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Récitation du Saint Coran et les chansons arabo-berbères de l'américaine jenifer Grout

Récitation du saint Coran par Jenifer








L'Américaine Jennifer GROUT chante en langue amazighe


  



Jennifer, l'Américaine qui chante Oum Kalthoum à la perfection




Jennifer, l'Américaine chante Smahane


 Jennifer Grout chante en prison








Chansons en arabes, de Jenifer, au Canada




OMS : Le coronavirus n’est pas aéroporté


Face aux inquiétudes de la population, et aux rumeurs publiées sur les réseaux sociaux, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a souhaité mettre les choses au clair.
Le coronavirus n’est transmis que par contact avec des gouttelettes respiratoires de la toux ou des éternuements d’une personne malade et il n’y a aucune preuve de transmission par voie aérienne, confirme une étude publiée par l’OMS.
Après avoir analysé les modes de transmission du virus, « la contagion peut se produire par contact direct avec une personne infectée ou par contact avec une surface ou un objet qui a été utilisé », explique l’Organisation mondiale de la santé.
En outre, l’OMS prévient que les masques faciaux ne sont pas efficaces en tant que mesure de protection individuelle, car le coronavirus n’est pas en suspension dans l’air. « La transmission des gouttelettes se produit lorsqu’une personne qui est en contact étroit (moins d’un mètre) avec une autre qui présente des symptômes respiratoires (tels que la toux ou les éternuements) et est donc à risque d’exposer sa propre muqueuse (bouche et nez) ou ses yeux à ces gouttelettes respiratoires potentiellement infectieuses « , explique le rapport de l’OMS.
L’OMS souligne que l’utilisation d’équipements de protection individuelle, non seulement les masques, « est rationnelle » et que ces équipements sont réservés aux agents de santé. L’OMS continue de recommander que seules les personnes en contact direct avec des patients atteints du virus prennent les précautions nécessaires pour se protéger des gouttes respiratoires et des aérosols avec des équipements de protection tels que masques, lunettes, gants et blouses.
Les recommandations de l’OMS sont les suivantes: se laver les mains, maintenir une distance physique d’au moins un mètre ou un mètre et demi, éviter tout contact étroit et non protégé avec des personnes présentant des symptômes respiratoires ou de la fièvre, et nettoyer et désinfecter avec de l’eau de Javel ou d’autres produits désinfectants les surfaces potentiellement contaminées.

Les villes américaines abandonnées.

Les villes fantômes les plus impressionnantes du monde !

Vous pouvez explorer tranquillement des villes entières en rentrant dans les bâtiments que vous voulez. Certaines de ces villes existent vraiment et qu’il est possible de s’y rendre. On peut vous présenter plusieurs villes fantômes qu’il est possible de visiter sans être déranger par une masse de touristes.


En Inde, voilà comment un policier explique le danger du Coronavirus aux gens


Depuis que 1,3 milliards d’indiens sont confinés pour une durée de 21 jours à cause du Coronavirus, ceux qui sont autorisés à circuler font face à une campagne de sensibilisation du genre qu’on voit sur cette image.
Le danger est réel même s’il n’est pas visible à l’œil nu, alors en Inde on a été « créatif » et inventé un casque illustrant le virus et en couleur en plus. C’est effrayant sans nul doute, mais très pédagogique.

Il était une fois dans l'Ouest, à Bodie aux Etats-Unis

Ancienne ville de chercheurs d'or au coeur du désert californien, Bodie a connu nombre de meurtres et règlements de compte. Les amateurs de western trouveront sans doute leur compte dans cette ville minière dont la prospérité, et une large part de l'activité, s'est arrêtée en 1932 après un second incendie qui en ravagea le centre. Considéré comme site historique, la ville est désormais conservée dans un état de "délabrement arrêté". ce qui revient à dire que la ruine n'évolue plus, et que les touristes ont remplacé les pillards éventuels.





Houtouwan, l'ancien village de pêcheurs en Chine

Situé en mer de Chine, Houtouwan illustre à merveille l'image de la nature qui reprend ses droits. Cette petite ville sur la côte septentrionale de l'île de Shengshan, au large de Shangaï, a compté jusqu'à 2 000 habitants. Aujourd'hui, ils ne sont plus qu'une poignée à y vivre, sans doute trop âgés pour vouloir partir. La cause de cet abandon presque total du village est sans doute à chercher dans la géographie du lieu, particulièrement escarpé. Les maisons sont aujourd'hui presque entièrement recouvertes, étouffées même, par la vigne vierge.



