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Voici le meilleur semi-conducteur au monde, selon le MIT


Le silicium est désormais au cœur de notre quotidien. Dans nos smartphones. Dans nos panneaux solaires photovoltaïques. Il n'est pourtant pas parfait. Mais ce nouveau matériau étudié de près par des chercheurs pourrait bien l'être. Son nom, l'arséniure de bore cubique.

Flexi-jobs

Un flexi-job est une forme d’emploi permettant à un travailleur d'exercer un emploi complémentaire à des conditions avantageuses :

  • En tant qu'employeur, vous ne payez qu'une cotisation patronale de 25 % pour un travailleur flexi-job. Autrement dit : pas de cotisations de sécurité sociale ordinaires ni de précompte professionnel.
  • Votre travailleur ne doit pas payer de cotisations des travailleurs ni de précompte professionnel sur le flexi-salaire. Il ne se retrouve pas dans une tranche d'imposition supérieure, mais acquiert des droits sociaux.
  • le travailleur doit déjà avoir un contrat de travail chez un autre employeur, à raison de minimum 4/5e temps.

Pourquoi porte-t-on sa montre au poignet gauche ?

On constate que la majorité des personnes, droitier ou gaucher, porte leur montre au poignet gauche.
La première raison est d'ordre pratique. En effet, les montres sont généralement fabriquées avec un remontoir à droite du cadran, mise à part quelques fabrications spécifiques pour gaucher. Le port de la montre à gauche rend donc plus aisé le remontage du mécanisme de mise à l'heure avec "la main forte".
La seconde raison est d'ordre sociétale. 90% de la population mondiale est droitière, il paraît donc naturel de porter sa montre au poignet gauche car l'autre poignet est souvent occupé à faire autre chose. En portant son garde-temps sur le bras qui travaille le moins, on réduit considérablement les risques de dégradation et d'usure.

Porter sa montre au poignet, une histoire récente...
La montre-bracelet est aujourd'hui tellement la norme qu'on imagine mal qu'elle était quasi-inexistante il y a 1 siècle. En effet, jusqu'à la fin de la Première Guerre mondiale, la montre de poche ou de gousset, était l'apanage des hommes de goût. A cette époque, les hommes portaient une montre de poche comme ils portaient un chapeau. Avant cette période, la montre-bracelet était avant tout un bijou destiné aux femmes, plus accessoires de mode que outil de précision horaire. Ainsi la première montre-bracelet mythique de l'histoire est le modèle féminin Reine de Naples, commandé à Breguet en 1810 par Caroline Murat, la soeur de Napoléon. D'ailleurs, Ce modèle fait toujours parti du catalogue de la marque Breguet.
Toutefois, la première montre portée au poignet connue est le fait de Blaise Pascal, philosophe, physicien et mathématicien français, qui vécut au 17ième siècle. Il avait pour habitude d'attacher sa montre de poche avec un bout de ficelle à son poignet gauche, pour pouvoir lire l'heure plus facilement. Finalement, le port de la montre au poignet gauche n'est peut-être que de la philosophie.

Pourquoi la Terre tourne-t-elle de plus en plus vite ?

Les scientifiques ont enregistré le jour le plus court depuis que des mesures sont réalisées.
Notre planète tourne en effet plus rapidement au niveau de l’équateur où sa circonférence est la plus grande. A cet endroit, sa vitesse est d’environ 1 669 kilomètres par heure alors qu’elle est par exemple, de 1 207 kilomètres par heure à Chicago.

D'après le site Time And Date, qui est la référence pour le suivi de l'heure dans le monde, le 29 juin 2022 a été la journée la plus rapide de notre histoire (depuis que des mesures sont faites, ndlr). La planète Terre a fini sa rotation 1,59 millième de seconde en-dessous des 24 heures. Le dernier record date de 2020. La Terre tourne donc plus vite sur elle-même.

C’est un phénomène tout à fait normal et périodique qu’on peut expliquer et modéliser. Sur un ou deux ans, il est notamment établi que la vitesse varie de manière saisonnière.

Plusieurs phénomènes sont à l'origine de ces fluctuations.
En premier, le "transport de masse dans l’atmosphère, autrement dit les vents". Ces mouvements sont à l'origine de 80% des variations de la vitesse de la Terre.

La seconde cause majeure réside dans les marées. En effet, ces dernières peuvent modifier la surface de la Terre par leur mouvement, leur intensité et leur variabilité. Le phénomène est suffisamment fort pour produire 10 à 20% des variations de la durée de rotation.

