Bienvenue sur le nouveau site internet multilingue de la Ville d’Ain Défali ----- Welcome to the new multilingual website of the City of Ain Defali ----- ברוכים הבאים לאתר הרב לשוני החדש של העיר עין דפאלי ----- 欢迎来到市艾因Defali的新的多语种网站 ----- Bienvenido a la nueva página web multilingüe de la ciudad de Ain Defali ------ Benvenuti nel nuovo sito web multilingue del Comune di Ain Defali ----- Welkom op de nieuwe meertalige website van de stad Ain Defali ----- Добро пожаловать на новый многоязычный сайт города Айн Defali ----- Ain Defali Belediyesinin yeni dilli web sitesine hoş geldiniz-----आइन Defali के सिटी की नई बहुभाषी वेबसाइट में आपका स्वागत है

مرحبا بكم فى موقع متعدد اللغات الجديد لمدينة عين الدفالى، وهي بلدة صغيرة لطيفة لزيارة ومنطقة مضيافة رائعة
Bienvenu(e) sur le portail de la ville d’Ain Défali Ce site se veut une vitrine ouverte sur le monde pour faire connaître notre ville Ce site est également une invitation à la découverte de notre richesse patrimoniale et environnementale.
Découvrez son histoire, son patrimoine, son actualité au quotidien et effectuez vos démarches administratives ...

Venez découvrir le grand marché hebdomadaire, le mercredi, l'un des plus réputés du Gharb, pour vous ravitailler de tout ce que vous voulez

Pour avoir un Bouteflika plus vivant, la télévision algérienne aurait eu recours au 'trucage'

Lemag : L'émission Petit Journal, diffusée sur Canal +, a démontré que la télévision algérienne officielle, a eu recours au truquage d'images pour montrer au public algérien, le président Bouteflika, plus animé, parlant et bougeant.
Selon Canal +, la télévision algérienne, a filmé l'entretien de Bouteflika avec le premier ministre français, via plusieurs caméras postées à plusieurs angles, suite de quoi, la télé algérienne, a mixé les mêmes images, prises de différents angles, en les répétant, afin de montrer le président algérien plus vivant.
Bouteflika paraissait en fait, les traits tirés de fatigue, le regard hagard et incapable de tenir sur son fauteuil.

Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo 

La première ville flottante de l’histoire ou Freedom Ship.


Il s’agit d’un projet de ville flottante un peu flippant qui comprend :
Freedom Ship (© Twitter CruiseShipSpots)

-  une piste de décollage sur le toit compris
-  25 étages en béton pouvant accueillir 50.000 résidents permanents. Plus 30.000 visiteurs occasionnels.
Image de synthèse du projet de ville flottante «Freedom Ship».
En réalité, ce projet fou d’une entreprise américaine implantée en Floride, prévoit d’intégrer à ce mastodonte flottant des écoles, hôpitaux, galeries d’art, des entreprises, des parcs, un centre commercial, un aquarium et même un casino. Le tout fourni en énergie par des panneaux solaires et la force des vagues.

 

L’objectif est que le Freedom Ship passe 70% du temps au large de grandes villes du monde et 30% à voguer entre les différents pays, pour réaliser un tour du monde complet en deux ans. Il sera le plus grand navire jamais construit et la première ville flottante de l’histoire.
 

Le mystère des origines de Bouteflika

Le lieu de naissance du Président algérien est un curieux tabou. Les raisons? Abdelaziz Bouteflika est né à Oujda, au Maroc, ville d’un pays à la fois frère et ennemi.


Abdelaziz Bouteflika en 2012.

