organisation pour être agile et efficace. Si vous n’investissez pas dans les dernières technologies qui prennent d’assaut le monde, vous risquez d’être distancé par vos concurrents.

Monnaie numérique: le projet de dirham électronique


Le Maroc se tourne vers l'ère numérique en explorant l'adoption du "dirham électronique" en collaboration avec le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale. Cette initiative, annoncée par le Gouverneur de Bank Al-Maghrib, M. Abdellatif Jouahri, vise à insuffler une nouvelle dynamique aux transactions financières dans le pays.
Motivée par l'essor des "monnaies électroniques" à l'échelle mondiale, l'adoption du dirham électronique s'inscrit dans une volonté de moderniser les moyens de paiement et de promouvoir l'inclusion financière. En effet, le dirham électronique ambitionne d'offrir aux citoyens une alternative plus accessible, efficace et sécurisée pour leurs transactions quotidiennes.


L'introduction du dirham électronique escomptée par le Maroc vise à pallier les limitations des méthodes de paiement traditionnelles. Les transactions électroniques, par nature, se veulent plus rapides, moins coûteuses et plus efficientes, ce qui se traduirait par un gain de temps et d'argent non négligeable pour les citoyens et les entreprises.
Lors d'une conférence de presse tenue à Rabat, M. Jouahri a déclaré : "Nous coopérons avec le FMI et la Banque mondiale pour explorer les voies et moyens d'adopter le projet de dirham électronique. Une commission dédiée travaille sur ce sujet depuis plus d'un an."
M. Jouahri souligne que les aspects juridiques, réglementaires et les implications sur les missions fondamentales de la banque centrale et la politique monétaire constituent les principaux défis à relever. Des adaptations législatives et une réflexion approfondie sur le cadre réglementaire seront nécessaires pour garantir un environnement propice au déploiement du dirham électronique.
Il a ajouté : "Nous avons d'abord étudié l'objectif de l'adoption de la monnaie électronique en nous inspirant des expériences internationales, et nous avons mené une expérience interne pour tester l'utilisation du dirham électronique sur une plateforme de la Banque mondiale à Washington."

"Nous avons également testé la méthode de paiement par acomptes en monnaie électronique et évalué le parcours opérationnel de son système de négociation", a-t-il poursuivi.
Selon M. Jouahri, "le plus difficile reste à venir, à savoir les questions juridiques et réglementaires, ainsi que les répercussions sur les missions fondamentales de la banque centrale et sur la politique monétaire." Il a conclu en affirmant que "le projet ne peut être mis en œuvre demain, mais plutôt à moyen ou long terme, et nous devons nous préparer minutieusement pour être prêts."
L'adoption du dirham électronique s'inscrit dans la volonté du Maroc de moderniser son système de paiement et de promouvoir l'inclusion financière, en offrant aux citoyens une alternative plus accessible, efficace et sécurisée pour leurs transactions quotidiennes.

À quoi ressemblera le plus haut gratte-ciel du monde ? Tokyo dévoile son projet ambitieux de 1700 mètres pour 2045 !

Le gratte-ciel, d'une hauteur de 1 700 mètres, pourra accueillir plus de 50 000 résidents et sera de forme hexagonale, l'une des formes les plus résistantes au vent dans la baie de Tokyo.

Une fois réalisé, ce gratte-ciel dépassera le Burj Khalifa en hauteur
(au moins deux fois plus), devenant ainsi le nouveau gratte-ciel le plus haut du monde.

Le Burj Khalifa, connu à l'origine sous le nom de Burj Dubai, est le plus haut gratte-ciel du monde, construit et réalisé en seulement cinq ans. Le bâtiment, situé à Dubaï et devenu un symbole de cette ville futuriste, porte le nom de l'émir d'Abou Dhabi Khalifa bin Zayed Al Nahyan, président des Émirats arabes unis de 2004 à 2022.
C'est l'un des bâtiments les plus colossaux créés par l'homme. Pourtant, le record du plus haut gratte-ciel du monde pourrait être menacé. En effet, il existe un projet de construction d'un super gratte-ciel de 1700 mètres de haut, qui devrait être achevé en 2045, dans la ville de Tokyo.
Une fois réalisé, ce gratte-ciel dépassera le Burj Khalifa en hauteur (au moins deux fois plus), devenant ainsi le nouveau gratte-ciel le plus haut du monde.