Le dernier phénomène à souligner est l'évolution de notre couche terrestre. En effet, le noyau en fusion au centre de notre terre fait fondre les roches autour de lui. C'est précisément la circulation de cette chaleur, sous la croûte terrestre, qui influence également, sur le temps long, la durée de nos journées.

Quid du réchauffement climatique ?
Il reste néanmoins à savoir quelles seraient les variations à l'origine de l'accélération de la Terre de ces dernières années. La faute au réchauffement climatique ? Si la théorie est de plus en plus évoquée, aucune donnée ne nous permet de pointer cette cause du doigt : Aujourd’hui, on met tout sur le dos du changement climatique. Est-ce que la Terre tourne plus vite sous son effet ? On n'en sait rien. Affirmer cela est de la pure spéculation".
Néanmoins, nous savons que certains phénomènes climatiques, comme les tremblements de terre ou encore les ouragans peuvent influencer la durée de nos journées. Si le réchauffement climatique annonce une multiplication de ces phénomènes, il risque de jouer un rôle important dans les variations de vitesse de notre planète.




 

À quelle vitesse tourne la Terre sur elle-même ?

Tout d'abord, voyons notre déplacement à la surface de la Terre par rapport à son centre. En France métropolitaine, en raison de la tectonique des plaques, on parcourt en moyenne un centimètre par an vers l'est. L'Afrique quant à elle remonte de 2 centimètres par an vers le nord. Mais le record revient à la plaque pacifique qui avance d'environ 10 centimètres par an vers le nord-ouest.
Autre mouvement à prendre en compte : la rotation de la Terre sur elle-même. Aux latitudes de la France, elle est d'environ 1.100 kilomètres par heure. Aux pôles, elle tombe à seulement 3 kilomètres par heure tandis qu'à l'équateur (40.000 kilomètres en 24 heures), elle atteint 1.600 kilomètres par heure. À noter que notre planète tourne moins vite sur elle-même qu'il y a plusieurs centaines de millions d'années.
Nous ne sentons pas la Terre tourner mais cela n'empêche pas les objets situés à sa surface de trahir son mouvement. En effet, la rotation de la Terre est responsable d'une force de Coriolis qui dévie les mouvements inertiels vers la droite dans l'hémisphère nord et vers la gauche dans l'hémisphère sud. C'est ainsi que, grâce à un pendule suspendu à la voûte du Panthéon, Léon Foucault a fait la démonstration de la rotation de la Terre en 1851.
La rotation de la Terre, un mouvement uniforme.
La vitesse de rotation de la Terre est certes relativement élevée. L'important reste toutefois que cette vitesse soit constante. Le mouvement de rotation de la Terre est uniforme, ce qui ne donne lieu à aucune sensation particulière. Installez-vous dans un train. Lorsque celui-ci circule à sa vitesse de croisière, on ne sent rien, même s'il s'agit du TGV. Seuls les accélérations et les freinages peuvent être physiquement ressentis. En effet, dans ces moments-là, des forces nous attirent vers notre siège ou nous en repoussent.

Mission du télescope spatial James Webb.


Le James Webb Space Telescope, nouveau fleuron de l'observation spatiale, sera lancé le 18 décembre depuis Kourou, en Guyane. Après un voyage de 29 jours, il atteindra le point de Lagrange L2, dans la direction opposée au Soleil. Avec son miroir plus large que celui d'Hubble, dont il est considéré comme le successeur, le JWST pourra observer galaxies, planètes, nébuleuses et étoiles pour en apprendre plus sur l'histoire de l'Univers.

La désertique Vallée de la mort en proie à des inondations « sans précédent »


D’intenses et très rares chutes de pluie dans la célèbre et désertique Vallée de la Mort, en Californie.
Toutes les routes desservant le parc sont pour l’instant fermées et resteront fermées jusqu’à ce que les agents du parc déterminent l’ampleur des dégâts », a annoncé le parc national qui gère les lieux, précisant qu’environ 1000 personnes étaient bloquées dans le parc pour l’heure en raison des routes devenues impraticables. Parmi eux, environ 500 visiteurs et 500 salariés.

Près d’une année de précipitation tombée en une journée Ces intempéries sont « sans précédent » selon le parc situé dans l’est de la Californie et connu pour être l’endroit le plus chaud du monde et le plus sec d’Amérique du Nord. Il est visité chaque année par plus d’un million et demi de touristes. 

Les eaux en crue ont arraché des parties de chaussée sur des routes, lancées des conteneurs à poubelle contre des voitures désormais hors d’usage et inondé des bureaux et des hôtels, précise le parc. 