Oujda est une ville marocaine, frontalière de l’Algérie, à quelques 15 km de Maghnia, une ville algérienne qui lui fait face tout en lui tournant le dos. Cette cité est connue pour ses hôtels vidés après la fermeture des frontières en 1994, ses comptoirs pour les contrebandiers et par son histoire très algérienne.
Oujda est en effet l’une des rares villes étrangères qui a donné son nom à une équipe qui s'est emparé du pouvoir en Algérie en 1962 et qui l’a repris en 1999. On y retrouve donc des psychotropes algériens, de l'essence par milliers de litres, les fameux Hallaba (passeurs de carburant algériens), des proches d’algériens, des restes de l’histoire de la guerre de Libération algérienne et même la maison où a grandi le Président algérien, Abdelaziz Bouteflika.  
Pour l’étranger humble et curieux qui veut comprendre, voici un rappel de l’histoire locale. Durant la période de la guerre d'Indépendance est née l'Armée de libération nationale. Mal équipée, cette organisation va au fur et à mesure se moderniser. Avec le temps, et pour mieux préserver ses forces et son avenir politique, elle se divise en deux: un front interne qui sera disséminé par la France de 1954 à 1959 et deux fronts externes, des armées des frontières, en Tunisie à l’est et au Maroc à l’ouest.
Dans ce dernier pays, la capitale de l’armée algérienne de l’époque était Oujda. C’est ce qui donnera le nom de «clan de Oujda» à l’une des familles guerrières de l’indépendance. Celle du Général Boussouf, père des «renseignements» algériens et des polices politiques, qui naîtront plus tard sur son héritage. Celle de Benbella le premier Président algérien et celle de Houari Boumediene, l’auteur du premier coup d’Etat algérien.
A Oujda naissent, grandissent, se nourrissent et s’entraînent donc, des officiers algériens qui seront par la suite célèbres, illustres et puissants. Pour faire simple, à l’indépendance, en 62, la France s’en va et se pose la question de savoir qui va prendre le pouvoir: les rescapés du front interne malmenés et désarmés ou les puissants colonels des armées des frontières, mieux équipés, plus organisés et plus puissants? Une guerre fratricide en décidera.
C’est la fameuse crise de l’été 1962 qui oppose un gouvernement provisoire et un Etat-major armé. Le 4 septembre 62, Ahmed Benbella (natif de Maghnia, juste en face de Oujda), en doublure de Houari Boumediene, entre finalement en conquérant à Alger. C’est le fameux clan de Oujda qui sort vainqueur avec une singularité : Boumediene est un Chaoui (NDLR: un groupe ethnique berbère) de l’est, mais sa famille idéologique est de l’ouest, de Oujda.
Le clan cette ville marocaine est donc puissant, fort et souverain à l’indépendance et même cinquante ans après celle-ci. En face, selon les algéro-sceptiques, il existe un clan kabyle, composé par le Patron des patrons du renseignement, le Général Tewfik et par Ahmed Ouyahia l’actuel Premier ministre, ainsi qu'un clan chouï supposé être affaiblit par la «démission» de Liamine Zeroual, Président-général de l’Algérie durant les années 90. Selon le mythe, la présidence est plus ou moins cyclique et tournante entre ces familles. Depuis 1999, c’est en tout cas Bouteflika qui est à la tête du pays.

Le Clan de Oujda II

Il existe un clan numéro 2 de Oujda. C’est ce que pensent, disent et affirment des, ou les Algériens amateurs de l’explication tribale. Bouteflika est en effet né à Oujda, c’est un enfant spirituel de Boumediene et l’un des officiers qui a attendu la libération pour prendre le pouvoir en 1962.
Le clan de Oujda II n’est cependant pas composé aujourd'hui d’officiers supérieurs putschistes, mais de ministres, de très hauts cadres et de conseillers ou préfets. Jusqu’à une récente date, la moitié du gouvernement et les deux tiers des corps des préfets étaient prétendument né à M’sirda, un hameau de légende dans la région de Tlemcen, tout près de la frontière marocaine. «The Kingdom of Tlemcen», disent les acerbes.
L’ex-puissant ministre de l’Intérieur, Nourredine Zerhouni est né à Tunis, mais il passé sa jeunesse à Meknès et Fès au Maroc, tout en étant aussi originaire de Tlemcen. L’actuel ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a vu le jour à Tlemcen, tandis que l’ancien ministre algérien du pétrole, Chakib Khellil est né à Oujda et est lui-aussi originaire de Tlemcen. De quoi accréditer la thèse de l’existence d’un Olympe algérien.
Le clan de Oujda compte aussi dans ses rangs des membres du pouvoir algérien ayant des liens avec la région: le Directeur général de la police, le ministre de la Justice, celui du Travail ou encore ceux de la Santé, de l'Investissement ou de l'Intérieur.