Que prévoit le projet ?
La société américaine Kohn Pedersen Fox Associates a annoncé que la construction de ce qui devrait être le plus haut gratte-ciel du monde, d'une hauteur de 1 700 mètres, pourrait être achevée d'ici 2045. Le bâtiment en question s'appellera la Sky Mile Tower et fera partie du projet plus vaste Next Tokyo.
Dans la baie de la capitale japonaise, il est prévu de construire non seulement le Sky Mile, mais aussi une ville dans la ville, dont l'objectif est de s'adapter au changement climatique.

Ce projet verra la naissance de la tour Sky Mile et d'un nouveau quartier
futuriste axé sur les transports en commun, prêt à changer
le visage de la métropole japonaise.

Ce sont précisément les conséquences de l'élévation du niveau de la mer ou de l'activité sismique majeure qui caractérisent le littoral japonais qui ont incité ce groupe de concepteurs à élaborer un mégaprojet visant à améliorer la baie face à ces catastrophes naturelles.
Ce projet verra la naissance de la tour Sky Mile et d'un nouveau quartier futuriste axé sur les transports en commun, prêt à changer le visage de la métropole japonaise.

Système de refroidissement aux réfrigérants solides

Des scientifiques de l'Université de Harvard ont présenté ce qui semble être le premier prototype de système de refroidissement aux réfrigérants barocaloriques solides.
Dans cette installation, tout est une question de structure moléculaire. Contrairement au système de refroidissement au gaz liquide traditionnel qui impacte la forme du réfrigérant, ici le produit solide le reste. Contrairement aux gaz, les « solides » ne fuiront pas dans l'environnement depuis les appareils.
Ces fameux réfrigérants solides barocaloriques contiennent de longues chaînes moléculaires flexibles qui sont généralement souples et désordonnées. Mais sous la pression, les chaînes deviennent plus ordonnées et rigides, dégageant ainsi de la chaleur. « Le processus de passage d'une structure ordonnée à une structure détendue est similaire à la fonte de la cire, mais sans qu'elle devienne liquide, explique Jarad Mason, chercheur principal du projet à l'Université de Harvard. Lorsque la pression est relâchée, le matériau réabsorbe la chaleur, complétant le cycle ». Un certain nombre de travaux ont déjà été publiés sur ce type de refroidissement comme en parlait la revue Nature dès 2019 dans laquelle était évoquée la propriété des cristaux « plastiques ».

Vers une pression « normale »
Les systèmes barocaloriques étaient auparavant victimes d'une obligation de pression importante pour générer des cycles thermiques. Mais Jarad Mason en fait fi avec des réfrigérants pouvant fonctionner dans un système de refroidissement construit avec son équipe. « Les matériaux que nous avons signalés peuvent fonctionner à pressions auxquelles un système hydraulique typique peut fonctionner », explique Adam Slavney, collaborateur sur le projet.

Maroc : Confronté à une nouvelle vague de chaleur avec des pics à 47°C de samedi à lundi


Une nouvelle vague de chaleur est annoncée par la Direction générale de la météorologie (DGM) du samedi 13 juillet au lundi 15 juillet, affectant plusieurs provinces du Maroc.


Selon le bulletin d’alerte météo de niveau «Orange», les températures devraient atteindre entre 43 et 47°C dans les provinces de Zagora, Tinghir, Errachidia, Tata, Assa-Zag, Es-Semara, Boujdour, Oued Ed-Dahab et Aousserd.


Parallèlement, il prévoit entre 38 et 43°C à Figuig, Taourirt, Guercif, Jerada, Boulemane, Azilal, Khouribga, Fquih Ben Salah, Beni Mellal, Khenifra, Settat, Al Haouz, Youssoufia, Chichaoua, Rehamna, Marrakech, El Kelaa des Sraghna, Ouarzazate, Midelt, Essaouira, Agadir-Ida-Ou-Tanane, Taroudant, Guelmim, Tan-Tan et Laayoune.