Les précipitations journalières de vendredi égalent presque le record du parc. Il a reçu en une seule fois 37 millimètres de pluie pour un total moyen annuel de « moins de 50 » millimètres. 

Avec une atmosphère qui contient plus d’humidité, le réchauffement de la planète altère le régime des précipitations.

Le James-Webb révèle la composition du gaz autour d'un trou noir supermassif


La Quintette de Stephan, un regroupement visuel de cinq galaxies situées dans la constellation de Pégase, faisait partie des premières images choisies pour illustrer le pouvoir du télescope spatial James-Webb en comparaison avec celui de son prédécesseur, Hubble. Mais le JWST ne permet pas seulement de prendre de somptueuses images, il effectue aussi des analyses spectroscopiques révélant la composition chimique des astres et milieux astrophysiques. On en voit un exemple avec un des trous noirs supermassifs associés aux galaxies de la Quintette de Stephan.


L’Algérie rompt son engagement avec le Maroc et exploite la mine de Ghara Jbilet

 

L’exploitation des mines de Ghara Jbilet, dans la région de Tindouf, a été récemment lancée par l’Algérie. Avec cette initiative unilatérale, le pays rompt ses engagements, pris conjointement avec le Maroc au début des années 1970, concernant l’exploitation en commun de ce gisement de fer.
Le ministre algérien de l’Energie et des mines, Mohamed Arkab, a donné, en fin de semaine dernière, le signal de lancement pour l’exploitation de la mine de fer de Ghara Jbilet à Tindouf. Les travaux concerneront la région ouest en tant que site de la phase pilote.
Selon les médias officiels algériens, le gisement qui sera exploité s’étend sur une superficie de 5 000 hectares, soit un tiers de l’étendue totale de la mine (15 000 ha). Les réserves dans cette zone sont estimées à 1 milliard de tonnes de fer.
Le ministre algérien a indiqué que «ce projet structurant passera par plusieurs étape, de 2022 à 2040», notant que «la première s’opèrera de 2022 à 2025», avec l’extraction et le transport terrestre de «deux à trois millions de tonnes de minerai», en attendant l’achèvement de la ligne ferroviaire entre Bachar et le site d’exploitation.
Le Conseil des ministres algérien, tenu le 8 mai et présidé par Abdelmadjid Tebboune, a convenu de lancer la première phase du projet qui «représente une source importante de revenus pour le pays» et qui revêt une «importance vitale pour faire avancer le rythme du développement local et national» en Algérie.

La rupture d’un engagement pris dès les années 1970
Ce projet est l’une des illustrations des relations tendues entre le Maroc et l’Algérie. Le 15 juin 1972, la déclaration maroco-algérienne de démarcation frontalière a prévu l’exploitation conjointe de la mine de Ghara Jbilet. L’accord a été porté au Bulletin officiel algérien le 15 juin 1973 et a été ratifié par le gouvernement marocain, le 22 juin 1992.


Le document, qui porte le sceau du roi Hassan II (1962 – 1999) et celui du président Houari Boumédiène (1965 – 1978), précise qu’au vu de «la particularité qui caractérise les relations fraternelles existantes entre l’Algérie et le Maroc, il ne peut être admis que la frontière constitue une barrière entre les deux peuples frères, car elle est en fait un espace de croisements de sentiments et d’intérêts».
Cette promesse a été faite en présence d’une quarantaine de représentants de pays d’Afrique, venus participer au Sommet de l’Organisation de l’union africaine, tenu à Rabat. Les deux chefs d’Etats signataires ont affirmé que «la conclusion du traité de délimitation de la frontière algéro-marocaine et du traité de coopération pour l’investissement de Ghara Jbilet confirme [leur] ferme détermination à consolider les piliers d’une paix durable, à travers les années et les siècles».
Abdelhadi Boutaleb, alors ministre marocain des Affaires étrangères, a déclaré que Hassan II avait un intérêt particulier à exploiter la mine. Dans une interview au journal Al-Sharq al-Awsat, publiée en 2001, il a confirmé qu’après son retour de Tunisie, il a été chargé par le souverain de suivre le dossier avec son homologue algérien, Abdelaziz Bouteflika. Hassan II a souhaité un traitement rapide de la question, pour que l’accord entre en vigueur le plus tôt possible.
Le ministre marocain a aussi confié avoir pris des initiatives auprès de son homologue algérien, pour organiser une rencontre, au Maroc ou en Algérie, «mais toutes ses tentatives ont été infructueuses». Depuis, la question est restée en l’état, jusqu’à la réunion du Conseil des ministres des Affaires étrangères de l’OUA et son sommet à Lusaka, en Zambie, où Boutaleb a rencontré Bouteflika, qui a semblé déterminé à revenir sur l’accord.