Régionalisme bis?

Du coup, si l’Algérie compte 48 préfectures, dites wilayas, on y parle encore, parfois avec sérieux ou parfois pour s’amuser, de la réalité de seulement six wilayas. Celles dites historiques de l’époque de la guerre d’indépendance. A savoir, est, ouest, sud, algérois etc...
Cette géographie, symbolique désormais, pèse encore dans les alliances, les parentés, les manuels d’histoire, les reconnaissances, les nominations, la politique et les choix pour le Sénat et l’Assemblée nationale. Le tabou pèse aussi sur les choix d’investissements et ceux des hommes d’affaires. Cela n’a pas donné une bonne régionalisation en gouvernance, mais un bon régionalisme en politique.

Il existe cependant une singularité. Le régionalisme d’un clan au pouvoir ne rapporte généralement rien à la région d’origine. C’est un régionalisme à sens unique, expliquera un sociologue à l’auteur. La région sert de tremplin, mais dès que le bonhomme est à Alger, il refusera plus que les autres de recevoir les gens de sa région, pour bien marquer son indépendance et son esprit anti-régionaliste. Les pourvoyeurs de fonds de la première campagne électorale de Bouteflika en 1999, à l’ouest, en savent quelque chose.

Mais où est né Bouteflika?

Cette question est sans réponse sur le site officiel de la Présidence. On y lit: «Né le 2 mars 1937, Abdelaziz Bouteflika milite très tôt pour la cause nationale». Mais où? Au Maroc, selon les témoins. A Tlemcen, selon la version semi-officielle.
Un câble émis le 19 août 2005 par l’ambassade américaine à Alger et révélé par l’ange Wikileaks, révèle que Bouteflika a clairement expliqué à une délégation des Etats-Unis qu’il est né à Oujda, au Maroc. Ce pays où son père a trouvé refuge et où certains s’en rappellent même aujourd’hui, selon des journaux, évoquant «un jeune garçon toujours élégant, poli et charmeur».
Le tabou est devenu amusant et revient dans l’actualité lors des cycliques polémiques sur la marocanité des dirigeants algériens officiellement les plus anti-marocains. Il y a quelques mois, Ahmed  Benbella, l’un des présidents algériens a révélé sa marocanité lors d’un long entretien avec l’envoyé spécial de l’hebdomadaire Jeune Afrique. «Même si je suis né en Algérie, même si j’y ai vécu, même si j’ai été le chef de la révolution algérienne, ma mère et mon père étaient tous deux marocains» , a-t-il dit.
C’est «le pavé dans la mare identitaire», titre Chawki Amari l’un des chroniqueurs d’El Watan. Le sujet est en effet souvent de retour quand l’Algérie a mal, s’ennui, hésite à ouvrir les frontières avec le Maroc ou se cherche des Algériens plus Algériens que les Algériens. Passons donc.

Pourquoi en reparler aujourd’hui?

Parce que Bouteflika a mal, justement. Un Président qui souffre de la frontière. Le 23 janvier 2012, le tout frais ministre marocain des Affaires étrangères, Saâdeddine El Othmani, débarque à Alger pour un premier pas de bonne volonté après l’élection d’un gouvernement islamiste au royaume de Mohammed VI.
Bouteflika est heureux et, en infraction par rapport aux usages protocolaires, il reçoit le ministre marocain pendant trois heures et l’invite même à déjeuner. De quoi ont discuté les deux hommes ? Selon les confidences de Saâdeddine El Othmani aux journalistes marocains, Bouteflika lui a demandé des nouvelles de gens qu’il a connu là-bas et lui a apparu comme nostalgique. Oujda est une ville où il «n’est pas né» officiellement, mais qui lui manque terriblement, officieusement.

Pourquoi cache-t-il qu’il est né à Oujda?