La Route 66 : urbex road trip aux Etats-Unis

Déclassée en 1985, la Route 66 est jalonnée de "Bagdad Cafés" décrépits, témoins d'un passé mythique. Première route transcontinentale goudronnée, achevée en 1936, elle traversait 8 Etats au long de ses 3 665 km entre Chicago et Santa Monica. Après 1945, des villes entières vont se développer le long de cet axe, ainsi que des motels, stations-services et boutiques qui vont prospérer. Pourtant, son arrête de mort est signé en 1954 lorsque le Président Eisenhower lance un immense chantier de construction d'autoroutes. La Route 66 est alors concurrencée par l'Interstate 40. Aujourd'hui la Route 66 n'est plus une route mais une curiosité touristique ponctuée de lieux abandonnés.







Coronavirus : un vaccin en un temps record ?

Coronavirus: un vaccin révolutionnaire bientôt testé aux USA, mais pas accessible à tout le monde ?

Alors que les plus optimistes prévoyaient, au mieux, un vaccin pour l'automne 2021, un laboratoire américain vient d'annoncer avoir mis au point un vaccin qui pourrait déjà être testé sur des humains dès le mois d'avril de cette année.


 Une avancée majeure qui, si elle s'avérait concluante, pourrait permettre de lancer une campagne de vaccination dès l'hiver prochain, un gain de temps substantiel dans la course contre le Coronavirus. Donald Trump lui-même lors de son intervention de ce mercredi 26 février se disait confiant sur la capacité des Etats-Unis à trouver un vaccin rapidement. Le président américain a d'ailleurs demandé au Congrès de débloquer un milliard de dollars afin de financer la recherche du vaccin.

Selon le protocole en vigueur, une vingtaine de volontaires sains devraient tester ce vaccin. Les premiers résultats devraient être connus pour le mois d’août 2020.
Selon le protocole en vigueur, une vingtaine de volontaires sains
 devraient tester ce vaccin. Les premiers résultats devraient être connus
 pour le mois d’août 2020.
C'est la société américaine Moderna, active dans les biotechnologies et cotée au NASDAQ, qui l'a annoncé dans un communiqué la nuit dernière, ses chercheurs ont mis au point un vaccin à ARN messager prêt à être testé sur l’homme.


 Le premier lot de ce vaccin d'un genre nouveau, l'ARNm-1273, a été expédié à l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIH/NIAID) afin que celui-ci puisse effectuer les premiers essais cliniques vers la fin avril. Selon le protocole en vigueur, une vingtaine de volontaires sains devraient tester ce vaccin. Les premiers résultats devraient être connus pour le mois d’août 2020. S’ils s’avèrent concluants, cela permettrait d’avoir un vaccin opérationnel pour l’hiver 2020-2021. L’information est d’autant plus intéressante que jusqu’à présent les scénarios les plus optimistes faisaient état d’un vaccin pour la fin de l’été 2021.



La couche d’ozone est vraiment en train de se rétablir

On ne peut pas dire que les derniers mois étaient caractérisés par des bonnes nouvelles environnementales, entre les incendies en Amazonie et en Australie, lourds de conséquences, ou de nombreux records de température. Pour freiner le changement climatique et les désastres écologiques, il n’y a pas de meilleure solution que d’agir. Preuve en est : la couche d’ozone se porte mieux. En 2019, le trou dans la couche d’ozone était le plus petit jamais enregistré depuis que nous l’avons généré. Un article de recherche publié le 25 mars 2020 dans Nature fait le point sur cette amélioration, et vient démontrer que c’est entièrement grâce aux actions internationales concrètes.

Pour les cinq auteurs de cette étude, il y a bel et bien une « pause », voire un retour en arrière, dans la dégradation de la couche d’ozone. Elle se reconstitue, principalement à l’hémisphère sud. Ensuite, cette tendance positive provient, selon leurs travaux, du protocole de Montréal. Entré en vigueur en 1989, il se traduisait par un accord multilatéral (entre plusieurs États) visant à réduire drastiquement puis totalement les émissions de toutes les substances toxiques responsables du trou dans la couche d’ozone.