5 août 1907: la France coloniale bombardait Casablanc


 Le 5 août 1907, cinq ans avant la signature du traité de Fès en 1912, le croiseur français Galilée bombardait Casablanca faisant plusieurs centaines de victimes. Dans la journée, le frégate sera rejoint par deux autres navires militaire, l’escorteur d’escadre Du Chayla et le croiseur Forbin, laissant les rues de la capitale économique jonchée de ruines et de cadavres.


En 1907 ce jour-là, les autorités françaises, souhaitant renforcer leur présence militaire au royaume chérifien, bombardaient, via le croiseur Galilée, puis l’escorteur d’escadre Du Chayla et le croiseur Forbin, la kasbah de Casablanca, faisant de nombreuses victimes parmi les «rebelles» et la population.

Le prétexte n’est autre que «la volonté de protéger les ressortissants étrangers résidant au Maroc».

Or, derrière ce massacre se cache une décision unilatérale et des messages adressés aux tribus, aux Marocains et même à l’étranger.

Occupation d’Oujda, prélude d’une colonisation

Le mouvement d’expansion coloniale de la France au Maroc remonte à plusieurs années, bien avant le traité de Fès de 1912.

En 1901, la France obtient un accord avec les autorités marocaines pour «aider» l’administration du royaume dans les régions encore non contrôlées du Maroc oriental.

Dès 1904, les grandes puissances signent avec l’Hexagone une série d’accords bilatéraux désignés sous le nom d’«Entente cordiale».

Le 31 mars 1905, Guillaume II d’Allemagne se rend au Maroc, traverse le centre-ville de Tanger à cheval et se réunit avec le sultan chérifien.

L’Allemagne a, en effet, été écartée des accords français.

Le déplacement de Guillaume II est perçu comme un moyen de pression.

En réponse, la France et l’Allemagne organiseront, du 16 janvier au 7 avril 1906 sous l’égide des États-Unis, la conférence d’Algésiras en Espagne.

Une rencontre au terme de laquelle l’Allemagne, la France et l’Espagne obtiennent provisoirement des droits sur les affaires marocaines.

Un an plus tard, la colère de la population suite à cette transgression de la souveraineté du royaume chérifien se traduira par plusieurs actes, notamment l’assassinat, le 19 mars 1907 à Marrakech, du médecin français Pierre Benoît Émile Mauchamp.

Le 25 mars 1907, le gouvernement français décide d’occuper la capitale de l’Oriental, Oujda, pour contraindre les autorités chérifiennes à prendre des mesures plus sévères à l’égard des assassins.

Malgré les tentatives du sultan chérifien Moulay Abdelaziz et de ses vizirs de parvenir à une solution, la population locale inaugure un nouveau chapitre de sa lutte acharnée avec une remarquable bravoure.

L’insurrection a lieu et, comme planifié, la France n’a plus qu’à trouver un prétexte pour intervenir militairement au Maroc.

En 1907, Casablanca entame ses toutes dernières transformations d’une ville ordinaire d’un Maroc tiers-mondiste, vers le projet d’une capitale économique qui deviendra, des années plus tard, le cœur battant de l’économie marocaine.

Avec une population avoisinant les 30 000 personnes, où les Européens sont fortement présents, la ville commence déjà à séduire les entités coloniales.

Parallèlement à l’occupation de la ville d’Oujda, la Compagnie marocaine décroche, dès l’été 1907, le contrat pour l’aménagement du port de la capitale blanche.

Mais le 30 juillet, des Marocains furieux prennent d’assaut le chantier de l’entreprise française, y tuent 9 employés et sabotent plusieurs constructions, rapporte l’historien Allal El Khadimi dans les «Mémoires du patrimoine marocain» (Cinquième volume, Editions Nord Organisation, 1986).

«Cet événement aurait pu passer inaperçu, sans être le déclencheur d’un bain de sang par la suite.

Surtout qu’il n’y avait que trois Français parmi les 9 employés tués.

Les autres étaient de nationalités italienne et espagnole.

Mais les Français mobiliseront leur force en Algérie et leur arsenal en Méditerranée pour donner aux Marocains une leçon peu charitable et pacifier les tribus de Chaouia.»