Parce que. Les réponses sont du domaine de la psychologie, celle de l’individu ou des foules. Du domaine de la politique et de la pureté de la naissance «nationale», aussi. D’abord dans le cadre de l’ultranationalisme algérien, on est algérien par généalogie et la nationalité impose la condition du lieu de naissance et celle de la nationalité des géniteurs.
Ensuite, il s’agit d’histoires personnelles au plus haut sommet de l’Etat: le Maroc est un frère ennemi assis, on ne peut pas à la fois fermer les frontières, lui faire (ou en subir) deux ou trois guerres de sables, lui tourner le dos pendant qu’il vous tourne le dos, l’accuser de monarchisme par des révolutionnaires vieillis et lui supposer une adversité constante tout en étant né au Maroc.
Cela gène un peu la pureté du nationalisme de souche, alimente la bouche des adversaires politiques nés en Algérie, suppose une sorte de trahison passive à la naissance ou une tiédeur du nationalisme génétique. On ne sait pas. On ne sait plus. L’essentiel est donc dans la manie: cacher être né à Oujda, au Maroc. C’est un droit souverain et rare que celui de pouvoir changer de lieu de naissance, même 70 ans après les faits. 

Best-of des animaux rigolos en 2013

La première victoire de la Toile marocaine

Avec l’affaire du retrait rapide du projet de Code Numérique, le gouvernement vient indiscutablement de marquer un point aux yeux de l’opinion publique et singulièrement des internautes et autres aficionados des réseaux sociaux, souvent mal disposés à son égard.


Et cette décision prend d’autant plus de relief qu’elle émane d’un ministre récemment entré dans l’équipe Benkirane, sans expérience politique donc, mais non sans intelligence. Il est vrai que ce ministre, Moulay Hafid Elalamy en l’occurrence, 


est l’un des très rares membres du gouvernement à s’intéresser à la Toile de façon personnelle, et Moulay Hafid Elalamy dispose d’un compte Twitter, qui plus est certifié officiel.

Le report de l’examen du projet de Code numérique par le gouvernement est une victoire de la mobilisation extrêmement rapide des réseaux sociaux, certes, mais c’est aussi une victoire de la démocratie, de la liberté d’expression et il est heureux que ce soit dans ce Maroc de la Constitution de juillet 2011 qu’elle ait été acquise !

10 bonnes raisons de ne pas épouser un Pakistanais

  • L’ammijaan
    la fameuse belle-mère
    . Reine idolâtrée du foyer, ses tâches
    consistent à vous critiquer affectueusement devant votre mari, à vous décocher des remarques acerbes en son absence et à vous poursuivre en pleine nuit, y compris dans l’intimité de votre chambre.
Elle ne vous pardonnera pas la moindre faute et prendra plaisir à vous regarder vous tortiller, l’air embarrassé, sur votre chaise. Tout en vous assurant qu’elle vous considère comme sa propre fille, elle vous interdira de changer quoi que ce soit dans la maison, y compris la marque du thé. Ne vous y essayez pas ! Elle se justifierait en disant qu’elle  prend cette marque depuis des années.

Résultat de recherche d'images pour "10 bonnes raisons de ne pas épouser un Pakistanais"