Représentation du trou dans la couche d’ozone 

LA TRAJECTOIRE DU JET STREAM SUD REVIENT À LA NORMALE
Les chercheurs ont relevé des changements majeurs dans la circulation de l’air au niveau de l’hémisphère sud. Ils portent leur attention plus spécifiquement sur les courant-jets, plus couramment appelés sous leur appellation anglophone jet streams. Il s’agit en fait d’un courant d’air atmosphérique très rapide et compact. Dans la deuxième partie du XXe siècle, et au moment où le protocole de Montréal a été adopté, on relevait que le jet stream du Sud sortait de sa trajectoire habituelle pour se déplacer toujours plus vers le Pôle Sud. Cette mutation non-naturelle provoquait des changements dans les courants océaniques, les précipitations, les tempêtes. Cette sortie de route est attribuée à la dégradation de la couche d’ozone. On sait par exemple que l’amoindrissement des pluies en Australie, ce qui est facteur de sécheresse accrue, est causé par la fuite du jet stream vers le pôle Sud.

Dans l’étude parue dans Nature, les auteurs relèvent qu’autour de l’année 2000, ce jet stream ré-inverse sa trajectoire, corrigeant la sortie de route. Et ce changement est en corrélation avec le début de la « guérison » de la couche d’ozone de l’hémisphère sud. Les chercheurs ont alors passé des données des années 1980 à 2017 au crible de modélisations atmosphériques et de simulations informatiques, jusqu’à en déduire que cette correction de trajectoire n’est pas une « coïncidence ». Ce n’est pas la conséquence d’un phénomène climatique naturel, mais bien le résultat du protocole de Montréal, qui conduit à l’amoindrissement progressif du trou dans la couche d’ozone.

Cette étude permet aussi de bien comprendre la réaction en chaîne causée par les activités humaines sur le climat terrestre. La libération de produits néfastes provoque un trou dans la couche d’ozone, ce qui perturbe la circulation de l’air au niveau de tout un hémisphère jusqu’à causer des sécheresses à cause de ces perturbations. En ne libérant plus ces produits, la couche d’ozone peut se reformer et la circulation de l’air reprendre sa trajectoire habituelle, ce qui pourra, in fine, rétablir un climat normal.

Attention toutefois, il ne faut pas s’attendre à ce que le trou dans la couche d’ozone soit pleinement comblé en seulement quelques années. Les substances toxiques qui ont été bannies ont une longue durée de vie dans l’atmosphère : il faudra quelques décennies avant une « guérison » complète. Par ailleurs, malgré ces interdictions du protocole de Montréal, les émissions néfastes pour le climat n’ont pas dit leur dernier mot, puisque freiner des émissions carbone croissantes est un enjeu écologique de premier plan. Cette étude dans Nature vient en tout cas prouver que les actions internationales comptent.

Le faux abandon du temple de Ta Prohm au Cambodge

Temple énigmatique du site d'Angkor, le Ta Prohm semble avoir figé une image de l'oubli, pour la postérité. Ce temple montagne du XIIe siècle a été redécouvert par les archéologues au XXe siècle. Ni plus beau que les autres, ni plus grand, il fut choisi par l'Ecole française d'Extrême-Orient pour servir de témoin et de "concession au goût général pour le pittoresque", selon les mots du conservateur du site d'Angkor, Maurice Victor Glaize.




Tempêtes sur Cape Romano Dome House aux Etats-Unis

Ultra-moderne et futuriste, la maison Cape Romano a résisté à plusieurs cyclones avant de glisser, lentement, dans l'océan, au large de la Floride. Il s'agit d'une maison construite vers 1980 par Bob Lee, un industriel pétrolier à la retraite. Un projet architectural singulier et en avance sur son temps, autonome en énergie, composé de plusieurs structures en forme de dômes sur pilotis situé sur une plage de rêve. Mais l'ouragan Wilma en 2005 puis Irma en 2017 ont eu raison de la structure.


Un homme meurt du Hantavirus en Chine.