Un millier de victimes dans un bain de sang lancé par la frégate Galilée

Alors que les autorités coloniales en France et en Algérie se préparent à déployer toute une armée à Casablanca, les autorités locales françaises à Tanger mobilisent dès le 31 juillet 1907 le croiseur Galilée, qui arrivera à Casablanca le 1er août.

D’après Allal El Khadimi, le commandant du navire français, le capitaine Charles Victor Clément Marie Ollivier était impatient d’envoyer ses hommes sur la terre ferme.

Une version confirmée par l’historien André Adam et son article «Sur l’action du Galilée à Casablanca en août 1907» (Revue de l’Occident musulman et de la Méditerranée, 1969, Volume 6, Numéro 1, pp. 9-21).

«Quand le Galilée arrive, le 1er août au matin, les responsables du consulat français, le consul Malpertuy et le vice-consul Maigret, qui étaient en congés depuis plusieurs semaines, ne sont pas encore rentrés et l’intérim est toujours assuré (comme au moment des massacres) par un jeune élève vice-consul, Neuville.

Le commandant du Galilée, le capitaine de frégate Ollivier, en accord avec Neuville, songe aussitôt à envoyer sur terre sa compagnie de débarquement pour défendre le consulat de France et y recueillir la colonie européenne.»

Une intervention refusée par le corps consulaire qui estime que les forces étaient insuffisantes pour occuper la ville et que cela provoquera un massacre général des Européens.

Le capitaine Ollivier «se contente, avec l’accord du Khalifa du sultan, Moulay El-Amin, d’envoyer quelques hommes par petits paquets et des armes cachées dans des caisses pour assurer la sécurité du consulat».

«Ces mesures discrètes ne provoquent aucune réaction et les journées des 2, 3 et 4 se passent sans incidents graves», poursuit André Adam.

Mais les 66 hommes du Galilée n’empêcheront pas le capitaine de frégate Ollivier de lancer un assaut.

Auguste de Saint-Aulaire, diplomate au consulat de France à Tanger, expliquait dans un courrier adressé à ses supérieurs qu’«en raison de l’attitude hostile de la population et des tribus, il avait été convenu le 4 août à la suite d’une réunion (…) qu’une compagnie de débarquement descendrait au consulat pour le garder ; la porte de la Marine serait ouverte le 5 (août, ndlr) à 5 heures et demi pour laisser passer [les] matelots».

À l’aube du 5 août donc, les 66 marins du Galilée débarquent au port de Casablanca.

De la porte du port jusqu’au consulat français, ils tirent sur des militaires et des civils, arguant qu’ils étaient en danger, à en croire Allal El Khadimi. Arrivés à la représentation diplomatique, ils donnent le signal au Galilée pour qu’il commence à bombarder le quartier arabe de la capitale.

Des bombes chargées de mélinite arroseront bientôt d’autres quartiers.

«Le jour même, l’escorteur d’escadre Du Chayla et le croiseur Forbin arriveront à Casablanca.

Près de 200 marins (185 selon André Adam, ndlr) rejoindront les autres pour massacrer la population au moment où les frégates bombardent la ville.

Casablanca sera victime d’une agression violente qui ne peut émaner que de gens sans sentiments, sans humanité, aveuglés par la haine, le racisme et la convoitise coloniale.»

«Mémoires du patrimoine marocain» fait état de la mort de plus d’un millier de Marocains lors de cette journée sanglante.

L’armée française, dépêchée depuis Alger et Paris, n’arrivera à Casablanca que le 7 août et commencera à se déployer en vue de contrôler la ville.

6 000 soldats français aux ordres du Général Drude débarquent donc à Casablanca.

L’année suivante, le 4 janvier 1908, le sultan chérifien Moulay Abdelaziz sera détrôné par son frère Moulay Abdelhafid à l’aide du grand vézir Madani El Mezouari El Glaoui, frère aîné de Thami El Glaoui.

La micropuce de Napoléon


Les scientifiques auraient retrouvé un corps étranger d’un centimètre de long logé dans le crâne de Napoléon Bonaparte. L’ancien empereur français aurait lui-même déclaré qu’il avait été retenu prisonnier par des hommes « étranges », pour expliquer sa disparition de plusieurs jours en 1794. Était-ce seulement une coïncidence?
 

Le Svalbard, l'archipel norvégien du bout du monde

 


L’archipel norvégien du Svalbard, situé au bout du monde, compte moins de 3 000 habitants.