Si vous vous mariez, vous pourrez dire adieu à votre thé favori car, lorsque votre belle-mère mourra, votre mari – qui est avant tout son fils – vous dira que le thé qu’elle achetait lui rappelle sa mémoire et ce sera la seule marque autorisée dans la maison, bien qu’elle ne soit plus là !
Au Pakistan, une belle-mère a le droit divin de vous dire exactement ce qu’elle pense de votre relation avec votre mari – qui est avant tout son fils – et elle vous donnera toutes sortes d’avis non sollicités, que cela vous plaise ou non. Cela fait partie intégrante du rôle d’une belle-mère pakistanaise. N’oubliez pas : votre malheur fait son bonheur ; votre victoire est sa défaite !
  • Vous devrez faire des compromis sur tout.
    Votre mari non, mais vous oui. Bien évidemment, vous ne devrez jamais lui
    donner l’impression que vous êtes malheureuse, car cela lui ferait de la peine.
    Aveuglé par le malheur de l‘ “injuste pression” que vous exercez sur lui, il
    n’aurait d’autre choix que de vous quitter. Et – tadaaa ! – vous seriez
    divorcée.
  • Pour épouser ce très bon parti, vous devrez l’impressionner.
    Non pas par votre beauté, votre charme, votre personnalité… Non,
    ce pauvre… heu… prince vous présentera une longue liste de demandes [de dot]. Votre belle famille voudra des climatiseurs, des réfrigérateurs, des ustensiles de cuisine, des motos et peut-être même votre nuisette. Elle n’a apparemment jamais rien eu de tout cela avant que Son Altesse ne vous rencontre. Mais ne le prenez pas à la légère : la dot peut – ce n’est pas rare – susciter d’énormes querelles. Parfois, dans un accès de cupidité, on peut vous brûler à l’acide ou même vous tuer pour ne pas avoir apporté votre dernier cure-dent !
  • Vous devrez vivre avec une dizaine de personnes
    [les femmes vivent dans la famille de leur
    mari et donc avec leurs beaux-parents et souvent leurs beaux-frères] dans une maison exiguë et encombrée. Votre mari ne voudra jamais laisser sa maman adorée pour aller vivre dans une autre maison avec vous. Un garçon à sa maman, dites-vous ? Quel euphémisme !
Vous vivrez non seulement avec ses parents, mais avec ses trois frères et leur famille. Tous voudront être informés de l’évolution de votre relation et vous devrez leur indiquer tous les tenants et aboutissants de l’histoire car, après tout, ils font partie de votre famille et vous ne devez rien leur cacher. D’ailleurs, comme vous serez tout le temps ensemble, même si vous ne leur dites rien, ils finiront par savoir !
Qu’avez-vous dit ? L’intimité ? Je suis désolée, mais je ne crois pas avoir jamais entendu ce mot, ni connaître son sens.
  • Vous dites que vous voulez aller voir un ami de la fac ?
    Ne vous aventurez pas à passer la porte.
    Mes chères demoiselles, vous serez leur propriété, et votre mari pakistanais ne vous “autorisera” pas à traîner avec des hommes (seules les dévergondées font ça). Ne le harcelez pas pour qu’il vous laisse aller au cinéma avec vos amies, car il pourrait vous traiter de tous les noms ou aller pleurer dans le giron de sa mère, qui prendra parti pour lui, et ce petit tête-à-tête se soldera par un SMS vous menaçant de divorcer [les hommes n’ont qu’à prononcer ou même écrire trois fois : talak].
  • Vous n’aurez pas voix au chapitre en matière de planning familial.
    Votre corps lui appartient.
    Il décidera de tout, de la conception de vos enfants à leur nombre. S’il le pouvait, il vous programmerait pour que vous accouchiez d’un bébé ayant le sexe de son choix.
    C’est très gentil de votre part d’avoir pensé que ce petit rayon de soleil
    serait aussi à vous, mais ne vous inquiétez pas, il le sera quand il faudra lui
    donner le bain, préparer ses repas, l’éduquer et le mettre au lit ; le reste du temps, le père est le “grand chef”.
Oh, vous pensiez que l’effort serait collectif et qu’il vous aiderait à élever l’enfant ? De grâce, il vous fait suffisamment de faveurs en couvrant les frais de son éducation et de son bien-être.
Ne comptez pas qu’il se lève en pleine nuit pour changer ses couches :
cette humble tâche est réservée aux femmes.
  • En toutes circonstances, vous serez censée
    agir d’une manière convenable et digne. Vous apprendrez à ne pas vous laisser aller et vous souvenir que vous ne devez pas traîner en pyjama ou simplement vous détendre, même lorsque vous serez seule. Ce serait manquer de respect aux mânes de la maison. Et manifestement, si vous les offensiez, vous offenseriez aussi la famille de votre mari, ce qui constituerait un grave péché.
Vous ne comprenez pas ? Oh, vous avez toujours été comme ça et il le savait avant de vous épouser ? Tant pis pour vous, ce temps-là est révolu. Cessez
d’être vous-même, c’était mignon à l’époque, mais aujourd’hui il ne peut plus
le supporter.
  • Vous n’aurez aucune part dans le patrimoine
    de votre mari tant que ses parents seront en vie. Vous devrez attendre qu’ils rendent l’âme. Et, avec votre chance, ils pourraient vivre plus longtemps que vous.
  • Vous devrez accomplir toutes les tâches
    ménagères par vous-même ; n’attendez aucune aide de votre mari. Sa participation porterait atteinte à sa virilité et à son ego. Vous avez le devoir absolu de vous occuper de la maison de sorte que sa mère n’ait pas à lever le petit doigt !
    Surtout ne vous imaginez pas que vous l’avez épousé pour devenir sa femme, vous êtes juste l’assistante de sa mère.
  • Vous ne devrez rien faire qui puisse
    l’offenser. Ne le soupçonnez jamais de vous tromper et ne lui faites pas savoir qu’il a mauvaise haleine ou qu’il ronfle. Il vous menacera de divorcer chaque fois que vous oserez ouvrir la bouche.
Si, malgré tout, vous avez réellement envie d’épouser un Pakistanais, vous auriez intérêt à vous considérer comme sa marionnette. Laissez-le faire ce qu’il veut, ne parlez pas sans sa permission, ne réagissez pas sans sa permission, en fait, ne respirez pas sans sa permission. Et tout ira bien.