Quel est ce virus qui se propage principalement par les rongeurs ?
Les hantavirus sont une famille de virus qui se propagent principalement par les rongeurs et qui peuvent provoquer des syndromes de maladies variés chez l’humain. L'infection par n'importe lequel d’entre eux peut provoquer une maladie à hantavirus chez l'homme.
Aux Amériques, les hantavirus sont connus comme les hantavirus du “nouveau monde” et peuvent provoquer le syndrome pulmonaire à hantavirus (HPS). D'autres sont appelés hantavirus du “vieux monde” et se trouvent principalement en Europe et en Asie et peuvent provoquer une fièvre hémorragique avec syndrome rénal (HFRS). Le National Center for Biotechnology Information (NCBI) des États-Unis estime que l’hantavirus comprend actuellement plus de 21 espèces différentes.
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Comment se transmet-il ?
Chaque hantavirus est porté par un rongeur différent et se transmet aux humains via un virus aérosol qui provient de l’urine, des matières fécales, de la salive et moins fréquemment d’une morsure d'un rongeur infecté. C’est-à-dire que cela peut se produire en respirant les urines ou les excréments des rongeurs infectés qui sont remués dans l’air, ou alors en touchant de l'urine, les excréments ou la salive d’un rongeur infecté et de toucher ses yeux, son nez ou sa bouche.
Toujours selon le Center for Disease Control and Prevention des États-Unis, les cas de transmission de personne à personne sont rares. Quelques cas avaient été observés au Chili et en Argentine avec un type de hantavirus appelé virus des Andes.

Quels sont les symptômes ?
Les personnes atteintes de l’hantavirus ont :
    - de la fièvre, 
    - des douleurs musculaires importantes 
    - de la fatigue.
    - Après plusieurs jours, elles ont également des difficultés à respirer.
    - D’autres symptômes peuvent apparaître comme :
                . des frissons, 
                . des douleurs abdominales, 
                . des maux de tête, 
                . des étourdissements, 
                . des nausées, 
                . des vomissements 
                . et de la diarrhée.

Un Chinois est décédé des suites de l’hantavirus, alors qu’il se trouvait dans un bus dans la province du Shandong, située à l'est de la Chine.
L’hantavirus peut provoquer des maladies variées chez les humains mais il est généralement transmis par les rats. 


L’annonce de la mort d’un homme de la province chinoise du Yunnan des suites de l'hantavirus a semé la panique à l’heure où le Covid-19 décime de nombreux pays.

Le radar muet Duga-1 en Ukraine

Bien connu des radioamateurs, le "pic vert" de Tchernobyl a cessé toute communication lors de l'évacuation de la zone en 1986. Il aura fallu l'abandon de la zone après la catastrophe nucléaire pour que les autorités soviétiques admettent l'existence d'une base militaire de détection de missiles à Gomel, près de Tchernobyl. Une base installée en pleine guerre froide, vers 1970, occupée par 1 500 personnes, et équipée d'un radar transhorizon tourné vers le nord. Sa mission : repérer des missiles intercontinentaux à plusieurs milliers de kilomètres. Depuis 2013, des visites sont organisées par des agences de voyages.





Le centre de congrès de Buzludzha en Bulgarie

A l'instar d'autres monuments du communisme triomphant de l'époque de la Guerre froide, Buzludzha s'est élevé au rang d'incontournable de l'urbex. L'état actuel du bâtiment, inauguré en 1981 et abandonné dès 1989 à la chute du régime communiste ne fait guère honneur à l'ambition initiale : une impressionnante salle de congrès à la forme circulaire, dominée par une tour de 70 mètres, au sommet de la montagne de Buzludzha.





 Après trois décennies d'abandon, les tags se mêlent à la propagande communiste.





Le sommeil du dragon au parc aquatique au Vietnam

A quelques kilomètres de la cité impériale vietnamienne de Hué, un grand dragon endormi veille sur le lac Thuy Tiên. Entre soucoupe volante et figure légendaire, le dragon reste l'attraction principale du parc abandonné de Thuy Tiên. ce parc aquatique a été inauguré en 2004, alors qu'il était inachevé, et a fermé ses portes deux ans plus tard. Aujourd'hui, moyennant une "amende" de principe, peu élevé, un droit d'entrée non officiel, le curieux peut déambuler dans ce parc aquatique installé autour d'un lac artificiel.



Fermé peu après son inauguration, le parc de Thuy Tiên a conservé toutes ses installations presque intactes.