Perdue au cœur de l’océan Articque, sur l’archipel norvégien du Svalbard. Longyearbyen est la ville la plus au nord de la planète, comme au bout du monde. Les premiers habitants s’y sont installés il y a une centaine d’années en raison du charbon. Aujourd’hui, ils vivent essentiellement du tourisme, comme Mikkel Breedweld, 26 ans. Il est l’un des guides de la ville. Il embarque pour une balade en mer. Originaire du continent, il s’est installé ici après ses études, loin de tout.

Des conditions difficiles.
Sa mission est d’emmener les touristes voir les glaciers de l’Articque, immenses et majestueux. Mais à cette latitude, les conditions sont rudes. L’hiver, la nuit dure quatre mois et l’été, le soleil ne se couche jamais. Hormis quelques plantes, aucun arbre ni fleur ne poussent. L’unique supermarché est ravitaillé par les bateaux tous les dix jours. En-dehors de la ville, le port d’arme est obligatoire pour se protéger des ours. Dans son chalet, Martine Hermansen n’a pas d’eau courante et un groupe électrogène pour l’électricité. Elle vit avec le strict minimum, c’est la raison pour laquelle elle est venue vivre ici.

Les hiéroglyphes égyptiens


Parmi ces hiéroglyphes anciens figurent des formes gravées qui suggèrent que des objets volants extraterrestres auraient rendu visite aux habitants la vallée du Nil.

La récolte d’extraterrestres?

 

Après avoir lancé un ballon aux confins de la stratosphère en 2013, une équipe de scientifiques britanniques a été choquée de constater qu’à son retour sur Terre, il abritait de minuscules organismes vivants. Ils étaient, paraît-il, convaincus que ces organismes étaient d’origine extra-terrestre.

Europe, la lune de Jupiter


Selon certaines études, une des lunes de Jupiter, Europe, pourrait contenir des bactéries rouges congelées. Cette découverte a mené les scientifiques à penser que la présence de bactéries indiquait une possible évolution vers des organismes vivants complexes.
Photo : Une photo d’Europe, la lune de Jupiter, diffusée par la NASA le 12 novembre 1996.


 

Des scorpions sur Vénus?

Après avoir reçu des image prises par la sonde spatiale Venera-13 en 1982, le scientifique russe Leonid Ksanfomaliti a déclaré que des formes de vie ressemblant à des scorpions existaient peut-être sur Vénus.
Photo : Sur cette image de la planète Vénus, les zones noires éparpillées dans les plaines vénusiennes sont des dépôts très lisses liés à d’importants impacts de météorites.




Des fossiles extraterrestres.


 Des chercheurs ont trouvé une roche martienne dans l’Antarctique et ont annoncé qu’elle contenait des nanobactéries fossilisées, ce qui a mené à la spéculation que des roches avaient atterri sur notre planète il y a des milliards d’années et qu’elles auraient pu « insuffler la vie » à des organismes.

Photo : Une photomicrographie de la météorite martienne Alh84001 comprenant une structure allongée, au centre, qui ressemble au fossile d’un microorganisme.

Des collisions en plein air évitées de peu.


Il est arrivé plusieurs fois que des avions de ligne rapportent une collision évitée de peu avec un ovni. Un pilote a raconté avoir vu un objet volant « en forme de delta » se diriger droit sur son appareil alors qu’il arrivait à Manchester, en Angleterre. L'ovni a apparemment disparu avant qu’il n’ait eu le temps de réagir pour éviter la collision.

De mystérieux signaux radio.


Des astronomes ont essayé de contacter les Martiens pendant des dizaines d’années en envoyant fréquemment des ondes radio dans l’espace. En 2004, ils ont observé un signal radio non identifié qui s’intensifiait, et ils ont pensé que les extraterrestres essayaient d’entrer en communication avec les humains.

Des observations d’ovni faites par les astronautes d’Apollo 11


Quand les astronautes américains ont atterri sur la Lune pour leur mission Apollo 11, ils ont vu un objet non identifié voler à proximité de leur localisation. Ils ont pensé qu’il s’agissait d’une partie de la fusée détachée SIV-B, mais il a plus tard été confirmé qu’elle se trouvait à 9 656 kilomètres d’eux. Cette observation reste un mystère que les scientifiques n’ont toujours pas résolu aujourd’hui.

L'équation de Drake


Notre galaxie, la Voie lactée, contient plus de 400 milliards d’étoiles, et les scientifiques pensent qu’environ la moitié d’entre elles ont au moins une planète qui tourne en orbite autour d’elles. L’astronome et astrophysicien américain Frank Drake a mis au point une proposition mathématique afin d’essayer d’estimer le nombre potentiel de civilisations extraterrestres dans notre galaxie en fonction de facteurs, qui, dans l’état actuel de nos connaissances, restent encore très incertains.
 