Hongrie.

La Hongrie (en hongrois : Magyarország, [ˈmɒɟɒɾoɾsaːg]) est une république constitutionnelle unitaire située en Europe centrale. Elle a pour capitale Budapest, pour langue officielle le hongrois et pour monnaie le forint. Son drapeau est constitué de trois bandes horizontales, rouge, blanche et verte et son hymne national est l'Himnusz. D'une superficie de 93 030 km2, elle s'étend sur 250 km du nord au sud et 524 km d'est en ouest. Elle a 2 009 km de frontières avec l'Autriche à l'ouest, la Serbie, la Croatie et la Slovénie au sud et sud-ouest, la Roumanie au sud-est, l'Ukraine au nord-est et la Slovaquie au nord.

 
Peuplée d'environ 10 millions d'habitants, la Hongrie est une puissance moyenne à l'échelle européenne. Elle est dotée d'une économie de type capitaliste avec un secteur public encore important.
La Hongrie est membre du Groupe de Visegrád, de l'Union européenne, de l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord, de l'Organisation mondiale du commerce et de l'Organisation des Nations unies.

 
 Armoirie Hongroises.

 Drapeau Hongrois.
 
                                          
Hymne national
Himnusz

 

 
Forme de l'État :
République parlementaire
 
 
 
 
Langues officielles :
Hongrois
Capitale :
 
Budapest47° 30′ N 19° 15′ E / 47.500, 19.250 / 47.500; 19.250

 

 
Plus grande ville :
Budapest
Superficie totale :
93 029 km2
(classé 108e)
Superficie en eau :
0,74 %
Fuseau horaire :
UTC +1: (CET); Heure d'été: UTC+2: (CEST)

 

 
- Principauté de Hongrie :
- Royaume de Hongrie :
896
1000

 

 
Gentilé :
hongrois, hongroise
Population totale  :(oct 2011)
9 937 628[1] hab.
(classé 78e)
Densité :
107 hab./km2

 

 
IDH (2009) :
0,879 (élevé) (43e)
Monnaie :
Forint (HUF)

 

 
Code ISO 3166-1 :
HUN, HU
Domaine Internet :
.hu
Indicatif téléphonique :
+36


VOYAGE EN HONGRIE :


 


 


 



 
MUSIQUES ET DANSES HONGROISES.


 


 


 


Une statue géante de Nelson Mandela.

Neuf mètres de haut, 4,5 tonnes de bronze: une statue géante de Nelson Mandela, les bras ouverts en signe de réconciliation, a été dévoilée lundi 16 décembre au siège de la présidence sud-africaine à Pretoria. La sculpture a été créée par les Sud-Africains Andre Prinsloo et Ruhan Janse van Vuuren. Elle a coûté 8 millions de rands (800.000 dollars, 564.000 euros) et est présentée comme la plus grande statue au monde de Nelson Mandela.

 Image Temporaire

Virus du sida : vers un gel microbicide contenant du venin d’abeille ?