5 GESTES "BARRIÈRE" Pour freiner le coronavirus



  1. MAINS : Lavez-les souvent
  2. COUDE : Toussez dedans
  3. VISAGE : Évitez de le toucher
  4. DISTANCE : Gardez-les
  5. PREVENTION : .Restez chez vous

Mesures de protection essentielles contre le nouveau coronavirus

Prenez soin de votre santé et protégez les autres en suivant les conseils ci-après :

Se laver fréquemment les mains
Se laver fréquemment les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon
Pourquoi ? Se laver les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon tue le virus s’il est présent sur vos mains.

Éviter les contacts proches
Maintenir une distance d’au moins 1 mètre avec les autres personnes, en particulier si elles toussent, éternuent ou ont de la fièvre.
Pourquoi ? Lorsqu’une personne infectée par un virus respiratoire, comme la COVID-19, tousse ou éternue, elle projette de petites gouttelettes contenant le virus. Si vous êtes trop près, vous pouvez inhaler le virus.

Éviter de se toucher les yeux, le nez et la bouche.
Pourquoi ? Les mains sont en contact avec de nombreuses surfaces qui peuvent être contaminées par le virus. Si vous vous touchez les yeux, le nez ou la bouche, vous risquez d’être en contact avec le virus présent sur ces surfaces.

Respecter les règles d’hygiène respiratoire
Se couvrir la bouche et le nez avec le pli du coude ou avec un mouchoir en cas de toux ou d’éternuement – jeter le mouchoir immédiatement après dans une poubelle fermée et se laver les mains avec une solution hydroalcoolique ou à l’eau et au savon.
Pourquoi ? Se couvrir la bouche et le nez en cas de toux ou d’éternuement permet d’éviter la propagation des virus et autres agents pathogènes.
Tenez-vous informé et suivez les conseils de votre médecin

Tenez-vous au courant des dernières évolutions concernant la COVID-19. Suivez les conseils de votre médecin, des autorités de santé nationales et locales ou de votre employeur pour savoir comment vous protéger et protéger les autres de la COVID-19.
Pourquoi ? Ce sont les autorités nationales et locales qui disposent des informations les plus récentes sur la propagation ou non de la COVID-19 dans la région où vous vous trouvez. Elles sont les mieux placées pour expliquer ce que les personnes dans votre région devraient faire pour se protéger.
Mesures de protection pour les personnes qui se trouvent ou qui se sont récemment rendues (au cours des 14 derniers jours) dans des régions où la COVID-19 se propage.

Suivez les conseils présentés ci-dessus.

Si vous commencez à vous sentir mal, même si vous n’avez que des symptômes bénins comme des maux de tête et un faible écoulement nasal, restez chez vous jusqu’à la guérison. Pourquoi ? Éviter d’entrer en contact avec d’autres personnes et de se rendre dans des établissements de santé permettra à ces établissements de fonctionner plus efficacement et vous protègera, ainsi que les autres personnes, de la COVID-19 et d’autres maladies virales.
En cas de fièvre, de toux et de difficultés respiratoires, consultez un médecin sans tarder, car il peut s’agir d’une infection respiratoire ou d’une autre affection grave. Appelez votre médecin et indiquez-lui si vous avez récemment voyagé ou été en contact avec des voyageurs. Pourquoi ? Si vous l’appelez, votre médecin pourra vous orienter rapidement vers l’établissement de santé le plus adapté. En outre, cela vous protègera et évitera la propagation de la COVID-19 et d’autres maladies virales.

L'OMS vous répond

Q : Faut-il éviter de se serrer la main à cause du nouveau coronavirus ?

R : Oui. On peut contracter les virus respiratoires en serrant la main à quelqu’un puis en se touchant les yeux, le nez ou la bouche. Saluez d’un signe de la main ou de la tête, ou encore en vous inclinant.

Q : Comment saluer une personne pour éviter d’attraper le nouveau coronavirus ?

R : Le moyen le plus sûr de se saluer pour prévenir la COVID-19 est d’éviter les contacts physiques. On peut saluer d’un signe de la main ou de la tête, ou encore en s’inclinant.

Q : Le port de gants en caoutchouc dans les lieux publics permet-il d’éviter l’infection par le nouveau coronavirus ?

R : Non. Le fait de se laver les mains régulièrement protège mieux contre la COVID-19 que le port de gants en caoutchouc. Le virus peut se trouver sur les gants et il y a un risque de contamination si vous vous touchez le visage avec les gants.

Faire face au stress durant la flambée de maladie à coronavirus COVID-19