Une ambassadrice pour extraterrestres


L’astrophysicienne malaisienne Mazlan Othman est la directrice du Bureau des affaires spatiales des Nations unies, une organisation chargée des questions liées à l’espace. Mazlan a la tâche d’accueillir les visiteurs extraterrestres et de coordonner la reconnaissance humaine, si des Martiens entrent en contact avec nous.
 

Du méthane dans l’atmosphère martienne



Le méthane est normalement produit par des organismes vivants. Or, une grande quantité de ce gaz a été trouvée dans l’atmosphère de Mars, ce qui alimente la théorie de la présence de vie sur la planète.

Le microbe de Mars

Des scientifiques russes ont trouvé un microorganisme qui serait capable de survivre à des radiations dangereuses, ce qui n’a jamais été observé sur un autre organisme. D’après eux, le germe vient de Mars, ce qui suggère l’existence d’une vie extraterrestre sur la planète rouge.

Le signal «Wow!»


En 1977, des scientifiques de l’Université d’État de l’Ohio ont capté des signaux radio remarquablement puissants qui ont parcouru plus de 200 millions d’années-lumière à travers l’espace avant d’arriver jusqu’à nous. Ces signaux, dont la source n’a toujours pas été identifiée, laissent encore aujourd’hui les scientifiques perplexes.

Guerre du Rif : La glorieuse victoire de la bataille d'Anoual.


La glorieuse victoire de la bataille d'Anoual en 1921 ne s’oublie pas, comme les milliers de victimes tuées par des Gaz chimiques, généreusement fournis à l’Espagne par ses deux alliés : la France et l’Allemagne. Un crime contre l’humanité toujours impunie.
1921, neuf ans après le protectorat, l’Espagne n’est toujours pas parvenue à asseoir son autorité dans le nord du Maroc. Le 21 juillet de la même année, la résistance menée par les troupes d’Abdelkrim El Khattabi avait infligé une cuisante défaite à l’armée espagnole.
Durant les 18 jours de combats, les soldats sous les ordres du général Manuel Fernández Silvestre ont été dépassés par l’intensité des combats, 10 000 sont tombés sous les balles des rifains. Leur chef est porté disparu même si la prose officielle à Madrid avançait qu’il se serait suicidé. Jusqu’à aujourd’hui, son corps n’a pas été trouvé.

Une leçon pour les mouvements de guérilla
Ce revers militaire allait donner naissance en Espagne à l’appellation «Désastre d’Anoual», en vogue dans les livres d’Histoire, largement partagée par les médias. Mais surtout Anoual a servi de leçon aux mouvements de guérilla en Afrique et en Asie. Désormais, la supériorité numérique et la qualité des armes n'étaient plus des gages de victoire.
Anoual avait permis aux rifains de moderniser, sans dépenser le moindre dirham, leur vieil arsenal. Dans son livre, «Abdelkrim El Khattabi : un leader nationaliste», Azzedine El Khattabi soulignait que le butin était énorme : «20 mille fusils, 400 mitrailleuses, 129 canons, un million de cartouches et un nombre important de camions et de voitures». En tout, les rifains ont mis la main sur 100 positions militaires.

Quand la France discutait avec El Khattabi
Le succès d'Anoual face à une armée régulière avait eu un retentissement considérable sur la scène internationale. La presse, notamment de gauche, commençait à s’intéresser à la guerre du Rif.
Le gouvernement français de l’époque qui appréhendait une confrontation directe avec le rifain initiait, contre l’avis du maréchal Pétain, grand partisan de la solution militaire, des négociations de paix avec Abdelkrim El Khattabi. Ce qui a donné naissance aux pourparlers d’Oujda du 9 avril 1925. Ce fut juste une parenthèse dans l’Histoire du conflit, d’ailleurs peu connue du grand public. Trois semaines après seulement, le 6 mai 1925, c’est la rupture.
Après cette brève phase de «paix», El Khattabi a repris ses plans, ordonnant à ses troupes d’attaquer des positions tenues par les Français. Là aussi, il enregistra une victoire contre les forces du maréchal Lyautey.

Un crime contre l’humanité resté impuni
Près d'un siècle après la bataille d’Anoual, le souvenir du recours massif aux gaz chimiques par l’armée espagnole est toujours présent dans les mémoires des rifains. Des quantités importantes du produit létal étaient généreusement fournies par la France et l’Allemagne pour tuer la population rifaine. Des ONG locales affirment que la région détient le sinistre record de Marocains atteints de cancer.