Depuis des années, les scientifiques du monde entier tentent de trouver un autre moyen que le préservatif pour prévenir la transmission du virus du sida. Un pas significatif a peut-être été franchi par des chercheurs américains. Ils ont mis au point des nanoparticules transportant une toxine provenant du venin d’abeille qui détruit, in vitro, le virus de l’immunodéficience humaine (VIH).
Mais attention, s’il s’agit d’une piste prometteuse, ce n’est encore pour le moment qu’une piste…


Les meilleures villes pour les jeunes

Ces 10 villes du YouthfulCities Index arrivent en tête du classement des meilleures villes pour les jeunes !
L'indice classe 25 villes de partout sur la planète en fonction de 80 critères (qualité de vie, possibilité d'emploi, divertissement, etc) qui sont importants pour les jeunes de 15 à 29 ans.


Toronto
 Toronto
La plus grande ville du Canada termine au
premier rang mondial des meilleures villes pour les jeunes.
Toronto s'est classée dans le haut du classement
 dans plusieurs catégories.
 

Berlin
 Berlin
La ville allemande est arrivée première dans
 deux catégories: transports, et musique et film.
Berlin a moins bien fait dans la catégorie
de participation citoyenne.
New York
New York
La capitale économique des États-Unis s'est démarquée
 dans une catégorie qu'on n'attendait pas: la participation
 citoyenne. NYC a aussi bien fait en matière d'emplo
i pour les jeunes. L'accès à l'éducation
est le côté faible de New York..
 
Dallas
 Dallas
La ville américaine s'est démarquée pour son
 aménagement extérieur, pour ses installations
 sportives et pour son esprit entrepreneurial.
 Par contre, Dallas est arrivée avant-dernière
en matière de développement durable.
Paris
 Paris
La capitale française est arrivée première dans
 l'accès numérique et dans la catégorie mode
 (on s'en doutait un peu!), mais
19e pour l'entrepreneuriat.
Chicago
 Chicago
La ville des vents a terminé en première position
 dans 5 catégories, mais est arrivée en
 21e place dans le développement durable.
Londres
 Londres
La ville britannique est arrivée seconde dans
 la catégorie diversité, mais
21e pour les possibilités d'emploi.
Los Angeles
 Los Angeles
La ville de la côte ouest américaine est arrivée
 première dans la catégorie entrepreneuriat,
 mais parmi les dernières en ce qui
 a trait à la sécurité et la santé mentale.
Tokyo
 Tokyo
La ville japonaise est arrivée première dans
 le statut économique, mais dernière dans la vie citoyenne.
Seoul
 Seoul
La ville coréenne est arrivée première dans
 la catégorie développement durable,
 mais dernière dans la santé mentale et la sécurité

Alunissage du premier rover chinois.




La Chine est devenue samedi la troisième nation mondiale, après les USA et la Russie,  à réussir un alunissage en douceur, avec sa sonde spatiale Chang’e-3 qui devait déposer dimanche sur la surface lunaire un véhicule d’exploration téléguidé, le «Lapin de jade».

 
La chine qui rêve d’être le premier pays asiatique à envoyer sur la lune dans l’avenir. Cet exploit technologique, que sont uniquement parvenus à réaliser les Etats-Unis et l’URSS, marque une étape importante dans l’ambitieux programme spatial de la Chine, qui rêve d’être le premier pays asiatique à envoyer un homme sur la Lune, probablement après 2025.

vehicule d'exploration lunaire autonome chinois
 
Le processus final de descente du module de Chang’e-3, depuis une altitude de 15 kilomètres au-dessus de la surface lunaire, a débuté à 21H00 (13H00 GMT) et duré douze minutes, selon une diffusion en direct à la télévision chinoise, doublée d’images de synthèse.
 La sonde Chang’e-3 avait été lancée le 1er décembre par une fusée Longue Marche depuis la base de lancement des satellites de Xichang, dans la province du Sichuan (sud-ouest).
 Le «Lapin de jade» est un engin tout-terrain à six roues, bourré d’électronique et pesant environ 120 kilos. Il sera chargé d’effectuer des analyses scientifiques, notamment géologiques.

 
Doté de panneaux solaires pour se fournir en énergie, il enverra aussi vers la Terre des images en trois dimensions de son satellite.
L’engin sera opérationnel pendant trois mois, durant lesquels il se déplacera à une vitesse maximale de 200 mètres par heure.
 Mais, tout comme pour son premier vol spatial habité il y dix ans, la Chine se trouve toujours dans une phase de rattrapage technologique en reproduisant des expériences réalisées il y a des décennies par les Américains .