De son côté les gouvernements marocains observent un silence inquiétant sur cette question. Bien qu'ils soient parfois contraints de réagir lorsqu’ils sont interpellés par des questions de parlementaires, c'est le silence total.

Le 16 juillet 2012, Saâdeddine El Othmani, alors ministre des Affaires étrangères, annonçait que Rabat comptait inviter Madrid à ouvrir un dialogue sur le recours aux gaz chimiques par l’armée espagnole durant la guerre du Rif (1921-1926). Le PJDiste s’était dit convaincu que l’Espagne «ne s’opposera pas à une telle initiative» qui s’inscrivait, selon ses dires, «dans le cadre de l’accord stratégique entre les deux pays». Depuis, le dossier est retombé aux oubliettes.



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En 1969, le roi Hassan II a envoyé un message à la Lune


Lors de leur mission sur la Lune, les membres d’Apollo 11 ont voyagé avec une pièce collector réunissant les messages de 73 dirigeants sur le satellite. Le message contenait une déclaration du roi Hassan II dans laquelle il saluait «la grande fraternité des hommes».
Il y a cinquante ans, les deux premiers hommes à se rendre sur la Lune ne sont pas partis les mains vides. Le 20 juillet 1969, ils ont atterri sur le cinquième satellite du système solaire portant, sur eux, un message de plusieurs pays.
En effet, les deux astronautes Buzz Aldrin et Neil Armstrong se sont vus confier, outre la collecte de roches lunaires, la mission de laisser une trace de cette visite emblématique de l’humanité sur la surface de ce satellite. Ainsi, Aldrin et Armstrong ont déposé un petit disque portant des messages microscopiquement écrits.
Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce disque porte les inscriptions de 73 chefs d’Etat de l’époque, y compris le roi Hassan II (1961 – 1999), sous le titre «De la planère Terre». En effet, ces messages ont été destinés à d’éventuels groupes extraterrestres qui pourraient tomber sur cette pièce, laquelle marquerait pour eux le passage des hommes ayant pu marcher sur la Lune.
Un message d’encouragement pour le progrès scientifique
Le message du roi Hassan II est paru dans un communiqué de presse de la National Aeronautics and Space Administration (NASA), rendu public le 13 juillet 1969. Avec ceux d’autres présidents et rois, ses mots ont salué «le courage» des membres de la mission Apollo 11 ainsi que «la grande fraternité» qui doit lier les êtres humains.
«Le roi Hassan II et le peuple marocain souhaitent se joindre aux autres nations du monde pour saluer le courage des premiers hommes à poser le pied sur la Lune, dans un esprit de paix pour toute l’humanité», lit-on dans le message royal.
«Que cet esprit de paix imprègne la Terre et que l’avancement de la science enrichisse la grande fraternité des hommes.»
Extrait du message du roi Hassan II pour la mission Apollo 11
En substance, le message du Maroc envoyé à la Lune rejoint celui d’autres pays qui ont salué l’initiative, notamment deux autres pays arabes comme la Tunisie et le Liban.


Mais comment tous ces messages ont-ils été inscrits dans un disque du même diamètre qu’une petite pièce de 50 centimes ? Selon le communiqué de presse de la NASA, le célèbre collector est fait de silicium, un élément chimique non métallique, «abondamment trouvé dans la nature et largement utilisé dans l’électronique moderne».
Selon la même source, la déclaration du roi Hassan II comme celles des autres chefs d’Etat a été inscrite sur cette pièce, «grâce à un un processus utilisé pour fabriquer des circuits électroniques micro-miniatures». «Chaque message a été réduit 200 fois à une taille plus petite qu’une tête d’épingle et apparaît sur le disque comme un point à peine visible», écrit la NASA.
Bien qu’il s’agisse d’un très petit message, les mots de Hassan II et de ses autres homologues restent «lisibles au microscope», explique le même document, sans pour autant donner plus de détails. Cependant, la NASA souligne que, si «certains [messages des dirigeants] sont écrits à la main, d’autres sont dactylographiés et beaucoup sont transcrits dans les langues officielles des pays».

L’homme qui a réussi à se transformer en chien

 

Toko est le nom de l’homme qui a rêvé toute sa vie de devenir un chien et après de nombreux efforts, il a réussi à commander à une entreprise spécialisée ce déguisement surréaliste d’un chien. Il était un homme et est devenu un animal avec un collier et une laisse.